– Tu exagères Quichottine !
Ah oui ?
– Oui. Tu as dit que dans ton « Top article », le plus lu était « Et Sancho pensa »…
Oui.
– Mais ce n’est pas celui que tu montrais hier !
C’est vrai… Sancho ne se met à « penser » dans le roman qu’un peu plus tard. Il lui faut d’abord apprendre à connaître son « maître ».
– Don Quichotte est un « maître à penser » pour Sancho ?
En quelque sorte… On pourrait le voir comme ça, au moins au début du roman.
– Explique un peu. Là, je n’y comprends rien.
En fait, je ne vais pas vraiment expliquer. Tout se met en place au fil de la lecture.
Au moment où don Quichotte quitte son château pour une seconde sortie (qui sera bien plus longue et riche en aventures diverses que la première), en catimini, à l’aube, pour ne pas être surpris, il est suivi par Sancho qui a accepté le rôle d’écuyer qu’il lui offrait.
J’avais imaginé ce départ de Sancho comme une fuite, le déni des responsabilités familiales et professionnelles qui lui incombaient. C’était aussi, il ne faut pas le nier, l’appât du gain qui le guidait et lui avait ôté tout sentiment de culpabilité envers les siens.
Sancho, pourtant, fait déjà preuve de bon sens. Il ne veut pas être roi…
– Pourquoi ?
Parce que dans ce cas, sa femme serait reine, et qu’il ne veut même pas l’imaginer ! En lisant les mots de Cervantès, j’ai plaint cette femme qui était tellement malmenée qu’elle en avait même perdu son prénom ! En cinq lignes, elle passait de Jeanne à Marie, comme si rien de ce qui la concernait n’avait d’importance.
Quoiqu’il en soit, le rêve de Sancho a déjà des limites. Il garde les pieds sur terre, en toute occasion, même lorsque don Quichotte le met à rude épreuve.
Ils n’auront pas à aller bien loin pour que le lecteur fasse la part des choses. Il suffit à l’écrivain de mettre dans le décor quelques moulins.
– Il est rigolo, le Don Quichotte de Zip de Zoup ! Et Rossinante ! Une merveille ! Tu es sûre que Zoupie a lu la description que l’on fait habituellement de ces deux personnages ?
Évidemment ! Et elle a tout compris, mon amie Marine. Elle a dessiné le chevalier, non comme il est dans sa réalité – si tant est qu’on puisse parler de réalité pour un personnage de roman – mais comme il se voit, lui, à travers ses lectures, ses rêves.
Il ne serait jamais allé au devant de géants en tant qu’Alonso (au surnom également très changeant, si l’on en croit le premier chapitre du roman). Il n’aurait jamais éperonné la haridelle que Rossinante est dans la réalité pour se jeter à corps perdu dans la bataille. Il n’a pas cinquante ans, mais vingt, Rossinante est un fringant coursier… Et ils sont bien déterminés à livrer le combat le plus épouvantable jamais imaginé de mémoire d’écrivain.
Il n’y a pas un géant, ou même sept, dans la plaine qu’ils abordent avec Sancho. Il y en a trente… ou quarante (que le lecteur pardonne l’imprécision mais Cervantès n’en est pas à une dizaine près).
– Il ne serait pas passé par Marseille, ton chevalier ?
Non, là, c’est la stricte vérité. Les moulins à vent sont nombreux dans La Mancha. Une plaine encombrée de moulins ne surprend pas.
Ce qui est surprenant, c’est que le héros les transforme en géants agitant leurs grands bras pour le défier.
Sancho a beau essayer de le dissuader, rien n’y fait. Don Quichotte n’y démord pas, et, jugeant que son écuyer n’est vraiment d’aucune utilité pour le combat à venir, il l’envoie…
– Au diable ?
