Fin ? (Clément 13)

Pour Dany (Ionard) qui va s’absenter quelque temps et qui bien qu’aimant – beaucoup – Don Quichotte aurait préféré connaître la suite des aventures de Clément, je publie aujourd’hui ce passage, un peu étrange pour vous, puisque je ne vous ai pas montré les véritables premiers épisodes de mon roman.

Je n’ai commencé mon récit, ici, qu’au moment où l’on revient en arrière, après que le héros, blessé par un dragon malveillant, ait été recueilli par son amie, dont le prénom, Anne, associé à celui de Clément, nous ramène bien loin dans l’histoire de la littérature.

C’est ici que, dans mon roman, j’imite Cervantès dans son dix-neuvième chapitre. J’interviens, je m’implique. Et, Clément pourrait alors vous dire : « C’est ce que dira Quichottine lorsqu’elle en viendra à vous raconter ces moments-là. »

J’avoue.

Clément et Anne doivent leur prénoms à un poème que j’adorais, que l’on ne m’a jamais demandé d’apprendre, et que pourtant je peux encore réciter, bien des années après que je l’aie lu pour la première fois.

Il est de Clément Marot… poète d’une époque où aurait pu vivre mon Clément à moi.

Mais, moi, je l’ai fait naître « au Moyen Âge » sans préciser, parce qu’au cours de mon histoire, nous le verrons voyager dans l’espace, certes, mais aussi dans le temps.

(Souvenez-vous, nous l’avons croisé un jour déjà, beaucoup plus tard, Ce jour-là, il n’était pas troubadour mais il était amoureux, d’une petite Aubette… et il subissait les quolibets d’un jaloux !)

Parmi les poèmes que j’ai lus, voici celui qui m’a émue.
J’avais quinze ans.

Du partement d’Anne

Où allez-vous, Anne ? que je le sache,
Et m’enseignez avant que de partir
Comme ferai, afin que mon œil cache
Le dur regret du cœur triste et martyr.
Je sais comment ; point ne faut m’avertir
Vous le prendrez, ce cœur, je le vous livre ;
L’emporterez pour le rendre délivre
Du deuil qu’aurait loin de vous en ce lieu ;
Et pour autant qu’on ne peut sans cœur vivre
Me laisserez le vôtre, et puis adieu.

Clément Marot (1497-1544)

Croyez-vous que c’est pour cela que j’ai nommé ainsi le troubadour de mes rêves ? Sans aucun doute.

Anne et Clément, c’est ainsi que je les imagine, conformes à ce tableau que m’a laissé Azalaïs l’autre jour.

Edmund Blair Leighton (1853-1922) « The End of The Song« , 1902 Huile sur toile (128,52 x 147,32 cm)
Collection privée

Mais même si vous ne savez pas encore tout, et que vous n’aurez une vision d’ensemble qu’un peu plus tard, quand mon roman aura trouvé sa forme définitive sur un beau livre de papier, j’ai décidé de vous en raconter un peu plus.

Vous commencez à penser que j’exagère en faisant durer indéfiniment mon histoire… Vous savez d’ailleurs bien que Clément s’en est sorti puisque nous l’avons vu rencontrer don Quichotte, nous l’avons vu affronter un dragon et être un peu trop mal en point pour s’en sortir tout seul.

À ce moment là, Jehan de Briey l’avait déjà quitté. Clément avait conquis son statut de troubadour, vous vous souvenez ?… Ce Troubadour-au-Vert-Pourpoint qui s’arrêtait dans le salon d’Anne pour vous raconter des histoires un peu fleur bleue qui faisaient rêver et qui ne faisaient pas de mal, si elles ne faisaient pas de bien !

Vous avez bien raison, il faut parfois achever son histoire et savoir tirer sa révérence au moment propice, juste avant de devenir lassant.

Ne craignez rien. Ici, vous venez de lire l’introduction du vingt-deuxième chapitre de la version définitive….

– Mais tu racontes n’importe quoi ! Nous n’en sommes qu’au chapitre 12… donc à Clément 13 !
– On dirait un nom de pape… Il faut bien écouter, voyons. Ici, je n’écris pas tout. Sinon, que se passera-t-il quand je vous dirai : « mon livre de papier est là » ? Vous n’aurez plus rien à apprendre… et vous n’aurez pas envie de le mettre sur vos étagères !

