Il fallait m’y résoudre… peut-être pour que ce soit moins difficile, mais l’était-ce vraiment ?
J’ai défait ton lit, lavé les draps, ils ne serviront plus ici.
J’ai rangé ton placard, trié les vêtements qui pourront te servir encore, dans l’ailleurs que tu ne quitteras plus désormais.
Nous avons fait un paquet des médicaments qui attendaient tes retours chez nous… et nous les avons rendus à ceux qui prennent soin de toi, là-bas.
Sur le mur, le tableau restera… et, ici ou là, les traces de toi, de ta présence, de la vie que tu menais lorsque tu étais là.
Lorsque les enfants partent, d’habitude (mais y a-t-il vraiment une habitude?), nous savons que, dans la plupart des cas, ils nous donneront de leurs nouvelles, qu’ils repasseront par leur ancienne chambre… Ils y ont d’ailleurs tous laissé un peu de leur enfance, de leur jeunesse, et ils la retrouvent quand ils nous rendent visite, plus ou moins souvent en fonction de leur lieu de vie.
Toi… Tu as passé ici plus de temps que ton frère, plus de temps que tes sœurs. Tu as émaillé nos jours d’une présence étrange mais tellement prenante que nous ne pouvons pas vraiment imaginer la vie sans toi.
Tu as rempli nos vies, ponctué nos journées puis nos semaines, de ce que même aujourd’hui je ne sais pas décrire précisément.
Tu étais là. C’est tout.
Pour toi, j’aurais aimé une autre vie, j’imaginais d’autres rencontres.
Le temps de l’espoir était passé, il restait l’attente.
Aujourd’hui, je n’attends plus rien. Toi, tu te bats encore, mais te bats-tu vraiment ?
Tu vis branchée à ce qui te permet de vivre.
Ici, il ne reste que l’absence.
…
Chère « Don Quichotte »,
l’absence, tu le sais bien au fond de toi, n’est qu’un vide apparent. Tout est si plein, gonflé d’amour, rempli d’un être-passage comme le sont les papillons, et ton coeur est une nacelle qui vogue sur cette mystérieuse richesse, vogue longtemps comme la mer…
Tendresse,
Hélène*
Vide apparent mais qui fait mal…
Merci pour ta présence et tes mots, Hélène.
Difficile à vivre pour qui a un enfant pas comme les autres… 36 années d’une vie pas commune pour Emmanuelle, ses parents, la fratrie… tu étais-là c’est tout, phrase terrible qui résume cette existence, les rêves à terre quand on apprend que… de tout coeur par la pensée, bises de jill
Merci, jill.
Tu as eu aussi un énorme chagrin. Différent, mais aussi difficile à surmonter.
Merci pour ta présence et tes pensées.
Bises et douce journée.
Tes mots sont émouvants …
De tout coeur avec toi, … vous.
Bon week end … que je vais pouvoir passer à la pêche dans mon potager, transformé en marécage !
Bisoux, ma quichottine
dom
Remettre tout en état n’est pas une mince affaire. Courage pour ton jardin.
Merci pour tout, ma Dom.
Passe une douce journée. Je t’embrasse fort.
Poignant…
Respect chère Quichottine.
Bises
Merci d’être là, Débla.
Bises et douce journée.
Bonjour je suis de tout cœur avec toi, je te fait de gros bisous et t’envoie mon amitié
Merci Cigalette. Ta présence et tes mots me touchent beaucoup.
Très émouvant. Je n’ai pas de mots mais sache que je suis de tout cœur avec vous. Gros bisous
Merci, Martine.
Je suis avec toi aussi par la pensée, et te souhaite plein de courage dans le combat que tu dois mener.
Prends bien soin de toi. Je t’embrasse fort.
salut
on est nostalgique nous aussi quand on entre dans la chambre de la fille .
Maintenant ce sont les petits enfants qui viennent en séjour et c’est bien .
Bonne journée
C’est vrai que les petits-enfants apportent du bonheur.
Bonne journée Tiot.
Même si elle ne sera plus là parce que branchée là-bas, elle reste en toi, en vous deux.
Tristesse ce matin, ces gestes que tu as faits, comme ils sont lourds!
Je t’embrasse très fort.
C’était très difficile… mais il le fallait.
Je t’embrasse très fort ma Polly. Merci d’être là.
