Je venais d’ouvrir la fenêtre de Dom. Quelqu’un que j’aime beaucoup, pour de nombreuses raisons que je développerai peut-être un jour.
– Chaque fois que tu parles au futur, on dirait du conditionnel, et, le plus souvent, tu en restes à de vagues promesses et tu n’expliques rien !
Vous croyez ? Je ne promets rien. Quand je le dis, c’est que ce n’est pas le moment et si le moment ne vient pas, ce n’est pas de ma faute.
– Voilà ! Tu te défiles encore !
Non, pas du tout. Aujourd’hui, j’ai prévu d’aller à l’essentiel, parce que vous n’avez pas le temps.
– Tu n’en sais rien !
Si, je sais que mes billets sont trop longs, que vous les lisez avec plus de plaisir quand ils sont plein d’images, et qu’il n’y a que quelques mots…
Ce n’est pas grave… Nous parlions de Dom et de son coup de gueule du jour.
– Est-ce vraiment ce dont tu veux parler ?
Je ne sais pas. D’autres ont eu le courage de « dire » ce que beaucoup pensent tout bas.
Chez Kri, c’était il y a longtemps…
Depuis ce « Un commentaire contre un commentaire, c’est quoi ce marché ? », que Kri avait barré sous son image, je me suis beaucoup interrogée sur ce qu’était un blog.
Ce jour-là, je lui avais laissé ce message :
Amitié, liberté…
Je dois dire que j’aime bien.Comme j’aime bien la citation et ton image.
Bravo… même pour ta phrase barrée. Elle est là, mais on a le droit de ne pas la voir, de ne pas t’en parler.
Alors, voilà…
Je vais t’en parler.
Chez moi, je réponds tout le temps, aux commentaires que l’on dépose, même à un simple « bonjour », surtout lorsqu’ils viennent de personnes que je connais et apprécie par ailleurs.
Par contre, c’est vrai, je ne rends plus les visites de façon aussi régulière qu’auparavant. Cela m’a valu des abandons. Mais je me dis que ceux qui viennent et reviennent, alors qu’ils savent que je ne viendrai peut-être pas toujours aussi souvent ou aussi rapidement qu’ils le souhaiteraient peut-être, ceux-là sont les plus importants. S’ils sont là, c’est peut-être parce que je leur apporte quelque chose…Je sais que j’aime me rendre ici ou là, m’attarder le plus souvent sur plusieurs billets, rire ou rêver, et qu’à ce moment-là il m’arrive de laisser plusieurs commentaires d’affilé à la même personne.
Je crois que nous avons tous des endroits que nous aimons davantage, où nous passons du temps.
Mais, je vais nuancer mon propos…
Il m’arrive aussi de me rendre compte, à l’occasion de la visite de l’un ou de l’autre, que je n’y suis pas allée depuis longtemps… et là, tu vois, c’est important pour moi de rendre cette visite. Peut-être parce que je me dis à ce moment-là « il (ou elle) ne m’a pas oubliée… comme c’est gentil ! »
Gros bisou, Kri…
PS : C’était un moment de dialogue, après avoir lu ce que disaient tes visiteurs, avoir opiné en écoutant Ptitsa, Mahina, Annie… après avoir souri en lisant ce que t’écrivait Éric… c’est vrai que tu es jolie !
Là, je vais continuer de faire le tour, chez toi, comme je le fais souvent, même si je n’écris pas toujours, même si je ne sais pas toujours quoi dire, parce que certaines images me font rire et d’autres rêver, et que ce n’est pas toujours simple de dire autre chose que « c’est beau » ou « merci, j’ai bien ri »…
Ce dont il faut que tu sois sûre, c’est que je ne compte jamais mes commentaires, ni ceux que je dépose, ni ceux que je reçois.
(pardon d’avoir été si longue…) Commentaire n°26 posté par Quichottine le 07/10/2008 à 14h03
…
Le temps a passé… mes articles se sont multipliés, les commentaires reçus chez moi et ceux déposés chez vous après lecture aussi. J’ai beaucoup lu, beaucoup rêvé… J’ai eu envie, de temps en temps, comme Églantine, de raconter ce qu’était ma journée bloguesque.
Mais ne l’avais-je pas déjà fait, ici ou là, ailleurs parfois ?
J’avais fermé le tiroir aux secrets… ici… Je vous avais raconté un peu de moi.
J’avais tant de fois « failli » partir tout à fait, « oser » mettre la bibliothèque en pause définitive… comme Kinou l’avait fait en fêtant sa première année de blog.
Je vous avais offert le plus beau de mes contes, le plus triste aussi.
J’avais même pensé faire de la Quichottineraie le tout dernier de mes articles… Vous sous souvenez ?
On dit…
On dit que lorsqu’elle eut achevé sa plantation, Quichottine se retira dans la grande Bibliothèque, tout en haut de la plus haute tour de l’immense château de sable qui faisait face à l’Océan.On dit…
On dit qu’elle décida de reprendre son grand livre et que, tout là-haut, lorsque tombe la nuit, un très vieux chevalier monte la garde devant sa fenêtre tandis que deux lutins, l’un vert et l’autre bleu, sortent respectivement de leurs tableaux pour danser devant les bûches qui rougeoient dans l’âtre.On dit…
On dit qu’il arrive que l’on entende les quichottiniers raconter leur histoire, chacun la sienne, aux promeneurs qui s’égarent dans la grande forêt qui protège l’accès à la plage.On dit…
On dit aussi, mais faut-il vraiment le croire ?
On dit que Quichottine s’assoit sur un banc, dans son jardin, pour y attendre ses amis… mais seulement quand arrive l’Aurore et qu’elle y déchire les voiles de la nuit.On dit…
Mais tant de choses se disent, ici ou là, sur tous les chemins de la Quichottinie, que plus personne ne sait distinguer rêve et réalité.
Quichottine, 21 Janvier 2010
Bloguer, c’est parfois difficile. Il faudra que je vous raconte.
