Il y avait ce vendredi des fleurs chez Carole… deux petites fleurs de rien du tout, « Presque rien » écrivait Carole sur sa page.
Rien ?
Je ne crois pas.
Tandis que je regardais ces fleurs sauvages, venues d’on ne sait où, qui poussaient au pied d’un arbre, près du mur d’un hôpital, ma pensée s’est échappée, comme elle le fait trop souvent. Mes yeux se sont embués. J’étais ailleurs, un autre jour, au mois de mai… il y a déjà près de trois ans.
Ce jour-là, en sortant de l’hôpital où je venais de voir pour la dernière fois quelqu’un qui m’était très proche et qui avait décidé d’arrêter le traitement qui la maintenait en vie, j’ai pris deux photos…
Pourquoi ?
Je ne sais pas… Peut-être parce que ces personnages insolites me parlaient de nous…
Peut-être parce que je savais que la complicité de ces derniers jours passés en sa compagnie dans un cadre inhabituel ne changerait rien à la peine que j’éprouvais en me remémorant ses dernières visites chez nous, mon incompréhension…
Je ne savais rien, je n’avais rien compris, toute à d’autres chagrins qui me coupaient des autres, qui me fermaient les yeux.
On dit que c’est quand quelqu’un disparaît qu’on comprend vraiment combien il comptait. C’est vrai.
J’ai toujours tendance à penser que ceux que j’aime peuvent être éternels. Que la mort n’est qu’un passage, qu’ils restent à disposition dans la pièce à côté, ou, comme le dit Mahina, sur le chemin d’à côté, veillant encore sur nous, comme s’ils étaient toujours présents.
Le sont-ils ? Je ne sais pas. Je le voudrais je crois.
C’est peut-être pour ça aussi que j’ai pris la seconde photo…
Comme un clin d’œil à la vie.
Je pensais à son combat contre la maladie, le combat du pot de terre contre le pot de fer. Elle savait déjà qu’elle ne pouvait plus gagner, que le cancer l’emporterait.
Moi, je pleurais sur la vie qu’elle commençait à peine, sur son parcours d’écrivain qui venait d’aboutir à la publication d’un livre merveilleux et qui resterait l’unique livre d’un auteur qui avait tant à partager, tant de talent aussi.
Je regrettais tous les mots que je ne lui avais pas dits, tous ceux que nous aurions pu échanger.
Elle avait insisté, plusieurs fois : « Publie, publie tes tableaux, commence par eux… »
Ce jour-là, juste avant de partir. Comme si elle me laissait une mission à accomplir.
Je ne l’ai pas encore fait. Peut-être est-ce le moment d’y songer.
Merci pour ces fleurs, Carole… Elles n’étaient pas «Presque rien», mais beaucoup pour moi.
…
Coucou chère Quichottine, cela fait un moment que je ne suis passée chez toi.. mais pourquoi diable je ne reçois pas de newsletters, j’ai beau m’abonner, ça ne dure pas…
Je suis triste pour toi mais je sais malheureusement que la « grande faucheuse » frappe même si on ne le souhaite pas. Mais tu vois j’ai souri en voyant les petits personnages faits avec les pots de fleurs car j’ai fait cela souvent quand j’étais encore en haute savoie.. Oui l’on voudrait voir ceux auxquels on tiend rester près de nous, mais pour moi ils le font sous quelque forme que ce soit. Je me plais à le croire.
Je t’embrasse mon amie
chatou le matelot de la terre ferme
En fait, d’après ma liste d’abonnés, le tien n’est pas « vérifié ». C’est comme si tu n’avais pas cliqué sur le lien dans l’accusé de réception que tu as dû recevoir après t’être abonnée… A moins que tu ne l’aies pas reçu ?
J’ai envie de te dire d’essayer encore… mais il faut vraiment ensuite vérifier si le message en question t’arrive bien et ne disparaît pas dans tes indésirables. 🙂
Merci pour tout ma Chatou.
Je t’embrasse très fort.
Oui vue ces petites chez Carole….. Alors que derrière les grilles un massif bien garni de fleurs lui faisait un pied de nez, mais les petites se sont faites voir tout de même, merci à vous deux… Bises de jill
Je t’avais retrouvée là-bas. 🙂
Merci, JB.
Bises et douce journée à toi.
