Carlos Fuentes, La Desdichada (1)

Il figure dans la bibliothèque idéale espagnole pour « La región más transparente »… « La plus limpide région », en France, chez Gallimard.

C’était son premier roman, paru en 1958 et traduit en Français en 1964. Je ne l’ai pas lu… et je crois bien n’avoir jamais lu aucun roman de lui, ce qui est une immense lacune pour une hispaniste.

Réflexion faite, c’est normal. C’était un écrivain « trop récent », lorsque j’ai commencé mes études, et peut-être passé de mode lorsque je les ai terminées. Entre deux, de nombreuses années « sans » littérature hispano-américaine, et donc « sans informations » sur ce qui se passait au-delà des Pyrénées  et de l’autre côté de l’Atlantique d’un point de vue strictement littéraire.

(Ceci, c’est pour tous ceux qui pensent que j’ai « tout lu ». Je suis navrée de vous décevoir, mais je constate chaque jour que j’ai de grands manques un peu partout, surtout là où je devrais « tout » savoir.)

Donc, pour compenser, je pioche dans les rayons des bibliothèques et sur les étagères des librairies quand je le peux.

Pour Carlos Fuentes, ce fut très facile. Alors que je me promenais dans les allées d’une grande surface culturelle dont je tairai le nom et que tout le monde reconnaîtra sans doute si je dis qu’il s’agit d’un sigle de quatre lettres commençant par un « F », je me mis à fureter du côté des écrivains mexicains.

110714_Carlos_Fuentes.jpg

(Promis, c’était bien avant que l’on envisageât une année mexicaine et qu’elle tombât rapidement en disgrâce pour les raisons que tout le monde connaît.)

Je parcourais les noms de ces écrivains d’un domaine étranger que je connais mal, et le plus souvent pour des extraits étudiés soit en classe, soit à l’université. J’avais deux euros en poche… Deux euros, c’est peu, me direz-vous, mais c’est suffisant pour acheter un « Folio ».

Un auteur, « Carlos Fuentes », un titre « La desdichada ».

Il faudrait que je vous raconte un jour tout ce qui me passe par la tête quand je feuillette des livres ainsi.

Vous en seriez horrifiés.

Bien sûr, je savais qui était Carlos Fuentes. Je l’avais trouvé dans le dictionnaire alors que je parcourais mon Petit Larousse illustré pour y relever les noms des écrivains de langue espagnole et portugaise présents du côté des noms propres. On ne passe pas à côté d’un Prix Cervantès sans y prendre garde : il s’agit de la plus haute récompense attribuée à un auteur pour son œuvre dans le monde de la littérature hispanique.

Je savais… mais cela ne m’empêchait pas de passer du coq à l’âne, de « Fuentes » à « Fontaines » et de me demander si ces fontaines plurielles auraient quelque similitude avec notre singulier La Fontaine.

– C’est nul, ça ! Tu n’as pas honte ?

Pas vraiment… et pas si nul, au fond.

Je mélange dans mon esprit le « La Fontaine » des enfants, peuplé de gentils ou de méchants animaux acteurs d’aventures plus ou moins rocambolesques mises en scène dans le but explicite d’illustrer une « morale » prise le plus souvent aux fabulistes qui l’ont précédé, et un autre, beaucoup plus discret, où le « conteur » se fait plus libertin que moraliste.

J’avais donc saisi La desdichada sur l’étagère où elle se trouvait et je contemplais la couverture.

C’est un tout petit livre, une nouvelle issue d’un recueil au nom évocateur : « Constancia et autres histoires pour vierges », paru en 1992. La traductrice, Céline Zins, que j’ai en haute estime, acheva de me décider et je quittais le magasin avec un livre de plus à lire.

« Qui est La Desdichada ? Une femme au regard triste ou un mannequin dans une vitrine. Est-elle de chair ou de bois ? Tonio et Bernardo, les deux étudiants qui l’ont ramenée chez eux, voient leur vie bouleversée par cette poupée qui les fascine et les ensorcelle… »

Une histoire d’amour étrange et onirique où raison et folie se côtoient pour nous entraîner dans l’univers du grand écrivain mexicain.