…
j’ai décidé il y a longtemps que je ne veux pas êtee esclave de mon blog, pas esclave de la toile et dieu sait qu’elle est vaste, belle, attirante, qu’elle nous offre de merveilleux tzlents, de belles personnes, des amitiés étonnantes et si précieuses. je ne suis pas toujours très présente chez moi ou ici et là, pourtant ces aminautes sont dans mon coeur, dans mes pensées. je pense à eux souvent en regardant le monde …
chaque fois que je vois le bleu du ciel, je pense à une femme merveilleuse que je n’ai jamais vu et qui pourtant m’a appris à regarder par delà les nuages …
et ça, le manque de temps ne peut nous l’enlever, merci d’avoir su trouver les bons mots en jour d’orage ….
J’ai constaté au fil du temps que lorsque je voyage, que je lis, que je prends une photographie, j’imagine ce que je pourrai partager avec vous… Comme tu l’as fait en me rapportant un don Quichotte, je mets de côté des images, pour l’un ou l’autre…
Vous êtes une part de ma vie, non négligeable. Vous m’aidez aussi à avancer, quand le quotidien se fait lourd.
Je suis heureuse d’avoir pu un jour t’apporter un petit coin de ciel bleu…
Merci pour la nigelle offerte ajourd’hui. Passe une douce journée, Isabelle. Bisous.
C’est vrai que bloguer n’est pas toujours facile. Il y a des jours où on a l’impression de parler dans le vide, mais il y a aussi des jours, où, lorsqu’on n’est pas bien, on se rend compte qu’il y a toujours quelqu’un pour te tendre la main et c’est ça qui est fabuleux dans ce monde virtuel.
Le seul truc que je n’aime pas, tout comme Kri et Martine, c’est le marchandage. On visite un blog par plaisir, pas pour avoir une visite en retour.
Moi, tes bla-bla, je les aime bien et je lis toujours tout, je visite les liens, je passe souvent plus de temps que sur d’autres blogs, mais « tampis », j’fais c’qui m’plait !
Merci d’avoir parlé de nos CDG
Bon mardi ! Bisoux.
Tu vois, j’ai beaucoup aimé ton CDG… Ce n’est pas si souvent que tu t’exprimes ainsi…avec tes mots à toi.
Hier, chez toi, je venais comme tous les jours depuis que je suis abonnée, pour rire, pour relire ces blagues que j’oublie tout le temps une fois lues mais qui me font du bien. Je suis venue pour regarder s’il y avait un anniversaire important à ne pas oublier… (tu es mon agenda pour ça…)
Je suis venue pour découvir les jeux de mots de tes blogamis…pour voir ton image du jour.
Et je n’ai lu que tes mots, parce qu’il me semblait important d’y répondre, parce que j’ai connu aussi ces moments où tout semble un peu vain.
Mais, tu vois, chaque fois que j’ai eu le moral à marée basse, il y a toujours eu quelqu’un qui a trouvé les mots. Quelqu’un que je ne connaissais pas toujours bien.
C’est pour cela que je trouve que bloguer est une richesse. Ce que je découvre ici ou là, me permet de relativiser.
Je n’ai jamais marchandé… le savent bien ceux qui me connaissent depuis longtemps.
Heureusement… Sinon, où serait le plaisir ?
Je crois que dans la vie des blogs, c’est comme dans la vie réelle. Il faut donner sans rien attendre en retour… ainsi, lorsque ce retour est là, c’est magique, un vrai cadeau que lon peut ensuite partager avec d’autres.
Merci pour ta présence et le temps que tu passes ici. Passe une belle journé, Dom.
Je vais aller voir le coup de gueule de Kri le seul que je n’ai pas vu.
Je suis très étonnée que ce que j’ai écrit pour répondre à une consigne d’enriqueta ait été pris pour un coup de gueule bloguesque. Je suis partie avec l’idée de juste raconter ma journée et ma routine de vie tout ce que l’on fait paar habitude mais dont on n’arrive pas à se séparer. Je me moquais de moi. Je me suis arrêtée au départ au travail car je n’ai pas voulu raconter ma journée de travail qui est aussi très routinière à cause de mon prudhommes en cours. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai arrêté (provisoirement) de raconter ma vie professionnelle. Alors que c’est vrai qu’en le relisant cela peut passer pour un coup de gueule bloguesque mais ce n’en est pas un vraiment. Quand je vois comment cela a été pris, je vais consacrer mes prochains billets à raconter (à ma façon) mes bonheurs bloguesques et mes bonheure bloguesques ce sont mes amis du blog et tu en fais partie Quichottine mais je risque aussi de déplaire à ceux auxquels je ne consacrerai pas un billet…. Alors, vaut il mieux se taire ?
Celui de Kri était plus bref… Mais efficace. Je me suis abonnée à ce moment-là, parce que j’ai aimé qu’elle le dise.
J’avais répondu chez toi. Tu sais, j’ai beaucoup aimé ton texte. Même si je ne m’y retrouvais pas tout à fait, j’ai apprécié ce moment de complicité.
Je ne l’ai pas pris pour un coup de gueule, juste comme un partage, un moment aussi d’interrogations sur la réalité de ce blog, ce qu’il apporte vraiment au quotidien.
Je comprends pourtant que l’on puisse en être choqué, ou peiné. Je crois qu’il fallait le lire comme tu le proposais et qu’une lecture au premier degré m’a d’abord énormément surprise.
Tu vois, je mets très rarement des commentaires par « obligation »… D’ailleurs, ceux qui me connaissent font bien la différence entre ces commentaires de « politesse » et les autres.
Par contre, je lis tous les blogs auxquels je suis abonnée. Je ne jette les newsletters qu’après avoir ouvert la fenêtre correspondante. Cela me prend du temps, c’est vrai, mais je me régale. Il m’arrive de ne pas écrire sur ces articles-là, mais rarement. Je préfère généralement ne pas cliquer quand je sais que je n’aurai pas le temps d’écrire au moins quelques mots.
Il m’est arrivé de me désabonner… rarement, c’est vrai, et le plus souvent parce que les articles étaient trop nombreux et qu’il valait mieux alors mettre le blog dans mes marque-pages afin de ne pas surcharger ma messagerie.
… et, lorsque je m’absente, sans possibilité de me connecter, cela me permet de visiter les articles que je n’ai pas lus. Généralement, je le fais avant même de répondre à mes commentaires ou de rendre les visites que l’on m’a fait. Disons que ces blogs où je suis abonnée ont tous un « plus » pour moi. Ce sont ceux que je lis, avec ou sans commentaire chez moi, seulement parce qu’à un moment, j’ai eu un « coup de cœur » pour eux.
