J’avais construit un château de sable, la mer et le vent ont fait leur ouvrage.
Il n’y a plus de château.
(Image de Solange, clic pour la voir dans le billet original)
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… de la Bibliothèque au Jardin, les moments partagés
J’avais construit un château de sable, la mer et le vent ont fait leur ouvrage.
Il n’y a plus de château.
(Image de Solange, clic pour la voir dans le billet original)
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tous les châteaux de sable finissent comme le tien, reste en nous tout ce qu’on a mis de passion, de patience et de joie… ne sois pas triste.
je t’embrasse tendrement.
Merci pour ton passage, Polly…
Je fais ce que je peux pour ne pas l’être.
Je t’embrasse tendrement.
Le château s’est envolé ? Regarde bien… Je suis certaine que ses fondations sont solides.
Je suis allée voir le blog de Sandrine. Il est très touchant, si plein de souvenirs.
Merci… Je crois que tu as raison sur une chose, les fondations sont solides.
Merci d’être là
Mais un chateau de sable on peut le reconstruire, et ça la mer et le vent n’y peuvent rien
pensées du jour ^^
Tu as raison, Loralie…
On peut toujours recommencer !
Merci pour ces pensées…
Bonjour,grosses bises VITA
Bonjour, Vita…
Merci d’être là aussi
Loin des blogs, je pensais sans cesse à toi, Amielle. Le vent, les flots, le sable, ce n’est pas toi qui les gouverne ! Tu as construit avec Amour, rien ne peut l’ôter. Aime-toi et souris, mon Amielle ! Gros bisous, tout plein.
(J’amorce un timide retour, difficile…)
J’ai construit en coyant que ce que je construisais était le plus important. Je ne sais…
Je construirais d’autres châteaux.
« Si tu peux voir détruit… »
Si je peux.
No sé lo que puedo.
Je t’embrasse fort. Prends soin de toi, mon Amielle, prends garde à tes yeux, ils sont importants.
j’etais déjà passée ce matin, sourire…Tu sais bien… il y a quelques blogs comme ça , qui font parti de mon « rituel »… et oui…la mer et le vent font souvent leur oeuvre, même quand les chateaux semblent solides…mais le sable reste du sable, comme nos émotions restent les émotions qui vont et viennent au gré des marées…
Bisous Quichottine, merci d’être là
Je suis heureuse de voir que tu es là… cela me touche beaucoup.
Les émotions restent. C’est vrai.
Merci à toi
Il y a tant et tant de choses si difficiles a comprendre .
Tu le sais bien .
Un sourire et des bises d amitie .
Oui, je sais… il y en a trop parfois…
Merci pour ce sourire et ces bises, je suis contente que tu sois là !
Merci Vagabond !
C’est triste de voir les châteaux de sable s’en aller … mais tant que ce n’est pas toi qui les démolit… je crois que ce serait pire…
Non, tu vois, Petite Elfe, je crois que j’ai tout faux !
Il ne faut pas que je me mette en tête que mon rêve est détruit, c’est idiot.
Après tout, je suis comme je suis…
Et je reviens !
Merci… Tu es formidable !
la mer détruit les chareaux dans l’unique but de donner aux enfants la possibilité de les refaire…jamais vraiment à l’identique… Nos chateaux de sable à nous se défont et se refont au rythme de nos émotions, à nous d’y mettre d’autres couleurs….
Bisous Quichottine
Je sais que tu as raison, il faut seulement retrouver l’envie de les construire.
Mais je sais que cette envie est là.
Ah bon? je suis formidable! Merci alors… On ne me l’a pas souvent dit… peut-être même jamais…Bonne nuit Quichottine.
Oui, tu l’es.
J’en suis certaine.
Passe un bon Noël…
Jadambre dit que ton blog est un labyrinthe, elle a raison, il faut s’y perdre pour se retrouver ou retrouver quelque chose qui nous parle comme ce château de sable sur lequel certains contruisent leur vie, entraînant dans leur chute tous ceux qui les ont aimés et admirés!
Ce n’est pas de toi que je parle rassure toi mais de quelqu’un d’autre! Décidément ce matin, tous les textes que je lis me font pleurer! Il faudrait sans doute que j’écrive là-dessus aussi mais c’est trop difficile et puis, à quoi bon!
bises
Je ne sais… pour le labyrinthe.
Je crois que tous ceux qui ont franchi un jour la porte du jardin ont ressenti cette impression.
Ne pleure pas, Azalaïs. Un château de sable, c’est fait pour être beau, seulement jusqu’à la marée suivante.
Un jour, le jardin revivra… comme tu reviens toujours après tes absences. Il y a ici, comme chez toi, quelque chose qui attend d’être dit.