Il n’y a pas de petits riens Quichottine tout est important ce sont ces « petits » riens qui donnent de la valeur à notre vie, ce sont eux dont on se souvient avec émotion.
je t’embrasse très fort
Merci, Josette.
Ils sont importants.
Je t’embrasse très fort. Passe une douce journée.
bonjour Quichottine,
il est si beau ce billet !
ces petits riens sont bouleversants…
et ils rendent souvent les mauvais passages dans la vie plus supportables
bonne journée à toi
bisous amicaux
J’aime ce que tu dis. « Ils rendent les mauvais passages dans la vie plus supportables ».
Je suis sûre que c’est vrai.
Bisous amicaux et douce journée à toi.
C’est triste de perdre un être cher, mais il ne part jamais complètement, il nous laisse avec de beaux souvenirs. Les photos sont originales. Je vais aller voir la fleur de Carole parce qu’ici il y a encore un long moment avant d’en voir une. Bonne fin de semaine.
Merci pour tout, Solange.
Bonne semaine à toi.
toujours dur de perdre un être cher , je pense souvent a mon copain d’armée et plus , disparue il y a plus de 20 ans maintenant … bon week-end Quichottine
Merci pour cette amitié partagée, Dom.
Bises et douce semaine à toi.
…c’est toujours dur et émouvant de penser à ceux et celles que l’on a perdu mais ils /elles
existent au fond de notre coeur, personne ne peut les enlever! gros bisous de Mireille du Sablon
Non, personne ne peut les enlever… 🙂
Gros bisous et douce journée à toi.
Des œuvres vraiment très originales mis en scène dans un lieu insolite lui aussi. Sans doute le jardinier de l’hôpital tentait-il de mettre un peu de joie dans cet établissement.
Bises.
C’est sûrement vrai. Merci à ce jardinier qui a su me faire sourire à un moment où j’en avais besoin.
Bises et douce journée à toi, Laurent.
Merci.
Ce sont souvent de » petits riens » qui nous replongent dans des souvenirs souvent enfouis et que l’on croit oubliés… Ou du moins lointains…Un parfum, une voix, une photo, une lettre…Ces quelques fleurs ont été pour toi comme un détonateur qui t’a projetée quelque temps en arrière et tu as revécu un moment fort !
Belle analyse… merci, Nickyza.
C’était un moment très fort.
Les petits riens ont toujours un tour dans leur sac. Ils s’emparent sous leurs airs innocents de notre conscience pour nous emmener dans des allées que nous n’avions pas foulées depuis longtemps. Les deux petites fleurs de Carole ont fait resurgir des larmes et aussi un merveilleux sourire. Les petits riens ne sont vraiment pas rien… Gros bisous
🙂
Ils sont à partager, absolument.
Gros bisous et douce journée Cathycat.
Merci !
Il suffit d’un rien quelques fois pour que remontent à la surface des souvenirs qu’on croyait morts. Ton texte est très émouvant et tellement près de la vie de chacun.
Merci quichottine
Très bonne journée
Bises
Merci à toi pour ta présence et tes mots.
Passe une belle journée Jackie. Bises.
Un texte qui m’a émue au point que je ne trouve pas de mots. C’était beau. Bisous
Merci pour ce silence Martine et pour les mots offerts malgré tout.
Bisous et douce journée.
Coucou ma Quichottine,
Un billet très émouvant, et crois moi, même si physiquement nos êtres ont disparu charnellement, il reste éternel dans nos cœurs. En parler, vivre avec les bons souvenirs, voire, les regarder par le biais de films interposés permettent de les maintenir en vie. Les grands écrivains aussi ne meurent jamais, regarde Balzac, Hugo, Flaubert, et j’en passe, sont toujours vivant puisqu’ils sont lus.
Bises et bon samedi. ZAZA
Ils vivent toujours, c’est vrai…
Merci ma Zaza.
Bises et douce journée à toi.
Le départ d’un être cher est toujours une amputation.
Mais, je le crois (on ne peut que croire), que quelque part leur énergie vitale souffle encore, peut-être tout près de nous, en nous.
Ce billet est poignant et rappelle nos absents, ou plutôt les font vivre encore, au creux de notre propre énergie.
Bisous tendresse.
Merci pour ces bisous tendresse et tes mots ma Polly.
L’important c’est qu’ils soient encore en nous.
Bisous plein.
