Il y a quelque temps déjà, j’avais publié ici des images d’un mur peint. Vous en souvenez-vous ?
Je l’avais vu “quelque part”, en Bretagne, et, ce jour-là, j’avais perdu le petit papier où j’avais noté brièvement le nom de l’endroit où il se trouvait.
Il me restait l’impression, tout ce que j’avais ressenti en la voyant, et c’est cette impression que j’avais essayé de vous communiquer sur ma page.
Heureusement, Christian était passé à son tour. Il ne le ferait plus aujourd’hui car il est désormais parmi ceux qui errent peut-être sur le chemin d’à côté, nous laissant au cœur de jolis souvenirs et la nostalgie d’une belle rencontre qui n’a pas pu se renouveler.
Il avait cherché et trouvé tous les renseignements dont j’avais besoin pour écrire une nouvelle page en remerciement à Isabelle Cayeux, peintre à Lorient, l’auteur de ce magnifique mur peint.
“Je viens de passer un moment à chercher à te donner satisfaction et à trouver des explications sur cette fresque. Je suis heureux d’avoir abouti ! Voici ce que dit le site de Merlevenez :
La fresque de la fontaine Maria à Merlevenez (56)
Cette fresque a été réalisée en 2005 sur le mur bordant la place Max-Jacob, le long de la rue de la Mairie.
L’artiste est Isabelle Cayeux, de Riantec.
Selon les propos du maire : « Elle a su traduire le passage d’un monde rural qui n’est plus, à celui d’un néo-rural qui est le nôtre aujourd’hui ».
On y voit la fontaine de Kergornet, dite fontaine Maria, élément notable du patrimoine communal. Le cheval de trait représente le travail rural d’autrefois. Le porche a véritablement existé dans l’un des villages de Merlevenez. A travers ce porche, symbolisant l’ouverture de la commune sur l’extérieur, s’étendent les sites ravissants et historiques de Mané er Hoët et de la Ria d’Étel.
La fenêtre est un trompe-l’œil.
Un avant toit a été construit au sommet du mur pour protéger l’œuvre.”
Ce que ne m’avait pas dit Christian, c’est que le personnage qui y était représenté et qui était pour moi une merveilleuse allégorie du Père, n’était pas seulement une image, une création pleine de tout ce que chacun peut mettre dans ce mot.
Je n’y avais pas pensé, et je suis tout à fait désolée d’avoir fait de la peine sans le vouloir à quelqu’un dont j’ignorais l’existence.
C’est un simple message laissé via le formulaire de contact de mon blog qui m’attendait à mon retour. J’ai répondu, bien sûr, mais ma réponse n’est jamais parvenue à son destinataire. L’adresse était-elle erronée ? Je ne sais pas, mais je ne voudrais pas que ce message reste sans réponse et que la personne qui me l’a envoyé pense que je me moque bien de ses mots. Ce n’est pas le cas.
Je poste donc ici ma réponse, espérant qu’elle la lira, et, dans les jours qui viennent, j’ôterai les images dont il est question et pour lesquelles je n’ai pas demandé d’autorisation.
Le modèle est son père, et j’ai eu l’impression qu’il n’était désormais plus là…
“Je viens de découvrir par hasard la diffusion et les commentaires élogieux sur la fresque en trompe l’oeil à MERLEVENEZ 56 de l’artiste Isabelle CAYEUX, je la remercie d’avoir demandé à mon papa de servir de modèle ; cependant par respect pour lui & la famille, j’aurais aimé que vous vous soyez renseignée sur l’origine avant de la publier. MERCI…….Marie….”
Elle a tout à fait raison, et même si la fresque est toujours visible par tous ceux qui passent sur la route, là-bas, à Merlevenez, dans le Morbihan, je n’avais pas le droit de la reproduire sans autorisation.
Comme toujours, lorsqu’on me le fait remarquer, lorsque cela peut nuire à l’un ou l’autre, ce qui semble être le cas, je vais supprimer les images.
Voici la réponse que je lui ai envoyée, et qui m’est revenue, non distribuée.
