Plagiat ? Le mot est fort. Pourtant, je sais qu’il m’a interpelé.
Il y a d’abord quelques lignes, de celles que l’on met en exergue à un texte, ici à un roman… des lignes qui invitent le lecteur à orienter son regard, ses pensées.
« Il était une fois un petit prince qui habitait une planète à peine plus grande que lui, et qui avait besoin d’un ami… »
Antoine de Saint-Exupéry (Le Petit Prince, IV)
Ici, je les ai empruntées à Antoine de Saint-Exupéry… Aurais-je pu choisir un autre passage, un autre livre ? Peut-être, et peut-être pas.
J’ai préféré cette première page, presque vide, en apparence seulement.
Au pays des doux rêveurs, Le Petit Prince est sans doute un livre fondateur…
Je ris… Est-ce un livre dont on parlera sans le connaître, sans l’avoir jamais fréquenté, sans avoir rêvé devant ses pages ? C’est ce qui arrive à ceux qui franchissent les siècles, comme la Bible ou Don Quichotte… parce que l’important n’est pas seulement dans les mots.
Cette citation, en première page, est suivie d’un prologue où je considère que le lecteur l’a lue et m’a suivie tandis que je franchis la porte de l’imaginaire pour présenter Papilio.
Papilio sera différent, parce que ce n’est pas un enfant, parce qu’il vit aujourd’hui, qu’il n’habite pas un astéroïde mais notre Terre, telle qu’elle est, et que son aventure commence dans l’une des plus grandes villes du monde, Paris.
Mais cela ne l’empêche pas d’avoir lu et relu ce livre, de s’en être imprégné au point d’espérer vivre ses rêves d’enfant et de pouvoir les partager avec un ami.
Papilio agit parfois de façon étrange… mais personne ne le sait, sauf peut-être le narrateur, celui qui a décidé de raconter son histoire, et vous, lorsque vous la lirez.
« Il avait seulement ouvert son parapluie pour protéger son livre préféré, un livre qui parlait d’un étrange voyageur qui voulait trouver un ami.
Il l’avait déjà lu cent fois, au moins, et bien qu’il l’emportât constamment avec lui, il ne l’avait jamais égaré. Il le parcourait avec toujours la même envie d’en savoir davantage sur cet enfant qui aimait, comme lui, les couchers de soleil. »
(Papilio, le monde merveilleux d’un doux rêveur, p.17)
Il s’agit là d’un parti pris. C’est vrai.
J’avais décidé que le Petit Prince accompagnerait Papilio, comme Don Quichotte m’accompagne toujours ici. Même quand vous ne le savez pas, quand vous pensez que je l’ai oublié sur son étagère…
Il faudra peut-être que je modifie cette option. Mais, avant de le faire, je parcours les pages que j’ai écrites, je rassemble les mots qui lient Papilio au héros de mon enfance à moi.
Le Petit Prince, c’est aussi une rose, perdue sur une étoile.
Papilio a-t-il aussi sa fleur ?
Une fleur ? Non, de nombreuses, et, pourtant, même au jardin, Papilio se souvient de ses lectures…
« Plus il passait de temps dans ses livres, plus il observait autour de lui, plus il était d’accord avec son héros favori : l’important, c’était le temps passé, le cœur qu’il avait mis à son ouvrage. Le plus précieux était aussi ce qui lui avait demandé le plus d’efforts. »
(Papilio, le monde merveilleux d’un doux rêveur, p.33)
Le Petit Prince part un jour en voyage… Papilio aussi, mais pas pour les mêmes raisons, ni de la même façon.
S’il part, c’est pour retrouver celle qu’il a entraperçue un jour, sous la Tour Eiffel, il le fait en avion.
Son voyage ne ressemble en rien à celui du Petit Prince… ses rencontres non plus… et, pourtant, je dois avouer que Papilio n’oublie pas son compagnon de lecture. Il le retrouve à la nuit tombée, sur la route du retour, alors qu’il prend le temps de regarder le ciel où brillent les étoiles.