Ton blog est de ceux-là. Je suis heureuse que tu aies pu un jour franchir les limites de mon écran.
Parler de ses bonheurs bloguesques… Que te dire ? Je le fais ici, souvent, je montre le chemin vers des billets que j’ai aimés. Cela ne veut jamais dire que le reste n’était pas bien. Mais, c’est vrai, c’est aussi une question que je me pose.
Je n’ai pas de réponse. J’ai décidé de continuer à être ce que je suis… une bavarde impénitente qui aime et qui aime parler de ce qu’elle aime.
Passe une belle journée, Églantine. Merci pour ta présence.
C’est vrai que bloguer n’est pas toujours une cinécure,mais parfois, ça aide à vivre mieux.
Bonne journée avec bises de nous deux !!
Je souris… parce que je vais reprendre ta phrase en supprimant le « parfois ».
C’est une partie de ma réalité que j’aime et qui m’aide, au quotidien.
Bonne journée et bises affectueuses à vous deux.
*ah oui, moi je veux bien savoir comment tu blogues…C’est difficile parfois de garder un équilibre car évidemment, la vie ne se limite pas là et les sollicitations , ailleurs , sont nombreuses..Je t’embrasse et te remercie pour ta fidélité chaleureuse
Sourire… Je raconterai, un jour.
Merci à toi pour ta présence, Gazou.
Ce qui ne va pas m’inciter à ouvrir un blog …
En même temps qu’une liberté, ne serait-ce pas une certaine lâcheté, en tout cas une peur ?
Je lirai les commentaires, et plus, plus tard.
Bon mardi, et bisous, Quichottine. Heureuse de te savoir ici, tout près par ce blog.
Lâcheté ? Je ne sais pas. Peur, sûrement un peu.
Mais j’aime cette liberté que tu te donnes, parce que tu nous apportes beaucoup par ta présence et tes mots toujours si réfléchis et adaptés à chaque situation.
Pour t’avoir lue ici ou ailleurs, chez ceux que je visitais, je sais combien tes mots sont les bienvenus.
Pourtant… c’est vrai, il y a des moments où j’aimerais savoir quel type de blog tu ferais si tu en avais un. Tu es d’une richesse incroyable dans tes partages en commentaire.
Oui j’aimerais aussi pouvoir te lire chez toi.
Heureuse que tu sois là, Midolu. Je t’embrasse fort. Passe une belle journée.
Dom et Kri sont peut-être un peu trop exigeantes envers les autres blogueurs. Souvent je lis les articles, ils m’intéressent, mais je ne laisse pas systématiquement un commentaire. Lorsque j’en laisse, mes petits mots ne brillent pas forcément par leur longueur et leur originalité ! Un commentaire n’appelle pas un autre commentaire en retour. On n’est pas chez l’épicier, marchandise contre marchandise. Et puis il y a des questions d’envie, d’énergie et de disponibilité. Lorsqu’on est débordé, comment avoir envie d’aller écrire des petits mots ici et là ? Par contre, dès qu’on a un peu de temps, un peu de sérénité, cela redevient un vrai plaisir.
Bref, tout ça pour dire que lorsque les commentaires se font attendre ou sont trop brefs, il ne faut pas le prendre pour de l’irrespect et de l’indifférence. Le flux de nos échange suit tout simplement le rythme de notre quotidien.
J’espère Quichottine que tu n’arrêteras pas d’écrire car tes billets apportent chaleur et bonheur. Ne sois pas si exigeante envers toi-même, fais des petits breaks, tu ressentiras moins d’épuisement et de lassitude.
Plein de bisous
Marie
Je ne pense pas qu’elles soient exigeantes. Je pense qu’elles demandent justement cette sincérité bloguesque qui fait parfois défaut.
L’une comme l’autre ont des personnalités très attachantes et je suis très heureuse de les avoir rencontrées, même si ce ne sont que des rencontres « virtuelles », elles me sont chères.
Je sais que ce n’est pas toujours facile de laisser un message… cela m’arrive chez toi devant tes critiques de livres. C’est plus facile sur tes pages de voyage, ou lorsque tu parles de quelque chose que je connais ou que j’aimerais connaître.
J’ai aimé tes pistes de lecture… j’en ai suivi quelques unes, pas toutes, je ne le pourrais pas.
Tu as raison aussi de dire que tout dépend aussi du temps dont on dispose, ou de la lourdeur des journées. Il m’est arrivé aussi d’ouvrir mon ordinateur, de lire un peu… et de ne rien écrire parce que mon esprit n’était pas vraiment disponible pour le blog.
Mais j’avoue que chaque mot déposé par mes visiteurs est un plaisir quand je le découvre dans ma messagerie. Alors, j’essaie aussi, le mieux possible, de leur rendre un peu de ce plaisir qu’ils m’ont apporté.
Que ta journée soit belle, Marie.
J’aime ces articles où le raz le bol éclate, Eglantine aussi l’a crié et ça n’a pas plu hihi
Gros bisous, Flo
J’ai beaucoup aimé celui d’Eglantine. Répondre ainsi à la consigne était une vraie réussite à mon avis. Du point de vue textuel, c’est un très beau moment de poésie, du point de vue du blog, c’est un grand moment de sincérité.
Il faudrait peut-être que ceux qui en ont été blessés le relise. Elle parle d’elle, de sa façon de réagir, et elle le fait avec beaucoup d’humour. Je ne l’en aime que plus.
Gros bisous à toi, Flo. Merci pour ta présence.
Ceux que je visite régulièrement, c’est parce qu’ils me plaisent et disent des choses intéressantes. Le problème c’est qu’il y en a beaucoup et que le temps passe vite. C’est la même chose pour tout le monde, les personnes sensées comprenne ça. Bonne journée.
Je sais bien, Solange. Et je suis très touchée par tes visites.
Merci et bonne soirée à toi.