“Bonjour Marie,
Comme suite à votre message concernant la fresque… Je suis tout à fait navrée de ne pas avoir cherché s’il y avait quelqu’un qui avait servi de modèle.
Je comprends tout à fait votre réaction et, comme pour chacune des images que je publie sur mon blog, je suis prête à la retirer, d’autant que je crois vous avoir attristée, ce qui n’était pas mon but.Désirez-vous que je l’ôte de cette page ?
Je le ferai immédiatement.Dans l’attente de vous lire.
Avec mes remerciements pour les précisions que vous m’avez apportées.Quichottine”
Bien sûr, elle ne pouvait pas répondre à ma question, donc, je vais considérer qu’elle aurait été affirmative : c’est le droit du modèle ou de ses ayant-droits de ne pas vouloir être divulgué sur la Toile, quels qu’aient été les termes du contrat passé avec Isabelle Cayeux.
Et puis, après tout, les articles sont anciens, la fresque est toujours visible ici ou là sur la toile, elle fait partie du petit patrimoine qu’on ne trouvera pas dans les musées, des œuvres qui seront un jour ou l’autre effacées.
Je continue à apprendre de mes erreurs passées. Merci donc à Marie.
Merci à vous qui me lisez.
…
QUELLE belle démarche ! et la fresque est remarquable, ces peintures murales m’évoquent les muralistes mexicains
Merci… j’ai trouvé superbe cette fresque.
Juste un petit coucou. Je poursuis ma longue pause estivale. Pour le moment je suis en vacances au Croisic en mobil home dans un super camping avec immense piscine. Nous randonnons dans cette belle presqu’île de Guérande. Je passe chaque jour lire vos articles sans commenter pour gagner du temps pour lire. Belle fin de mois de Juin. Bisous
Merci Martine.
Profite au mieux de tes vacances. Je suis heureuse que tu sois en bonne forme.
Bisous et douce journées là-bas.
Je comprends mieux en lisant ton texte que c’est normal qu’on ne voit pas la fresque dans cet article (j’ai un emplacement blanc à la place et je croyais qu’il s’agissait d’un nouveau bug) mais le lien nous envoie vers ton ancien article ! Je comprends la réaction de la famille mais tous les artistes s’inspirent de quelque chose ou de quelqu’un qu’ils ont croisé dans leur vie et nous ne pouvons tout savoir. Je n’appelle pas ça une erreur. Je ne trouve pas que tu aies manqué de respect, bien au contraire. Je pense que Marie devrait être flattée de tes mots car ce que tu as écris autour de cette fresque et ce qu’elle a suscitée en toi, c’est superbe ! C’est vrai que moi non plus en la regardant, je ne pense pas que cet adorable « grand-père » est le papa de quelqu’un…ce n’est pas en tous les cas ma première pensée. Je le trouve beau et émouvant, c’est tout et pourtant je ne le connais pas. bisous et une douce journée
Pour l’image, il y avait un bug… j’ai conservé celle où l’on ne voyait pas les détails du modèle.
Merci pour tes mots, Manou.
Je dois dire que le message de Marie m’a touché à cause de la peine que je ressentais dans ses mots. En aucune façon elle n’a critiqué mon billet, juste l’utilisation de l’image.
Bisous et douce journée.
Ces fresques que l’on trouve dans nos villes et villages sont souvent magnifiques et mettent dela gaieté dans les rues, elles méritent toute notre attention
Personnellement, j’aime beaucoup les découvrir.
Merci, Gazou.
Chacun a une sensibilité plus ou moins exacerbée. Mais je comprends difficilement qu’on s’insurge de la diffusion d’une image par ailleurs on ne peut plus exposée, et comme Manou, je pense que montrer cette fresque est autant un hommage à l’artiste qu’à cet homme qui symbolise un monde que nos petits enfants ne connaîtront jamais. Je ne vois aucun manque de respect là-dedans, bien au contraire. Mais peut-être que l’épine du chagrin n’était pas encore tout à fait arrachée ?
Je crois assez à l’épine du chagrin, et c’est pourquoi j’ai ôté l’image du détail où l’on voyait mieux l’homme.