« Une nuit où il s’était perdu, il les observa plus intensément, frémissant d’une émotion dont il se serait cru incapable. Il écoutait le silence et, au-delà du silence, le rire en cascade d’un enfant qui marchait au-devant des couchers de soleil. C’est alors qu’il la vit, juste au-dessus de lui, à la verticale de l’arbre gigantesque qui lui avait offert un abri. L’étoile qui semblait clignoter était celle où l’allumeur de réverbère, inlassablement, appliquait une consigne de plus en plus absurde. Il allumait et éteignait la lumière alors qu’en bas, bien plus bas, à califourchon sur la branche maîtresse du plus bel arbre de la forêt, rejoignant dans son rêve son héros favori, Papilio avait fait du monde un cœur qui bat. »
(Papilio, le monde merveilleux d’un doux rêveur, p.93)
Alors… Voilà… je ne vous livrerai pas tout de suite les derniers mots du roman, ceux qui nous renvoient encore un fois, la dernière, au Petit Prince. Cependant, j’ai longtemps réfléchi à ces phrases où je ne cache pas le lien qui unit Papilio à son héros préféré.
Dois-je les supprimer ?
Dois-je émanciper Papilio de ses lectures ?
Ce serait nier ce que je crois profondément : même si personne n’est obligé de lire, nous ne sommes pas vraiment indépendants de notre environnement. Même les auteurs les plus en vogue, ceux qui ont eu du succès (ou qui sont restés dans nos mémoires par le biais de nos lectures scolaires ou de loisirs), ne peuvent échapper à ce que d’autres ont écrit.
Des chercheurs se penchent longuement sur leurs secrets, fouillent leur bibliothèque, y trouvent leurs références, épluchent les manuscrits…
Ici, chercheront-ils un jour les traces de mes lectures si j’ôte ces notes où je ne cache rien ?
Faut-il les ôter ou non ?
Ce sont des questions auxquelles j’essaie de répondre sans savoir si ça en vaut vraiment la peine.
En accordant à l’éditeur le prologue et l’épilogue, dans leur intégralité alors que quelques mots seulement seraient à relier au Petit Prince, on peut me reprocher quatre pages sur les 176 que comporte Papilio…
Je peux les modifier, évidemment, tout est possible… Mais comment oublier le Petit Prince quand on raconte l’histoire d’un doux rêveur ?
…
La frontière entre la référence et le plagiat est sans doute petite . mais je pense qu’à partir du moment où tu indiques l’ouvrage auquel tu te réfères, cela ne devrait pas être considéré comme tel.
J’adore le « petite Prince » : je l’ai découvert assez tard; je l’ai fait en BD avec une classe de CE2 , : j’espère qu’ils s’en souviennent encore …
Deux rêveurs sont faits pour se rencontrer!
Bisous
Ce n’est pas du plagiat… J’en suis absolument certaine.
Je l’avais fait aussi, mais avec des CM1-CM2… nous en avons fait une pièce de théâtre. C’était un merveilleux moment !
Bisous et douce soirée, ma Fanfan. Merci d’être là.
Parler du Petit Prince me semble être une belle piste de découverte pour les petits et les grands qui liront les aventures de Papilio. Je ne suis pas choquée par la façon dont tu parles du livre de St Ex, au contraire. Tu le mets en valeur ainsi et tu ne peux que donner envie de le lire ou relire.
Je suis fan du Petit Prince, de ses roses et de son renard… J’espère que tu réussiras à « apprivoiser » un éditeur intelligent qui verra qu’il n’est pas question de plagiat ici mais plutôt d’une belle histoire d’amour que tu as envie de transmettre et de partager.
Je t’embrasse Quichottine
Je crois que ce livre existera sans eux… finalement, un éditeur qui se raviserait ensuite ne serait pas ennuyé de l’auto-édition que nous allons réaliser avec Davy.
Il ne ferait qu’agrandir l’éventail des possibles concernant les lecteurs concernés.
Merci pour ton soutien, Oxygène.
Je t’embrasse. Passe une douce journée.
salut
je te souhaite un bon mardi
Bon mardi à toi aussi, Tiot.
Accroche-toi à tes rêves et suis ton étoile, n’enlève pas à Papilio ce qui le porte, il serait perdu…
Merci !
Je sais que tu as raison… Davy pense la même chose.
Passe une douce journée. Je t’embrasse.
De la façon dont tu parles de ton Papilio, je pense en effet que ce serait dommage de ne pas faire référence au petit prince qui est en fait son fil d’Ariane, son guide spirituel. Ses aventures semblent bien différentes, même s’il se réfugie auprès de son héros en esprit. La première page fait référence au livre de Saint Ex, ce qui est très bien, mais tes mots, en aucun cas ne reprennent le même schéma.Bises et bonne nuit ma Quichottine.