(4e de couverture)

Je ne sais pas si vous auriez dépensé vos deux derniers euros pour un livre, surtout pour un auteur dont vous ne saviez que très peu de choses, mais, voilà, il suffit que l’on me parle de rêve et de folie, pour que j’aie d’autres images en tête.

Dulcinée n’était pas loin, et je me demandais si Tonio et Bernardo ressembleraient à Don Quichotte et Sancho.

– N’importe quoi ! Tu digresses encore… vas-tu ou non parler de ce livre ?

Oui, bien sûr… demain.

… Si vous le voulez bien !

81 commentaires à propos de “Carlos Fuentes, La Desdichada (1)”

  1. Sourire

    J’aime que tu reviennes sur la littérature hispanique. Carlos Fuentes est un « grand »; ce n’est pas rien que de recevoir le Prix Cervantes !

    Muchos besos, Amielle. Douce nuit.

    • Un très grand, même…

      Il va falloir que je le lise mieux et surtout davantage… Je n’avais lu de lui que son essai : Cervantès ou la critique de la lecture.

      … Je suis contente d’avoir pu te faire plaisir ainsi.

      Gracias por esos besos. Un abrazo muy fuerte para ti. Douce nuit.

  2. Une plongée dans l’inconnu pour moi ! Attendons donc demain… Une infusion de soleil en attendant, et quelques toasts bleus pour passer le temps ? A bientôt !

    • Merci pour cette infusion de soleil et ces toasts bleus…

      Après un retour pluvieux, ça fait du bien.

      Que ta journée soit belle, Galet. Je t’embrasse.

  3. Coucou Quichottine,

    J’aime ta façon originale de présenter un auteur, c’est pas nouveau. . Mais d’en faire un feuilleton, c’est à dire, la suite à demain… ça, c’est roublard. . Me voilà piquée de curiosité. hi!hi! alors à demain chère Quichottine.

    Bisous de bon lundi

    Martine

    • Et tu ne sais pas encore tout…

      Bon, le second épisode paraîtra tout bientôt… J’espère qu’il te  plaira.

      Bisous et douce soirée à toi. J’espère que tu as passé une belle journée.

  4. Je ne connais pas cet auteur. D’ailleurs je ne connais rien à la littérature hispanique. Je suis plutôt un lecteur populaire, je dirais. Les classiques français, je les connais peu aussi. Même pas honte!

    Encore bravo et merci pour ton histoire. Il t’en faut de l’imagination pour pouvoir « pondre » tout ça! Je crois que certains ont trouvé la solution, non? Ils ont bien joué tes amis.

    Passe une bonne journée. Ici il fait tout gris.

    • Je crois qu’il ne faut jamais avoir honte de ses lectures… Si tout le monde lisait la même chose, ce ne serait pas drôle, nous ne pourrions plus échanger !

      Oui, ils ont trouvé, et sans copier… Mais je sais que d’autres images auraient pu tout aussi bien convenir.

      Je t’aurais bien volé ton portrait un… il est superbe et méritait une histoire à lui seul… Mais, à moins que tu connaisses cette petite fille, je ne le prendrai pas.

      Tout gris ici… Nous avons un été très bizarre, je crois.

      J’espère que tu auras passé une bonne journée toi aussi.

      Douce soirée, Philibert. Merci !

  5. Je ne connaissais que son nom. Je ne l’ai jamais lu. L’histoire de la Desdichada me plait bien elle me rappelle un peu un roman de Marc Levy et si c’était vrai. Bisous

    • J’ai adoré ce roman… et aussi sa version au cinéma.

      C’était le premier roman de Marc Lévy que je lisais. J’avoue avoir toujours un peu de réticence envers les auteurs de bestsellers. Mais je sais que j’ai tort. Certains sont vraiment géniaux.

      Merci pour ce partage. Bisous et douce soirée, Martine.

  6. Ah passer du coq à l’âne !… voilà comment trouver des trésors !… Belle journée. Bisous

    • Pour tout à l’heure…

      Tu pourras dire à Eliane qu’il y aura une autre histoire jeudi… Je crois qu’elle les aime bien.

      Belle journée à venir à tous les deux.