Pas du tout ! Il lui dit de se mettre « en oraison », de prier, pour que l’issue du combat lui soit favorable, peut-être, ou pour l’âme des géants qu’il va « occire un à un »… Sancho devra trouver seul l’objet de ses prières. Le chevalier s’est déjà lancé à l’assaut du premier des moulins. La protection de Dulcinée et les prières de Sancho ne réussiront pas à le sauver. Don quichotte et Rossinante sont tous deux arrachés du sol et envoyés plus loin.
L’image est saisissante dans les versions enfantines.
Un exemple :
Nous les voyons ici, voltigeant dans les airs, sous les yeux de Sancho et de son âne.
Il ne faut pas s’étonner, Rossinante est furieux. On le serait à moins.
Illustration de Julius Editorial Espasa-Calpe, 2004, p.49. |
|
C’est un choc de titans, qui laisse le héros et son cheval, complètement abasourdis, blessés… et pas seulement physiquement.
– Il a mal à son amour-propre ?
Tu me fais rire ! C’est un peu ça. Vous n’imaginez pas ce qu’il peut ressentir au moment où il explique à Sancho que non content de lui avoir volé ses livres, l’enchanteur Freston, son plus grand ennemi, vient de lui voler la gloire de ce combat.
Don Quichotte remonte en selle, aidé par son écuyer qui essaie de le croire sans toutefois y parvenir tout à fait.
Les faits semblent le confirmer : don Quichotte est le fou, Sancho le sage.
(à suivre)
…
Une autre illustration de l’adage « Envoyer son bonnet par dessus les moulins » !
Je ne le connaissais pas celui-là.
Je sens que je vais continuer à découvrir, avec toi dans les parages, il n’y a pas l’ombre d’un doute.
Bisous et merci, Galet. Bonne nuit.
bah tiens…. le plus fort c’est Sancho!!!!!!!!!!!!! nananèèèèèèèèèèreu
Forcément !…
Sourire, Annie. Je vois que tu es super ravie !
Alors, moi aussi.
bonne nuit jolie Bibliothécaire!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci. Bonne nuit à toi aussi.
La suite.. que de vaillance et toujours plus de vaillance, il a un de ces moral à l’épreuve du vent! Bonne nuit madame! Bises
Un moral à toute épreuve… Ou presque.
Bonne fin de journée, Snow. Merci ce ta présence.
excellent ce don quichotte de zip de zoup!!!
au bout du bout de mes forces, je t’embrasse, plus de pieds ni de voix (merci les manifs) je me venge sul clavier!!!
je t’embrasse fort, faute d’avoir la force de commenter intelligiblement…
Je trouve aussi.
Tu es encore debout à des heures incroyables… Prends soin de toi, Mamalilou.
Gros bisous.
J’adore l’illustration pour le livre d’enfants !
Bonne fin de semaine ! BisouX
dom
C’est l’une de mes versions enfantines préférées.
Bonne fin de semaine à toi aussi, Dom. Bisous.
Don quichotte c’est un peu astérix et sancho obélix.
Une nouvelle publication sur quai des rimes
Bon week-end.
C’est vrai aussi… Mais Sancho est bien moins fort qu’Obélix.
Bonne fin de semaine à toi.
Je ne sais pas si Sancho est le sage… je ne le vois que comme le soigneur improvisé (pansement? pansa) d’un homme qui accède enfin à ses rêves. Mais rêver est dangereux parfois et il faut bien que quelqu’un panse les défaites.
Sans l’utopie de Don Quichotte, Sancho serait resté dans sa pauvre masure aux limites étroites. Il vibre enfin sur ces chemins.
Bisous plein ma Quichotte.
Il est vrai que l’on peut y penser très fortement, surtout quand on connaît le roman et que l’on sait à quel point Sancho est d’abord celui qui ramasse les morceaux.
… mais on ne peut faire ce rapprochement qu’en français. Le mot espagnol ne laisse aucun doute. C’est bien la bedaine de Sancho qui y est mise en valeur, ses rondeurs.
Par contre, je te suis tout à fait dans ta conclusion.
