L’autre jour, je vous parlais de ma rencontre avec Salah Stétié, dans un amphithéâtre de la faculté de lettres de Cergy.
J’avais recopié, dans les commentaires, celui que Serge me déposa le 9 juin 2007 sur un blog aujourd’hui disparu.
Bonjour Quichottine,Je venais poser un pied pour rendre une visite sympa…et puis le deuxième pied a suivi en ramenant une chaise…Ainsi confortablement installé j’ai lu… Très prenant ce style qui dévoile des émotions au milieu des descriptions qui ont jalonné cette conférence…
Il est évident maintenant que ne connaissant pas cet auteur, j’ai envie de le découvrir mieux…Argh! Me voilà encore dans Google à fouiner les mots… (Sourires)
J’en suis même arrivé à un point que durant ma lecture, j’ai regretté de ne pas être en Fac pour apprendre encore…
N’y a-t-il pas de poésie possible sans souffrance ?
J’aurais eu moi aussi l’envie de poser la question… après coup je pense que j’aurais eu ce courage là… Dans sa réponse je ne doute pas qu’il aurait cité une perle d’humain qui transcendé par le bonheur a écrit des textes encourageants…Merveilleux…
C’est doux et calme chez vous… à bientôt Quichottine… Commentaire posté par Serge le 09/06/2007 à 15h08
C’était une belle rencontre, là aussi. Un moment où je me suis dit que l’on pouvait trouver dans le monde virtuel des personnes pour échanger, pour partager les émotions ressenties. J’étais alors une blogueuse débutante, je ne savais pas trop où j’allais…
Mais je ne vous ai pas montré ma réponse d’alors.
Merci.En sortant de la fac, ce jour-là, j’ai eu envie d’écrire, pour raconter. C’était un commentaire à chaud, sous le charme de cet homme qui avait su captiver son auditoire, de main de maître, seulement par des paroles sincères et des mots simples.
Je ne sais pas si j’aime ce qu’il écrit, j’aime sa façon de raconter, de donner aux mots une musique qui fait vibrer les cœurs. Je crois qu’en fait le piège était là. J’avais à la fois envie de tout lire et la peur d’être déçue par l’écriture quand il n’y aurait plus le rythme de la parole et le son de la voix.
Ai-je été envoutée ? Je ne crois pas. Je pense que j’ai pris dans ses mots ceux que je pouvais comprendre.
Mais en fait, n’est-ce pas ainsi que l’on réagit devant un poème ?
Moi, je n’ai pas osé poser la question.
Quand on étudie passé un certain âge, on a plutôt tendance à se montrer discret, à laisser la parole aux autres.
Je crois que j’aurais aimé qu’il ait le temps de venir prendre un thé ou un café et de continuer à bavarder, d’adulte à adulte. Alors, j’aurais sans doute eu sa réponse.
J’ai préféré rester sur une interrogation.
Tant qu’on cherche, on a l’espoir de trouver.
Réponse de Quichottine le 09/06/2007 à 22h13
C’est vrai qu’une rencontre virtuelle est faite de mots, mais celles que l’on fait dans la réalité ont d’autres dimensions. La voix en est une, et non des moindres. Le regard. Les gestes. Je crois que les mains comptent beaucoup dans notre langage, ainsi que toutes les expressions du visage.
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Rire !
Non, ce n’est pas Salah Stétié, c’est un autre écrivain, une autre personnalité remarquable que j’ai écoutée, dans un autre cadre, très récemment et dont je ne vous ai pas encore parlé.
Au mois de février dernier, René de Obaldia, au cours d’une « causerie », devant un auditoire restreint présentait son œuvre.
Impossible de faire une photo correcte !
Il s’exprimait avec tout son corps… ou presque ! |
Tout cela manque lorsque nous sommes sur nos blogs, que nous nous écrivons en essayant de traduire le mieux possible ce que nous ressentons. Il arrive que les messages aient une vie autre que celle que nous voulions leur insuffler. Aussi est-il bon de pouvoir « répondre », « échanger », « dialoguer » vraiment pour palier leur incomplétude.
