Les Quichottiniens erraient dans la quichottineraie. Ils avaient délaissé la bibliothèque où rien de nouveau ne semblait les attendre.
Les arbres étaient toujours très beaux, les allées accueillantes et nul ne se serait avisé de penser que cet enchevêtrement d’arbres incroyables était une folie de plus.
Chacun y avait participé de bonne grâce.
À défaut de savoir quoi et où chercher, ils se disaient qu’un arbre, si petit soit-il, fût-il l’un de ces arbres nains qu’on appelle « bonzaï », ce serait vraiment le diable s’ils n’en trouvaient pas là.
Ils discutaient beaucoup, tout en laissant leur regard parcourir les clairières… sans beaucoup de succès.
C’est alors que Siratus arriva, tenant une bouteille.
(Mais non, pas de cidre ou de champagne, il n’y avait plus d’anniversaire à fêter !)
C’était une bouteille vide… quoique… pas si vide puisqu’elle contenait, enroulés l’un dans l’autre, un nouveau message et une image.
– Regardez ! Quichottine a retrouvé le lutin vert !
– Le lutin vert ?
– Mais oui ! C’est Midolu qui le lui avait envoyé, il y a très longtemps. C’était le premier janvier…
– De cette année ?
– Bien sûr ! Vous n’imaginez pas mon Amielle descendant plus avant dans les grands fonds ? Ce serait impossible, il faudrait trop de paliers de décompression !
– Ah ! Moi, je n’en sais rien, c’est toi la spécialiste des plongées… Mais, d’habitude, ce n’est pas dans le fond de ton blog que tu plonges, tu emmènes tes matelots un peu plus loin !
– C’est certain. Mais, Quichottine n’a pas pu faire autrement que de plonger dans le sien. Elle n’avait rien trouvé dans sa messagerie !
– Toi… tu sais quelque chose que nous ne savons pas !
– Mais non ! La seule chose que je sais, c’est ce que j’ai trouvé, dans cette bouteille, sur ma plage, l’image, de Midolu… et ce message…
L’image était splendide ! Il était tout à fait certain maintenant que le lutin vert avait trouvé de quoi s’occuper sans plus faire de bêtises. Il jouait au marchand de sable, au charmeur de feuilles sauvages dans une chambre bleue. Quel bonheur ce serait pour Quichottine quand elle rentrerait de voyage !
– C’est une belle image… acquiescèrent tous les blogamis réunis. Mais quel est ce message ?
– Oh… pas grand chose. Un commentaire encadré. Comme elle le fait parfois depuis quelque temps. Je me suis dit que ça pourrait peut-être faire avancer nos recherches.
Tous se penchèrent sur le message qui passa de main en main tandis que le silence, peu à peu, envahissait toute la quichottineraie.
COMME UNE BOUTEILLE À LA MER…
Place de la Liberté, une jeune femme marche et tombe. Sous ce toit de nuages aux reflets d’argent, sous ce poids de lianes déferlantes, sur cette patinoire inondée, dégoulinante. Elle se relève, reprend sa marche, titube un peu mais continue à avancer.
Place Victor Hugo. L’opéra. Un vieillard tend le bras, main ouverte, le cœur froid, assis contre la chaude machine à distribuer les billets. Nombreux sont ceux qui l’ignorent en baissant la tête, instinctivement sans doute, en passant près de lui, en frôlant sa gamelle vide. L’un d’eux pourtant s’arrête, lui sourit discrètement et se déleste de sa monnaie. La main se referme, le cœur bouillonnant.
Place Raimu, un enfant joue à la belote avec les deux statues. Avec elles, il rit. Il leur donne des caresses à n’en plus finir. Il adore leur tapoter le dos ou leur faire croire qu’il va leur prendre leur chapeau. Il aime embrasser leurs joues d’acier aux couleurs des marronniers d’automne. Cet enfant qui s’amuse est sourd-muet. Cet enfant est joyeux, le bonheur est dans ses yeux.
Places de Toulon et d’ailleurs, combien sont ces lieux où naviguent des radeaux qui avancent grâce à ce soleil qui émèche et étincelle les cœurs ? L’espoir se suffit de si peu, mais il permet de se surpasser, de vivre, tout simplement d’être humain.