Emmanuelle ne vous quittera jamais …pour la chambre …c’est aussi ce que je ressens…
je t’embrasse et je pense très fort à toi, à vous
Merci pour ta présence et tes mots, Églantine.
Je t’embrasse très fort. Prends bien soin de toi.
Coucou Quichottine,
Te poser des mots dénués de tous sens pour la Maman que tu es me semble vraiment trop… trop rien du tout. Alors je me contente, même si ce n’est que virtuellement, de te serrer très fort et juste ça.
Je t’embrasse.
Pascale
Juste ça, mais si tu savais ce que c’est important pour moi…
Merci, Pascale. Votre présence, même virtuelle, est un vrai réconfort.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.
Bien au delà de l’absence il reste le lien sacré de parents aimant, affectueux et débordant de tendresse pour leur enfant, le tableau en est témoin.
Je t’embrasse très fort
Je crois que nul ne peut faire table rase de ceux qu’il a aimé.
Merci pour ta présence et tes mots ABC.
Je t’embrasse très fort aussi.
Chère QUichottine, la douleur est partout présente dans tes mots… la déchirure.
C’est bien ce que tu as fait, je pense, tu la portes si fort en toi qu’elle sera toujours avec toi, même après son départ. Gros gros bisous
Depuis sa naissance nous allons doucement vers l’inévitable… Mais je crois que même en le sachant, il est impossible de s’y préparer.
Merci d’être là, Cathie.
Je t’embrasse fort.
Coucou
Je pense très à fort a toi
Gros bisous Quichottine
Merci, Claudine.
Ta présence et tes pensées me touchent beaucoup.
Gros bisous et douce journée.
Poignant……
Bises tendres de Grèce
Merci, Fanny.
Bises tendres à toi aussi.
Plus dans cette chambre
Dans une antichambre
où elle est patiente
Mais à jamais reliée à vous par ces fils de « soi » fils d’amour fils de plomb fils blancs tissés comme il se doit bien à l’endroit
Fils de chaîne fils de trame de votre histoire
Un tissage de liens dans les silences des cœurs. La chaîne enchaine, la trame lie le tout.
L’attachement est invisible mais c’est lui qui donne la force et le sens de l’ouvrage.
Votre fille sera toujours là
Elle sait combien vous l’aimez.
J’ignore ce qu’elle sait ou non… mais nous savons qu’elle avance à grands pas vers la fin d’une vie qui n’a jamais été celle qu’un autre voudrait.
Merci pour ces mots qui soulignent les liens invisibles qui nous relient à elle à tout jamais.
Passe une douce journée Jamadrou. Je t’embrasse fort.
Des traces, qui entretiennent des souvenirs d’un temps » autre » …
Pensées, Quichottine. Je t’embrasse.
Il fut un temps, trop bref, où nous avons cru à ce que les médecins nous disaient… tout était encore possible d’après eux.
Peu à peu, nous avons compris que ça ne l’était pas.
Merci pour ta présence et tes mots, Midolu. Je t’embrasse fort.
Peu présente mais toujours une présence « chez toi »…
Ta présence auprès d’Emmanuelle est une présence de tout instant, par delà cette chambre qu’il faut ranger, par delà la distance imposée, par delà…mais toujours là!! Je t’embrasse ma Quichott
Merci, Mahina.
Tu es de ceux qui savent depuis longtemps, ton amitié m’est précieuse.
Passe une douce journée. Je t’embrasse fort.
Amicales pensées…
Merci…
Ton blog est plein d’images merveilleuses, Chris.
Des mots tellement émouvants et qui me laissent sans voix. Respect ma douce, tu as encore tant d’amour à donner ! Bises et bon samedi – ZAZA
Merci pour tout, ma Zaza.
Bises et douce journée à toi.
ELLES t’ont tout dit, Quichottine et que rajoutez de plus à ta douleur, à vos douleurs de parents. Je ne peux que te serrer dans mes bras, comme l’a fait Pascale, et comme l’aurez fait chacune de nous, tour à tour. Je t’embrasse, Quichottine comme le ferait une amie, même si cette amitié n’est que virtuelle. Nelly
Amitié virtuelle, mais présence touchante.
Merci, Nell.
Passe une douce journée. Je t’embrasse.
