J’avais mis dans un petit coin de ma bibliothèque un « livre à lire ».
Chez Azalaïs, un recueil d’écrits et de photographies, une œuvre à quatre mains.Le mot de l’éditeur : Chemins de partage ou chemins d’écriture qui cherchent la lumière dans les sentiers de l’éphémère. Car c’est bien retenir l’éphémère que nous cherchons tous deux, lui avec son objectif et moi avec mes mots. Une quête sans fin à la recherche de quelque chose que l’on voudrait rassembler, unifier pour le rendre éternel, mais qui s’échappe toujours comme le sable entre nos doigts. Michelle Guianvarc’h Chemins de traverse TheBookEdition (2010) |
J’avais envie de le découvrir… il m’appelait depuis longtemps et je n’avais jamais osé.
Je ne sais pas pourquoi. Sans doute par peur de « devoir » ensuite en parler, ou de faire de la peine si je n’en parlais pas.
Un livre, surtout lorsqu’il est écrit par un(e) aminaute, c’est quelque chose de très particulier.
J’imagine le temps qu’il lui a fallu pour se décider à franchir la porte d’un éditeur, fût-il de ceux qui publient à la demande, impriment uniquement les commandes reçues.
Ici, il s’agit de poésie… Elle plaît ou ne plaît pas. Je dirais que cela ne se discute pas.
Le livre aurait pu ne pas me plaire. Il m’a plu.
Je l’ai lu. J’ai aimé.
Je vais vous raconter.
Un recueil de poèmes, je le mets quelque temps sur ma table de chevet, je l’ouvre à n’importe quelle page, de temps en temps, ou je le lis comme un roman, en suivant la chronologie voulue par son auteur.
C’était le cas ici.
Des chemins s’ouvrent avec la première page, des « Chemins de traverses« , bien sûr, mais d’abord des « Chemins de silence », des « Chemins d’eau », des « Chemins de fleurs » et enfin ces « Chemins de traverse » que le titre annonçait.
Celui qui aura lu avant moi ce recueil me dira sûrement :
– Tu te trompes, Quichottine ! Il n’y a pas de « Chemins de fleurs« , il y a des « Chemins fleuris« …
Je sais bien. Mais j’ai eu envie de la répétition de ce groupe de mots « chemins de »… Car c’est bien de cela dont il s’agit. Des chemins à parcourir, des chemins à découvrir pour ce qu’ils sont.
L’union de mots et d’images. L’union de deux sensibilités.
J’ai eu parfois l’impression d’assister à un ballet entre elle et lui. Un pas de deux qu’ils menaient à tour de rôle… l’un rattrapant l’autre sur le fil pour créer l’harmonie de la page.
Alors, je retenais mon souffle, pour ne pas risquer de la détruire. Beauté suprême d’un instant partagé.
Trois vers et une image, comme sur la première page offerte des « Chemins de silence », parfaite (p.5).
Quelques mots sous un superbe iris, celui qui ouvre les « Chemins fleuris »… magnifique description des fleurs « passantes, tisseuses de saison » (p.33).
Toujours, des mots, de ceux qui parlent, qui vous prennent doucement la main et qui vous racontent simplement ce que vous ressentiez.
Automne
Cette urgence de vivre à la fin de l’été ! Vouloir soudain tout voir, tout cueillir, tout garder dans ses bras, dans ses yeux, comme s’il s’agissait de son dernier été. Cette soif, cette humeur désirante, cette presse aliénante qui nous prend tout entier dans un grand désespoir qui chavire le cœur. Sentiment d’éphémère, petit éclat de vie qui se casse et qui git, sur le chemin des hirondelles.
Et nous voilà tout emplis d’inquiétude au chevet de ce grand corps malade. On cherche les prémices de la mort annoncée dans les grands arbres fiers qui retiennent leurs feuilles, le bruit sec, sans appel des marrons frais tombés, les dernières fougères qui bravent le silence.
Qu’est-elle devenue la jolie vague rousse du petit bois de peupliers et notre herbe d’été qui nous offrait d’un coup une si belle ardeur ? Comme tout était vert et tendre et neuf avec un chant d’éternité à la cime des fleurs !
