L’Inattendue à Orsay

Avertissement :

Bien que mes deux précédents articles n’aient pas été traités de la même manière pour tous mes abonnés, je peux espérer que le bug qui avait frappé mes avis de parution via WordPress a été réparé et que celui-ci vous parviendra. 🙂

Pour ceux qui arriveraient un peu tard sur ce récit, les premiers épisodes sont à lire ici :

Quand vient le soir… avec Carl Holsøe, et vous.

Fulminer

La dame du tableau rêvait…

… dans l’ordre, bien sûr, pour mieux suivre l’aventure de la dame et du tableau.

– Ne crois-tu pas qu’il est temps de continuer ?

– De continuer quoi ?

– Tu m’énerves quand tu fais semblant de ne pas comprendre ! Tu sais bien…

(Quichottine éclata de rire. Il est vrai qu’elle adorait taquiner le Lutin bleu, surtout qu’il ne manquait jamais une occasion de le faire aussi.)

– Nous en étions donc au moment où Dalva décide d’emporter le tableau au Musée d’Orsay, un musée où j’adore me promener, car il y a toujours des œuvres à découvrir, de nouveaux éclairages, bref, de magnifiques moments à savourer en compagnie de mes peintres préférés.

– C’est ça ! Ouf, je n’ai pas besoin de te relire ta page !

– Certains devront le faire, mais pas tous. Heureusement. 🙂

Venons-en au fait…

Les plus hardis avaient suivi Dalva, pas tout à fait sûrs que la destination qu’elle avait choisie pour ce tableau serait la bonne.

Dès leur arrivée, et malgré leur envie de ne pas quitter le tableau des yeux, ils furent retenus à l’entrée du Musée tandis que la jeune femme et son précieux chargement étaient reçus dans le bureau du Conservateur.

– Quelle honte !

– Mais ?…?

Médusés, tous les deux, ils ne pouvaient en croire leurs yeux. Le tableau avait été irrémédiablement endommagé.

Comment, par qui ? Dalva savait bien qu’elle avait pris grand soin de ne rien abîmer et qu’elle l’avait enveloppé pour ne pas le soumettre aux intempéries ou risquer l’accident que personne ne lui pardonnerait.

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La commode, les chandeliers, que Yann avait voulu vendre à la brocante n’avaient pas bougés, mais où était la dame qui rêvait ?

Avait-elle été pétrifiée, ou avait-elle seulement perdu les couleurs qui lui donnaient vie sous le soleil ?

– Vous avez de la chance, je suis pressé et n’ai nulle envie de passer des heures au commissariat ! Filez et que je ne vous revoie plus !

Dalva fut reconduite immédiatement à la sortie. Ses amis l’attendaient impatiemment et ne comprirent pas pourquoi elle était en larmes et toujours en possession du tableau.

– Regardez !

C’était terrible… entre le bureau et l’entrée, il n’y avait que peu de pas, à peine un étage… et, sur la toile, désormais presque vierge, restait une signature inutilisable…

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– Mais qu’as-tu fait ?

– Rien du tout, je vous l’assure ! Tout à l’heure, il ne manquait que la Dame, et encore… on la devinait dans de simples traits de crayon…

Ils la regardèrent tous, certains avec compassion, d’autres un peu dubitatifs… N’était-ce pas le moyen pour l’un ou pour l’autre de s’approprier un tableau que beaucoup aimeraient posséder ?

Ils se rendirent chez Quichottine, en se demandant comment ils pourraient lui expliquer… ce que nul ne comprenait.

Dalva pleurait à chaudes larmes, les autres la suivaient et le cortège, auparavant  si gai, avait pris les couleurs du temps : nuages et pluie d’orage pour un enterrement.

Elle déposa la toile blanche devant l’âtre.

Quichottine dormait. N’était-ce pas le moment de brûler le tout avant que le Lutin bleu ne s’éveille et crie au sacrilège ?

– Ne fais pas ça ! Il y a certainement une solution !

L’Inspecteur Brod

Ah, c’est vrai, vous l’avez peut-être oublié ! Margimond… l’inspecteur Brod, Denis pour les intimes, revient souvent dans la Bibliothèque depuis qu’il a rencontré, au cours d’un Mariage, une certaine Blanche, fleuriste de son état, mais qui adore lire à ses moments perdus, ce qui justifie son surnom d’ABC. C’était un véritable coup de foudre. Ils espèrent tous deux pouvoir ajouter un jour une nouvelle page à cet amour débutant.