Délicieux ces bonhommes en pots de fleurs…
Ceux qui ont disparu, même invisibles, sont toujours là et il est bon de parler d’eux
Merci. 🙂
Ils sont touchants, ces personnages , comme ton récit sincère et vrai
Merci. C’était important pour moi de le partager.
Bonjour, chère Quichottine
On ne voudrait pas que ceux qu’on aime s’en aillent mais ils sont toujours dans notre coeur …
Je te fais un gros câlin de réconfort.
Merci pour ce câlin… il me touche infiniment.
Passe une douce journée ma chère Dom.
Bonjour,
Quand on se sait condamné les peines choses, même extrêmement petites, un regard, un geste, un objet, tout revêt un importance que l’on ne peut imaginer, ces pots de terre en sont l’exemple…
Passe une excellente fin de semaine.
D@net.
Merci.
Excellente semaine à toi.
Il suffit de peu de choses pour que le souvenir d’un être cher disparu, sorte de son écrin. Et tu l’as très bien exprimé Quichottine. Je vais de ce pas voir ce « presque rien »…
Merci pour Carole, Marie.
… et un grand merci pour moi aussi.
« Il suffirait de presque rien… » juste deux petites « fleurs de bitume », arrivées là par les caprices du vent ou l’étourderie d’un oiseau, deux fleurs qui sont comme une promesse de vie renaissante, pour que des souvenirs rompent le barrage fragile qui protège notre mémoire et qu’une douleur nostalgique inonde notre coeur… Honorer ton amie t’honore.
Que de chansons remises en mémoire…!
Merci Galet. Je crois que c’était important de partager ces souvenirs avec vous.
Passe une douce journée.
Sur le chemin d’à côté… J’y crois très fort… Comment est ce chemin? Je ne sais.. En fait, il est je pense, tel que chacun aime dans la vie. Je l’ imagine bordé de fleurs et d’étoiles, empli de tout ce que j’aime: ces sommets immaculés de solitude, de vagues de nuages qui jouent, en compagnie de tous ceux que j’aime et parfois…j’aimerais les rejoindre. Croire cela n’empêche pas la douleur ou la tristesse de l’absence.
J’aime la dernière photo : il fait un clin d œil à ceux qui passent et je te laisse imaginer ce qu’il te dit.
Adichat amiga mia. Voy a caminar en la nieve… Besos
Grr il me prend pour un robot
C’est vrai qu’il t’a pris pour un robot, pas facile de remplir la partie code quand il ne te reconnaît pas. 🙂
J’ai supprimé les autres. Ton commentaire était bien enregistré mais mis dans la file d’attente. 🙂
Gracias Mahina. Creo que tienes razón.
Aprovecha tu camino en la nieve. Besos.
Bonjour Quichottine , j’adore cette photo > ces pots de terre !
Je suis revenue en arrière avec L’UNIQUE LIVRE et MAHINA !! Beaucoup à lire !
Oui ! la peur de perdre un être cher ; J’ai tellement peur du moment où cela arrivera pour ma Mère ; et pourtant c’est normal à son âge : Je n’irai jamais jusque là !
J aime beaucoup ton article .
Bisous Quichottine
any
Nous partageons nos peurs, et cela nous aide je crois.
Merci, Any.
Bisous et douce journée à toi.
rien c’est déjà quelque chose. Ce n’est pas de moi. D’autres l’ont dit ou écrit.
des petites fleurs de bitume autour de l’hôpital ? Un lieu qui à nos âges évoque des souvenirs inévitables.
Et non personne n’est éternel. Raison de plus de vivre au présent sans s’encombrer de vaines rancœurs. Faut-il connaître des épreuves pour en tirer ces leçons ? Peut-être, peut-être pas.
Nos propres fragilités aussi nous rappellent à l’ordre.
Prends soin de toi Quichottine. Bises et belle fin de semaine
Comme toujours, tes réflexions me touchent beaucoup.
Merci, Jeanne.
Je ne sais pas si nous en tirons des leçons, mais les épreuves nous obligent à réfléchir sur notre vie et celle de ceux qui nous entourent.
Passe une belle semaine, Jeanne. Bises à toi.
plus on avance, plus cette peur de perdre ceux qu’on aime grandit… mais c’est inévitable!
Je veux croire que toujours ils seront là quelque part …
merci pour ce beau billet tout simplement
douce journée Quichottine sans trop de tristesse dans ton coeur
Merci à toi pour ta lecture et tes mots.
Passe une douce semaine, Cri.