Quelle est donc cette peur qui nous étreint le cœur dans sa grande tenaille ? Il faudrait inventer des berceuses pour emplir nos mains vides et des mots de printemps pour apaiser la nuit de nos vieilles âmes grises.
(in « Chemins de silence », p.9)
Un texte parmi d’autres. Un texte sans image, parce qu’elle n’était pas vraiment nécessaire tant sont fortes celles que les mots suggèrent.
Un couple, c’est cela aussi. Des moments où l’un des deux est seul devant sa page blanche et dit – peut-être mieux qu’à deux – ce que l’autre n’entendrait sans doute pas.
Se laisser porter dans des ailleurs où tout est encore possible, découvrir des mots « picorés dans le vent« .
Rêver… et décider de le lui dire. Simplement.
J’ai aimé votre livre à quatre mains. Merci, Azalaïs.
…
« des mots, de ceux qui parlent, qui vous prennent doucement la main et qui vous… » qui vous emmènent là, dans ces champs où l’imagination est la plus fertile, la plus vagabonde et la plus libre. Là où la seule barrière c’est … l’imagination.
Ferme les yeux et … laisse toi emporter
J’ai tendance à penser que l’imagination n’a pas de barrière… si ce n’est qu’il arrive que les mots ne suivent pas toujours. Ici, ils ne manquaient pas.
Merci, Alphomega.
Je crois que j’aimerai assez !! Passes de belles journées à venir, bises de nous deux;
Je le crois, mais comment le savoir ?
Tu pourrais lire certains de ses textes chez elle, même si tous n’y sont pas.
(Quand tes yeux iront mieux)
Belles journées à toi aussi, Patriarch. J’espère qu’elle seront meilleures et moins grises qu’aujourd’hui.
Tu me donnes envie de m’y plonger!
Plonge ! 😉
Comme d’habitude, ta mise en bouche est excellente. Elle appelle une suite qu’il ne tient qu’à nous de déguster. Et à ce moment du repas, je m’aperçois que, finalement, je n’ai pas de retard, et qu’il va me falloir attendre… Mais je me connais : j’accumulerai d’autres retards !
C’est de ma faute… je ne devrais pas mettre en ligne un feuilleton tant qu’il n’est pas intégralement écrit.
Ne t’en fais pas… Je ne peux pas parler de retard puisqu’il n’y a pas de « temps » en Quichottinie.
De la poésie de notre amie Azalaïs en ce lundi bien gris sous la pluie, j’emprunte volontiers les chemins de traverse vers cet arc-en-ciel.
Bises pour la semaine
Merci, Brunô.
Il y a tant de promenades à faire chez elle…
Bises et bonne semaine à toi aussi.
Des textes magnifiques chez notre dame Azalaïs qui nous emportent et nous comblent, nous enveloppent et qui s’accordent à nos rêves….
Je trouve aussi…
J’aime énormément ce qu’elle fait, dans tous les domaines.
Merci, Zoupie.
mdrrr !!! Oui, très fâchée, dès ce matin car nuit blanche sans raison …
Bizzz
C’était ton image qui me l’avait suggéré.
J’espère que tu dormiras mieux la nuit prochaine. Bisous, Dom. Merci d’être revenue.
Tu as des arguments doucement têtus…Envie de le lire, c’est sûr !
J’aime beaucoup être « doucement têtue », comme mes arguments.
Merci, Marlou.
Tu me donnes envie de lire ce livre, mais j’en ai déjà beaucoup sur ma liste… Bonne soirée
Je le sais bien… la mienne déborde de partout !
Bonne soirée à toi aussi, Écureuil bleu.
J’aime les odeurs de terre, d’eau, et le vent, chez Azalaïs. Les souvenirs s’égrènent, souvent en parallèle, au rythme des siens et des sens.
Un mariage multiple entre mots, images, sensations. Intime et sensuel.
Merci, Quichottine. Bisous du soir, ici …
Merci, Midolu, d’avoir ajouté ce ressenti. C’est tout à fait conforme à l’idée que je m’en suis faite.