L’inspecteur Brod, donc, avait noté depuis longtemps, sur son petit carnet, le nom de tous les présents. Il ne manquerait donc pas de les interroger à tour de rôle afin – au moins – d’éliminer tous ceux qui auraient un alibi en allégeant ainsi la liste des suspects.

Il se pencha sur la Bibliothécaire endormie. Pour elle, pas de problème, il était désormais certain qu’elle n’avait rien à voir avec cet enlèvement…

– Un enlèvement ?

– Pour sûr ! Vous voyez bien qu’il manque au tableau ses couleurs et son personnage, son décor !

– Ne s’agirait-il pas plutôt d’une substitution ? D’une contrefaçon ?

Le Lutin bleu avait surgi d’entre deux pages du livre qu’il était en train de consulter : un vieux Dalloz tout racorni.

Je me demande bien ce qu’il y cherchait et pourquoi.

Pas vous ?

Dalva, Margimond, ABC, et la plupart de mes visiteurs habituels sont les acteurs involontaires de cette histoire à dormir debout.

J’espère de tout cœur qu’ils ne m’en voudront pas pour le rôle que je leur ai attribué.

La suite… bientôt. 🙂

 

72 commentaires à propos de “L’Inattendue à Orsay”

  1. Je n’avais pas reçu la news d’avant, j’étais venue voir ici hier si par hasard et en effet il y avait un billet… bon je lis la suite bien reçue à présent… on ne peut pas t’en vouloir, sourire… au contraire, c’est sympa cette histoire, à dormir debout… mais non voyons !! Merci Quichottine… à suivre ! Bises

    • Merci, jill.
      Je suis contente de voir que tout à bien fonctionné aujourd’hui.
      A suivre… sans doute lundi, sauf si j’ai un peu de temps dimanche. 🙂
      Bises et doux week-end.

  2. Salut
    Je me demande ce que ferait le lutin bleu s’il voyait le ciel aujourd’hui?
    Je suis persuadé qu’il ferait comme moi, rester au chaud.
    Bon week-end

    • Sûrement… bien qu’il y ait de bien jolis paysages en forêt. 🙂
      Bon week-end à toi aussi, Tiot.

  3. chez les religieux quand il y a vol de reliques comme c’est le cas pour Sainte Foy à Conques, on ne dit pas vol, ni substitution mais translation, peut-être faudrait-il mettre Umberto Ecco sur le coup
    bises et bonne soirée

    • Bonne idée… mais je ne suis pas certaine qu’il ferait mieux que Brod. 🙂
      Bises et douce soirée à toi aussi, Azalaïs.

  4. Hourra! j’ai reçu ta news aujourd’hui. Cette histoire est vraiment à dormir debout mais nous ne le faisons pas car le suspens demeure. Qu’est-il vraiment arrivé à ce tableau? Mystère et boule de gomme, comme on disait autre fois, et moi qui ne manque rien de rien, je vais mener l’enquête. Gros bisous, ma Quichottine, passe un excellent week-end

    • Merci de me l’avoir confirmé. 🙂
      J’espère que comme Brod, tu as trouvé la solution. 🙂
      Gros bisous et douce soirée Nell.

  5. Ahhh, qui a bien pu commettre ce gommage ? Un faussaire qui souhaite faire des copies avec d’autres couleurs ou alors c’est le tableau lui-même qui ne souhaite pas être au musée et s’efface pour ne plus apparaître ??? Le mystère reste entier… J’attends la suite 🙂
    Douce soirée et GROS BISOUS ma Quichottine

    • On pourrait penser en effet qu’il ne veut pas aller à Orsay… 🙂
      Merci, Marité.
      Douce soirée et gros bisous à toi aussi.

  6. un voleur de couleur dans la blogosphère…je reste m(éd)usée par cette histoire Quichottine…en ce moment je passe quand je suis là et les vacances sont déjà en vues dans même pas une semaine !
    je t’embrasse

    • Tu passes quand tu peux et ça me fait plaisir.
      Merci, Josette.
      Je t’embrasse. J’espère que tout se passe bien pour toi.