Je comprends tes scrupules mais à partir du moment où l’on accepte de servir de modèle pour une oeuvre picturale, on sait très bien que l’image passe dans le domaine publique, sera dupliquée sur tous les supports imaginables, presse, réseaux sociaux etc. Ton article était loin d’abimer cette image, et tu n’en as pas fait un usage commercial, bien au contraire, alors je ne vois pas en quoi cette personne pourrait se sentir blessée, à sa place je serais même flattée.
Elle n’a pas critiqué mon texte, juste l’utilisation de l’image.
Je crois que ça peut s’expliquer par un récent chagrin.
Je ne lui en veux pas, au contraire.
J’aurais aimé que ma réponse puisse lui parvenir autrement que par le blog.
Coucou Quichottine,
Pfffffffff, l’image ne s’affiche pas, du coup je vais essayer de penser à repasser 😉
Ton texte sans la photo, c’est pas le top… pour comprendre de quoi tu parles.
Bises et bonne journée
J’ai corrigé le bug… merci de me l’avoir signalé.
Bises et douce journée Pascale.
Tes scrupules te font honneur, sont-ils ici justifiés ???
Cette fresque est très belle, et est tout à l’honneur de celui qui lui a servi de modèle.
J’ai ressenti chez Marie de la tristesse… et elle n’a aucunement critiqué le texte que j’avais écrit.
Je crois qu’elle avait seulement du chagrin.
c’est bien compliqué tout ça d’autant plus que moi , c’est sur le cheval que j’aurais aimé écrire mais je ne pense pas qu’elle ai été froissée par ton article, simplement elle voulait apporter une précision, ce qui est tout à fait normal. Bises et bonne journée
Je suis sûre que ton texte aurait été très beau, comme ce cheval.
D’accord avec toi. Elle m’a apporté la précision sur le modèle, et donc souligné le fait que ce n’était pas une simple création de l’artiste.
Bises et douce journée Azalaïs.
Je connais bien cette fresque de Riantec … et je pense qu’elle etait faite pour être vue et surtout partagée , le droit à l’image là n’est pas reel ..toutes personnes passant par cette jolie petite ville de Riantec peut la voir et je t’assure qu’au niveau tourisme il y en a ..
Sur cet article ta photo n’apparait pas , mais j’ai repris ton ancien article ou là on peut la voir .
Ne te tracasses pas ..certains artistes ne comprennent pas toujours nos demarches ..
Toi qui raconte des histoires , cela aurait du la rendre fière de ce partage ..
Gros bisous Quichottine
Pour l’image, il y avait un bug ici.
Merci d’être allée voir le billet précédent.
Là, il n’était pas question de l’artiste, je lui ai rendu hommage sur une autre page.
Il était question de rappeler que le modèle était réel et elle a eu raison de me le préciser.
Je crois qu’elle a eu du chagrin, et j’aurais aimé pouvoir lui répondre hors blog.
Gros bisous et merci pour tout Claudine.
Elle est magnifique cette fresque ma Quichottine. Le site du petit patrimoine en fait état et les photos produites sont franchement très belles. Réalisée dans la commune de Merlevenez (56), elle devient publique, tout comme la fresque des écoles dans mon île de Batz. Je ne vois pas où est le problème dans ce cas là de publier une photo d’œuvre peinte sur un mur communal.
Bises et bon jeudi.
Te souviens-tu de Muad ?
Lui ne prenait que des photos de statues exposées dans des endroits où tous pouvaient les voir gratuitement.
Il a dû fermer son blog, pourtant, sous la pression d’avocats.
Je crois que le droit à l’image est bien plus compliqué que ce que la simple logique voudrait.
Enfin, ce n’est pas grave, j’ai seulement supprimé l’image où le gros plan montrait davantage le visage de cet homme.
Je comprends que sa fille ait pu éprouver du chagrin en la trouvant chez moi.
Merci à Marie de m’avoir informée sur le modèle, et merci aussi à tous pour les mots déposés ici.
Bisous et douce journée.
Je ne comprends pas les réactions de cette dame. Qu’elle soit fière que son père ait servi de modèle pour une fresque publique, je le conçois aisément.
