J’ai commencé avec elle la plantation de la quichottineraie… et, c’est avec elle que je la finirai. Entre deux, il y en aura peut-être d’autres, ceux que les Quichottiniens retardataires apporteraient ici, en catimini, la nuit, pour ne pas que l’on remarque leur présence.
J’imagine déjà tous ceux qu’il manque…
– Celui de Koulou, trop pris en ce moment par la parution prochaine du second tome de sa BD.
(Je ne lui ai rien demandé… Je préfère qu’il termine auparavant ce qu’il doit faire. J’ai trop hâte de lire la suite de son histoire !)– Celui de Marlène… Je lui ai laissé tout le temps pour ne pas lui « mettre la pression ».
(Je lui en ai parlé, mais je sais qu’elle a beaucoup à faire en ce moment. Je ne crois pas qu’elle oubliera… et puis, personne n’est obligé de m’en dessiner un.)– Celui de Flo… Elle m’a dit qu’elle « essaierait » de m’en offrir un.
– Celui de Joëlle… quoique, celui-ci, je suis certaine de l’avoir déjà vu chez elle.
– Celui de Pierrot, qui sait, qui devait « fouiller dans ses archives » pour le trouver…
– Celui d’Augusta, qui peut-être aura un jour « le déclic » dont elle avait besoin.
– Celui d’Alrisha, qui « me concoctera peut-être un truc » lorsqu’elle aura plus de temps.
– Celui de Martine… Elle ne vit pas loin de chez moi, à Cergy. Je suis sûre que dans ses promenades, elle a croisé l’un ou l’autre de mes arbres.
– Celui de Solyzaan… qui, pour l’instant, n’a que des mains sans branches…
– Celui de Dany… elle ne sait plus dans quel carton elle a rangé sa boîte de crayons de couleur… mais je suis sûre qu’elle ne manquera pas à l’appel.
– Celui de Brigitte, l’Écureuil bleu… Elle m’a promis de chercher dans ses tiroirs.
…et les quichottiniers de tous ceux qui n’ont pas osé me montrer, de tous ceux qui reviendront peut-être, un peu plus tard, avec de nouvelles idées.
Comme Sogo…
Je vous disais qu’elle m’avait offert un premier quichottinier… Un quichottinier tout simple, un quichottinier sans retouche.
En le voyant, je me disais qu’il me ressemblait vraiment. C’était un merveilleux cadeau, d’autant qu’elle venait à peine de reprendre son blog et qu’elle était en train de l’organiser, de faire un énorme « ménage » digne des derniers dépoussiérages quichottinesques.
Mais, comme Sogo est très perfectionniste, qu’elle a voulu aller plus loin dans sa recherche du quichottinier idéal, elle m’en a dessiné un autre.
Vous imaginez ? Moi qui aime tant les gravures de Gustave Doré, me voilà croquée à sa manière… ou presque !
Mon Chevalier ne serait pas très content voyant que je me suis endormie sur son livre…
Pendant que Quichottine sommeille au pied de son quichottinier, l’arbre merveilleux soigne ses quicholivres, il veille à ce qu’aucun ne tombe et qu’ils soient tous pourtant à disposition quand ils sont mûrs, bien à l’abri de ses tiroirs.
Il serait vain de vous en parler trop longuement, puisque Sogo est une merveilleuse porte-parole de la Quichottinie.
Elle en a découvert tous les secrets, même les plus cachés, ceux que je croyais à l’abri au fond de mon tiroir.
Chez elle, tout est féérique et un lutin vert y a élu domicile depuis peu.
Ne croyez pas pourtant que ce n’est pas sérieux. Sogo a tant de cordes à son arc que vous reviendrez de chez elle avec des mots et des images que vous ne serez pas prêts d’oublier.
Merci, Sogo, pour ta présence.
Tu es passée souvent, tu m’as prêté bien des images, un coussin t’attendra toujours, dans ma bibliothèque.
…
il dort d’un oeil
se protège la tete quand même
belle journée à toi
Sourire…
C’est un quichottinier à forte personnalité !
Belle journée à toi aussi. Merci, Jeanne.
il ne doit pas être facile à soigner, celui là !! Un vrai sac de noeuds, comme le sont les éditions …je pense !!!
Je l’aime tout de même,car ses fruits sont intéressants !!
Bises et belle journé.
Celui-ci, c’est celui qui détient toutes les clefs, alors, il faut vraiment en prendre soin.
Merci d’avoir été là tout ce temps, Patriarch.
Bises et belle soirée à toi.
Il est solide cet arbre, les quicholivres pourront grandir bien protégés et à l’abri des imtempéries.
Je trouve aussi… J’aime énormément les deux quichottiniers de Sogo.
Comment pourrait-on oublier cette plantation de quichottiniers ?
On ne peut que la retrouver avec un plaisir toujours renouvelé
Merci d’être venue la visiter…
De rien !! Reposes toi un peu maintenant !!! Bises de nous deux et bonne soirée !
Je vais essayer. Merci, Patriarch.
c’est vrai que te vlà bien croquée!!! :o))
bisous en quichottrain d’entre cuissons… lol
Sourire… Toi aussi ?
Bisous à toi d’après dîner.
Bon, ben celui-là, je le connais déjà, puisque je suis venue l’arroser pendant ton absence ! Si, si, je t’assure… Et même que je l’ai vu grandir un peu !
Bisous du soir à toi, Quichottine
Sourire… Heureusement que j’en plante d’autres, sinon, tu vas t’ennuyer en Quichottinie.
Bisous et bonne soirée, Sogo.
Whaouh ! Comme il a grandi, ce quichottinier, depuis sa plantation… Dis-moi, Quichottine, tu as du en prendre drôlement bien soin, pour qu’il soit devenu si fort !!!
Merci mille fois à toi, Quichottine, tes mots me touchent énormément et ton doux billet est magnifique…
Je t’embrasse bien fort, en te souhaitant une merveilleuse journée !
Merci à toi, Sogo…
Je vais achever mes plantations, mais, ensuite, je vais en modifier quelques uns.
Histoire de les remettre en première page…
Que ta journée soit merveilleuse aussi, Sogo !
Tu as raison.. C’est comme ça qu’on t’imagine.. avec un nez crochu et rempli de noeuds.. Normal avec l’âge… J’aime bien ce qu’a dit Patriarch….
Bonne semaine de repos bien mérité, après toutes ces plantations…
Morte de rire !
J’ai adoré la façon toute personnelle dont tu as interprété le tableau..
Merci infiniment.
Bonne fin de semaine à toi.
Superbe mais il me semble plusss que gourmand voire très vorace de mots..;-)
Non, il les met àl’abi en attendant qu’ils soient mûrs.
C’est un quichottinier de la famille des marsupiaux…
longue vie à cette nouvelle espèce d’arbre……………..
Merci, Croc.
Honte à moi j’ avais oublié ce quichottinier de Sogo
Bisous ma Quich’ et bonne journée
Non, pas « honte à toi »… Le problème, c’est qu’ils sont tous sortis en même temps au moment de mon départ fin janvier, et que je n’avais pas envoyé de newsletter pour prévenir.
Bisous, ma Clo. Passe un bon dimanche.