  7. Un livre si l’on aime le suspens , comme presque tous les écrits de cet auteur. Je l’ai lu par hasard , une dame avec qui j’avais conversé dans le train , m’a donné ce livre qu’elle venait de lire ! Belle journée, bisous Quichottine

    • C’est quelque chose que je devrais faire aussi… Je vais y réfléchir.

      Douce soirée à toi, Andrée. Merci.

      (Et toi… puisque tu l’as lu, tu me diras ce que tu auras pensé de ma façon de le présenter ?… à moins que je ne t’oblige à le relire… )

  8. Bonjour Quichottine, je ne les connais pas tous dans ma langue alors dans une langue étrangère… no comment !  Ok à demain pour la suite chère dévoreuse de livres… Bisous  jill

    • Je l’ai lu en français… C’est une excellente traduction.

      Merci, Jill… je suis contente que tu aies envie de revenir demain.

      Bisous et douce soirée.

  9. Nous attendrons donc demain, je ne connais pas du tout cet écrivain, tu combleras une lacune.

    Amitiés, Flo

  10. C’est bien quand tu ne connais pas un livre, tu nous entraînes vers nos anciens, « le roman de Renard » par exemple, que j’aime particulièrement et qui m’a valu de faire baisser La Fontaine dans mon estime jusqu’à ce que je reconnaisse son travail de « mise en vers » (jolie expression non ?) Mais tout de même, la saveur du Roman est telle qu’il a toujours ma préférence.

    Et puis, comment tout connaître ? Ne pas tout connaître nous donne loisir de découvrir et en être conscient nous booste un peu l’appétit. C’est ainsi que je vois les choses, tant qu’il y aura du mystère nous aurons de beaux jours devant nous, pour chercher…

    J’arrête là, je digresse et te dis à demain. Amitiés

    • J’aime ces découvertes que je continue à faire ici ou là… tu as raison, ce sont des beaux jours qu’il nous reste encore à vivre.

      Merci pour cet échange, Adamante. Je ne crois pas que tu digressais. Parler de lecture et de plaisir est un très beau partage.

      Passe une douce journée à venir. Amitiés.

  11. Mais oui, il fallait les dépenser ces deux petits euros pour une « desdichada » ! A demain Quichottine

  12. Je ne connais ni l’auteur, ni le roman, alors je reviendrai demain, bien sûr ! Bonne soirée Quichottine et bisous

  13. Bonsoir Quichottine. Je n’ai jamais lu cet auteur, j’attends demain si tu ne l’as pas déjà publié !
    Bisous, bonne soirée.

  14. J’ai commencé la lecture par la deuxième partie alors j’ai repris au début. J’ai beaucoup de lecture en retard je repasserai dans mes temps libres. Je reviendrai pour cette suite. Bonne journée et bisous.

    • Ne t’en fais pas, Solange… Le temps n’est pas extensible, je le sais bien.

      Profite bien de ton été et de ta famille.

      Bonne journée et bisous à partager.

  15. Je ne l’ai pas lu  cet auteur; on verra si tu arrives à me décider! En ce moment je suis  dans les auteurs hispaniques :

    Carlos Ruiz Zafon (le jeu de l’ange ) qui m’a beaucoup plu ;et Mario Vargas Llosa : le livre m’a plu mais moins le style.

    Si on pouvait tout lire, ce serait génial!

    Tes rapprochements d’idées me plaisent bien !

    Je te souhaite un bonne journée; bisous

    • Je n’ai pas lu ce roman de Zafon. Il faudra que je le fasse. J’avais aimé L’ombre du vent.

      Llosa… c’est un peu difficile. J’ai aimé certains de ses romans, mais pas tous, loin s’en faut. Il faudrait pouvoir le lire avec un papier à la main ou sur un e-book, avec des renvois pour les lieux et les personnages.

      Un sourire… je suis contente que tu aies aimé.

      Passe une belle journée à venir. Bisous.

  16. Je note merci Quichottine, s’il existe en édition bilingue, c’est une bonne idée pour entretenir l’espoir de parler espagnol mieux que Nerval (El Desdichado! ;-)! Et ne jamais dire :

    « Fuentes, je ne boirais pas de ton eau! »

    • Sourire… Tu as anticipé mon dernier article.