Je viens de te lire, du moins je viens de lire l’extrait d’une correspondance dans laquelle tu évoques la fugitive envie de fermer pour toujours ta fenêtre en haut de la Bibliothèque; comme j’ai pris le train en route, je ne sais pas très bien où elle se situe, mais ce n’est pas là l’essentiel aujourd’hui. Je voulais simplement te dire combien je comprends l’envie soudaine d’arrêter le blog, parce qu’il mange beaucoup de temps, même si ce temps est précieux, riche, vivifiant. Mais à force de donner de soi, certains coins du coeur faiblissent, la sournoise fatigue grignote, rendre visite aux amis n’est pas facile tous les jours, et puis ils sont si nombreux qu’on devient un facteur d’amour galopant à toutes jambes pour n’oublier personne. Je ne suis absolument pas dans ce cas, mais une amie le fut qui hésita trois ans et cessa écrasée par on courrier!
Tu es une personne très précieuse, chère Quichottine, on entre chez toi comme dans un jardin rafraîchissant. Mais tous tes amis comprendraient que tu prennes un peu de recul, un peu de repos, sinon ils ne seraient pas des amis!
L’imaginaire que tu sèmes nous enrichit tous. Mais s’il te fallait diminuer ton rythme, personne ne t’en voudrait. C’est seulement toi qui sais. L’essentiel est que tu sois cette Quichottine émereillée qui émerveille. Mais qui est libre de se retirer sous sa tente, afin de méditer, rêver, respirer puis de revenir. A son gré.
Je t’embrasse, chère Quichottine.
Tous savent que ces pauses sont importantes… J’ai beaucoup de chance.
Tous savent aussi que losque je m’absente un moment, c’est pour mieux revenir et que je ne suis jamais bien loin, que je lis aussi chez eux. Je crois que c’est important.
Un blog ne peut se concevoir sans ces moments où chacun a le droit de dire ce qu’il pense et d’être écouté.
Merci pour tes mots, Lorraine. Ils me touchent beaucoup.
Bonsoir Quichottine. Il m’est arrivé quelquefois que des gens me demandent de venir déposer des commentaires chez eux en échange de leur visite. Je le fais une fois par politesse mais je ne reviens que si le blog me plait. Bonne soirée et bisous
Nous sommes très semblables je crois.
Passe une belle soirée.
Moi je te lis en dents de scie…C’est vrai…Mais je sais qu’ici j’aurai toujours cette chose de mots, ce truc en vrai de personne qui écrit de soi mais pour les autres …C’est ça un blog je crois…un lieu de rencontres…improbables ou pas.
Une drôle de balance en fait, dans laquelle si on est seul on se noie de soi même.
Voilà….
Merci de t’être arrêtée aujourd’hui…
Je crois que ces « rencontres » sont importantes pour moi.
Mais c’est une véritable avalanche de mots que tu as provoqué ! Et j’ai tout lu…parce que, ce soir, j’ai un peu de temps ! Bien sûr, dans chaque commentaire, j’ai retrouvé un peu de ce que je ressens, et d’autres le disent bien mieux (dont toi !). Personnellement je souhaite que mon espace virtuel reste une zone de liberté en terme de calendrier d’écriture… Il y a tant à faire aussi dans la « vraie vie » !
Tu as toujours été toi… depuis ton orangeraie.
C’est pourquoi je t’apprécie. Je suis heureuse d’être ton amie. Merci, Galet.
Oui, je comprends, il y a des jours comme ça où on se dit… à quoi bon, tout ce temps consacré au blog à ces liens qui se tissent, qui se rompent, qui s’effilochent, et ce soir tiens je n’avais pas envie de publier, mais là j’avais une bidouillerie zipezoupesque, dommage de ne pas l’envoyer à l’amie Quichotte, qui choutte qui chottine, puisque je l’ai dans mes cartons…
Bonne soirée Quichottine
Il ne faut pas te priver de l’envoyer…
Tu l’as mise chez toi ? Je vais aller voir.
Hi, curieuse, tu l’auras demain, 1 h du mat, (pas la peine de veiller tu l’auras à ton réveil !)
Ca ne vaut pas de se priver d’un sommeil bienheureux … et qui rend les bergères jolies comme dit l’autre…
Zibous
Je ne dis rien… mais c’est vrai que je suis curieuse.
Merci par avance.
Bisous et bonne nuit.
C’est comme une porte que l’on ouvre et qui donne sur un univers inconnu. Parfois c’est difficile de pousser une porte, la peur de déranger, de casser un objet fragile qui ne nous appartient pas. C’est aussi un monde plein de rencontres, de gens qui se croisent et se saluent, qui refont le monde dans d’innombrables cafés du commerce, qui crient leur désespoir ou chantent leurs espérances dans des théatres colorés ou inquiétants. Le blog est un reflet, enfin c’est comme cela que je le vois, insaisissable, réél et virtuel à la fois, révèlateur et mystérieux……construit d’ombre et de lumière. Agréable soirée.
Merci pour ces mots, Decrypto.
J’aime la façon dont tu dépeins notre monde… Il me semble que c’est tout à fait ça !
Passe une bonne journée.
Oui Quichottine bloguer est parfois difficile, nous n’avons pas tous le même temps libre, et puis il y a des préférences obligatoirement, je n’arrive plus à répondre aux commentaires, et c’est vrai que l’on a parfois envie d’aller plus loin, parce qu’un texte nous a accroché plus qu’un autre, je ne juge pas les pêcheurs de coms en quantité, mais je trouve un réel plaisir lorsqu’il y a un véritable échange, une réflexion qui s’enclenche !! bon ce coup-ci je vais au lit… sinon tu vas me trouver devant ta porte au lever du soleil !!! gros bizzzoux ! je suivrai les lianes plus tard……
Je préfère aussi lorsque l’échange est « vrai ».
Merci pour ces mots, Tricôtine. J’espère que tu auras réussi à te reposer un peu.
Gros bisous.
J’aime beaucoup avec quelle nuance tu modères tes propos ,évitant toujours de tomber dans les exès de la caricature..j’avoue que je partage ton opinion,bloguer c’est cet échange imparfait s’il en est..mais souvent enrichissant…parfois pour de belles raisons on est moins disponible(la vie nous happe)parfois le gout n’y est plus vraiment.Moi- meme j’ai plus ou moins mis la clé sous la porteet ce n’est qu’une poignée de personnes qui retient,parce qu’on se sent accepté tel qu’on est sans obligation ..sauf celle de penser à ceux qui donnent d’eux memes..par un mot une visite un dialogue ..un clin d’oeil.