  7. oui j’ai reçu les deux dernières newsletters (je n’aime pas ce mot les quebecois francophones en ont-ils un autre ?) Mais j’avoue que cette semaine je rame et manque de temps sur les blogs. J’ai lu en diagonale (c’est pas bien) et donc je reviendrai.
    Ton imagination déborde du cadre pour la joie de tes lecteurs
    bises

    • « avis de parution » me plaît. 🙂
      T’en fais pas, je sais que chacun fait comme il peut, et c’est bien ainsi.
      Bises et douce soirée.

  8. J’ai bien reçu celle-là moi aussi et je n’avais en effet pas eu les autres mais j’ai oublié de te le dire…
    Le tableau ne veut pas entrer au musée, il va s’y ennuyer…en tous les cas je sens que nous non, car le suspens va crescendo ! Je ne doute pas mais c’est Lutin bleu qui en fait me l’a dit , que devant cette « page » blanche, Quichottine va nous écrire une nouvelle histoire ! Bisous et une douce soirée

    • Qui sait ?
      Peut-être un jour, une suite inattendue. 🙂
      Merci, Manou.
      Bisous et douce soirée.

  9. Alors voyons… Droit à l’image ? Droit de la propriété intellectuelle ? Droit de visite, droit de regard, droit de libre-circulation… Droit de vivre, enfin ! Personne ne s’est dit que cette jeune femme avait besoin d’un peu d’intimité, quand tous et chacun l’observaient à la loupe, épiant ses moindre faits et gestes, allant même jusqu’à imaginer ce qu’elle pensait ? Tu as raison, Lutin Bleu, je vais t’aider à chercher… Quoi ? Nous le saurons quand nous l’aurons trouvé, pardi !

    • Je ris en te lisant… c’est vrai que nous cherchons souvent la petite bête. 🙂
      Passe une douce soirée, Galet. Je t’embrasse fort.

  10. Mais oui:pourquoi consulte-t-il le Dalloz ? J’ai hâte de le savoir.il s’en passe des choses dans la bibliothèque !
    J’ai reçu l’alerte .Tout est rentré dans l’ordre.Bisous

    • Il faut le consulter quand on n’est pas certain d’être dans la légalité…
      Personnellement, je me demande encore pourquoi il l’a sorti.
      Peut-être avait-il peur d’être enfermé pour destruction d’œuvre picturale ?
      Merci pour tout, ma Fanfan. Je suis contente que tout soit rentré dans l’ordre. Bisous.

  11. Le tableau s’efface-t’il par manque de regard du public ? Pourtant, nous sommes tous ici à l’admirer. N’est-ce pas suffisant ? Moi, je crois que oui. Tous les regards supplémentaires du musée l’auraient dérangé. La jeune personne préfère une contemplation discrète comme le message reçu. La rêverie suppose le calme…
    J’attends la suite avec impatience. Bisous Quichottine et douce nuit.

    • Cela se pourrait… Ou peut-être par trop de regards indiscrets. 🙂
      Merci pour tes mots, Mimi.
      Bisous et douce soirée.

    • Nous allons avoir besoin d’aide… Je vais téléphoner à Colombo. 🙂

  12. Ah la!la! Quel sacrilège! S’attaquer ainsi à un pauvre tableau qui ne demandait qu’un peu d’attention . Moi, je me demande si ce ne serait pas encore un coup du voleur de couleurs! Vous ne voyez pas de qui je veux parler? Allons, réfléchissez! Il n’est pas loin pourtant. C’est ce mauvais génie qui vit dans la bouteille de térébenthine! C’est un jaloux, un propre à rien. Cette belle rêveuse à la fenêtre lui a mordu le cœur car, lui, personne ne pense à sa figure couleur d’orage.

    Je viens de remonter les fils de ton histoire. Super! Je viendrai découvrir la suite lundi. Sur ce, je vais me recoucher.
    Bisous ma chère Quichottine. Bonne fin de nuit
    😉

    • Allons bon ! Si le voleur de couleurs s’en mêle, il faudra mander le Lutin vert. Je suis certaine qu’il pourra redonner ses couleurs au tableau.
      Merci pour tout Martine.
      Bisous doux et belle soirée à toi.