      Tu as beaucoup d’intuition… mais ce le ne m’étonne pas du tout. Je sais que tu lis beaucoup et tu ne pouvais pas ignorer ce poème…

      Pour la version bilingue… je suis navrée, je ne l’ai pas trouvée.

  17. J’ai cherché en vain le titre d’un roman qui me faisait penser à l’histoire de C. Fuentes, un auteur de langue espagnol aussi…Ce n’était pas une poupée mais une statue….VITA

    • Là… j’avoue que tu me poses une colle… Je ne sais pas.

      Si j’en ai l’occasion, je demanderai à une spécialiste.

  18. Aujourd’hui je mets ce commentaire sans lire les autres. Pour ne pas êtreinfluencée.

    J’ai adoré ton écriture, encore plus que d’habitude peut-être parce que tu t’es présentée sous un jour qui m’a fait me reconnaître à travers toi.

    Les digressions, fontaine, La fontaine, fuentes… et deux euros pour partir avec un livre, un de plus à lire… Trop bien.

    Merci.
    Je vais lire la suite, de ce pas.

    Amitiés.

    • Les digressions, et tant d’autres choses, Françoise!

      Je ris… je crois que je ne te connais pas encore assez bien, mais que tu me ressembles !

      Merci d’être là même si je ne suis pas des plus assidues chez toi.

  19. j’essayerai de lire un des ses livres sur la plage pendant mes vacances …bise quichottine

    • Tu sais, tu n’es pas obligé.

      J’ignore ce que tu lis d’habitude. Il se peut que ça te plaise aussi.

      Bises et douce journée à venir, Dom. Merci !

  20. je ne connais pas cet auteur, ni la littérature espagnole d’ailleurs

    A plus tard pour la suite

  21. Bonsoir,

    La quatrième de couverture est toujours déterminante pour moi aussi !!

    Bonne fin de journée.

    D@net.

  22. un ptit coucou

    je  te souhaite une douce soirée et une belle semaine 

    ti bo

    .•°•.Ś Ő Ń Ŷ Á.•°•. 

  23. Inconnu aussi pour moi. gros bisous Quichottine. belle journée ma belle

    • Alors vous allez découvrir… C’est super !

      … Enfin, j’espère que ça vous plaira.

      Passe une douce soirée, Katara. Merci !

  24. en tous les cas : je constate que ton clavier écrit aussi l’Espagnol…dire que le mien n’écrit pas encore le breton………

    • Heureusement qu’il l’écrit… (et j’ai aussi un correcteur orthographique en castillan…) Sinon, comment aurais-je fait ?

      Il faut que tu râles auprès de Microsoft pour qu’il t’arrange ça tout de suite…

  25. Je peux comme ça à l’ instinct acheter un livre dont l’auteur m’est complétement inconnu , c’est en fait juste un coup de coeur ..donc j’attends ta suite

    Bises Quichottine

    • Le plus souvent, mes livres sont aussi des coups de coeur… Je te comprends tout à fait !

      Bises et douce soirée à toi.

  26. Tu as l’art et la manière pour nous donner « l’eau à la bouche »…..

  27. Une belle présentation pour cet auteur que j’avoue ne pas connaitre. Merci de ce beau partage ma Quichottine. Bises et bonne journée

  28. il est vrai que de curieuses réactions président à l’achat d’un livre..
    En ce qui me concerne, si je ne connais pas l’auteur, je suis attirée par un ensemble

    couverture-titre qui me « parle ».. Puis je feuillette, et là, c’est complètement irrationnel, mais c’est toujours la même chose: la présentation, le style, bref, un aperçu général me disent oui ou non..
    Ce qui fait que je me trompe parfois, j’achète des livres qui ne m’intéressent pas,

    ou bien j’élimine un chef-d’oeuvre..
    Mais ça, je le répare lorsque quelqu’un en parle.. Alors j’y retourne, et je feuillette un peu plus lentement..
    En attendant, à demain, pour découvrir cette lecture…
    Bon lundi, et merci!

    Bises

    • J’aime la façon dont tu choisis… Je le fais aussi lorsque je n’ai pas déjà une idée en tête… ou lorsque je me promène dans une librairie.