Longue vie à ces fils ténus,et solides à la fois..
Merci pour ces mots-là, Angel.
Je sais bien que l’on n’a pas toujours le temps. Aujourd’hui, j’ai mis tes bateaux dans ma boîte à rêve, ils m’ont émue, très.
Passe une belle journée.
Elles sont compliquées les « règles bloguestes! »; d’ailleurs qui les a dédictées?
Je n’aime pas trop les règles ,moi qui suis » brouillonne !! »
J’aime aller chez quelqu’un lorsque j’en ai envie; il m’arrive de rester quelques jours sans rendre visite, car je n’aime pas bâcler mes lectures;
Je ne réponds pas régulièrement aux coms, car là aussi, j’attends d’avoie envie de répondre (sauf quand le temps m’en empêche );Si j’ai envie d’aller voir un blog, j’y vais; certaines personnes ne viennent pas me voir régulièrement ; cela ne m’empêche pas d’aller voir leur blog car j’y prends du plaisir .
mais effectivement ,il est parfois difficle de répondre longuement à un com très court!
Par contre ,ceux qui viennent, juste pour qu’on aille cliquer sur leur lien , qui ne prennent pas la peine de lire , cela ne me plaît pas trop.
Comme tu dis ,on peut aussi aller rendre une visite sans laisser de com parfois;
Il ne faut pas de contraintes; cela doit rester un plaisir.
Bisous
Tu sais que je n’aime pas non plus les règles…
… et j’adore la façon dont tu blogues !
Partageons ces plaisirs, Fanfan, et continuons de conserver ces liens, non comme des contraintes, mais comme de petits bonheurs du quotidien.
Bisous pour toi aussi.
Dom est mon sourire quotidien
Le mien aussi.
Glaner de beaux échanges, partager ne serait-ce qu’un sourire, s’enrichir des autres, voir le meilleur en chaque chose, et comme les vieilles locomotives savoir lâcher la vapeur pour que le sifflet joyeux vous annonce : c’est moi, je suis passée. Belle nuit. Adamante
J’aime beaucoup la façon dont tu vois le blog…
Merci à toi d’être passée. Douce journée.
Et comment que c’est difficile ! Pour la phrase barrée, tout à fait d’accord. Au début, me suis faite avoir à ce marché de dupes, mais en prenant du recul, on s’aperçoit que c’est une plate-forme gratuite (autant au sens « brouzoufs » qu’au sens figuré, il n’y a, en principe, aucune répartie à attendre ou à donner et c’est ce qui fait le charme des visites des lecteurs justement.
Bon, je file, j’ai encore pas mal de lectures, vu que je n’en suis qu’au début du mois dernier et ai pris des « vacances » depuis avril presque. A plus Quichottine
Ce que j’aime avec toi, ce sont ces moments d’échange que je sais gratuits.
Chacun vient quand il peut, comme il peut… et tes longues visites me charment. Je me dis que si tu es là, c’est que tu en as envie, que tu apprécies aussi.
Partir quelque temps, ça permet de vivre autre chose, autrement. Je sais que tes journées sont bien remplies.
Alors, continue d’être comme tu es, c’est génial ! Je continuerai de venir te voir quand je le peux (je voudrais pouvoir le faire bien plus souvent !) parce que je me régale sur tes pages.
Que ta fin de semaine soit belle, Sieglind. Je t’embrasse.
Je partage ta façon de voir les choses. Moi aussi je réponds à tous les commentaires mais avec quinze jours de retard. Et je refuse de mettre un lien vers un blog qui ne me plait pas. Bonne soirée et bisous
J’ai encore dix-huit pages de commentaires sans réponse…
Mais ça va s’arranger. 🙂
Bonne soirée à toi aussi. Bisous.
Oui blogguer est difficile parfois, mais ce soir j’avais un peu de temps et c’est chez toi que je me suis posée.
Un peu comme tu le dis chez mamadomi.
Pleins d’articles qui mériteraient notre attention.
Chez elle comme ici mais le temps toujours court.
Je suis ravie de cette visite où je me suis un peu attardée dans la bibliothèque.
Mais là, il se fait tard, je vais voir où est en ma lecture. J’ai repris Le petit prince, j’avais besoin d’une lecture facile qui mette du rêve en mes nuits.
Gros bisous
Tu ne pouvais mieux choisir ton livre… il est si beau !
Merci de t’être attardée ainsi et pardon d’avoir mis si lontemps à te répondre.
Passe une belle soirée. Gros bisous.
Ne t’en fait pas pour le temps, nous sommes toutes et tous dans la même barque à courir après lui.
Je me disais ce matin même, si si, c’est vrai, qu’il y avait un moment que je n’avais pas fait un saut chez toi et l’instant d’après j’étais prise à d’autres priorités.
Alors ces réponses même tardives et peut être même surtout tardives me font extrêmement plaisir.
Gros bisous
Merci… cela nous permet de nous retrouver… et j’en suis très heureuse.
Merci pour tout, pour ta gentillesse et ta présence.
Gros bisous.
Après Dom, je suis aussi d’accord avec ton point de vue.
que dire d’autre…me concernant je t’avoue que je n’ai pas la parole facile
je suis plutôt une personne réservée (rires)
c’est un vrai contraste lorsque tu vois mon blog et pourtant c’est la vérité
donc je me suis lancée ce challenge d’aller vers les autres pour vaincre ma timidité.
Il me reste encore du chemein à parcourir car le plus souvent je ne m’étends pas sur mes comms
mais j’apprécie tous les billets et j’essaye de partager avec tout un chacun
j’ai fait d’énormes progrès grâce à vous aminautes
et je suis assez fière de moi
je te remercie encore Quichottine
bisous
C’est curieux… c’est vrai qu’en voyant ton blog je t’imaginais au contraire très exubérante.
Sourire… Non, en fait je ne sais pas vraiment. Je crois que lorsque tu te lanceras avec tes propres images sans t’appuyer sur ce que l’on peut voir ici ou là, ce sera magique, parce que tu es quelqu’un de bien.
Tu peux être fière de toi… Sans aucun doute.
