Dans le jardin de Claude Monet,
à Giverny, je pensais…
Il y a tant de sentiments cachés,
tant d’ombre mais aussi de lumière,
tant de sentiers à découvrir,
qu’il faudrait des milliers d’années
pour comprendre
comment des mots
se font poèmes,
comment un sourire
croisé sur le quai d’une gare
peut transformer
un chagrin infini
en espoir insensé,
comment un baiser
si léger
peut soudain raviver la flamme
que l’on croyait éteinte
à tout jamais…
…
Comme d’autres, je pourrai dire en voyant cette photo, « je connais ce jardin »…
Mais là s’arrête ma prétention,
car combien me faudra-t-il encore de mots pour rendre un sourire et raviver la flamme …
Combien de mots ? Je ne sais. Tout dépend je crois des mots que tu trouveras, de leur sincérité…
Il arrive que quelques mots, justes et simples, vaillent mieux qu’un long discours.
Merci d’être là, dans ce jardin, Yvon.
QUICHOTTINE,
c’est encore moi , pardon d’avoir pousser la porte de ton jardin secret , il fallait que j’y aille , tout m"interpelle !!!! oui quelquefois un sourire croisé sur un chemin , nous redonne de l’espoir , je n’arrive plus à sortir de chez toi ……Bises tendres
Mais tu as le droit de rester… si tu t’y sens bien.
Merci de me permettre de rester , dans ton jardin secret ..Je m’y sens tellement bien , dans le calme et la chaleur de l’amitié .
Mamounette, viens tant que tu veux. mais tu sais, ce n’est pas toujours calme…
.
comme j’aimerai bien visiter ces jardins……gros bisous ma Quichotine
Merci Michka pour cette belle image…