J’ai mis dans la balance ces moments de chagrin et tous les bonheurs que l’on m’avait offerts…
Pourquoi n’avais-je pas pensé à regarder ce petit coin de ciel bleu au-dessus des nuages, cet arc-en-ciel dans un après-midi de pluie ?
Pourquoi avais-je oublié le soleil ?
…
Je suis contente pour toi Quichottine – Noël arrive très vite ,les joies familiales (avec aussi les peines ) ne peuvent que te stabiliser dans cette route que tu continues , plus lègère peut-être , je ne sais et cela ne me regarde pas . Tu me connais un peu , je suis très dure de caractère ,mais capable de véritable tendresse sans fioritures – je ne puis être une véritable « amie » comme d’autres sont proches de toi , je ne l’ambitionne nullement parce que nous sommes extrêmement différentes l’une de l’autre ,MAIS je ne peux que te souhaiter un chemin paisible et surtout sans larmes ! Il y a trop de malheurs dans le monde et je ne supporte la chagrin de personne …même pas de mon chat (RIRE ) Gros bisous La Douce ;-))
Tu sais, Blanche…Les fêtes de fin d’année seront l’occasion de nous retrouver en famille, c’est vrai. Je ne voulais pas accueillir les enfants autrement qu’en étant moi-même.
Plus légère ? Je dois dire que pour l’instant je n’en sais rien. J’ai seulement décidé de ne pas me laisser aller. Que je pouvais encore lutter.
Je te connais un peu, c’est vrai… tu me connais aussi… un peu. Tu sais que lorsque je viens te voir c’est pour chercher cette tendresse dont je sais que tu es capable… tu me l’as tant prouvé !
Qu’est-ce qu’une « véritable amie ? »… Je crois que c’est quelqu’un qui sait être là quand on en a besoin, qui n’attend rien en retour, qui sait trouver les mots qui apaisent, qui sait accepter les différences, même si elle ne les approuve pas.
Es-tu mon amie ? Je ne me suis pas posé la question quand je t’ai invitée ici. Je crois que j’avais besoin de te savoir auprès de moi, de sentir ta force à un moment où j’étais désorientée. Je sais que tu es bien trop jeune pour être ma maman, mais je sais que si elle avait été là, ce sont tes mots qu’elle aurait dit.
Peu importent les différences… Tu es là, c’est ce qui compte.
Je t’embrasse fort.
En Amitié ,comme en Amour ,il faut regarder dans la même direction – il y a beaucoup de formes dans les deux – des incompatibilités peuvent se faire jour MAIS elle sont surmontables quand il y a sincèrité de part et d’autre – Je vais t’amuser , peut-être te faire rire chére Quichottine : Il fut une période où me trouvant en grande difficultés sur tous les plans ,j’ai eu une copine que j’aimais beaucoup , qui avait tendance à recherche ma compagnie , justement parce qu’elle me sentait plus forte qu’elle – Un jour , la trouvant particulièrement incapable de se bouger (elle-même était très durement touchée ) encore au lit à midi et demi …la rage m’a prise …j’ai tout flanqué en l’air , le matelas avec la fille dessus ,j’ai tout bazardé , ça volait partout , ses fringues , avec l’impératif qui ne fut pas murmuré tu t’en doutes » DEBOUT ! JE NE VEUX PLUS TE VOIR COMME CA » La pauvrette ,réveillée brutalement du cauchemard a très bien compris pourquoi j’agissais ainsi – c’est toute la douceur dont je suis capable quand je sens un danger pour qui j’aime – aussi t’étonnes pas …tout le monde ne le supporte pas – de toutes façons, je pourrais jamais te virer si ça allait mal , seulement en paroles et là aussi ça peut faire mal parfois – tu le sais , je ressemble tellement à Chris ;-))
Je te lis…
Oui, bien sûr, je suis d’accord. Mais qu’y avait-il de changé ? N’étais-je pas la même ? N’avais-je pas dit, depuis le premier jour, ce que représentait mon blog pour moi ?