Commentaire n°66 posté par Un inconnu dans la rue le 03/01/2010 à 11h36
C’était un merveilleux message, l’un de ceux que l’on n’oublie pas.
Pourtant, Siratus savait que Quichottine n’avait pas pu continuer à se rendre chez cet inconnu dont pourtant les textes la touchaient si profondément.
Il faisait partie de ceux dont elle avait vanté les mérites avant de leur ouvrir la fenêtre pour les laisser continuer seuls leur chemin. Il faisait aussi partie de ceux qui avaient cessé un jour de publier, on ne sait pas pourquoi.
Cette « Bouteille à la mer« , c’était ce qui resterait de lui en Quichottinie. Il lui avait offert ce texte, avait inscrit son adresse dans la liste des blogs où il aimait se rendre, et il avait disparu, dans les jours qui suivirent, sans rien dire.
Aujourd’hui, dans les profondeurs de son blog, Quichottine l’avait retrouvé.
Comme un espoir à partager.
…
Je trouve des bouteilles sur les grèves : bouteilles de plastique échappées à l’appétit des dauphins, bouteilles de bière moussantes de l’écume qu’elles renferment, bouteilles de toutes sortes qui racontent la vie à bord et la négligence… Jamais encore je n’ai trouvé de bouteille d’espoir. Mais je continue à chercher et à me baisser !
Je n’en avais jamais trouvée… mais j’aime bien l’idée de celle que tu trouveras bientôt.
Douce journée à toi, Galet.
Paris, la nuit, le dernier passant… l’ombre, portée par les réverbères, emporte l’écho de ses pas jusqu’à l’angle d’une rue puis disparait. A peine une effluve, un souffle dans le silence, comme un battement de cœur qui nous rappelle que la vie est chaleur à partager.
Tout cela est très émouvant Quichottine. Bonne nuit.
Je suis heureuse que tu partages mon émoi. Merci, Adamante.
Bonne journée à toi.
Et peut-être que même s’il n’écrit plus, il continu à venir lire.Un texte très intéressant.
Je l’ignore.
J’espère qu’il a pu être publié comme il le souhaitait.
Il le mérite.
Je viens juste pour te montrer ce que j’ai trouvé sur le net, en cherchant des images :
C’est pour te montrer que, même si je ne suis pas sur mon blog, certaines images me font penser à mes aminautes
Bon jeudi ! Bisoux
Merci infiniment, Dom ! Ce quichottinier est splendide !
Bisous tout plein et bonne journée à toi.
J’ai bien aimé cet inconnu dans la nuit, qui a des yeux, un coeur, et une belle plume déliée. Même s’il est « muet », il se fait très bien comprendre !!
Bonne journée Quichottine, à défaut d’être belle, bises de nous deux !!
Merci, Patriarch. Je suis heureuse que tu partages mon opinion sur l’Inconnu.
Bonne journée à toi aussi… j’espère que le soleil fera de bonnes apparitions chez toi aussi.
Bises affectueuses à vous deux.
Cet inconnu dans la rue, ilsait voir, il sait écrire, il sait nous toucher
Eh oui…
Quel message, que d’espoir dans ce texte.
Mais peut-être reviendra-t-il? Il faut garder confiance…
Je t’embrasse très fort.
Dame Sophie
Je ne sais pas… nous verrons bien.
Je t’embrasse très fort aussi, Sophie. Passe une belle journée.
je trouve ça bien moi les messages dans une bouteille jetée à la mer
mais seulement une bouteille en verre, le plastic pollue l’Océan
Tu vois por le téléthon, chaque enfant a eu un ballon, on l’a gonflé et l’enfannt a mis un message, j’avais dit à Océane, tu verras peut-être que quelqu’un le trouvera et il te répondra mais ……… le message n’a pas eu de réponse
Qu’est devenu ce ballon ????