Il en faut du courage pour « vider » la chambre d’un enfant qui n’y reviendra plus. Mais c’est un courage nécessaire. Je ne sais pas si elle « choisit » ou non de se battre encore. Je pense fort à toi
Elle ne choisit pas… nous ne choisissons pas non plus.
Merci pour tes pensées, Jeanne.
Je t’embrasse fort.
Très émue de te lire chère Quichottine… tu te bas tellement fort contre ces décisions de laisser partir ton enfant. Cette chambre même vide représentait l’endroit secret de ta fille. Partir est toujours une déchirure..Tous les enfants partent. Emmanuelle est restée longtemps près de vous.. Pour elle maintenant, c’est un ailleurs, il faut savoir accepter tous ces départs déchirants.. D’autres départs viendront, pour nous retrouver dans cet autre monde promis..
Je t’embrasse très fort et te félicite pour tous tes courages.
Laisser partir serait un moindre mal… et c’est une décision que la médecine ne prendra pas.
Nous subissons leur dictat. Rien n’est simple.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.
Tout cela est dur à vivre pour toi et les tiens et ton courage force l’admiration de tous tes lecteurs.
De longs discours je ne sais pas faire alors je te fais de gros bisous virtuels et amicaux.
Merci, Marie. Les mots sont vains, mais votre présence m’est indispensable.
Passe une douce journée Marie. Prends bien soin de toi.
L’absence peut être des plus présentes. On a connu cela…
Pourtant, avec le temps, l’absence s’atténue, le manque aussi mais l’oubli n’est pas, jamais quand la présence a marqué.
Quichottine, même si l’on voudrait avoir les mots, le soutien nécessaires à te soutenir, te réconforter, vous soutenir, vous réconforter, on ne les a pas… Mais, n’en doute pas, nous, d’autres et Elle, ne restons pas insensibles à ce que vous avez vécu, vivez.
L’existence n’est pas un long fleuve tranquille… Mais, ce n’est pas non plus une mer déchaînée à tous temps!
Dans n’importe quel cas, il vaut mieux savoir nager.
Quichottine, merci de ne pas te noyer, de nous rester malgré tout.
Aux tiens et toi, notre soutien.
Affectueusement.
Il y a des moments où il est plus difficile de ne pas couler…
Alors, merci pour tes mots et ta présence AnB.
Affectueusement à toi.
Tu sembles « résignée » ma Quichottine mais ce n’est qu’une apparence. Ce vide ne se comblera jamais… tu le sais…
Je t’envoie de doux bisous.
Un vide impossible à combler… mais j’espère pouvoir un jour y penser plus sereinement.
Je t’embrasse très fort Marité. Passe une douce journée.
rien de plus à dire, mais je pense à toi, à vous très fort,
bisous, MIAOU !!!
Merci pour ces pensées, pour ta présence et tes mots Mistigris.
Bisous et douce journée.
Ce n’est surement pas facile de vider cette chambre, surtout dans ces conditions.
Je t’embrasse très fort Quichottine
Rien n’a jamais été simple avec Emmanuelle…
Merci d’être là, Lilwenna.
Je t’embrasse très fort.
» C’est un volet qui bat
C’est une déchirure légère
Sur le drap où naguère
Tu as posé ton bras
Cependant qu’en bas
La rue parle toute seule
Quelqu’un vend des mandarines
Une dame bleu-marine
Promène sa filleule
L’absence, la voilà
L’absence
D’un enfant, d’un amour
L’absence est la même
Quand on a dit je t’aime
Un jour…
Le silence est le même »
(S. Reggiani)
Je t’embrasse très fort, et je pense à toi, Dame…
Merci d’avoir déposé ici les mots de cette chanson…
Je t’embrasse très fort, ma Croc.
L’absence et le silence font mal.
Poignant! Les mots son bien dérisoires mais je pense à toi très fort car je connais ce « vide » laissé par l’absence de l’enfant qui ne reviendra pas . il faut avancer avec ce grand trou dans le cœur .
IL faut avancer, c’est vrai… et c’est tellement difficile.
Merci d’être là, Zoé.
Je t’embrasse fort.
Une terrible épreuve, une nouvelle déchirure et pourtant la présence d’Emmanuelle est toujours là. Son tableau en témoigne. J’ai croisé l’autre jour sur la toile un tableau de Kandinsky et je me suis dit… « tiens ! le tableau d’Emmanuelle » Je ne crois pas que c’était le même mais ce style est désormais devenu le symbole de ta fille et je trouve cela très réconfortant de pouvoir la retrouver dans des couleurs que tu as choisies pour elle. Je suis de tout coeur avec vous et espère qu’elle ne souffre pas. Je vous embrasse.