Ce qui me plaît, lorsque je viens chez toi et que parcours tes billets, c’est ton humour et la capacité que tu as d’éclairer un jour gris. Continue, Sonya.
Bisous
« chemin »
Oups ! Je n’avais pas vu…
En effet, bloguer n’est pas facile….. !!!!!!
Bloguer doit rester le plaisir de communiquer, d’échanger, de voyager, d’aller vers les autres gratuitement, avec sincérité, de donner et de recevoir. C’est ma conception de cette blogosphère si riche en diversité et en découvertes.
Chacun amène sa pierre à l’édifice…. et même, la plus petite réponse à un billet reste le fruit de la convivialité de ce lieu d’échange et d’ouverture vers le monde extérieur.
Ces liens tissés par le biais du virtuel permettent à certains de se sentir moins seuls, d’exister et re rester sociabilisés.
Quelques fois, au fruit du hasard, le virtuel se convertit en réel et de merveilleuses rencontres se produisent.
Merci Quichottine de nous l’avoir rappelé…..!!!!
Bloguer, c’est parfois difficile…… !!!!!
Un bon mardi et de très gros bisous
Je suis d’accord avec tout ce que tu dis.
Pour ma part, ces rencontres soi disant « virtuelles » sont une vraie richesse. Je crois que ces échanges me permettent d’évoluer au lieu de me rabougrir et de rester dans mon coin.
C’est merveilleux de pouvoir ainsi communiquer sur presque tout avec des personnalités si différentes, que je n’aurais sans doute jamais rencontrées dans la vie réelle et que j’admire pour leur ouverture d’esprit et leur chaleur humaine.
Merci pour tes mots, Zaza, et pour ta présence aujourd’hui.
Très bon mardi à toi aussi.
Bonjour Quichottine
Après la lecture du billet de Dom, de la ligne barrée chez Kri, que dire d’autre ?
Voila un peu plus de 5 ans que je noircis des notes, toujours dans le même esprit. Avant de me lancer dans cette démarche, j’avais pris le temps d’observer de loin pendant quelques mois, en ouvrant la fenêtre de Blog 50 de temps en temps et je m’étais demandé ce que les gens venaient chercher.
Au bout de quelques semaines, j’ai eu la conviction que la majorité y venait rompre leur solitude, demandant un peu de chaleur et de reconnaissance. Il y avait beaucoup de personnes seules et pour elles recevoir un petit mot, le plus personnalisé possible, qui marque qu’on a fait attention à leur personnalité était important.
Je me suis alors fixé avant de taper le premier texte quelques règles simples :
lire tous les textes écrits des personnes avec qui je correspondais, même si je m’absentais pour quelques jours et répondre avec un minimum d’attention.
limiter le cercle des « aminautes » à mon temps disponible et ne pas l’élargir au-delà, privilégiant la qualité de la relation à celle d’un nouveau blog.
emprunter le moins possible d’images ou de textes à la toile, sans chercher les effets visuels, et ne publier que des textes personnels.
rester calme en ne critiquant pas les convictions politiques ou religieuses différentes des miennes, sachant que je ne changerai pas celles de l’auteur. Egalement m’abstenir de tout commentaire sur un texte qui fait une attaque personnelle sur quelqu’un et le supprimer de mes lecteurs.
Aujourd’hui, le cercle de mes correspondants est limité à un quarantaine de personnes et je n’embarque plus de passagers sur le radeau de peur de sombrer blog et bien.
Et les liens qui se sont peu à peu tissés avec bien des personnes se sont transformés en véritables échanges bien réel, avec visites chez les uns et les autres, messages téléphoniques, réceptions chez untel ou une telle, bien au-delà d’un échange virtuel.
Pour répondre un peu à Dom, derrière chaque blog, il y a une personne et si elle se concentre sur celles qui lui tiennent à cœur sans chercher à recevoir de commentaire, elle en recevra en retour avec la qualité dont est capable celle ou celui qui est en face. Tous ne sont pas bacc + 4 et bien des gens dont l’instruction est limitée sont d’une richesse de cœur insoupçonnable.
Bises du grillon
Je crois que tu as bien analysé ce qu’est le blog… et tes résolutions sont de bon sens.
Lorsque j’ai découvert ton blog, grâce à Mahina, au moment de mon voyage à Troyes, j’ai été séduite par tes images et la façon à la fois simple et pleine d’humour dont tu les présentais. C’était agréable et je fermais ta fenêtre avec regret.
Tu m’as prévenue alors que tu ne pouvais ajouter de nouveaux blogs à la liste déjà bien longue de ceux que tu fréquentais assidûment. Pour moi, cela n’avait aucune importance.
Il y a des blogs où je lis tout et où je laisse un mot à chaque article publié, où je reviens sur d’anciens articles, sans avoir jamais de commentaire en retour. Ce qui m’importe, c’est le plaisir que je prends à les lire, ce qu’ils m’apportent de joie et de découvertes et que je ne ferais pas sans eux.
Depuis… tu as tellement laissés de mots ici que je crois bien être devenue un membre de votre communauté. Certains de tes visiteurs me font l’amitié de me rendre visite… je ne m’y attendais pas.
Tu es de ceux qui prennent le temps, qui lisent, qui participent à mes jeux, et j’ai beaucoup de plaisir à te rencontrer sur mes pages.
Alors, un grand merci, Christian, pour tout.
Passe une belle journée.
(et puis… tu vois, il n’est pas nécessaire de montrer patte blanche avant de s’inscrire à la bibliothèque… Je sais depuis longtemps qu’avoir fait des études n’est qu’une chance que certains ont eu et que ceux qui n’en ont pas fait peuvent en savoir bien plus sur ce qui est vraiment important dans la vie.)
toujours atteint de flemmingite aigue….bonne journée
Ce n’est pas vraiment de la flemme, puisque tu n’es pas en vacances…
Bonne journée à toi aussi, Pat. Je t’embrasse fort.