C’est vrai, après tout… Et puis, il faut bien que j’en dise un peu plus pour ceux qui ne vont pas pouvoir suivre ici la fin des aventures de Clément…

….

Le jour où Jehan de Briey tomba entre les mains de Guy le Balafré, il se dit que malgré tout l’amour qu’il portait à Clément, il n’était décidément pas fait pour cette vie de grands chemins. Il était enfermé dans une des stalles de l’écurie, et, les fers aux pieds il ne pourrait pas aller bien loin.

C’est ici que toutes les dames et chevaliers présents céans, tendant l’oreille de façon plus ou moins attentive depuis le début de cette chronique, se mettent à évoquer le chien. Pourra-t-il encore jouer un rôle d’ange-gardien ?

Non. Ils ne furent pas sauvés par le chien.

Ce chien n’était pas n’importe quel chien… vous vous souvenez ?… Il savait !
C’était un griffon de légende, un vrai, il avait pris l’apparence d’un chien pour ne pas effrayer les hommes qu’il approchait. Il savait tout du futur des deux amis. Il savait qu’ils vivaient leurs dernières aventures communes…

Ils furent sauvés par une dame. Elle n’était pas fille de France. Elle avait quitté son château piémontais pour les fêtes. René de Lorraine l’avait conviée à s’arrêter alors qu’elle se rendait chez un sien cousin qui l’avait demandé en mariage…

(On se mariait beaucoup entre cousins !)

Elle avait écouté la chanson du baladin, tout en observant le manège de plusieurs des spectateurs, une bande de malfrats, qui profitaient du chant pour s’emparer des bourses… Elle s’était éloignée un moment, puis avait demandé à l’un de ses pages de suivre les jeunes gens lorsqu’ils étaient partis.

Pendant ce temps, elle avait appelé ses gens d’arme et avait demandé au prévôt des renforts.

Il est vrai que ce dernier s’était un peu fait tirer l’oreille. Il ne voulait pas en découdre avec les hommes de Guy-le-Balafré. Il ne les connaissait que trop ! Finalement, l’or de la Dame avait fait son office et ils avaient agi, juste à temps pour Jehan, peut-être un peu trop tôt pour Clément, parce que, bien sûr, Jehan mit Clément devant une terrible alternative : revenir en arrière ou continuer sans lui.

Comment Clément aurait-il pu choisir ? Il lui fallait continuer.

Il ne retint de l’aventure qu’une leçon : il ne devait pas parler aux inconnus et encore moins les suivre.

Jehan retourna chez son ancien maître, nanti d’un petit pécule qui lui permit de s’installer ensuite à son compte.

Le Chien n’eut jamais de nom… Il suivit le baladin fantôme et tous deux prirent un jour le chemin des Amériques où ils continuent encore aujourd’hui de faire des ravages, en décimant ceux qui veulent que le monde change et en portant aux nues ceux qui font parler la poudre et ne vivent que de sang versé.

Clément est devenu troubadour, conformément à ses désirs. Il a appris de Don Quichotte tout ce qu’il sait. Comme lui il rêve au pouvoir des mots, et quand, parfois, il a de la peine, il écrit à sa Dame, il lui dit son chagrin, puis il repart, heureux, parce que dans son cœur
l’important c’est d’aimer.

Il ne faut pas m’en vouloir, ça aurait pu être la fin.
Mais je l’aime, moi, ce Clément un peu trop gentil, perdu, comme il l’est, dans ses rêves de conquêtes.
S’il vous plaît aussi, ce n’est pas difficile, il suffira de lire la suite…
Comme toujours.

Revenir au Sommaire
Lire la suite

72 commentaires à propos de “Fin ? (Clément 13)”

  1. Quelle étrange aventure que celle de Clément (celui qui porte le prénom d’un pape) alors qu’il chante tout sauf des cantiques.
    Alors à bientôt dans cet univers hors du temps et de l’espace qu’est la vie de Clément. Une vie née et vécue dans une bibliothèque aux livres de l’imaginaire.
    Bon week-end

    • J’aime bien quand tu es là, tu trouves toujours des mots qui font sourire !

      Merci… et à très bientôt, Alphomega.