Ce sont ce qui semble être pour nous des « petits riens » qui sont si importants dans notre vie. Ce sont comme des signes qu’il faut décripter car ils nous viennent peut-être d’un être cher qui se promène dans l’allée voisine et qu’on ne peut plus voir. J’aime a penser cela aussi et que la vie continue.
Merci Quichottine et merci pour ces images toutes mignonnes.
Gros bisous
« la vie continue »… c’est vrai. Et si c’est avec eux tout près, c’est encore mieux.
Merci pour tout, Annick.
Gros bisous et douce journée à toi.
Un billet fort émouvant
Les photos sont très sympa ♥
Gros bisous & bon week end Quichottine
Merci.
Gros bisous et douce semaine à vous deux.
Ah, Quichottine, tu l’as deviné, alors, que je sortais précisément de cet hôpital dont j’ai montré les grilles !
Humbles fleurs et photographies sont les petits cailloux qui nous ramènent toujours sur le chemin de la vie, même quand la maladie, la détresse ou la mort menacent de nous entraîner du côté du désespoir. Presque rien, c’est souvent presque tout.
Un grand merci, Carole… pour tout.
Je ne sais que te dire d’autre, tu as trouvé les mots.
« Presque rien, c’est souvent presque tout. »
un billet émouvant,
j’ai du mal à regarder en arrière pour cultiver les mémoires tristes, je pense que les fleurs sont là pour au contraire nous encourager à regarder la route qui se profile devant nous en ne gardant que les souvenirs heureux
j’ai pour cela beaucoup aimé le poème de Jacottet sur le blog de Gazou
bises et bonne journée
Tu as raison, en cela qu’il faut regarder l’avenir et ce qu’il peut nous apporter de meilleur.
Mais il arrive que les souvenirs surgissent au détour d’un chemin, qu’ils soient si forts qu’il faut absolument trouver les mots pour ne pas se laisser sombrer.
Merci pour Gazou et Jacottet. Je l’ai lu aussi avec bonheur.
Bises et douce journée à toi aussi Azalaïs.
Oui, Quichottine, des petits riens rappellent des souvenirs, de plus ou moins bons moments… Bisous
Merci. 🙂
Bisous et douce journée.
Des petits riens qui t’ont emportée bien loin. Donc, ils n’étaient pas si petits.
Mon petit aîné a fait la réflexion, il y a peu, à sa table d’anniversaire que celle-ci a de moins en moins de convives.
Bon week-end
Bisous Quichottine
… une réflexion que nous nous faisons tous en prenant de l’âge.
Merci pour ce partage Pimprenelle.
Bisous et douce semaine à toi.
Il est vrai que c’est après qu’on se rend compte qu’on est passé à côté de choses, qu’on aurait du … qu’on aurait pu …
Pourquoi donc que le manque ne vient qu’après?
Bisous Quichottine
Je ne sais pas, Kri.
Je suppose que le bonheur ferme les yeux.
Bisous et douce soirée. Prends bien soin de toi.
j’ai les larmes aux yeux
très touchant ce témoignage
c’est vrai qu’il faut témoigner son attachement à ceux qui nous sont chers
je n’ai pas eu le temps de dire je t’aime à quelqu’un qui m’était très proche
Je te souhaite une belle soirée
Ti bo du samedi
On oublie trop souvent de manifester ses sentiments… hélas.
Merci à toi pour ce partage.
Je t’embrasse très fort. Passe une douce semaine.
Superbes photos captés par un œil expert, c’et très original
Émouvant témoignage qui en découle
Je t’embrasse
Merci.
Je t’embrasse, passe une douce soirée.
Sandrine gestin, fait des merveilles, j’attends avec impatience un autre volume que j’ai commandé,
je t’embrasse
Je te comprends tout à fait.
J’ai adoré ses livres.
Bises et douce soirée Tit’Anik.
un beau billet émouvant- un seul être nous manque —
je suis de ton avis— quand tout va bien ou quasi — on ne dit pas assez aux gens qu’on les aime-
on est habitué à les voir, leur parler–
après c’est trop tard –
ce sera ma bonne résolution !! mieux vaut tard que jamais-
bonne soirée- gros bisous !!
Mieux vaut tard que jamais… n’oublions pas de dire « je t’aime », même si ça peut paraître suffisant de le montrer.
Gros bisous et douce journée à toi Lady Marianne. Merci.