Bloguer, c’est cela… Déposer des mots sans savoir qui les lira et rebondir ensuite sur l’un ou l’autre des commentaires, afin de préciser sa propre pensée.
Pourquoi vous dire tout cela aujourd’hui ?
Peut-être parce que j’ai tant de retard dans mes réponses que j’ignore quand j’arriverai à retrouver ce dialogue. Peut-être seulement pour remercier ceux qui m’ont donné leur propre ressenti devant les mots que j’avais notés ce jour-là, dans l’amphi 100, à Cergy.
Quichottine, Je n’ai pas de blog… J’ai envie de vous répondre immédiatement, pourtant il est déjà très tard! Simplement que depuis quelques temps en vous lisant je me suis régalée. Votre style, vos idées, ce que vous nous faites découvrir : les 2 derniers écrivains… Merci…Continuez. Amicalement. FLORE
Merci, Flore.
Votre message me touche beaucoup.
Passez une belle journée… et à très bientôt sans doute.
virtuel, réel ? je suis encore et toujours dans l’impossibilité de différencier l’un de l’autre concernant les merveilleux talents, les délicieuses personnalités que je croise ou est croisé sur le net, dans le monde des blogs.
et si certaines coquilles sonnent un peu le vide, d’autres fourmillent des mots, d’images, de musique, de sentiments et d’une rare et précieuse authenticité.
comment faire concilier l’authentique et le virtuel ? bon sujet de philo
j’aime ta définition: déposer des mots sans savoir qui les lira …. bouteilles à la mer ? l’idée m’enchante.
j’ai pu mesurer la frustration ressentie ces derniers temps, alors que le temps, justement, m’a cruellement manqué, alors qu’une réalité plus tangente dévorait mon quotidien, comment cet univers certes onirique mais ô combien vrai m’a manqué.
et ce n’est certes pas l’univers en lui même, mais bel et bien les entités qui le composent , lui donnent vie qui étaient alors loin de moi.
pourtant devant l’immensité du phénomène, devant l’ampleur infinie des bouteilles parsemées sur le vaste océan, comment ne pas le qualifier de virtuel afin d’ignorer la peur d’un inconnu qui nous dépasse et donne un délicieux et effrayant vertige …
je reste persuadée que le net a changé le monde et que la donne est maintenant et à tout jamais différente, pour le meilleur et pour le pire , ne sont ils pas souvent inséparables ?
douce nuit aminaute, que je n’ai certes jamais vue, mais qui pourtant est chère à mon coeur.
Tu as raison, c’est un bon sujet de philo que je ne traiterai pas non plus.
Bouteilles à la mer ? Peut-être un peu. Envie de partage, certainement, sinon, à quoi bon publier sur la Toile ce que pourrait recevoir un cahier ?
Je crois que lorsqu’un blog plaît, on a toujours envie d’en apprendre un peu plus sur son auteur.
J’aime ce que tu dis de cet inconnu qui nous dépasse et donne le vertige.
Le monde a changé… oui, sans aucun doute.
Passe une belle journée, mon aminaute. Le fait de ne te connaître qu’à travers tes mots et image ne change pas ces liens tissés au fil du temps.
il est tard je compte sur toi pour réparer une grosse fote d’ortogrzaf oops !!! z’ai honte !
occupe toi aussi de celles que je n’ai pas vues !!!! mdr
bisous
Une grosse fôte ? Mais je ne l’ai pas vue… et tu sais bien que l’on ne peut pas changer le contenu d’un commentaire à moins de le remplacer.
Ne t’en fais pas… personne ne songe à corriger. Je crois que tout le monde en fait quand il écrit dans ces toutes petites fenêtres de commentaires. Impossible le plus souvent de se relire.
Bisous, Isabelle. Merci.
j’ai l’impression que tu analyses toutes les situations qui t’est donné de vivre, bien sûr celles qui te sont les plus touchantes, celles où tu as un ressenti. Et tu sais très bien le faire, en décortiquant ce ressenti !!