  2. Oh oui !!à très bientôt Clément dans ton monde de l’imaginaire et du rêve; ou tout est permis ou presque                bonne et douce nuit  bisous

  3. Hommage mérité à Clément Marot, un peu trop oublié …
    Et redécouverte pour moi, avec aussi un flot de souvenirs heureux : j’ai passé le baccalauréat dans un lycée cadurcien qui porte son nom …

    Bonne journée, mon érudite Quichottine.
    Bises

    • Je l’aime bien… Même si je n’ai pas tout lu de lui.

      Je ne savais pas que ce qui avait trait à la ville de Cahors était « cadurcien ». J’ai appris quelque chose ce matin et je t’en remercie.

      Si tu savais combien j’ai encore à apprendre !

      Bonne journée à toi.

  4. On dirait une fin et ce n’en est pas une si je comprends bien? on lira la suite dans ton livre . bon dimanche

  5. Je pense qu’il va y avoir une suite, je n’ai pas bien compris, vu que tu as mis un point d’interrogation au mot fin.
    Je croyais que le chien allait devenir le compagnon inséparable de Clément jusqu’à la fin de sa vie. Je me demande comment le père de Clément a réagi en revoyant son fils.

    • Il y aura une suite, bien entendu.

      Clément ne rentre pas chez lui, il n’en a pas envie. Mais il aura d’autres compagnons !

  6. Bien ! ça m’a permis d’apprendre que ce livre de papier verra bientôt le jour… Je sens que tu nous as construit une magnifique histoire…car ce que j’en lis chaque fois… me replonge dans une atmosphère que j’aime bien… Il y a de l’aventure, du « sans famille », de l’histoire… oh là là… tu as bien bossé…Donc si j’en rate des épisodes, je lirai le tout prochainement j’en suis sûre.. . c’est parfait… hihi… gros bisous mon amie… les ingrédients sont bons…la sauce va prendre….hihi !

    • Qui sait ? Pour l’instant, c’est un projet. Au moins pour mes petits-enfants.

      Bonne fin de soirée, BIgornette, et gros bisous à toi.

  7. « On ne nous dit pas tout! » Coquine, va! Oui…c’est sûr garde nous des passages pour quand ton livre sera édité…car sinon nous n’aurons plus rien à nous mettre sous la dent! Et ce livre papier…c’est pour quand, dis??
    Un point commun encore: nous sommes toutes deux en plein Moyen âge!
    Bon aprem Quichottine:-))

  8. Bon…si je comprends bien…va falloir attendre l’édition du livre pour en connaître plus!! Tu nous appâtes là, tu nous appâtes, Quichottine!!! Et tu le publies quand ce livre?? dépêche-toi!!
    Bises tout plein pour toi Quichottine!!

    • Mais non, je plaisantais !

      … pourtant, promis, si je le publie un jour, tu en auras un exemplaire !

      Bisous tout plein pour toi aussi !

  9. coucou ma qincho super contente de te retrouver et d’avoir le plaisir de te lire à nouveau!!! ici c’est la pluie…bonne journée et bon week bisous à+

    • Un temps bien gris aussi…

      J’ai été contente de voir que tu avais émigré sur OB et que tu avais retouvé tous tes amis de l’orangeraie.
      Ton blog est superbe. Vues les possibilités obéiennes, il est bien plus joli que là-bas.

      Bonne soirée et bon weekend à toi.

  10. Ma douce amie….. comme pour parler en ce temps là!
     mais quel cadeau vous me faites là!
    J’en suis fort aise et ai pris réel plaisir à lire
     ce que d’autres ne liront que samedi!
    Demain en regardant les étoiles je ferai un voeu pour une longue vie à Clément le gentil et non le marot dans les pages de ton livre en devenir!
    Tu sais si bien conter et les mots semblent couler de source!
    Je te dis un très grand merci
    Dany

    • Merci Dany. Je ne voulais pas te laisser partir sur la déception de ne pas savoir…

      Bisous à toi et bon voyage !

  11. Bonjour depuis la cuisine de Canton. j’ai mis un autre plat etrange…c’est tres bon Bonne journée du samedi amitiés du Sud de la Chine Mandarin gourmet A bientôt sur: http://cuisinechine.over-blog.org La cuisine facile de Chine.