Bisous tout plein pour toi aussi, Polly.
ce qu’elles sont belles ces illustrations !!! il y a des oeuvres qui permettent des lectures infinies, elles sont différentes en fonction des âges et du vécu, elles s’adaptent à nos réflexions, j’aime lorsque tu les partage avec nous…bisous
Merci, Solyzaan.
Je suis contente que cela te plaise. Bisous.
Pansa sage
mais il va
il trotine près de don quichotte de la mancha
en espagnol ce nom prend une autre mesure !!
belle journée
Je vais encadrer ton commentaire, Jeanne.
Je pense que c’est important.
Douce soirée à toi.
Sancho est (un peu) à Don Quichotte comme Gemini à Pinochio entrainé de force dans ses mésaventures. « Mon premier Don Quichotte » quelle belle annonce pour l’édition enfantine que j’ai lu dans vos ligne !Que Sang-Chaud continue longtemps à rouler sa panse accompagne du squelettique Hidalgo pour notre plus grand plaisir à decouvir grace a vous
Une belle comparaison, Georges. J’aime penser à Sancho ainsi.
Merci.
Et tu sais quoi ? Je n’ai jamais lu Don Quichotte… je ne connais que cette histoire des moulins… mais tu me donnes très envie de rattraper cette lacune littéraire !
Belle journée .
Beaucoup ne l’ont jamais lu, mais presque tous le connaissent.
Tu feras comme tu voudras/pourras. Je pense que c’est un livre à connaître et à « grapiller ».
Belle soirée à toi, Mélanie. Merci pour ce partage.
Je reprends mon message qui s’est enfui sans autorisation !
Sancho est (un peu) à Don Quichotte comme Gemini à Pinochio entraîné de force dans ses mésaventures. « Mon premier Don Quichotte » quelle belle annonce pour l’édition enfantine que j’ai lue dans vos ligne ! Que Sang-Chaud continue longtemps à rouler sa panse accompagne du squelettique Hidalgo pour notre plus grand plaisir à découvrir ces caractères divers grâce à vous.
Merci de l’avoir repris.
Bonne soirée, Georges.
Pliée de rire, la Zoupie, cette Quihott’ un tour de plume et hop, elle me trouve une explication de derrière les fagots pour mon zentil Quijotte !
C’est vrai que pour le coup on peut aussi voir la lance à la main gauche étant droitière (et cavalière) ma main droite me parait plus opportune pour tenir les rênes de cette fringante coursière, qui me semble encore avoir la pêche comme mon andalouse maison, l’arme pointue étant bien un accessoire de décoration (!!!), et ne serait -t-il pas gauche pour en plus tenir la pointe de la lance à l’envers … Une fois bien terminé et photographié je me suis quand même dit que j’aurais pu lui faire une barbichette plus conforme à son image de vieux baroudeur !
Sacrée Quichottine, va !
Et en plus je te dis un grand merci, ça va de soi…
J’ai bien pensé aussi à une explication pour la lance… mais j’aime bien la tienne.
Ce dessin me plaît tel qu’il est.
Bisous tout plein et merci encore, Marine.
Toutes les explications sont drôles et sans doute on pourrait en trouver plein !
Bisous Quichottine
Et je suis certaine que tu as la tienne aussi.
Bisous, Zoupie.
Ah oui, cettte illustration de Julius je la connais… Étonnante et prêtant beaucoup à rire.
Je sens que Sancho… non, je ne dirai rien. Je te laisse continuer.
GROS BISOUS.
Chouette ! Tu l’avais déjà vue ?
Rire, tu as le droit d’anticiper. (Mais ne vas pas trop vite quand même…)
Gros bisous.
Bonsoir Quichottine et bravo à Zoupie pour son beau chevalier ! Il faudra que je relise le bouquin car j’ai oublié des passages que tu évoques. Don Qucichotte est resté dans ma tête un doux rêveur. Bonne soirée et bisous
Il est un doux rêveur… sans aucun doute pour moi.
Bonne soiré et bisous à toi aussi, Ecureuil bleu.