Je te souhaite une belle journée
Je ne sais pas pour le ballon… Peut-être attend-il dans un arbre…
Merci pour ce partage. Je te souhaite aussi une belle journée. Prends soin de toi.
et bien moi, ton histoire ,aujourd’hui, m’a rendue triste! c’est trop dur de perdre quelqu’un!
si tu es triste aussi, alors je t’embrasse fort
Ne viens pas dans les jours qui viennent… Tu en serais encore plus triste.
Merci pour ce baiser amical. Je t’embrasse très fort.
C’est vrai que ses textes sont une pure merveille à cet inconnu
Amitiés, Flo
Une pure merveille. Je suis contente qu’ils te plaisent.
Et bien merci pour ce partage Quichottine, l’illustration est vraiment belle :-))
T’embrasse fort
J’ai trouvé aussi… Même si j’ignore d’où elle vient.
T’embrasse fort aussi, Joëlle. Passe une belle journée.
Très touchant; une sensibilité, une attention prêtée à l’autre comme je les aime: Siratus a peutêtre rencontré l’ Amour, ou fait du sport, ou… Et si son ordinateur était tombé en panne? Ma première ligne était pour vous deux!
Non, Siratus n’est pas perdue, elle est toujours sur son blog.
C’est « L’inconnu dans la rue » qui l’est… et, là, j’ignore vraiment ce qu’il est devenu.
Merci pour tes mots, Mona.
Passe une belle journée.
L’espoir fait vivre mais gare ! à ne pas tomber dans l’utopie de nos illusions !
Bise à Quichottine.
Nous ferons ce que nous pourrons, AneverBeen.
Bises pour toi.
Partager l’espoir avec toi semble si simple et si facile…D’ailleurs on l’a toujours fait je crois !
Tu l’as fait beaucoup… merci, Marlou.
L’image du lutin bleu est très jolie. L’inconnu qui écrit si bien reviendra peut-être un jour , qui sait? Ou bien il jettera à nouveau , une bouteille à la mer ..
Ton bonzaï a disparu pour de bon: un de tes lutins l’aurait-il enlevé?
Le mystère continue! Bisous et bonne soirée
J’espère qu’il reviendra.
Nous aurons bientôt d’autres nouvelles de ce bonzaï.
… mais pas trop vite.
Bisous et bonne soirée à toi aussi, Fanfan. Merci !
Je partage l’espoir, avec toi, avec vous, de lire à nouveau l’inconnu dans la rue, ou ailleurs …
L’espoir est à la mesure du doute, en alternance.
Pourvu que l’espoir résiste et que les mains se rencontrent !
Douce soirée bleue, Quichottine, je t’embrasse.
L’image vient d’un album pour enfants, je vais essayer de la retrouver en son pays d’origine … Son charme m’avait envoûtée, et le lutin a bien voulu m’accompagner.
Oh merci, Midolu !
Si tu retrouves de quel album il vient et si tu peux me donner les références de cette page, je les mettrai sous l’image… Ce serait bien pour l’artiste qui l’a crée.
Elle est superbe !
Magnifique soirée à toi aussi, Midolu.
Quel texte !!! J’ai la gorge un peu nouée après l’avoir lu. Je suis toujours très mal à l’aise de voir ces inconnu(e)s de la rue qui souffrent et de pouvoir faire si peu… J’ai même un peu honte, je l’avoue.
Belle soirée Quichottine. Je t’embrasse.
Tu n’es pas la seule, je crois, à avoir envie d’agir et à ne pas toujours oser.
C’est loin d’être facile.
Merci, Marité. Belle soirée à toi aussi. Je t’embrasse fort.
Merci de ce partage de ce très beau commentaires…. J’ai aimé ces scènes de vi(ll)e. Bises
Merci, Martine, d’être venue les lire.
Bises et bonne fin de semaine.
c’est très émouvant…
Merci.
Des séquences de Vie comme ça j’en ai vécu beaucoup en des années de travail au contact de la rue , des taudis , des demeures riches …j’ai beaucoup aimé – l’as-tu vraiement retrouvée cette Bouteille à la Mer qui t’a fait ce beau cadeau ?…Je t’embrasse tout doux en écoutant les musiques de Polly
Oui… Je ‘ai retrouvée, dans un commentaire et chez lui ensuite. Son blog est toujours là.