  12. Décidément, j’aime de plus en plus ce troubadour. ils nous manquent de nos jours, avec cette TV qui a prit leur place !!!

    Bonne journée, ma mie !!!!!!  Bises de nous deux !!

    • Je suis contente, vraiment, que tu lui sois si fidèle.

      Bonne journée à vous Messire.

      Bisous affectueux à vous deux.

  13. c’est vrai qu’on dirait une fin… j’ai un joli nom pour le chien… le mien s’appelait « utz » et tout le monde l’appelait « oust » !!! le pauvre… bon we,

    • Ce n’en est pas une… Enfin, je ne sais pas, je me tâte !

      Tu verras samedi prochain. Merci, Bidulette, bonne semaine à toi.

  14. Je l’aimais bien Jehan, mais puisqu’il a trouvé de quoi vivre sa vie sans annicroche, c’est bien, mais pour le chien j’imaginais un accord entre lui et Clément, bin tant pis. A bientôt pour une nouvelle aventure de notre troubadour que tu sais si bien nousz conter.
    Journée grisouille, mais avec des bigs bisous

    • Clément fera sans doute d’autres rencontres…

      Jardinage aujourd’hui, c’est fou ce que je prends comme retard !

      Mais le jardin était en attente… il primait.

  15. T’as pas une petite photo d’ânes pour mon concours?
    Allez zou! tu as presque deux mois pour en dénicher un!

  16. Coucou Quichottine, l’important c’est en effet d’aimer et il y a de nombreux motifs de se réjouir en lisant ton article.
    Gros bisous et très bonne soirée,

  17. Marot et Villon : mes deux préférés !!!
    En fait cette fin qui n’ en est pas une, est assez ouverte pour laisser le lecteur imaginer SA suite.
    Autant de lecteurs=autant de fins possibles.
    Bisous ma Quich’ et bonne fin de dimanche 🙂

    • Après qu’ils y aient bien pensé, je pourrai continuer mon histoire, à ma façon…

      Je suis contente de t’avoir fait plaisir. J’ignorais que tu les aimais bien.

      Merci d’avoir pris tout ce temps aujourd’hui pour t’attarder chez moi.

      Gros bisous et bonne soirée.

  18. Nan pas d’accord !
    * le chien doit avoir un nom où un sens à sa vie, à notre vie de celle qui nous lie à lui depuis les trois derniers chapitres
    * Clément nous doit de nous conduire aux portes de son savoir
    * Jehan ne doit pas être ainsi jeté à la volée chez son ancien maître car cela voudra dire que Clément n’a point de reconnaissance ni le sens de l’amitié
    * Betty a encore et encore envie de lire, chapitre après chapitre l’histoire de Clément et l’imagination de Quichottine.
    Non, non, pas de réclamations, juste des sensations, les miennes de lectrice.
    Biz et j’espère que ce p’tit monologue te fera sourire… et REFLECHIR non mais des fois 🙂
    J’ai tout de même bien aimé cette p’tite fin sans queue ni tête:-)

    • Alors, d’abord quelques réponses :
      * Le chien ne pouvait pas rester, pour l’instant. La suite des aventures est ailleurs, sans lui.
      * Clément continue, bien entendu.
      * Jehan n’est pas jeté, il est parti de son plein gré, mais Clément ne pouvait pas rentrer avec lui. Tu comprends, c’était impossible.

      Clément aura toujours dans son coeur ce chagrin que Jehan lui a fait en le quittant. Mais il sait qu’il doit accepter la décision de son ami.

      * Tu n’as pas fini de me lire, crois-moi. Il reste encore… euh… je ne vais tout de même pas te dire le nombre de pages !

      Merci Betty. j’ai souri et j’ai aimé que tu sois là, près de moi, comme toujours, au moment où je m’occupe de cet enfant un peu rêveur que j’ai appelé Clément.

      Je suis contente que cette pseudo fin t’ait plu. 

  19. Si ce n’est pas la fin je diffère un peu ma lecture , j’ai du mal à attendre quand je te lis…
    Bisous

    • Cher Roland… En ne faisant que passer, tu rates de belles pages « uniques ».

      Je suis sûre que celle-ci t’aurait plu. Mais il n’est pas trop tard pour la lire…

      … Ne t’en fais pas, je sais que tu n’as pas le temps.