Des petits riens qui sont bien grands ! Les départs , souvent, nous apportent les regrets des non-dits , mais peut-être que ceux-ci étaient présents dans le regard.
Ton texte , bien émouvant, nous rappellent des souvenirs profonds d ‘ interrogations .
J’adore les personnages en pots de terre , un sourire dans la cour d’un hôpital .
J’espère que tu vas mieux.
Douce soirée, bises Quichottine
J’ai des hauts et des bas… je crois que l’immobilisation de ma main trouble mon sommeil.
Mais je sais que ça ira forcément de mieux en mieux.
Merci pour ce partage erato.
Tes mots me touchent beaucoup.
Douce soirée et bises à toi aussi.
un article très émouvant. Quelquefois des petits riens font remonter tant de souvenirs ! Moi je crois fermement au chemin d’à côté
bisous et bon dimanche
Merci… je dois dire que j’y crois de plus en plus.
Bisous et bonne soirée Lilwenna.
de tous petits riens peuvent nous rappeler de grandes choses mais les personnes parties pour le long voyage sont tjs dans notre coeur et de là où elles sont veillent sur nous
Merci pour ces mots rassurants, Flipperine.
Passe une douce soirée.
Bon dimanche. Bises Quichottine
Bon dimanche à toi aussi, Martine.
Merci.
Bonjour, Quichottine
Je te souhaite un bon dimanche
Bisoux doux
dom
J’espère que tu auras passé un bon dimanche toi aussi, Dom.
Bisous doux et belle soirée.
En tous cas il faut faire ce que cette personne te recommandait: publies.
Mes condoléances tardives.
Ton billet est très beau, j’adhère à ce que tu dis.
Bisous doux.
J’y réfléchis… et tout finira par se faire.
Bisous doux, Aude. Passe une belle soirée.
Texte émouvant et qui atteste que cette personne vit toujours dans ton cœur.
Aussi… Comme j’aimerais voir tes tableaux! S’il te plait, dis-nous en plus:-)
Je viens de republier leur liste… mais tu seras déçue, je ne peins pas vraiment, mais les tableaux me parlent parfois. 🙂
https://quichottine.fr/2014/03/les-tableaux-de-la-bibliotheque-2.html
Merci, Emmanuelle.
Je crois qu’on n’aime jamais assez ceux qui nous sont chers…Mais reste le souvenir toujours vivant.
Je t’embrasse très fort.
Enfin l’aventure se termine sans trop de dégats !
Merci, Marlou.
(Je suis contente que tout se soit bien achevé pour tes livres…)
Et il paraît que tu peins… petite cachottière, hein Quichottine… Bon dimanche pluvieux ici avant une autre tempête et ça commence à me rendre nerveuse…
Ma chère Marie !
Mais non, je ne peins pas… je laisse aux autres le soin de le faire. Mais j’aimerais beaucoup. 🙂
Courage pour la tempête.
Je comprends que tu sois nerveuse… alors, surtout, prends bien soin de toi.
très très jolis personnages !!!
bon dimanche !!
bisou
Merci Nickie.
Bisous et bon dimanche à toi aussi.
Oui, c’est vrai qu’on a l’impression que les absents ne sont pas partis bien loin et qu’ils veillent sur nous à un moment ou à un autre. On les a perdus de vue mais le lien est toujours présent.
Ces petits personnages en duo d’abord puis seul illustrent bien tes pensées. Un souvenir très émouvant d’une situation bien difficile à supporter.
Bises et bonne nuit Quichottine !
Ps: Je n’arrive pas à mettre de com.
Tu as réussi, finalement. 🙂
Il y a eu un problème chez mon hébergeur, mais c’est passé maintenant.
Bises et douce journée à toi.
Oui, c’est vrai qu’on a l’impression que les absents ne sont pas partis bien loin et qu’ils veillent sur nous à un moment ou à un autre. On les a perdus de vue mais le lien est toujours présent.
Ces petits personnages en duo d’abord puis seul illustrent bien tes pensées. Un souvenir très émouvant d’une situation bien difficile à supporter.
Bises et bonne nuit Quichottine !
J’avais aimé les retrouver à la sortie… Ils sont rassurants.
Merci d’avoir insisté, Alrisha.
Bises et douce semaine à toi.