Bisous d’un autre soir…
Un autre livre qui semble bien intéressant d’après ta description. je vais aller faire un petit tour par chez elle.
Merci, Solange.
Il faudra peut-être que tu corriges ta fenêtre de commentaire chez moi.
Tu y signes « C’est vrai qu’elle est jolieSolange »… ce n’était pas ta signature habituelle.
Passe une douce soirée.
Quand tu nous racontes les livres, tu donnes envie de les lire .; le dernier extrait me plaît beaucoup ;
Je te souhaite un bonne nuit
Un petite photo qu’une amie m’a envoyée d’un séjour en Espagne ; tu l’as peut-être vue de près ?Bisous
Merci, Fanfan.
Je n’ai jamais vu cette statue de près… mais je crois que certains me l’ont déjà envoyée en photo. Tu pourrais préciser l’endroit ?
Je pense qu’il s’agit de celle qui est à Madrid, Plaza de España, devant le monument à la gloire de Cervantes.
Mais je peux me tromper.
En tout cas, tu es adorable de me l’avoir envoyée.
Bisous tout plein.
des mots qui en entraînent d’autres … à lire, à relire , à découvrir. Je suis alllée faire un tour dans les allées de ta bibliothèque, bien tranquille chez moi …j’ai commandé la Voleuse de Livres! Merci pour tout ça!!!
Merci…
Lorsque tu auras lu, tu me diras ?
Cela me ferait plaisir d’avoir ton opinion après lecture, que tu aies aimé ou pas.
Chère Quichottine, je pensais justement à cette édition lors de mes passages chez Azalaïs, j’avais été agréablement surprise et puis j’ai oublié… Merci pour le rappel et pour ce clin d’oeil à ses textes et belles photos de son zhomme, je vais aller frapper à sa porte dès que possible ;-)))
T’embrasse tout plein
Les textes qu’Azalaïs a publié sont très beaux. J’ai beaucoup aimé et n’ai pas regretté mon achat.
… Mais je sais que nos bibliothèques ne sont pas extensibles, malheureusement.
T’embrasse tout plein aussi, chère Joëlle. Je suis contente que tu sois de retour. Merci.
C’est très joli tous ces chemins qui s’etrelacent
Amitiés, Flo
Merci, Flo. Je suis presque sûre qu’ils te plairaient.
c’est très joli » le chemin du silence » mais parfois surtout chez nous l’arrière saison, est plus belle, plus ensoleillé que l’été lui même, alors on a plutôt tendance a admirer les dernières couleurs estivales, juste apprécier
bisous et belle soirée
L’automne est ma saison préférée, pour ses tons doux et chauds, pour les odeurs de terre mouillée, pour cette atmosphère ouatée des débuts de journée brumeux…
Mais bon, je crois que chacun a sa saison.
Bisous et belle soirée à toi aussi. Merci.
je suis content qu’Azalais ai sorti son recueil….
besos
tilk
Oui, moi aussi.
Me reste à sortir les miens.
Je ne connais pas le livre d’Azalais mais seulement les écrits sur son blog, ces mots me transportent toujours dans un univers magique, un à Yeurs magnifique, j’aime ce qu’elle écrit, c’est bien de parler de son livre.
J’aime aussi beaucoup.
Je suis contente que ses écrits te plaisent.
C’est un très bel extrait que tu nous offres, j’aime beaucoup cette poésie, merci pour la découverte sur « ton chemin de fleurs ». Bonne soirée
Merci à toi d’être venue lire…
Passe une belle journée.
j’aime beaucoup la notion de mots picorés dans le vent… :o))
douceurs à toi
Moi aussi.
Passe une bonne soirée, Mamalilou. Merci.
C’est marrant, j’ai aussitôt un air de Cabrel en tête…
Sourire… J’ai eu en tête le titre d’un roman.
Les connexions se font entre les souvenirs qu’appellent certains mots.
Merci, Marc.
En effet, c’est très beau. A découvrir …
Bon début de semaine ! Bisoux.
Merci, Dom.