En fait on pourrait croire que c’est tout simple de faire un blog , en ce qui me concerne je dis toujours que c’est mon vrai chez moi , car il n’y a que les choses que j’aime , il m’a permis de dire , de montrer, d’ecrire ce que moi je ressens et surtout personne d’autre…,il m’a egalement permis de rencontrer des personnes formidables , d’autres m’ont lassé c’est vrai , mais j’essaie d’être là pour tous ceux chez qui j’ai juger utile de m’ inscrire
Je ne me suis jamais desinscrite à un blog , quand il ne correspond plus à mes idées , je l’ouvre , mais je ne commente plus
Il faut aussi dire que la personne qui publie chaque jour une seule photo, une poesie , reste un blog difficile à commenter, mais j’essaie dêtre là
enfin tout ça pour dire qu’il faut se faire plaisir avant tout
J’aime « ton chez toi »Quichottine parce que j’aime les livres , j’ai plus de mal à reprendre la lecture , c’est elle qui m’a accompagnee durant toute la vie avant blog , je suis tombée malade et depuis gros blocage
Bavarde Canelle aujourdhui excuse moi
mais c’est un jour de grande lassitude
Bises Quichottine , ne change rien
Je suis d’accord pour le « vrai chez moi »…
La Bibliothèque et ce qu’elle est devenue grâce à vous l’est aussi pour moi, c’est l’espace où je me sens le mieux, loin de tout ce qui peut être « lourd » dans mon quotidien.
Je suis abonnée depuis peu chez toi… je me demande d’ailleurs pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. Tu as un blog magnifique et j’y ai beaucoup découvert.
Jour de grande lassitude ? J’espère de tout coeur que tu vas aller mieux et que tu sauras trouver chez toi de quoi te ravigorer…
Je t’embrasse très fort, Canelle. Prends soin de toi.
Je n’ai pas compris grand’chose …. Bonjour quand même, Quichottine !
Tu as tout lu et je t’ai encore une fois enquiquichottiné ?
Passe une belle soirée, Glorfindel.
c’est vrai que c’est difficile de bloguer! ça m’est de plus en plus difficile! combien de fois me suis-je dit, allez, cette fois tu arr^tes! pourtant au début, j’étais tellement pleine d’énergie et d’espoir et puis de plus en plus je me dis, bof, à quoi bon, tu fais trop de choses et est-ce vraiment utile?
bises à toi, l’avenir nous dira bien ce que nous allons devenir!
je pense à une fête que nous sommes allés animer avec notre petit groupe d’occitanistes: c’était le bicentenaire de la réunification de deux villages et nous nous sommes dit que pour le tricentenaire nous ne serions sûrement plus beaucoup à être là! pourtant la soirée était magnifique avec une lune extraordinairement ronde au dessus des arbres, des tablées toutes joyeuses de festoyer et de chanter en choeur sous les étoiles, et nous si petits et si faibles! que restera-t-il de nous, de nos écrits, de nos blogs,dans cent ans? Autrefois encore on gardait les lettres de nos correspondances et on édite encore la correspondance de gens plus ou moins célèbres mais qui retrouvera nos commentaires sur Ob?
Je ne sais pas, Azalaïs.
Je crois pourtant que le blog m’a fait rencontrer des personnes que je n’aurais jamais pu croiser autrement et qui me sont aujourd’hui très chères.
Je pense aussi que rien de ce que je fais au quotidien ne peut remplacer ces moments-là, qui, comme le dit Canelle n’est fait que du meilleur…
Utile, oui, finalement… Surtout si l’on arrive à ne pas demander plus que ce pourquoi il est fait.
Que restera-t-il dans cent ans ? Je ne sais pas. Je pense que si nous voulons en garder une trace, il faut faire comme tu as fait, imprimer, publier dans un livre.
J’y pense de plus en plus sérieusement. Mettre en recueil les textes que j’aime, et les proposer à ceux qui les voudront. En garder pour mes enfants.
C’est une partie non négligeable de ma vie d’aujourd’hui.
Les commentaires… oui, tu as raison, ils disparaissent le plus souvent, et pourtant, ils comptent dans le plaisir que l’on peut éprouver en bloguant.
Je n’ai pas de réponse. Peut-être faut-il garder une trace de ceux qui nous tiennent à cœur ?
Merci pour ta présence aujourd’hui, Azalaïs, et pour ce partage… La fête devait être splendide… Je l’imagine. J’adore la description que tu en fais !
Juste un petit coucou. Oui, je sais, les coucous ce n’est pas ici…. hé bien, tant pis.
Et je vais quand même dire ceci: quand un article est trop long, c’est vrai, je lis en diagonale et je commente une phrase qui m’a interpellée… dans ma diagonale… que ce soit chez toi ou ailleurs.
Mais ça, je suppose que tu le sais très bien…
Bonne journée Quichottine.
Ne sois pas gênée de le dire… Tu sais, je pense qu’il n’est pas toujours facile de trouver le temps de lire sur un écran. Je devrais me créer un cadre et ne jamais le dépasser.
J’aime aussi certaines lectures diagonales de mes visiteurs, parce qu’ils s’arrêtent souvent sur « La » phrase que j’ai aimé écrire.
Bonne soirée à toi, Marie. Merci pour ta présence. (C’était le bon endroit pour ce coucou-là.)
Coucou !
Quelle piplette , j’aime te lire et je t’admire tu écris si aisément et si naturellement. Moi je ne sais pas faire de si beaux écrits même pas du tout et heureusement que j’ai mon APN (appareil photos numérique) greffé dans ma main car je n’aurais pas grand chose sur mon blog . Ici le ciel est gris sur la Comté .
Bon mardi , bizoux Françoise !
Il ne faut pas forcément écrire beaucoup pour que ce soit agréable à lire et à visiter.
Chez toi, tu trouves toujours ce qui fera de tes photos autre chose qu’un simple reportage. Le plus souvent, l’humour et la gentillesse sont au rendez-vous. Que demander de plus ?
J’espère qu’il fera beau pour vous demain. Bisous et bonne nuit.
Je n’ai pas beaucoup à ajouter, tu connais mon sentiment sur ce point, il n’a pas changé depuis mon article. Je veux que mon blog reste un plaisir et ne devienne pas une contrainte. J’aime l’image du radeau de Christian
Mon blog fêtera son quatrième anniversaire ce mois ci et s’il est toujours, si je suis toujours là c’est parce que je continue a faire rimer amitié avec liberté
Merci d’être toujours là aussi Quichottine …
Je suis sûre qu’il n’a pas changé, comme je n’aurais sans doute pas ajouté grand chose aujourd’hui à mon commentaire.