Doux bisous pour toi aussi.
Je viens de faire un tour sur le blog de cet inconnu, il écrit de jolis textes en effet, j’espère qu’il reviendra car son blog est très joli aussi.
Si je comprends bien, ton billet d’aujourd’hui c’est comme une bouteille à la mer, un SOS à la recherche de l’inconnu perdu.
Elle est vraiment mignonne l’image de Midolu, j’aime beaucoup.
Qui sait ?
C’est vrai que j’aimerais qu’il revienne, mais j’espère qu’il a trouvé une île où écrire…
Merci pour eux deux.
Emouvant. De grandes solitudes.Tu es comme une mémoire Quichottine.
Merci, Pierre.
ah ben voilà!! ç’eût été dommage…
bon je file achever mon paquet de mouchoir et ingérer à regret un peu de paracétamol…
nez en moins, jsuis sympa ces temps-ci…
Alors soigne bien ton rhume, Mamalilou.
Je relis aujourd’hui le message d’Un inconnu dans la rue. Je trouve une correspondance avec ce qui passe dans le livre de Barbara Constantine (Tom petit homme …) … Espoir pour avancer, chaleur du coeur … Nul misérabilisme …
Même si les conditions de vie auraient « facilement » pu orienter cette écriture dans ce sens …
Bisous du dimanche, chère Quichottine.
Je suis ravie de revoir le lutin ici …
Depuis, il a publié un recueil… je lui souhaite beaucoup de succès.
Je sais qu’il est facile de tomber dans le « trop » quand on aborde ces sujets. Ce poème me « parle » toujours.
Bisous d’un autre jour, Midolu. Pardon d’avoir pris tant de retard dans mes réponses.
Pas Brigitte … mais je prends les bisous, et je t’en offre aussi !
Oups ! C’est corrigé…
Décidément, il est temps que je change de lunettes… c’est pour bientôt.
Plein de bisous repentants, Midolu. Merci pour ta gentillesse.
Bonjour Quichottine,
Je me perd toujours dans tes allées, mais j’aime y découvrir tout pleins de choses surtout dans cette rubrique…Là je dois dire que ce billet est magnifique, le l’ai relue deux fois même car je le trouve splendide. La vie, de rue en rue se vit et s’écoule, pas toujours sur le même tempo, mais c est la vie…
Amicalement
Maïlyse (merci pour ce partage)
J’ai vu chez toi tes derniers billets… Heureuse de te retrouver, Maïlyse.
Merci à toi.
Je viens juste pour te montrer ce que j’ai trouvé sur le net, en cherchant des images :
C’est pour te montrer que, même si je ne suis pas sur mon blog, certaines images me font penser à mes aminautes
Bon jeudi ! Bisoux
Très touchant; une sensibilité, une attention prêtée à l’autre comme je les aime: Siratus a peutêtre rencontré l’ Amour, ou fait du sport, ou… Et si son ordinateur était tombé en panne? Ma première ligne était pour vous deux!
Je partage l’espoir, avec toi, avec vous, de lire à nouveau l’inconnu dans la rue, ou ailleurs …
L’espoir est à la mesure du doute, en alternance.
Pourvu que l’espoir résiste et que les mains se rencontrent !
Douce soirée bleue, Quichottine, je t’embrasse.
L’image vient d’un album pour enfants, je vais essayer de la retrouver en son pays d’origine … Son charme m’avait envoûtée, et le lutin a bien voulu m’accompagner.
c’est très émouvant…
Je relis aujourd’hui le message d’Un inconnu dans la rue. Je trouve une correspondance avec ce qui passe dans le livre de Barbara Constantine (Tom petit homme …) … Espoir pour avancer, chaleur du coeur … Nul misérabilisme …
Même si les conditions de vie auraient « facilement » pu orienter cette écriture dans ce sens …
Bisous du dimanche, chère Quichottine.
Je suis ravie de revoir le lutin ici …
Pas Brigitte … mais je prends les bisous, et je t’en offre aussi !
Ainsi en va-t-il des bouteilles à la mer ( ou à la rue) elles transportent des messages souvent étonnants. Belle re- découverte !