Tu étais fâchée aujourd’hui ?
la poésie c’est une forme d’écriture que j’ai bien du mal à lire dans un recueuil d’une traite…
Bonne journée à ma Bibliothécaire…
N’essaie même pas. Je ne lis jamais tout d’une traite…
Là, j’ai lu les pages l’une après l’autre, mais pas toutes le même jour.
Bonne journée à toi aussi, Annie.
c’est bien : hen ! l’union des mots et de l’image…..
Tout à fait.
C’est vrai que les chemins de la poésie s’empruntent à tous moments et qu’il fait bon s’y égarer
J’aime bien la façon dont tu le dis… Merci, Liza.
Merci pour cette présentation… Tu sais comme la poésie, je l’aime aussi, en ouvrant mes pages au hasard, et les photos, qui sans texte parfois, ont valeurs de mots soufflés à mon esprit… les yeux dans la photo et les rêves partis se promener dedans… Merci pour cet article!
Je crois que c’est seulement ainsi qu’on peut l’apprécier… des pages au hasard…
Comme des rendez-vous à ne pas manquer.
Merci à toi pour ce partage.
Merci pour ce lien Quichottine Je vais aller la voir
bises , bonne journée
Merci, Canelle.
Tu pourrais peut-être aimer ses bleus.
Bises et bonne journée à toi aussi.
Je me suis tout autant que toi régalée à le savourer lentement, promenée ainsi au fil de ces chemins dans un langage qui n’appartient qu’à elle, des images qui transportent et transforment l’ordinaire en or.
Plein de bisous pour ta journée ma Quichott’.
J’aime ce qu’elle écrit…
Ce poème s’appelait « Bonjour tristesse » sur son blog… Pour la citation, j’ai hésité entre celui-ci et un autre, dans les « Chemins de traverse », à la page 55 « Besoin de terre ». Sur son blog, ça s’appelait « Le Potager« . Tu te souviens ?
Entre l’automne et le printemps, j’ai finalement opté pour l’automne qui répond mieux à mon humeur du jour. Mais je sais que lorsque j’imagine Aza, la terre n’est jamais bien loin. Qu’elle la modéle ou la fouille, elle en a besoin, comme son arbre.
Merci, Polly. Tes mots du jour me touchent.
Plein de bisous pour toi aussi.
un énorme bisou en passant !
je n’ai pas encore eu l’occasion de te remercier du magnifique cadeau que tu m’as fait ! merci beaucoup ! j’ai été trés emue
Te voilà revenue ? Oh que je suis contente ! J’ignorais si tu l’avais reçu…
Merci !
J’espère que tu vas bien et que ce n’est que le travail qui t’éloigne de ton blog.
Bisous.
merci, merci chère Quichottine, cet article me réchauffe le coeur! C’est vrai que j’ai mis beaucoup de temps avant de me décider. Il a fallu que la communauté des communes invite des femmes de la région à une expo pour le printemps des poètes, il a fallu que je rencontre plume81 que je ne connaissais pas et qui vit pas très loin de chez moi, une autre femme écrivain aussi et qui se sont auto-éditées toutes les deux pour que j’ose enfin!
Je t’avais dit un jour: « A quoi bon, si j’en vends cinquante cela voudra dire juste que j’ai 50 amis! » C’est ce qui est en train de se passer finalement mais qu’importe! L’important c’est d’aller au bout de ses rêves même si ce n’est pas toujours facile à assumer: tu sais bien, ceux qui cherchent trop la lumière font parfois de l’ombre aux autres et le retour de bâton n’est jamais bien loin!
bises et encore merci Quichottine, mon mari se joint à moi
Nous avons ramené notre fille de Turin, elle est pour l’instant très dépendante et je n’ai pas trop le temps de me promener sur les blogs
Tu l’as rencontrée ? C’est super !
Cinquante « amis », tu te rends compte ? C’est déjà beaucoup si l’on considère que ceux que l’on peut avoir dans la réalité se comptent généralement sur les doigts d’une main.
Je crois que bien plus de personnes t’apprécient.