Belle journée ,Quichottine, mes yeux me titillent et je ne vais pas m’éterniser devant l’écran . Bises !!!
PS: je sais aussi très bien parler avec les mains !!!! Rires !!
Prends soin de toi, Patriarch, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose, surtout aux yeux. Ils sont très importants pour nous.
Merci pour ces mots… Je t’embrasse affectueusement.
C’est vrai que le contact réel (j’allais dire physique…!) est indissociable du dialogue. Mais dans ce contact virtuel, il y a l’échange, et parfois un petit quelque chose de plus, qui donne de la saveur aux mots et, avec certains, l’envie de continuer et, qui sait…
J’aime la saveur que tu sais donner aux mots.
… et tu as raison, il y a toujours des liens qui se font plus fort et qui donnent envie d’aller plus loin.
Il y a des conférenciers qui ne parlent pas dans le vide, parceque des auditeurs comme vous ont la chance de vivre et boire leur savoir à la source. Une expérience rare qui vous a marquée. Je suis allé lire les extraits poétiques de Salah qui sont un superbe exemple de la vie de la francophonie qui nous unit quand les circonstances nous séparent ! Merci de nous y inviter dans votre site.
Merci pour vos mots, Georges. Je crois que ces poètes peuvent transformer notre monde. Il suffit de les écouter et d’en prendre le plus important.
Qu’ils soient d’un pays ou d’un autre, il y a en eux beaucoup d’amour à partager.
Tu as raison ,l’échange,le dialogue est nécessaire après qu’on ait posé des mots..pas toujours,parfois.Ensuite ça permet de les faire vivre ,ça nous permet à chacun de vivre également quelques relations plus fortes que celles d’un écran sans relief et sans voix ..ce sont des instants privilégiés et c’est ainsi que la vie s’inscrit aussi bien dans le réel de rencontres riches,intéressantes,que sur nos blogs…la rareté en fait l’aspect précieux…Ce qui manque le plus à chacun d’entre nous,c’est de prendre le temps de lire et de s’interesser vraiment à ce qu’on découvre dans un univers.Je reste persuadée que ça ,on ne l’accorde qu’à quelques personnes particulières.
PASSE UN BON WEEK END Quichottine
Je pense que tu as raison. Il y a toujours des préférences. C’est normal. Les « coups de cœur » ne se commandent pas.
Passe une très belle fin de semaine toi aussi, Angel.
Il y a des gens qui savent captiver leur auditoire par la parole car ils savent faire passer leur passion , d’autres n’y arrivent pas; Tu as raison de dire que le corps partcipe au dialogue les mains plus que le reste !
Il est vrai que c’est fustrant de ne pouvoir dialoguer directement entre blogueurs .IL y a toujours un décalage forcément, car on ne peut rester en permanence devant l’ordinateur;Il y a la vraie vie à côté .
Je t’embrasse
C’est frustrant… mais d’un autre côté, je sais que l’on ne pourrait pas assumer tant de rencontres dans la réalité.
La vraie vie ne le permet pas.
Je t’embrasse fort. Merci pour ta présence.
Coucou Quichottine, un petit coucou du Sud où il pleut aujourd’hui… eh oui !!!
BISOUS.
Alors, un coucher de soleil pour toi… il a fait beau à Cergy !
Bisous.
C’est vrai, dans la rencontre avec les blogs,nous manquent la voix, les gestes, le regard…néanmoins la rencontre est bien réelle même si le manque se fait sentir…
J’aime la réalité de ce virtuel…
Avant de lire des mots, on lit l’âme sur le visage. Tu as bien raison.
Je t’embrasse.
Merci pour tes mots, Marlou.
J’ai eu le temps de venir te lire… malgré mon séjour-filles.
Je te découvre de page en page avec de plus en plus de plaisir. Il y a dans tes écrits des mots qui ne trompent pas. Je te pense aussi vraie dans le réel que dans le virtuel… en tout cas moi je le suis.