Qu’elle donne des précisions sur le modèle aurait été une démarche élégante. Qu’elle fasse des reproches sur l’absence de renseignements préalables me paraît relever d’une certaine aigreur de caractère que j’estime affligeante.
Pour ce qui est de la démarche de certains avocats, concernant des œuvres grand public exposées gratuitement, ce n’est que l’espoir – totalement vain – d’obtenir des compensations financières. L’affaire des amoureux de la Tour Eiffel – source d’immenses profits pour le photographe – a donné des idées à des assoiffés d’argent.
Ma Quichottine, tu es trop délicate, trop soucieuse, bien au-delà des normes honorables.
Je crois qu’il ne faut pas juger Marie. Elle a raison en cela que je n’avais pas pris le temps de me renseigner sur l’origine de la fresque avant de publier mon premier article à son sujet.
Christian m’avait ensuite donné tous les renseignements, et j’avais donc pu compléter grâce au second billet, que Marie n’a peut-être pas lu.
Dans le formulaire de contact, on ne donne pas de précision quant à la page lue.
Mais de toute façon je la remercie pour sa démarche et regrette d’avoir dû passer par le blog pour lui répondre. Beaucoup sont très sévères avec elle. Je crois qu’il faut aussi penser à elle et au chagrin sans doute avivé par mon billet.
Merci pour tout, Mag. Passe une douce journée.
Je partage l’avis de MAG Chère Quichottine, à partir du moment où l’oeuvre est publique c’est de la mauvaise fois de se plaindre. cette fresque est offerte au public elle n’est pas dans un espace privé.
Lorsque je visite une exposition je demande toujours la permission de prendre des photos et les « meilleurs » artistes l’accorde volontiers…
Je t’embrasse
Je le fais aussi dans les espaces privés, comme je le fais chaque fois que j’utilise un tableau ou une image empruntée à d’autres.
Je n’ai jamais eu de réponse négative, même s’il m’est arrivé de ne pas avoir de réponse. 🙂
Ne soyons pas trop durs avec la fille du modèle, elle avait raison.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.
Bonjour Quichottine. Je truve au contraire que tu rends un bel hommage à l’artiste et à son modèle en les mettant ainsi en lumière, avec tes mots toujours élogieux et positifs. Bonne journée et bisous
Merci.
Bisous et douce journée à toi.
La fresque est exposée dans la rue, des milliers de photographes sont passés par là!
*****
Un texte de Victor Hugo:
c’est un écrivain mais ça vaut pour les peintres et les photographes…Envoyé par mon fils car j’étais en colère qu’un de mes poèmes ait été plagié…
*****
Dès la publication, l’auteur n’est déjà plus le maître de son œuvre. Elle ne lui appartient plus. Il ne peut plus rien en retrancher. Dans les faits, elle est déjà, dans le domaine public :
« C’est alors l’autre personnage qui s’en empare, appelez-le du nom que vous voudrez : esprit humain, domaine public, société. C’est ce personnage-là qui dit : Je suis là, je prends cette oeuvre, j’en fais ce que je crois devoir en faire, moi esprit humain ; je la possède, elle est à moi désormais. Sa volonté n’y peut rien. Voltaire du fond de son tombeau voudrait supprimer la Pucelle ; M. Dupanloup la publierait. »
Hugo va même plus loin en disant :
«… il ne dépend pas de l’auteur de faire une rature dans son oeuvre quand il l’a publiée. Il peut faire une correction de style, il ne peut pas faire une rature de conscience. Pourquoi ? Parce que l’autre personnage, le public, a pris possession de son œuvre. »
Merci, Marie.
C’est un texte que je ne connaissais pas.
Mais je l’approuve tout à fait. 🙂
Je ne comprends pas trop la réaction de cette femme. Tu aurais pris une photo sur son blog ou autre, j’aurais compris. Mais là cette oeuvre est publique, exposée à la vue de tous, et comme dis écureuil bleu, tu lui rends un bel hommage
Moi j’aurais été fière et touchée. Mais tout le monde ne réagit pas pareil
bisous et bonne journée
Je crois qu’il ne faut pas juger, nous ne savons pas le pourquoi de sa réaction, et elle a raison dans le fait que je ne m’étais pas renseignée avant de publier l’image la première fois.