Ce qui est terrible, c’est de ne pas savoir ce qu’elle ressent… de rester impuissant devant les souffrances qu’on imagine.
Merci pour ta présence et tes mots, Cathycat.
Je t’embrasse fort.
La chambre … Le lieu de la main tenue … le lieu … Je n’ai pas besoin de te dire, tu sais ce que cela représente, dans un cas comme dans l’autre. Pour toi, encore autre chose certainement.
Tu as, vous avez bien fait. Que ce soit à n’importe quel moment, c’est dur. Pour vous, c’est un pas de fait. Toi, tu l’avais franchi pendant son séjour à l’hôpital, je pense.
Mon coeur saigne pour vous.
Je vais faire comme je fais aux petits/petits, plein de petits bisous tout doux.
Tu penses bien… mais c’est tellement dur.
Je ne peux exprimer ce que je ressens.
Je t’embrasse très fort, Pimprenelle. Prends bien soin de toi.
Quelle page douloureuse Quichottine. Mon coeur de maman pleure avec toi…
Je te souhaite beaucoup de courage et comme te l’a dit Pascale, je te serre fort pour te dire mon amitié.
Gros bisous de Sylvie
Merci, Sylvie.
J’ai besoin plus que jamais de votre présence amicale, de votre soutien, même virtuel.
Je t’embrasse très fort. Prends bien soin de toi aussi.
C’est vraiment très émouvant… Comme ce doit être triste de devoir abandonner cette chambre où tu as vu Emmanuelle grandir sans beaucoup d’espoir d’amélioration et attendre maintenant… J’espère seulement qu’elle ne souffre pas… Que c’est difficile de vivre ainsi…
Je t’embrasse très fort ma Quichottine, je sais que tu es courageuse…
Je me demande parfois comment nous arrivons à survivre…
Merci pour ta présence et tes mots ma Liliane.
Je t’embrasse très fort. Prends bien soin de toi.
Les mots me manquent, alors, je te serre ds mes bras VITA
Merci pour le soutien que tu m’offres, Vita.
Un jour de naissance, on dit je t’aime:
Des mots de folie
Qui partent en farandoles,
Enchainent nos vies
A des souffles fragiles…
Des mots qui se jouent
De nos tendresses,
De nos attentes,
De nos espoirs,
De nos désespoirs aussi…
Des mots de vide,
Des mots d’absence
Avec au creux des mains
Une plume de sourire
Aussi légère
Qu’un baiser d’amour
Sur les joues de son enfant!
Lorsqu’on a dit « je t’aime », lorsqu’on l’a pensé si fort, lorsque chaque jour a scellé les liens, il est impossible de les couper.
Merci pour ta présence et nos partages.
Je t’embrasse très fort, Marie. Prends bien soin de toi et de ceux que tu aimes et qui ont tant besoin de toi.
Je suis très émue par ton histoire, les mots sont si peu de chose quand il y a tant de peine dans le coeur.
Je t’embrasse très fort.
Livia
Merci pour tout, Livia.
Passe une douce journée. Je t’embrasse.
Je pense souvent à toi, Quichottine. Et à ta petite Emmanuelle.
Je ne sais pas quoi dire d’autre, sinon que j’admire ta force d’âme.
Et que, de loin, mon affection t’accompagne dans ta grande peine.
Merci pour ta présence et tes mots, Carole.
Un jour viendra où il faudra fermer tout doucement la porte du jardin secret où elle continue à rire et à chanter… malgré tout, parce que je n’arrive pas à la voir comme elle est.
Tes mots me bouleversent…Que notre présence virtuelle te donne un peu plus de courage pour vivre le quotidien d’aujourd’hui, courage que tu as déjà. L’amour sera toujours là quoi qu’il advienne dans ton coeur de maman. Il ne peut en être autrement.
Merci d’être là, Manou.
Nous continuons à faire au mieux alors que notre impuissance grandit chaque jour.
Pensées depuis Athènes.
Merci, Liza. Pour tout.
Pensées …
Merci, Kri… pour tout.