GROS BISOUS et belle soirée.
C’est gentil… merci !
Je ne crois pas me travestir quand j’écris. Je ne crois pas non plus que ceux qui se sont arrêtés en Quichottinie et qui y sont restés ne soient pas « vrais ».
Contente de te retrouver, Marité. Gros bisous et belle journée à toi.
Un » encore » qui laisse espérer que tu nous parleras de ta rencontre avec Obaldia …
Parfois, et en ce moment en particulier, je croise sur la toile le chemin de certains qui l’ont rencontré.
Douce nuit, Quichottine, ainsi qu’à celui que tu as accueilli …
Je t’embrasse.
J’en parlerai, bien sûr, bientôt.
Merci pour tout, Midolu. Je t’embrasse très fort.
Tu as raison de dire que le langage corporel est important dans un récit. Tout comme la voix, c’est pourquoi j’avais tant aimé la fois ou tu as raconté sur ton blogue. Tu étais plus présente.
Merci de t’en être souvenue.
Tout est important.
Intéressante définition du blogueur, Pasearse por la red y encontrar retazos de historias. Las manos, los gestos, las miradas y la voz un todo para comunicar.
Merci, Viviana.
Je t’ai imaginée longtemps alors que nous étions en train de travailler de concert pour un certain recueuil.. Je t’ai écoutée souvent.
Tout est important.
Merci pour ta présence aujourd’hui.
Effectivement il n’y a que les vraies rencontres qui permettent de se faire une idée, et encore… La personnalité humaine est très difficile à comprendre. Un jour quelqu’un peut dire noir devant un auditoire et le lendemain blanc devant un autre… Il faut faire avec… Bon samedi
Je crois que c’est normal.
Nous sommes influencés par les sentiments, ces moments que nous vivons et qui sont parfois un peu trop difficiles. Alors, esprit de contradiction ou colère passagère, nous prononcerons des paroles que nous regretterons le lendemain…
Il faut aussi le savoir.
Bon samedi à toi.
Tu dis tant de choses ressenties que cela nous va droit au coeur…
Merci.
Merci à toi pour tes mots, Florence.
réel ou virtuel, en voila une question, qui nous questionne euh ….. oui
Le mot virtuel, et un mot assez complexe, tu vois par me biais de blog, je me suis liée avec certaines personnes, toi en particulier
Parfois, on a l’impression de connaître la personne dîte « virtuelle » , on se comprend et pourtant, on ne se connait pas, on se parle alors qu’avec des personnes « réelles » et bien le feeling, ne passe pas, on ne se regarde même pas,
on ne se préoccupe pas d’elle, alors le mot virtuel, je ne l’aime pas trop, tout comme le mot réel
Bon, je ne sais pas si tu m’as comprise mais je pense que oui, tu sais pourquoi…… parce que tu es mon amie
Je t’embrasse bien fort
bisous
Je crois qu’il est normal que le feeling passe avec certains et pas avec d’autres.
Je comprends ce que tu ressens. Ne t’en fais pas.
Je t’embrasse très fort aussi ma douce amie. Bisous.
Comme tu as raison Quichottine, la rencontre avec voix, gestes, émotions est un moment rare…
ici nous échangeons, nous imaginons l’autre, nous ressentons ses émotions mais ce n’est pas de l’instantané, du face à face de l’échange de regards, de gestes qui conservent une vrai magie.
Je t’embrasse très fort.
Une rencontre pour de vrai, c’est super… surtout après ces échanges virtuels qui apportent beaucoup.
Merci, Sophie.
Je t’embrasse très fort…
Cest vrai que certains commentaires amènent à préciser ou corriger ce que l’on a écrit. D’autres font rire, caressent l’âme ou font froncer les sourcils… Bisous
J’aime bien ce que tu dis des commenaires… C’est tout àfait ça.