Et tu auras un jour plus de lecteurs.
Tu sais, les recueils de poésie se tirent généralement à trois cents exemplaires chez les grands éditeurs… Ce qu’il y a de bien, c’est que les tiens n’iront pas au pilon. Ce qu’il faut, c’est en parler autour de soi. C’est ce que j’ai tenté de faire ici.
(Oui, je sais pour le retour de bâton…)
Je sais que tu n’as pas le temps, et ne t’en fais pas. Chacun doit être libre de ses voyages bloguesques, tant qu’il en est ainsi, tout va bien.
Prends soin de vous, Azalaïs. Merci d’être passée.
je n’ai pas de bateau avec grand regret car une sortie en mer seul sur une petite embarquation doit être un moment a vivre …bise quichotinne
Je suppose que c’est ce que ressentent ceux qui en ont un. Je n’en ai pas non plus… mais, comme je ne sais pas nager, cela ne me manque pas.
Bises à toi aussi, Mrcafe.
Bon mardi ! Bisoux.
Merci, Dom… j’espère que tu as bien rechargé tes batteries !
Bisous.
oui, bon, ! y’a rien aujourd’hui…?
Ben non… mais il y aura quelque chose demain !
Le peu que j’ai lu d’Azalaïs (merci Quichottine, pour la découverte) montre un talent vraiment éclatant. On ressort de ses lectures comme… éclaboussé ! 🙂 Et ravi, bien entendu.
Et ta présentation est très belle, pleine de chaleur.
Bises et très bonne journée !
Merci pour ce commentaire, je sais qu’il lui fera chaud au cœur…
Azalaïs est quelqu’un que j’admire beaucoup.
Bonne soirée, Séverine. Bisous.
Je vois que tu as changé le décor de ta maison.
C’est très réussi.
Beaucoup plus accueillant et moins austère.
Bravo pour cette transformation !!!!!
Gros bisous ma Quich’
J’ai ajouté quelques images…
Merci pour cet avis qui me touche beaucoup.
Gros bisous à toi aussi.
Je suis heureuse que ça t’ait plu, ma Clo.
Gros bisous et douce journée.
Coucou en passant …
Merci, Glorfindel. Bisou et bonne soirée à toi.
Je ne connais pas l’ouvrage, et le regrette un peu !
Merci d’en parler
Je t’embrasse ma Quichottine
Nettoue
Même si tu ne l’achètes pas, tu peux lire certains des textes d’Azalaïs sur son blog. Ils te donneront une idée de ce qu’elle écrit.
C’est très beau.
Je t’embrasse, Nettoue. Passe une belle soirée.
Coucou Quichottine, les coins de ta bibliothèque doivent être tous bien remplis
En tout cas, c’est toujours un plaisir de te lire raconter …
Bonne fin de soirée et à bientôt.
Bises,
Tu ne peux même plus l’imaginer !
… merci pour ta présence, Muad. Gros bisous et bonne fin de soirée à toi aussi.
desolé pour des photos de banzaï quicottine ,mais je n’en ai pas pas , même perso sinon , ça aurait été avec plaisir ,bise
Merci pour ta réponse… C’était seulement au cas où. Je préfère privilégier les blogamis lorsque je cherche une image.
Bises à toi, Mrcafe. Bonne nuit.
J’aime beaucoup les citations que tu as relevées dans ce livre.
Chaque fois que je lis un livre que tu as mis en avant, je n’ai jamais été déçue, j’ai toujours adoré !
Je note ce titre pour un peu plus tard, dans quelques semaine ou quelques mois, lorsque je serai moins débordée, plus sereine. Je conserve cette idée de lecture pour un moment privilégié pendant mes vacances d’été en Bretagne…
Bises
Marie
Alors, j’en suis contente… C’est vrai que ce n’est pas si facile de parler de ce que l’on a aimé. Une drôle de responsabilité à assumer. Je suis contente d’avoir les retours de ceux qui suivent mes coups de cœur.
Merci, Marie, comme tu en sais quelque chose, et que tu lis beaucoup, cela me touche infiniment.
Bises à toi.