Par fois les mots ne peuvent exprimer
ce que nous ressentons si fort
Mes pensées amicales t’accompagnent Quichottine
Merci pour ces pensées, Pascal, et aussi pour ta présence amicale.
C’est un vrai réconfort.
Il faut du courage pour vivre, continuer, laisser derrière soi tant de souvenirs, surtout quand le temps de la jeunesse et des illusions est passé…
je t’embrasse Quichottine
Je ne sais pas… la vie donne et reprend, nous ne sommes que fétus de paille jetés au vent.
Passe une douce journée Marine. Je t’embrasse.
comme tu ne donnais pas de nouvelles, je me disais que ce n’était pas aussi simple ; je t’embrasse. Cet amour creuse davantage le coeur que ceux des enfants à la vie commune ; il creuse et le sang coule, certains parents se détachent, d’autres dépriment pour toujours ; toi, tu donnes ton amour à tous ceux qui ont besoin d’écoute ou de rêves et tu continues à avancer.
Je t’embrasse affectueusement ; petits hommes, nous sommes fragiles et notre volonté ne suffit pas pour agir dans ce monde.
Rien n’est simple… et je crois que nous faisons seulement le possible. Il faut seulement s’y habituer.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.
Je suis passée et repassée sur ta page sans pouvoir te laisser un petit mot. Je veux te dire que je pense très, très souvent à Emmanuelle et à ses parents si courageux. Je vous prends tous les trois dans mes bras et je vous serre très affectueusement.
Françoise
Merci… pour tout.
Tu as fait un si long chemin douloureux, ma chère Quichottine et tu as survécu…
Mon père était gravement atteint… ma mère l’a porté à bout de bras pendant si longtemps et après son décès, elle ne voyait plus de lui que les bons souvenirs, les bons côtés « d’avant » sa maladie… c’en était stupéfiant ! Nous ne comprenions pas ! Mais nous sentions qu’elle ne l’oubliait pas du tout… Simplement, elle avait occulté tout le côté sombre pour ne garder que le positif de leur vie commune…
Très sincèrement, je te souhaite toute la sérénité dont tu as tellement besoin ! Et des épaules pour y poser ta tête lasse…. Reprends des forces ma Quichottine et tu as tellement raison de commencer à faire place nette : c’est tellement courageux ! Reprendre le dessus est primordial pour toi et toute ta famille…
Car quand ma mère est partie à son tour, vider toute une vie à toute vitesse plus les affaires de mon père restées en l’état a été si traumatisant que je me suis jurée de ne pas le faire subir à mes enfants et trie et jette en permanence tout ce qui encombre….
Pense très très fort à toi, à ta famille et à Emmanuelle
Tendresse
Faire place nette… surtout pour ceux qui devraient le faire après nous.
C’est important.
Merci pour tes pensées et ce partage douloureux.
Prends bien soin de toi, Luciole. Je t’embrasse fort.
C’est courageux et si douloureux ce que tu as fait là.
J’imagine ta peine, tes espoirs déçus, toutes ces années de souffrance .. Ce doit être épuisant Tes autres enfants te permettent de tenir ;mais on sait qu’aucun enfant ne peut être remplacé par un autre. Elle est dans ton coeur même si elle ne viendra plus dans sa chambre . Je t’embrasse fort
Aucun enfant ne peut remplacer un autre, mais ils peuvent rendent la peine moins lourde en nous aidant à la porter.
Je t’embrasse fort, ma Fanfan. Merci pour ta présence et ton soutien.
Ah Quichottine ! Comme c’est douloureux pour toi, ta famille ! Tes mots sont déchirants.
Que dire de cette chambre vide mais encore si pleine de souvenirs !
Je suis de tout coeur avec toi et t’embrasse bien fort.
Merci d’être là Monique.
Je t’embrasse fort aussi. Passe une douce journée.
Je me demande ce qui est pire, un départ vers les cieux ou un départ comme le tien
L’impuissance et les bras vides sont les maîtres mots. Un cap que l’on doit franchir mais qui vous laisse … rien … je ne trouve pas les mots qui exprime ma pensée
Je suis de tout cœur à tes cotés
Je t’embrasse avec la tendresse d’une mère
Annick
Je crois qu’on ne peut pas graduer la douleur de la perte d’un enfant et la tienne est immense.
Prends bien soin de toi, Annick.
Je t’embrasse très fort.