Dans le fond les deux se complète, l’exubérant et le sage. Bonne fin de semaine. Ici de la pluie, de la pluie ,de la pluie et le feuilles tombent.
Exactement !
Bonne fin de semaine à toi aussi, même si le temps ne vaut guère mieux que par ici… Pluie et froid ici.
il est tout de même sympa ce don quichotte de zip de zoup …bise quichottine
Je trouve aussi.
Bises à toi aussi, Mrcafe.
Heureusement que Sancho n’est pas un doux rêveur ,même si DON Quichotte ne l’écoute pas;
Comme tous les hommes(ou presque) ,SANCHO ne se fait pas prier pour oublier ses responsabilités familiales et partir à l’aventure!
J’aime bien le dessin » enfantin « ; assurément Don Quchotte aurait été très satisfait de se voir si beau et fier dans le dessin de Zip de Zoup!
Bisous
Finalement, malgré tous les reproches que l’on peut faire à Cervantès, il a bien saisi les travers de la société où il vivait.
J’adore ce dessin !
Je suis vraiment contente qu’il te plaise aussi.
Bisous, Fanfan. Passe une belle soirée.
J’aime beaucoup le dessin de Zip de Zoup, plein d’une grâce inattendue. Comme tu le dis, la représentation d’un rêve… Belle nuit.
Merci, Adamante. J’aime beaucoup quand on peut lire le rêve dans un dessin ou des mots…
Douce soirée à toi.
Garder les pieds sur terre quand une telle proposition s’offre à nous, je dis bravo
Certains préfère la notoriété et en oublient la simplicité, perdent la raison
Moi je l’aime bien Sancho
Bisous
Je suis tout à fait d’accord avec toi. Il est important de garder sa raison en toute circonstance. D’autant que la notoriété est éphémère.
Merci pour ce partage, Corinne. J’aime bien Sancho aussi.
Bisous.
Zut et rezut!
Bonjour, Quichottine, , cette nuit, j’étais en train d’écrire un com d’au moins trois pages sur Sancho… Et je me suis endormie devant… Impossible de le retrouver…
Alors je condense, et j’envoie…
Bisous confus…
Au moins trois pages ???
Oups ! Tu imagines le temps que j’aurais mis à te répondre ?
Si un jour tu as de l’inspiration, tu me l’envoies et je le publie sur mon blog, en article.
Bisous pas du tout confus, mais légèrement inquiets quand même quand à la teneur du message perdu.
Sancho en prières !
Alors, Noureev avait quelques raisons de le poser en moine …
Vite, je reviens dans la » vraie » histoire, car je crois que je dévie sérieusement !
Merci, Quichottine, j’apprécie beaucoup ton accompagnement érudit dans ce qui est une (re)découverte pour moi.
Bises
Non, tu te laisses porter par tes pensées, et n’est-ce pas aussi le plaisir des blogs ?
J’aime quand tu es là. Merci à toi.
merci de t’enquérir de ma santé, c’est vrai que c’est pas toutes les semaines facile de se lever trois fois dans la nuit pour accueillir qui d’un ado ou d’un mari… et retrouver le sommeil à suivre… souvent la blogosphère me demande assez de concentration pour retrouver la saine fatigue qui endort… voilà pourquoi… en fait je fait un peu des quarts, comme par tempête en mer… lol!!!
soupir, bon là ce sont les vacances,y compris pour moi, donc quand ça sort tard, là je peux récupérer le matin, … ouf, mais à la rentrée, faudra que je briefe tout l’monde, …
bisous
Je pense qu’il faut parfois remettre les pendules à l’heure…
Passe une belle première journée de novembre.
Bisous.
sancho n’étais pas chinois par hasard, pour avoir cette sagesse…lol
bonne journée…merci de participé si bien
Non, mais il n’y a pas qu’en Chine que l’on trouve de vrais sages…
Merci à toi, René. Passe une bonne journée.
Merci pour ce nouveau volet. L’illustration de notre Zoupinette est extra. Bises et bonne journée ma Quichottine
C’est vrai qu’elle est belle !