      … ce qui d’ailleurs est une catastrophe pour mon porte monnaie !

      Merci pour ce partage, M’Annette. Bisous et belle journée à venir.

  29. Alors là, tu es d’une cruauté sans pareil !!! comment je vais faire moi maint’nant pour vivre jusqu’à demain, sans savoir ce que contient ce drôle de livre ???

    Je vais aussi à la …. comme tu dis et je cours d’abord au rayon BD voir s’il y a un nouveau Léonard ! très important ! ensuite mes auteurs, je l’avoue bien humblement, sont plutôt du style Barjavel que j’adore toujours lire et relire … personne n’a fait mieux que lui … Là on va voir que je m’suis arrêtée au CAP couture mais grâce à moi on peut se couvrir en ce mois de juillet glacial !!!!

    Bon j’arrête mes élucubrations. Ah, cette mamychachat alors ? et pépita, pire… que j’vous dis …

    Gros bisous

    • Ben… il faut absolument que je lise du Barjavel… je crois bien n’avoir jamais rien lu de lui … et en regardant la liste impressionnante de ses titres, j’en ai trouvé qui devraient me plaire !

      Merci, Mamychachat… Je voudrais bien de temps en temps avoir passé un CAP de couture, ça me serait bien utile aujourd’hui.

      Bon, j’espère de tout coeur que tu vas continuer à venir à la Bibli, même après que je t’aie un peu soulée avec Carlos Fuentes… Nouvelle Triade jeudi.

      Gros bisous tout plein.

  30. En littérature comme en cinéma ou dans l’art en général, notre avis est forcément subjectif.
    On ne parle bien que de ce que l’on aime (et de ce que l’on déteste). Aux autres de se faire (ou pas) leur propre opinion en découvrant l’oeuvre, quelle qu’elle soit. Et puis nous nous définissons par nos goûts, forcément,
    et libre à chacun de ne pas y adhérer.

    Il y a de nombreux blogs de bibliothécaires et souvent, l’une d’entre elles m’a beaucoup plus donné envie de lire un bouquin qu’une critique littéraire officielle.
    Les commentaires qui s’ajoutent à la présentation du livre sont un plus.
    J’aime bien traîner dans les librairies aussi où maintenant sont déposés sur une table les « coups de coeur » des employés. Ca aussi c’est bien parce que ça donne la possibilité d’échanger.

    Alors continue de raconter, de montrer et de dire…

    Ce qui m’a fait rire (ha ça ce n’est pas bien du tout) c’est le commentaire n° 8 du tout début posté par Monsieur Po  : je viens de lire « Confessions d’une radine » de Catherine Cusset (qui à mon avis ne casse pas trois pattes à un canard mais dont la fin est surprenante)…

    Belle journée à toi

  31. Tu es d’origine hispanique, c’est magnifique, le rapport est lointain mais pas tant que ça, la Franche-Comté fut suffisamment longtemps espagnol pour que le nom de mon père soit franchement issu de bels hidalgos, dont il avait tout d’ailleurs !

    Bisous Qiochottine

    • Non, pas vraiment… mais j’y ai de la famille et de merveilleux souvenirs.

      Merci pour ce partage, Nettoue. Bisous et douce soirée à toi.

    • C’est souvent comme ça pour les « très grands »…

      T’en fais pas… Il y a plein d’auteurs que je connais de nom et dont je n’ai jamais rien lu. On ne peut pas tout avoir lu.

  32. Je ne connaissais pas du tout cet auteur chère bibliothécaire…

    douce nuit avec des bisous tout plein

    chatou

  33. Morte de rire, les noms prêtent parfois à confusion tu vois….

    le matelot de la terre ferme

  34. Tonio et Bernardo n’ont aucun rapport avec Zorro et son Bernardo 😉 je peux comprendre que ces deux hommes aient été hypnotisés… peut être par le regard porcelaine de la desdichada 😉

    Bonne fin de soirée Bisous Quichottine

    • Rire ! C’est tout à fait certain…

      … par contre, je ne répondrai pas quant au regard porcelaine.

      C’est un secret.

      Bonne fin de semaine à toi aussi, Urban. Bisous.