Je suis heureuse de te connaître, Kri. Merci à toi.
Je passe faire un petit tour en Quichottinie, pour me changer les idées..et que vois-je ?..des bannières de blogs que je connais bien et que j’apprécie…c’est très très sympa ça…donc, tu as bien fait de parler d’eux, je vais de ce pas aller leur dire bonsoir…bises Quichottine, et à bientôt
Merci, Jackline. C’est vraiment gentil !
Bises à toi aussi.
oui c’est vrai pas facile parfois de tous se comprendre ou de comprendre ,
mais quand on est là encore aussi longtemps c’est que finalement on finit par se comprendre quand même , et même si c’est long à comprendre qu’on s’est compris , l’important c’est la compréhesion et non l’incompréhension ,
bon je souhaite que tu m’aies comprise ?
pas sur !
bisous d’été ensolleillés
IRIS
Chère Iris !
Les années qui passent nous permettent de nous connaître, et, ce faisant de mieux nous comprendre, c’est vrai.
… et ça bien longtemps que toi et moi nous rendons visite en sachant que l’absence n’est pas synonyme d’oubli quand nous devons nous absenter.
C’est ce qui fait chaud au coeur.
Bisous à toi aussi, Iris… des bisous à partager.
Oh là, que c’est difficile de bloguer ! Je comprends Dom; elle s’investit beaucoup et les petits coucous sans référence à l’article « pèsent ».
Chez toi, je viens de temps en temps en ce moment car le temps n’est pas à rallonge et que, arrivée le soir, je cale et ai hâte d’aller dormir. Ce que j’aime chez toi, c’est ta franchise mais surtout ta sensibilité à fleur de peau qui, parfois m’amène les larmes aux yeux. Ta façon de nous amener à ton « sujet principal » me plaît.
Bon, il y a un « quelque chose « d’indéfinissable » qui m’attire.
Gros bisous du jour Quichottine !
Je sais que ce n’est pas toujours facile… et je sais aussi qu’absence ne veut pas dire abandon.
Dom est mon rire du jour… même si je sais que je n’arrive pas toujours à rebondir sur ses articles…
En ce moment, je dois dire que son image quotienne chez elle me manque… même si je sais qu’il lui fallait trouver du temps. En fait, je sais, il faudrait que je reprenne ses anciens articles pour en retrouver la douceur !
Merci pour ton appréciation de mon blog… C’est vraiment gentil.
Gros bisous à toi aussi, Alrisha. Chez toi, je me régale d’images, et les découvertes que j’y fais me plaisent.
C’est pas blogger qui est difficile, c’est nous qui sommes compliqué et rendons les choses difficiles , comme pour tout ^_^ les fameux codes, la bienséances etc etc. Pour ma part tant que je prend du plaisir a ce que je fais je continue, mais j’ai laissé tomber les obligations ( ou du moins ce qu’il me semblait comme une obligation). j’aime bien passer sur les blogs, les visiter, mais je n’ai pas toujours le temps de laisser une trace, autrefois je m’y obligeais presque, aujourd’hui je ne fais que ce que je peux en espérant que tout le monde peut comprendre que je ne peux pas étirer les journées , ni mes heures. Je crois que c’est pour tout le monde pareil. Quand tout le monde aura compris ça, blogguez deviendra facile pour tout le monde 😉 bises quichottine .
Sourire… comme toujours, tu as les mots de la sagesse !
Je crois que de toute façon, c’est la seule solution possible. Sinon, le blog disparaît…
Bises et bon retour chez toi, Loralia.
bonjour quichottine ton billet comme les com sont une belle analyse d’un blog.
donc pour completer, je te dirais moi au départ oui rompre la solitude lorsque qing travallais, mais surtout faire découvrir un pays mal compris et souvent critiquer a tord par les médias
bon jeudi
rené
Ton blog est d’une richesse incroyable et c’est vrai que j’y ai appris beaucoup sur la Chine et ses coutumes.
Je ne peux le suivre au quotidien, mais j’aime m’y promener dès que j’en ai le temps.
Bonne journée à toi aussi.
Bonne soirée sur ton blog!
Merci, Fancri… Belle journée à toi.
Bloguer est difficile quand on a l’impression démoralisante de n’avoir plus rien à dire, plus rien à montrer.
Bloguer est difficile quand on commence à se demander si un blog n’est pas la vitrine de notre égo.
Bloguer est difficile quand on on se fait attaquer virtuellement par des anonymes (?) haineux.
Bloguer est difficile quand on on voit des aminautes qui disparaissent de la Toile contraints ou de leur plein gré, sans espoir de renaissance , même sur une autre plate-forme, même sous un autre pseudo.
Mais:
Bloguer est plaisir de rencontrer de façon plus ou moins régulière, ses aminautes.
Bloguer est plaisir de réconforter l’aminaute dans la peine.
Bloguer est plaisir d’être réconforté par eux.
Bloguer est plaisir de partager un livre, une image, un coup de gueule ou un fou-rire.
Bloguer est plaisir de savoir que quelque part dans le Monde, quelqu’un attend ton billet et apprécie tes articles.
Bloguer c’est tout cela, plus les amiitiés virtuelles qui se nouent et se dénouent au fil du temps.
Au fil des aléas de la vie; la vraie.
Bloguer est difficle, mais tellemnt plaisant .
Gros bisous ma Quich’, je continuerai mon « rattrapage » demain.
(Heureusement que tu es en pause, ça me laisse du temps
J’aime bien ton résumé… tout y est.
Tu sais, il y a des jours « avec » et des jours « sans ». Des jours où tout semble bien plus simple qu’on voudrait nous l’imposer.
… et puis d’autres où je me dis « à quoi bon ? »… Alors, je pense à vous, à mes « vrais » amis de la Toile, à ceux qui ont su traverser l’écran. Cela, c’est irremplaçable.
Dans la « vraie » vie, aurais-je pu te rencontrer, Clo ? Je l’ignore. Mais, ce que je sais, c’est que tu m’aurais manquée.
Merci pour ta présence et pour ton affection. Je t’embrasse très fort.