  13. Quichottine , je reviendrai car j’ai du mal à m’y mettre , bien que ça donne envie , mais ma ma Maman va mourir ! De ce fait je préfère être tranquille plus tard ; De ce fait je téléphone tous les jours à mon jeune frère ; Maman est en hopital à domicile .

    BISOUS QUI CHOTTINE

    ET JE SUIS EN COLERE PESONNE NE ME PRENDRAIT .

    any

    • Oh, je suis désolée, Any.
      Je ne sais que te dire mais je partage tes craintes et ton chagrin.
      Demain n’est pas souvent tel que nous le voudrions.

  14. Là, c’est un sacrilège !
    Qui a osé ???
    Mais faisons confiance à l’inspecteur, il va bien trouver le voleur de couleurs …
    Bon week end, plus doux ?
    Bisoux, toujours doux, eux, ma quichottine.

    • Il va trouver la solution, je n’en doute pas non plus.
      Bisous doux, ma chère Dom. Prends bien soin de toi.

  15. moi j’attends la suite avec impatience, mais où sont passées ces merveilleuses couleurs, je suis certaine que l’inspecteur Brod va percer le mystère et que fait le lutin bleu avec un Dalloz en mains!!!
    très belle journée, bises
    danièle

    • Il cherche aussi… Peut-être veut-il en savoir plus sur les peines encourues. 🙂
      Bises et douce soirée Danièle.

  16. Olala….Mais qui a pu faire une telle chose , une personne qui ne voulait pas savoir à quoi revait
     » Notre Dame  »
    Mais bon l’inspecteur Brod est là …Sourires
    Pour moi aucun soucis de news..
    Gros bisous Quichottine

    • Merci pour tout, Claudine.
      Je suis contente de voir que ça te plaît.
      Gros bisous et douce soirée.

  17. Pauvre Dava…En voyant le tableau le conservateur avait compris et ne voulait pas que cette croute contamine toutes les œuvres du musée……Dans le passé quelqu’un avait voulu nettoyer le tableau et le pro césure c’est mis en route lors du déplacement du tableau… Dava ne pouvait pas deviner.. Car un sort avait été jeter sur ce tableau…
     » Avec le temps
    Avec le temps tout s’enva
    On oublie le visag’ et l’on oublie la voix
    Le coeur quand ça bat plus c’est pas la pein’ d’aller
    Chercher plus loin faut laisser fair’ et c’est très bien
    Avec le temps…
    Avec le temps va tout s’en va.
    j’attend de voir Inspecteur Brod à œuvre…
    Passe un bon weekend ma Quichottine gros bisous.

    • Merci pour ce refrain que j’adore et pour ta suggestion.
      C’est vrai qu’il ne fallait pas que le tableau contamine ceux du musée.
      Gros bisous et douce soirée Mireille. 🙂

    • Un mois étrange… j’espère que nous aurons plus de beau temps en Novembre.
      Passe une douce soirée Tiot.

  18. Une histoire digne des plus belles enquêtes du commissaire Maigret comme le suggère Gérard!
    J’ai tout relu à l’endroit et puis à l’envers,
    me suis perdue,
    enfin ton lutin bleu m’a montré le bon chemin!

    Bon après-midi!

    • Je ris… ne te perds pas trop, Marie.
      Passe une douce soirée. Je t’embrasse fort.

  19. Bonsoir Quichottine. Heureusement que ces filtres intempestifs ne peuvent pas être posés sur les tableaux. Merci à toi et au lutin bleu. Bisous

    • C’est vrai… Je détesterais perdre mes tableaux préférés. 🙂
      Bisous et douce soirée.

  20. et s’ils étaient partis vivre leur vie , la jeune femme, le fauteuil, le ciel et la pièce. Se réveiller d’une situation triste pour partir courir dans les prés et monter une maison face au soleil. Bises et très bon dimanche Quichottine.

    • Ils étaient partis, comme tu me le suggérais. 🙂
      Merci, Durgalola.
      Bises et très belle soirée à toi.

  21. Comment t’en vouloir, tant que tu ne nous fais pas jouer les escrocs tout va bien :-))
    Pas de souci Quichottine, et je pense que tu sais d’où vient mon pseudo d’ABC, malgré ton interprétation qui aurait pu être la bonne. (Née AB, mariée AC, je suis un tout ABC)
    J’attends la suite, bien entendu.