Ils sont vraiment éternels ceux qu’on aime. Ces petits personnages de pots de terre me font penser à ceux du magicien d’Oz, l’espoir d’avoir ce qui nous manque et faire comme Dorothée : » Il lui suffit de claquer trois fois des talons et d’exprimer un souhait. » Bonne soirée.
C’est vrai qu’il y a des moments où je voudrais bien pouvoir faire un peu de magie… mais finalement, c’est bien de devoir se battre un peu pour transformer ses rêves en réalité.
Douce soirée à toi aussi. Merci !
je n’ai pas les clés de là haut … juste que les garder dans notre coeur, c’est toujours les garder vivant … le chagrin reste et le manque aussi – plein de bises et merci pour cet article
Merci à toi pour ta présence et tes mots.
Plein de bises, Durgalola. Passe une douce soirée.
Je me souviens de l’article où tu parlais de son livre et d’elle.
J’espère que tu te remets de ton accident et que ton mari te remplace efficacement au clavier (à priori il est bon en dictée)
Merci alphomega.
Je prends seulement de l’assurance et de la vitesse d’une seule main sur le clavier. 🙂
Passe une douce soirée.
tu as partagé beaucoup dans cet article Quichottine… il y a peu j’ai eu la peine d’apprendre le décès d’un ami perdu de vu… un ami qui m’avait beaucoup aidé en un temps et j’ai du me contenter de lui dire merci devant une bougie allumée chez moi en pensée pour son lui… le cancer lui aussi, 55 ans… je me suis dit que cette leçon de vie devant me rappeler à quel point il est important de dire au fur et à mesure, et surtout aussi de VIVRE le présent sans attendre; bisous
Dire au fur et à mesure… ne pas attendre l’absence, c’est vrai.
Vivre chaque instant.
Une bonne décision, Cathie.
Passe une douce soirée et un grand merci pour ce partage.
Ce « presque rien « t’a entraînée dans de douloureux souvenirs ; un rien est parfois important …
Un beau récit émouvant ; si seulement ,on prenait le temps de parler aux gens qu’on aime lorsqu’ils sont là ..
Je t’embrasse
J’en suis consciente… il a fallu que j’écrive tout de suite.
Merci pour tout Fanfan.
Je t’embrasse. Passe une douce soirée.
Juste des petits riens qui font un clin d’oeil
qui tissent un pont
qui créent un lien
pour rencontrer dans nos pensées
ceux que l’on a aimés et qui nous ont quittés…
Tes mots sont pleins d’émotion!
Merci pour ces mots partagés et pour tes pensées, Marie.
Cela me touche beaucoup.
Savoir dire, faire plus mais aussi être indulgent avec soi-même, on ne peut tout maîtriser. Bises VITA
C’est vrai… mais qu’il est difficile de se rendre compte qu’on est passé « à côté », sans vraiment voir ce qui était important.
Bises et douce soirée Vita.
Ceux que nous avons aimés, que nous aimons toujours au fond du coeur, sont bien « sur le chemin d’à côté ». Chère Quichottine, les deux fleurs de Carole ont pris en toi le visage de tes bonshommes qui eux-mêmes incarnaient quelqu’un qui venait de quitter la terre. Leur trace en nous est indélébile. Elle vient de resurgir sous ta plume et comme une traînée de poudre a suscité en chacun(e) de tes lecteurs(trices) le souvenir d’un être cher. La chaîne est mystérieuse et incorruptible. C’est aussi un peu ce qui fait de nous des « humains ».
Je t’embrasse fort, chère Quichottine (et j’espère que grâce à mon nouvel ordinateur, ce message te parviendra enfin!)
Lorraine
Merci, Lorraine.
Ton message fait chaud au cœur.
Je t’embrasse très fort. Prends bien soin de toi.
Un rien peut nous rappeler quelque chose ou quelqu’un et nous voilà émus sans qu’on ne s’y attende.
Où que tu sois, passe un bon weekend.
Merci, Philippe… C’était une belle semaine en famille.
Passe une douce soirée.
me fait penser que j’ai un pot dans ce style ….. là-bas…je ne sais trop où il se cache…..et
bonne soirée
Sourire… l’as-tu retrouvé ?
Bonne soirée à toi aussi. 🙂
C’est encore trop tôt pour que je commente en profondeur. L’essentiel est que tu sois en paix avec celle qui vient de partir. Ensuite, c’est une affaire personnelle pour croire ou non au chemin d’à côté.
Garde précieusement ses dernières paroles.
Christian
Merci.