Merci, Jakline. Je suis heureuse que ce texte t’ait plu.
Voilà une jolie découverte!! L’inconnu reviendra peut-être un jour… je l’espère!
Qui sait ? Je l’espère aussi.
j’ai plus qu’à revenir voir pourquoi Siratus n’a pas remonté du champagne en plus du lutin…tout se perd de nos jours alors je repasse ce soir pour essayer de comprendre
T’en fais pas. Il n’y rien à comprendre. Mais il n’y a pas de champagne non plus.
Quels beaux messages tous émouvants…. il reviendra bien!
Je vais allumer du feu… il fait froid encore ce matin!
Bises
Dany
Avec la neige, chez vous, la cheminée va servir, c’est sûr !
J’espère pourtant que le soleil reviendra vite.
Bisous, Dany. Je suis contente que ces mots t’aient plu.
Quel beau message et dommage que cet inconnu ne publie plus….
Peut-être que lui te lit et que cette bouteille va te revenir….
bises Quichottine
Il devait sortir un livre en 2010 chez Publilivre… j’espère qu’il l’a fait et que le livre paraîtra bientôt.
Bises à toi. Merci.
cet inconnu m’avait fait l’honneur de venir jeter sa bouteille chez moi, aussi, sur OB. il m’avait aussi fait l’honneur de m’inscrire dans ses liens. son apparition suivie si rapidement de sa disparition m’ont laissé sous le charme de la rencontre avec une étoile filante : un petit regret vite effacé par le souvenir du merveilleux .
bonne soirée Dame
Un étoile filante, c’est tout à fait cela. Tu étais dans ses liens aussi. Je l’avais vu. De même, son recueil de poèmes a été édité chez Lulu… ton éditeur.
Je pense que je me le procurerai.
Bonne soirée à toi, Croc. Merci infiniment pour ta présence.
Cette bouteille à la mer, nous venons de la retrouver, elle apporte le bonheur des mts et le rêve….VITA
Merci, Vita…
Effectivement, « l’image est splendide » … et cette histoire de l’incconu qui cesse de publier est poignante; mais le pire n’est jamais certain, et :
C’est pas parce qu’on reste qu’on est en vie !
C’est pas parce qu’on part qu’on est mort !!!
Bonne fin de journée à toi …
Te voilà bien sérieux, Glorfindel…
Tu as tout à fait raison. Il faut toujours espérer.
bon j’ai tout compris et c’est là que ça commence à devenir grave…y’a un lutin perdu mais retrouvé; y’a une nayade qui plonge mais qui ne ramène pas de champagne…bon c’est le bazard…alors moi je vais allé boire un coup à la santé de tout ce petit monde…
Tchin, Pat ! J’espère que le champagne était bon.
Comme un espoir à partager
Ou un partage à espérer
Comme des mots à limiter
Ou des limites à ne pas poser…
Aucune limite à l’espoir…
Merci, Plume.
Plus je te connais, et plus je suis surprise par ta spontanéité et ton altruisme.
J’ai beaucoup de chance d’avoir une petite sœur comme toi.
Merci d’être toi.
Merci d’être là.
Tempête pacifique de bisous !!!!
Je ne pense pas mériter tout cela… mais ton compliment me touche beaucoup.
Merci, ma Clo. J’ai beaucoup de chance de te connaître.
Plein de bisous pour toi aussi. Merci pour tout.
Plus je te connais, et plus je suis surprise par ta spontanéité et ton altruisme.
J’ai beaucoup de chance d’avoir une petite sœur comme toi.
Merci d’être toi.
Merci d’être là.
Tempête pacifique de bisous !!!!
Je me souviens de ce message et de la photo … Une rencontre comme on en fait parfois dans la rue. Quelqu’un qui nous marque pour toujours, mais que l’on ne connaît pas …
Comme tu le dis… quelqu’un que je ne connaîs pas mais que j’aurais aimé connaître.
Merci pour la suite !
Bon dimanche
Sourire… merci, Cath ! C’est vraiment gentil d’être revenue.
Bon dimanche à toi aussi.