    • Merci ABC. 🙂
      Ouf, j’avoue que parfois je vais un peu loin…
      Bises et douce soirée.

  22. En effet, j’ai l’impression que tes avis de parution ne me sont pas tous parvenus. Il est vrai que je me suis moi-même beaucoup « absentée » d’internet des derniers mois. Mais c’est bien de se dire qu’il reste de la lecture à faire dans ta bibliothèque !

    • Merci, Carole.
      Je m’absente aussi trop souvent à mon goût, mais il y a des moments où je ne peux faire autrement.
      Passe une douce soirée.

  23. L’informatique, c’est super quand ça marche. Et quand il y a une panne, on est totalement démuni. Enfin, en ce qui me concerne….
    Bon dimanche.

    • En ce qui me concerne aussi… hélas !
      Passe une douce soirée. Merci pour ta présence et tes mots.

    • J’en suis ravie.
      Merci, Laure. Bisous et douce soirée.

  24. Et bien la dame, elle a profité de la sortie du tableau pour aller se promener …et c’est ainsi que son ancien univers s’est effacé. Elémentaire , mon cher Watson!!!! lol VITA

    • Contente de voir que tu vas mieux.
      Bonne semaine à venir, Tiot.

  25. Ho ho! une histoire proche du « Portrait de Dorian Gray », un tour de passe-passe comme dans le « Chardonneret  » de Donna Tartt. J’aime le suspens. Bonne journée

    • Merci, Pierre.
      Je suis contente que ça te plaise.
      Passe une douce soirée. 🙂

    • Merci, Joëlle.
      Je suis toujours contente de te voir ouvrir ma fenêtre. 🙂
      T’embrasse aussi.

  26. Non, bien au contraire. Il fallait bien que je sois là pour essayer de démêler cette histoire. Bon, fais gaffe quand même, j’ai toujours tendance à me prendre les pieds dans le tapis ! Y en a t-il ? Depuis que Blanche m’accompagne, je suis devenu plus sage… Je ne me balade même plus avec mon arme de service… Et puis risquer un trou dans ce tableau, ça serait dommage, d’autant plus que je risque de blesser la dame qui rêve… Et j’aime trop les gens qui rêvent encore.
    Vite, la suite…
    Bises de belle journée
    Amitiés

    • Un sourire pour toi, Denis.
      J’ai adoré ton personnage, il n’a pas fini de me charmer. 😉

  27. je me demande …est ce que par hasard sous le prétexte de nous raconter des histoires, tu ne multiplies pas les petites siestes ….d’ou sortent tes jolis contes ? :-)….moi tu me connais je ne vais pas aller cafter motus et bouche cousue mais enfin je m’interroge ….

    j’adore tes histoires ….continue promis je reviens ….demain ou plus tard qu’importe , toi tu restes là ?

    Je t’embrasse

    • Ne dis rien… en ce moment, j’ai du mal à trouver le sommeil. 🙁
      Je reste, je reviens, et lorsque je ne suis pas là, je pense à vous.
      Je t’embrasse fort. Passe une douce soirée.

  28. Bonsoir Quichottine, ce tableau est-il pour toujours perdu sans ses peintures car elles sont parties, disparue ? Mais que faire alors ? L’atmosphère de cette histoire angoissante me fait froncer les sourcils. J’attends la suite, je voudrais que ce tableau ne soit pas perdu. Mais avant tout il faut trouver le coupable. Bonne fin de week end.

    • J’espère avoir réussi à te dérider…
      Merci Élisabeth.
      Passe une douce soirée.

  29. J’aurais pleuré à chaude larmes en voyant la disparition du tableau et je me serais vraiment inquiétée que l’on m’en rende responsable. Mais quand même, je le trouve sympa ce tableau où la rêveuse a été emballée, comme le pont Neuf il y a un temps. Surtout que l’on ait que c’est du provisoire, la femme est toujours là, elle ne demandé qu’à être déballée.

    • Je souris… merci pour cela aussi, Dalva. 🙂

  30. Tiens un s a disparu dans mon message précédent, il a été recouvert de blanc. La malédiction du musée d’Orsay continue.
    Et un accent s’est subrepticement inséré.

    • Ce n’est pas la malédiction du tableau, mais des lutins malicieux qui s’amusent dans mes commentaires. 🙂
      Merci d’avoir corrigé.