Je l’ai vêtue d’une robe de soie blanche aujourd’hui, une robe de débutante… je l’ai rêvée dansant sur un parquet ciré, de ceux dont on faisait le sol des plus belles demeures autrefois.
Elle est légère comme sa robe, souple et souriante… Tous la regardent et admirent en silence sa facilité à se glisser de l’un à l’autre avec le petit mot gentil que tous attendent et qui les fait se croire uniques.
Soudain, elle rit, et les conversations s’arrêtent. Même la pluie, sur les carreaux de décembre, en oublie d’y jouer sa triste mélopée.
Elle rit et l’ange passe… celui qui n’attendait plus que son bon vouloir pour passer.
Elle rit, mais son rire ne ressemble à aucun autre.
Il dit plus que son bonheur de vivre, son bonheur d’exister, sa joie d’être…
Que lui a-t-il dit pour qu’elle rie ?
Telle est la question que chacun se pose.
Une question sans réponse et qui attise les jalousies.
L’ange est passé, les conversations reprennent.
Pourtant, tous surveillent du coin de l’œil, mine de rien, ce petit bout de jeune fille qui semblerait presque une fée.
Comment est-il possible d’être aussi belle ?
Une autre question sans réponse, une question que nulle n’osera jamais poser.
…
Et puis… parce qu’il faut bien vivre, je l’ai remise dans ma réalité.
… sans plus rien dire.
Et j’ai pleuré.
…
mais si je la vois et c’est un ange merveilleux, c’est bien tout ce qui compte,
affectueusement,
MIAOU !!!!
Merci…
Lorsque la réalité est trop dure, j’ai besoin de la transformer mais ça ne change que le temps d’un rêve.
Je t’embrasse fort, Mistigris. Merci.
Je reviendrai la regarder danser dans tes mots…
tendresse ma Quichott’.
Elle danse, elle chante, elle flirte aussi parfois, ce serait de son âge…
Elle le fait dans mes rêves, lorsque je la regarde et que je ne veux pas de sa réalité.
Que je voudrais que sa réalité soit différente !
Je n’avais pas répondu dans mon jardin obéien… peut-être était-ce trop dur.
Ici, c’est un peu tard, mais comment laisser ces mots sans réponse ?
Je pense à vous, très fort…
Pardon, je n’ai pas de mots…
Je garde juste les images…
Il y a des moments comme ça… et pourtant, même sans mots, ta présence est importante.
Merci.
et je ne veux pas que tu pleures, tu ne le mérites pas.
Je devrais accepter… je n’y arrive pas.
Merci pour ta présence et ton amitié, Pat.
Les larmes soulagent la douleur.
Tu as raison de rêver, d’imaginer,c’est nécessaire pour pouvoir ré-affronter la dure réalité.
Je t’embrasse très très fort ma Quich’
J’aime que tu sois là… tu comprends si bien tout ce que je ressens !
Merci ma Clo. Pour tout.
En ce jour si particulier,
Je pense à toi,
Je pense à vous…
Merci d’avoir pensé à son anniversaire…
Elle a désormais l’âge que j’avais quand elle est venue au monde.
… et ça me fait tout bizarre.
Je ne peux l’expliquer.
Avec toi bien sur
Ps. 20h30 ce soir sur Arte
C’était le Don Quichotte en ballet… Merci pour ces pensées, Félix.
C’était important pour moi.
Pardon de te répondre si tardivement.
Aucune image n’aurait pu la montrer ainsi… Il n’y en aura donc pas.
Pas d’image… tout est là.
Portée par la magie de tes mots,je me suis laissée emmener dans cette belle salle, à la suite de cette enfant fée…. et je suis retombée brutalement avec tes derniers mots, en même temps qu’une larme aussi….Quichottine, que te dire? Sinon que.. sinon rien; les mots sont tellement dérisoires, et impuissants face à ta peine….. Doux bisous d’ici
Je devrais m’habituer à ces moments de chagrin… je ne peux pas.
C’est comme si j’étais au bord d’une mare moi aussi et que chaque mauvaise nouvelle me plonge davantage la tête dans l’eau.
Pourtant, je devrais me satisfaire de la voir en vie, seulement en vie.
Même si cette vie n’est pas celle que j’aurais voulue pour elle.
Merci d’être là, Dame Croc.
Je t’embrasse fort.
Un rêve qui permet d’arrêter le temps un court instant , qui permet de retrouver la force et qui éclate comme une bulle pour laisser couler les larmes. Ces larmes qui sont nécessaires au trop plein du coeur .
Je suis très touchée, je pense fort à toi.Je t’embrasse Quichottine
Merci pour ta présence attentive et tes mots, Erato.
Les larmes sont souvent salvatrices.
Je t’embrasse.
Emotion … tes mots me touchent et me laissent dans le silence
Merci pour ta présence silencieuse, Kri.
Elle me touche aussi.
Juste te dire, que j’ai passé le relai, qu’elle est entre de bonnes mains, et que bientôt, d’autres la prendront en charge!!
Je t’embrasse
Merci…
Pour tout.
Je t’embrasse, Mahina. Pardon d’avoir mis tant de temps à te répondre.
Les pages d’Emmanuelle sont désormais ici.
Les derniers commentaires n’avaient pas eu de réponse, ils en ont désormais.
Merci à ceux qui sont passés.
Ce sera le dernier déménagement… il a fallu du temps, beaucoup, pour que je me décide à tout regrouper à la même adresse…
Merci à mes amis du jardin de m’avoir suivie ici.