  20. J’aime bien te voir partir sur ton histoire sans qu’elle soit tout à fait ton histoire, mais quand même un peu ton histoire.
    Et tu sais si bien nous mettre en appétit.

    Tu publies quand?

    Gros bisous Quichottine.

    • Il faut d’abord que je le mette en forme correctement, que je me trouve quelqu’un qui veuille bien me faire quelques illustrations, parce que je ne pourrai pas  prendre des reproductions de tableaux…

      Encore quelques mois de boulot. Mais, ce n’est pas vraiment la fin ici, tu sais ?

      Merci, Polly, je t’embrasse fort.

  21. Il sera toujours temps de repartir…Le bonheur est au bout du chemin…

  22. Un peu déroutant, comme tu dis,  ma chère Quichottine
    mais c’est vraiment très beau et émouvant.
    comme tout ce que l’on voit finir…
    Comme tu nous promets merveilles entre temps, je m’esbaudis… et ne montrerai point trop d’impatience!
    très amicalement à toi
    jean-marie

    • C’est vrai… Mes visiteurs ne savent pas trop à quoi s’en tenir…

      Réponse samedi !

      Merci d’être passé, Jean-Marie.

  23. Mince alors le chien qui s’en va d’un coup de baguette magique! ça lui apprendra de porter secours à son prochain NA:-( Même Jehan jette l’éponge pffff & Clément sera l’unique héros de cette épopée fantastique… Bon c’est l’auteur qui décide d’ailleurs, le lecteur lui suit petit à petit le scénario de l’histoire mais ce que j’aime par dessus tout c’est que tu es ouverte à notre imagination…

    • Morte de rire, Betty !

      J’adore la façon dont tu t’attardes sur mes pages !…

      Bon, pour le chien, tu as raison, j’aurais dû le garder un peu. Dans la version définitive, il aura un rôle plus « construit »

      Jehan, tu sais, ce n’est pas le héros, mais il va encore compter beaucoup, la suite le dira.

      Clément est le personnage principal, il ne faut pas le perdre de vue.

  24. tu nous balades Quichottine et je ne sais plus trop si l’on doit écrire balade ou ballade dans cette histoire qui nous fait cheminer comme des pèlerins d’un autre âge!
    bises  et pardon de ne pas etre fidèle, je suis en ce moment moi ausi sur plusieurs routes et j’ai tendance à m’égarer

    • Ne t’en fais pas, Azalaïs. Tu sais qu’il n’y a pas d’obligation.

      Je sais bien que tu as beaucoup à faire en ce moment, alors, pourquoi me demander pardon ?
      Tu fais ce que tu peux, moi aussi. Il n’y a pas de souci.

      Je t’embrasse, prends soin de toi.

  25. Est-ce donc « qu' » un synopsis que tu nous contes ici ? Tu nous mets l’eau à la bouche. Un jour j’irai cambrioler ta bibliothèque, à la rechrche du grand roman de Quichottine.

    • Ah oui ?

      Je me souviens qu’il en est un autre que tu attends impatiemment.

      Je vais m’en occuper bientôt.

  26. Un Clément rêveur…., sousire, comme celle qui l’a fait naitre, assurément et comme cette lectrice que je suis qui se perd en route dans les liens, et qui a tellement de retard que le rêve n’est plus de mise pour qlques jours…quoi?? oh non Mahina!! tu ne sauras pas faire… allons, rêvons un peu à Clément….et à ses chansons sur les grands chemins….

    • T’en fais pas… jamais de retard chez moi ! Tu passes quand tu veux, quand tu peux, et tu grapilles comme tu veux.

      Clément, c’est mon bébé, il a parfois du mal, mais il survit !

      Gros bisous, Mahina. J’aime bien t’entendre rêver… surtout quand tu n’as pas le temps !


  27. – J’avais peur que ce soit la fin…..Je continue!  ……..lecture apres Claire Chasale…Je n’aime pas la premiere chaine , mais ne regarde que le week-end « Claire » autrement info sur la 2………….mdr

    • Sourire… tu auras passé beaucoup de temps sur mes pages aujourd’hui.

      Cela me fait plaisir.
      Je ne regarde pas beaucoup la télé…
      Mais, Claire Chazal, je peux !