Ensuite, j’ai publié un autre billet qu’elle n’a peut-être pas lu, mais, de toute façon, j’ignorais qu’il y avait eu un véritable modèle, et que ce n’était pas un personnage issu de l’imagination de l’artiste.
Je crois qu’il fallait qu’elle me le précise, et elle n’a pas critiqué mon écrit, juste le manque de précision.
Merci pour tout, Lilwenna.
Bisous et douce journée à toi.
coucou cette fresque est superbe
ce monsieur était conscient que son visage allait passer à la postérité et lui apporter une vie virtuelle très longue ; s’il a accepté d’être peint , il savait que ce visage resterait figé dans le temps et dans l’espace ; la figure ne lui appartiendrait plus car lui continuerait à vieillir ; il aurait sous les yeux ce qu’il fut , comme une chimère éternelle ;
maintenant sa famille a cet instantané célèbre qui survit ;
naturellement le modèle était le père et à ce titre cette oeuvre a un caractère que les autres non pas ; sans être à eux, elle leur appartient sentimentalement , comme l’ombre de ce qu’il fut
et je comprends très bien qu’ils ne puissent différencier l’oeuvre du souvenir de leur père ;
maintenant , s’il n’est plus , elle doit être douloureuse ; la fierté de la reconnaissance doit être teintée de chagrin;
et je comprends très bien qu’il puisse être nécessaire de signaler qui était ce monsieur, le faisant , en un instant, revivre dans l’inconscient collectif
nous avons tous perdu un être cher et nous pouvons comprendre ce besoin ;
ceci nous rappelle que derrière chaque portrait se cache beaucoup plus qu’un peu de peinture ;
et nous ramène à la duallité de chaque représentation ;
bisous
Merci pour ce très beau commentaire, Michelle.
Tout à fait d’accord avec tes mots.
Bisous et douce journée à toi.
tu es très délicate et sensible ; dommage que cette personne ait supprimée son adresse. Son chagrin est compréhensible, mais cette oeuvre est tellement un hommage à son papa ! Dommage dans notre société d’aujourd’hui où regarder des photos d’enfants ou de personnes du bout du monde (surtout du tiers monde) est normal et pour nous les occidentaux, notre image est sacrée.
Ton article nous fait réfléchir ; merci et bises.
Mon message m’est revenu, l’adresse était-elle supprimée ou seulement trop encombrée pour recevoir un nouveau message, je ne sais pas.
Belle réflexion aussi sur ce droit à l’image que nous n’accordons pas le plus souvent à d’autres…
Merci à toi. Bises et douce journée.
je n’en rajouterai pas mais tu n’as rien fait de mal, et c’est vraiment bizarre de ne pas avoir l’origine de ce meil, est-il vraiment de cette personne ?? avec le net on fait dire n’importe quoi à n’importe qui…
je trouve cette fresque magnifique et j’avais lu ton premier article, je trouve mal venu que tu n’ai pu répondre à la bonne personne ???
belle journée à toi, ici c’est grosse chaleur, l’été est bien installé !
Bisous, MIAOU !!!
Il y avait une adresse mail… mais le message que j’y ai envoyé n’a pas été remis à son destinataire.
Belle journée à toi aussi Mistigris. Bisous.
coucou cette fresque rend hommage à ce monsieur ; dommage que sa fille ne l’ait pas ressenti ainsi
bisous
Elle critiquait ma démarche, pas le texte que j’avais écrit.
Bisous et douce journée Victoria.
Pourtant à lire ce que dit cette personne, il me semble qu’elle voulait simplement que son père soit mis à l’honneur , et non pas que tu retires la photo.
C’est juste mon interprétation.
C’est une belle fresque en tout cas . Je n’y voyais pas autant de symboles ; c’est bien d’avoir toutes ces précisions.