Bonsoir Quichottine ,
Je n’ose imaginer combien cela doit être difficile et douloureux .
Excuse moi si je n’ai pas laissé de petits mots avant , mais sache que je pense à toi très fort mais tu le sais déjà 😉
Je t’embrasse , courage !
Ne t’en fais pas. Nos pensées se croisent bien souvent.
Merci pour tout, Marie.
Je t’embrasse fort. Nos amitiés à Nino.
Je suis bouleversée. C’est très dur. Je ne peux que te souhaiter beaucoup de force et de courage, il en faut pour affronter de telles situations. C’est bien de l’avoir fait, d’avoir franchi ce pas. Tu as toute mon affection, ainsi que le papa et les frères et sœurs…
Merci Rebecca.
Pour tout.
Ton billet est très émouvant . C’est un moment très dur de « rayer » apparemment la présence d’un être cher même si les souvenirs sont toujours présents. Je sens ta souffrance, tes espoirs déçus , tes questions sans réponse qui sont ton quotidiens .Mais , sans oublier Emmanuelle, tes enfants t’aident à adoucir cette blessure et te permettent d’avoir le courage et la force nécessaires.
Je pense bien fort à toi, je t’embrasse très fort
Merci pour tes mots, erato.
Il n’y a que l’attente désormais… et c’est terrible.
Si dur… Pensées douces et tendres qui te serrent fort.
Merci Pastelle. Pour tout.
Des pensées pour toi et pour ta fille, Je rêve qu’il y a une autre vie pour tous les délaissés les handicapés, les malheureux, pour ceux qui n’ont pas eu de chance dans celle ci et quelque part ça me réjoui car ce n’est pas possible ce serait d’une grande injustice que la vie ne compense pas ce malheur qui frappe les innocents. j’en suis persuadé, je fais confiance et ça me rend serein.
J’espère aussi qu’un paradis existe pour eux.
Merci pour tes pensées Salvatore.
J’ai mal pour vous, toi et ton mari. Savoir qu’elle n’occupera plus jamais sa chambre, c’est horrible. Je ne sais que te dire. Je pense à vous deux. Bisous
C’est ainsi… et nous n’y pouvons rien.
Merci pour tout, Brigitte.
je ne viens pas souvent sur ma messagerie,la vie est toujours un peu compliquée …
La soignante que j’étais a toujours eu beaucoup d’admiration pour l’entourage de personnes comme ton fils et ceci malgré le temps ,malgré les difficultés et même parfois malgré le dialogue qui s’établit (ou pas )entre nous soignant et vous,mais nous n’avons pas la même vision ,le tout étant de trouver un terrain ou nous rejoindre pour être utile et présent au maximum prés d’eux
Je pense souvent a toi depuis que j’ai lu un de tes messages, mais n ‘ai pas de blog mais suis fidèle sur un long parcours mais pas au quotidien..et surtout pas forte pour mettre un commentaire,c’est pas bien je sais!.
Amitiés sincères Marie-Pierre(laouen)
J’ai beaucoup d’admiration pour ceux qui en font leur métier… et pour l’environnement qu’ils savent créer pour ceux qui n’ont pas la possibilité de vivre « comme tout le monde ».
Merci pour ces mots, Marie-Pierre, merci pour ta présence et ton soutien.
Amitiés.
Bonsoir Quichottine
¨Pas evident pour moi de mettre des mots sur ce que je viens de lire. Je me doutais depuis fort longtemps que tu avais des gros soucis par rapport a ta famille. Je t’assure que si j’etais ce que je dis être, je ferais Tout, je dis bien Tout pour l’aider. Hélàs je ne suis pas grand chose et je suis totalement impuissante J’admire ton courage car tu en as beaucoup. A part les familles qui sont concernées et les soignants peu réalisent ce que tu peux endurer. Oui je sais tu l’aimes- comment aimer un enfant de sa chair , malade ou pas mais ton coeur saigne tous les jours, et toi avec pugnacité, courage,discretion tu fais face, tu fais bonne figure, tu nous fais partager tes billets. je ne puis que dire pour conclure que de tout coeur je suis avec Toi et surtout RESPECT bisous de Fée
Merci pour tes mots, Celiandra.
Je crois hélas que personne ne peut rien pour résoudre une situation dont personne ne voudrait.
Il faut faire avec, c’est tout. Prends bien soin de toi Célie.