Ne pouvions nous pas continuer sans ces mots-là ?
Ne dis rien… ce n’est pas grave.
C’est seulement une page tournée sans avoir compris ce qu’il y avait écrit.
Je sais que tu lui ressembles…
…
Je vais continuer à réfléchir.
A la lecture des commentaires…je me rends compte que je suis venue sans que tu m’en donnes la clé…. cela…ce’st les aléas du net, Quichottine…il suffit d’un mot trouvé au hasard d’un commentaire pour que ton refuge soit squatté… Mais le refuge, peut-aussi se fermer, si tu veux la prochaine fois, je frapperai doucement… sans forcer la porte comme aujourd’hui… Comprends-tu les hésitations que je suis en train de formuler? je suis ainsi… je n’ose pas… ( sourire) et j’ai toujours peur de froisser… là dessus, je ne peux me refaire.
Non, Il sera ouvert pour tous ceux qui veulent vraiment y entrer, sans rien casser !
Je comprends tes hésitations… Je sais que si j’avais voulu que ce refuge soit secret, je l’aurais ouvert sous une autre adresse…
Tilk l’a trouvé, tu l’as trouvé… Il n’y a aucune raison que je ne vous laisse pas rentrer. Tu es la bienvenue !
Il y a toujours un petit coin de ciel bleu entre les nuages, Amielle ! C’est le titre d’une magnifique BD qu’il faudra que je retrouve pour toi… Gros bisous, tout plein.
Un jour… tu la retrouveras ! Moi je sais que c’est ici que je l’ai trouvé.
On ne peut pas « oublier » le ciel bleu, ou l’arc en ciel… Mais parfois juste un voile de tristesse nous empêche d’y voir clair… Tes amis sont là pour t’aider à chasser cette grisaille, et te permettre de retrouver ton souffle et ton envie de créer… Je vais me permettre de vous suivre… Bises
Je crois que ce qui est important, est là… dans ces mots que tu viens de déposer.
Je sais que ceux qui m’accompagnent ici savent me redonner espoir.
Je suis contente que tu en fasses partie.
Merci.
mais ce soleil…moi je sais bien qu’il brille dans ton coeur.. pousse les nuages d’un souffle,et tu l’apercevras, car, nous, qui ne te connaissons si peu, on le voit briller de tant de feux… bisous
Vous plus que d’autres pouvez savoir qui je suis.
Merci d’être là aujourd’hui…
Le soleil, l’arc-en-ciel, tu ne pouvais peut-être pas les voir car ta peine les obscurcissait. Et puis, tout simplement, parce que, présents ou non, il faut parfois laisser au temps le temps de nous les montrer. Soleil ou pas, je t’embrasse très fort. Je réalise que je me suis imposée dans ton refuge sans me poser de question. Je ne sais si j’ai bien fait mais, très égoïstement, je ne regrette pas de pouvoir m’installer comme avant dans la bibliothèque et bavarder un peu avec toi.
Tu ne t’es pas imposée, Chana… Je suis contente que tu sois là.
Tu peux t’installer aussi longtemps que tu voudras… J’aime bien savoir que tu écoutes, comme autrefois.
Je sais que tu lis, je sais que tu ne parles pas quand tu n’as rien à dire, j’aime bien ta sagesse.
Bienvenue au Refuge, Chana ! (Je sais que je t’ai déjà souhaité la bienvenue ici, mais je répète, seulement pour que tu en sois sûre…)
retour sur la vie…sur les petits moments, les joies, les peines, les soucis, les chagrins, l’amitié, l’Amour, l’espoir…
Le soleil qui se lève, l’aurore qui ouvre nos yeux et nos regards éclatants qui parfois, osent dire « la vie est un cadeau »
La vie est toujours un cadeau… mais je crois que nous ne savons pas toujours l’apprécier à sa juste mesure…
Tu vois, ce soir, j’ai mal, et notre recueil n’y est que pour une part infime.
Envie de tout plaquer…