Bisous
Je suis assez d’accord avec toi… mais, comme je n’ai pas eu de réponse de sa part, je ne pouvais ni publier le nom de son père (qu’elle ne m’a pas donné) ni le sien.
Merci pour tout Fanfan.
Bisous et douce journée.
Cette jeune femme devait être triste pour réagir ainsi
Si j’avais publié ce mur peint sur mon blog, j’aurais mis tout un tas de gros plans, de détails dont je suis fan et malheureusement on ne trouve pas toujours toutes les infos qu’on voudrait sur le net malgré nos recherches
C’est gentil à toi d’avoir rectifié ton billet et d’avoir écouter ses mots
Doux dimanche & bisous
Je sais bien… Je crois que je vais désormais m’abstenir d’utiliser des images pour lesquelles je n’ai pas assez de renseignements.
Douce et belle journée à vous deux. Bisous.
C’est une très belle fresque…
Tu as fait au mieux… Merci de nous avoir donné toutes ces précisions…
Je m’efforce de mentionner mes sources et de demander l’autorisation avant de publier des images… Mais ce n’est pas aussi simple… On ne trouve pas forcément ce que l’on cherche… Et quand on apprécie quelque chose, on a envie de partager…
Bisous
Comme tu le dis, on ne trouve pas toujours ce que l’on cherche, et j’avoue que là, je n’avais pas cherché.
Bisous et douce journée Béa.
Cette fresque étant publique , cette réaction est surprenante, mais c’est très compliqué quand l’affectif est en jeu .
Tu as fait au mieux et tu ne peux rien te reprocher.
Bises Quichottine
J’espère que cette rectification la rassurera… je n’ai pas de nouvelles.
Bises et douce journée Zoé.
De toutes façons cet endroit public doit être mitraillé par un nombre considérable de touristes qui passent par là … et que cette oeuvre, certes de qualité, (mais qui s’effacera avec le temps) se retrouve dans un blog ne devait pas gêner à ce point … et pour faire plaisir tu rectifies c’est bien…
mais bon oublie… si cette personne est si choquée, il fallait qu’elle peigne cette fresque chez elle dans sa cour (quoique avec les drones maintenant on est plus sûrs de rien)…
enfin:
réjouie toi plutôt, ton blog est lu, apprécié et commenté pour sa valeur
Merci…
Je n’ai pas de souci quant à la suite des événements.
Merci à toi pour tout, Chantal. Passe une douce journée.
J’avais photographié en Provence, à Carcès, un beau village avec des fresques de ce genre magnifiques, avec de magnifiques chevaux Comtois, à la vue de tous
Parfois nos actes les plus innocents sont mal interprétés, on le sait,mais quand on n’y met pas de malice cela ne vaut pas la peine de se fâcher et d’en prendre ombrage
Je te souhaite un été Quichottine
J’espère qu’elle ne l’est pas.
Moi, j’ai fait selon ce qu’il me semblait bon de faire pour rectifier.
Bel été à toi aussi, Marine. Merci pour ce passage.
Il m’est arrivé plusieurs fois de devoir enlever des images dans mes articles à la demande des personnes qui sont « tombées par hasard » dessus. Je ne prends pas toujours l’autorisation.
Toutefois, là, la fresque est visible de tout le monde et il n’est pas si simple d’en connaître son origine.
Je ne trouve pas cela très grave. Merci du partage !
Bises et bonne journée Quichottine !
Bien sûr que ce n’est pas si grave dans l’absolu, mais je n’aime pas faire de la peine…
Bises et douce journée Monique.
Certes, chacun peut accepter ou interdire quelque-chose qui le touche, et ta réaction est logique.
Cependant, et cela n’engage que moi, je trouve au contraire que c’est un bel hommage à son père. Et puis si vraiment ça la chagrinait pourquoi ne l’a-t-elle pas effacée du mur, quelques part ça lui fait plaisir et elle en est fière. J’avoue ne pas comprendre, mais chacun voit les chose à sa façon. C’est le libre arbitre …
Je t’embrasse
Je suppose que ce mur ne lui appartient pas…
J’espère qu’elle a lu désormais ma réponse.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.