Merci, Brigitte. Bisous.
j’ai tendance à penser que la rencontre virtuelle est tout aussi importante que dans la vraie vie : on y rencontre une certaine facette d’une personne, que l’on ne mesure pas toujours dans le monde réel – il me semble que cela peut être deux personnes différentes mais la partie connue à travers nos blogs est extrêment intéressante, bien souvent, dans la vie réelle on n’a pas le temps , on n’ose pas, se dire se montrer ce qu’on a AUSSI au fond de soi, que le quotidien ou les rencontres fortuites ne subliment pas !
gros bisous à toi !
On n’a pas le temps, on n’ose pas… et, soudain, les entraves du quotidien sont gommées par le virtuel, c’est vrai.
Merci pour ces mots, ce partage, Melly.
Gros bisous à toi et belle fin de semaine.
Il est des choses qu’on exprime par le virtuel que l’on ne dirait pas dans le réel. Enfin, pour ceux qui sont sincères, comme toi. Dans la vraie vie de tous les jours, on n’a pas ou ne prend pas le temps de discuter et c’est tout le plaisir que l’on retrouve sur les blogs.
Merci, Dom.
Le temps nous manque souvent… mais nous pourrions le voler pour le donner à ceux qui en ont besoin.
Un sourire ou des mots en partage, cela ne coûte rien et rapporte beaucoup.
Bonne fin de semaine ensoleillée à toi aussi.
j’adhère à la définition du blogueur
Merci !
« Le blog », au départ, c’est un journal. L’écriture ournalistique n’a rien à voir avec la poésie, le roman ou la nouvelle. L’article, par excellence, se doit d’être court et concis pour que le lecteur puisse le parcourir rapidement, le plus souvent à la vitesse de la lumière. Et pour qu’il y trouve un intérêt mieux vaut que le style en soit percutant . Diificile exercice souvent !
Merci pour ce rappel.
C’est vrai que mes billets sont bien souvent trop longs pour les visiteurs. Je devrais être moins chronophage pour eux.
Toutes rencontres sont intéressantes, celles du Net permettent d’abolir les distances de ttes sortes,
comment se rencontrer? le blog permet de dévoiler ses goûts, ses émotions, et de faire écho avec d’autres….
J’aime les vraies rencontres ….VITA
Je les aime aussi…
Merci pour ta présence aujourd’hui.
C’est marrant, cela me rappelle aussi ma rencontre avec Salah Stétié, il y a quelques années à l’université d’Angers. Un grand poète et un homme très agréable…
Je suis contente de savoir que tu as eu cette impression aussi. Merci, Marc.
Je ne parlais pas de tes billets mais en général ..
Je sais bien… mais c’est vrai que mes billets sont trop longs.
Bises Liza. Passe une belle soirée.
j’aime bloguer parce que justement on se pose toujours des questions!
Une façon de continuer à penser au lieu de s’abêtir devant la télé ?
Les comportements dans des relations virtuelles sont à mon avis, moins entravés de préjugés que dans le monde réel. Pour la simple raison que la plupart du temps on ne se sent pas en représentation. Un blog est lu par peu ou prou de personnes, mais entre chaque lecteur et blogueur, au fil des mois de lecture, d’échanges de commentaires, de visites réciproques, se tisse un réseau de sentiments partagés, d’estime réciproque, qui leur donne finalement envie de se connaître rééllement.
Dans les contacts réels, tout le langage infraverbal prime souvent sur la parole, parfois au détriment de celle-ci.
Sur le net point de ceci. Il peut arriver que les mots écrits nous trahissent, mais la parole accompagnée de gestuelle l’est encore plus.
C’est l’éternel exemple du :
« -Vas-y, fais-le. » qui selon la gestuelle et l’intonation qui l’accompagnent changent complètement le sens de cette phrase.
La bavarde que je suis te fais plein de gros bisous 🙂
Comme toujours, tu as le mot juste, efficace.
Tu n’es pas bavarde, Clo. Je crois que tu expliques et tu le fais très bien.
Plein de gros bisous à toi aussi.