Bises et bonne journée à toi aussi.
ah ben c’est bien ce que je craignais et tu le confirme : le gros est sage et le maigre est fou…c’est pour ça que je ne veux pas maigrir…….
Morte de rire, Pat.
Ce n’est pas aussi simple qu’il y paraît, mais surtout, l’important est de prendre soin de toi.
Bisous.
Une réflexion me vient : « Il n’y a que la foi qui sauve! » …
Celle de Sancho était-elle suffisante lorsqu’il est entré en oraison ?
Il n’a pas eu le temps de prier… tout est allé trop vite. Quelques lignes dans le roman.
Tjs de nouvelles images de ces héros..Super..Le fou et le sage, nos deux facettes. Bises VITA
Nous avons de multiples facettes, et j’aime bien ces deux-là.
Bises et grand merci pour ta présence, Vita.
Demonstration magistrale , nous allons donc reconsiderer l’ami Sancho …
bises Quiichottine
Merci, Canelle. Bises à toi.
c’est bien ce que je pensais depuis toujours, on peut rêver c’est certain mais embarquer les autres dans sa propre folie, j’ai du mal à entrer dans ce genre d’histoire!
bises
En fait, l’histoire va bien au-delà.
Mais je te comprends tout à fait.
Bises, Azalaïs. Merci.
Sancho le sage … c’est pour cela qu’il monte un âne!
« Comment se fait-il que le sage soit devant nous sur son âne, et nous loin derrière sur nos pur-sang? » (F. Leclerc)
Parce que son pas est plus modéré et que sa monture a donc moins à se reposer…
Je me suis quand même laisser dire que Sancho était un type au sang chaud…!
En le croisant, les femmes en avaient froid dans le dos…
Bises Quichottine la penseuse…
KERFON LE CELTE
Tu me fais penser à un livre que j’ai lu… et dont il faudra que je parle
http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/6173-quichute-et-sang-chaud-ou-comment-endormir
Merci, Kerfon. Bises à toi aussi. Passe une bonne soirée.
Il manque peut être à Sancho , l’imaginaire d’aventurier qui flotte dans la tête de Don Quichotte 😉
Bonne soirée Bisous Quichottine
C’est pour cela qu’ils se complètent. Ne crois-tu pas ?
Bonne soirée et bisous à toi aussi, Urban.
Pour compléter Zoupie :
Pour Quichottine en bottines
une comptine pour doctrine
La culotte pour Quichotte
renversante la Rossinante
les moulins cyclopéens
Pas de Chateau pour Sancho
mais l’âne pour caravane.
Bises du grillon
Et comment veux-tu que je me passe de toi avec d’aussi gentils commentaires ?
Bon, je vais faire semblant de ne pas l’avoir vu… ce sera plus facile de me dire que tu resteras silencieux le plus souvent.
Merci pourtant, pour cette suite inattendue.
Bises et bonne fin de semaine, Grillon.
Je dois être moi même un peu « éclairée » car c’est ainsi que je l’ai tjs vu !
Heureusement que je ne suis pas seule à le voir comme ça… sinon, je me ferais peur…
Les apparences sont parfois trompeuses, le pauve Sancho qui paraît ridicule avec sa grosse bedaine est finalement un sage…
Jolie illustration épurée de Zip de Zoup !
Bises du samedi Quichottine
Trinity
J’ai beaucoup apprécié son don Quichotte, si différent des représentations habituelles.
Bises du dimanche pour toi… j’espère que tu auras passé une bonne fin de journée, la tête dans les nuages.
Heureusement que Don Quichotte à son Jiminy pour le protéger.
Bon dimanche
Merci, Francine. Je sais que c’est heureux, en effet.
Bonne soirée à toi.
J’aime bien les deux dessins… le premier de Marine, fringant chevalier tête haute… et le second qui pour moi… correspond bien au peu que j’ai lu du livre….!!
Je suis contente que tu aimes les deux… j’aime aussi !