Merci pour ton avis, Zaza. Je suis heureuse de voir que beaucoup le partagent ici.
Passe une douce journée. Bisous de mon matin brumeux.
Je suis entièrement d’accord avec toi et ce matin,je t’ai dit que ce mot « plagiat » me choquait.
Je ne sais pas si je vais réussir à me faire comprendre mais je pense que tu as bien « digéré » le roman de Saint Ex et qu’en quelque sorte tu en réinvestis le sens. Tu l’utilises, tu ne le plagies pas.
J’espère vraiment qu’un jour tu pourras faire éditer ce roman tel que tu l’as écrit car ce serait dommage qu’il perde son âme si c’est ainsi que toi tu le sens et si c’est ainsi que tu veux le transmettre.
Je suis convaincue qu’il y a encore du monde pour aimer le rêve sinon « Le petit Prince » ne serait plus édité.
Pour que la jeunesse aime le rêve et la poésie, c’est à nous de les initier.
Je vais aller lire les autres commentaires, je ne l’ai pas fait afin de m’exprimer librement.
Bisous ma chère Quichottine, que ta nuit soit peuplée de jolis rêves et non pas d’éditeurs…
Le Petit Prince est un grand classique… On l’a mis en film, en dessin animé, en comédie musicale, en spectacle théâtral.
Je crois qu’il restera parmi les livres qu’on ne peut pas oublier. Je l’espère.
C’est pourtant un livre atypique, difficilement qualifiable, sans lectorat précis. Aujourd’hui, on le met en littérature de jeunesse. J’espère que les enfants qui le lisent le reliront plus tard. Ils le dégusteront bien mieux.
Merci pour ton soutien, ma gentille Cricri. Je ne les lis que rarement avant d’écrire moi aussi…
Je t’embrasse fort. Passe une douce journée.
Perso, je pense que c’est très bien ainsi, puisqu’il se réfère à son héros favori.
Bon mardi
Bisoux doux
Merci pour cet avis.
J’en tiendrai compte, bien sûr. 🙂
Bisous et douce journée à toi, Dom.
Tu as soumis ton livre à la critique, il fallait bien qu’il le soit pour justifier un refus d’édition. L’important c’est que tu l’aies écrit avec ton cœur. On est tous imprégnés de nos lectures sans même parfois nous en rendre compte même si on a pas de livre culte. Je n’en ai aucun et je n’aime ni Don Quichotte, ni le petit prince, normal je suis tout sauf une douce rêveuse. Je pense que la lectrice a comme moi les pieds bien sur terre et qu’elle n’aime pas forcément le petit prince. Mais moi j’aime ton écriture et c’est un plaisir de te lire. Bises
Je crois que ce livre peut se lire, même sans aimer le Petit Pince.
Après, il se peut que ce livre plaise davantage aux doux rêveurs… je ne sais.
Merci pour tes mots sincères, Martine.
Passe une douce journée. Bisous.
Qui n’a pas son héros de lecture ou de vie ?
Tu as bien le tien, Don Quichotte…Pourquoi Papilio n’aurait pas le sien ?
Passez une belle journée. Bises de nous deux
Tout à fait d’accord avec toi…
Dis-moi, quel est le tien à toi ? J’aimerais que tu nous en parles un jour.
Bises affectueuses à vous deux. Douce journée.
je souris …ton rapprochement avec le petit Prince me ramène à mes petits enfants et surtout à l’ainé qui ne doute de rien en ce qui concerne sa grand-mère ! …l’année de son master 2 il devait rendre un mémoire et il m’a sollicité au dernier moment comme il se doit 🙂 pour l’aider dans ses recherches …et un peu plus
encore !non seulement mes études s’étaient « arrêtées » avant les siennes mais je ne connaissais que couic à sa matière…merci google d’être là et merci les livres que j’ai pu lire en « travers »…alors forcément je me suis inspirée de ce que d’autres avaient écrit …plagiat ?
ouf ! l’école passait les mémoirs à un controle d’anti plagiat et … »nous » avons eu notre master ! mais forcément nous sommes imprégnés de ce que nous lisons du moins lorsque nous adhérons au texte…les autres sortent vite de notre mémoire…alors plagiat ? non je ne le pense pas car nous avons tous une approche différente, une sensibilité différente sur une meme chose
ton « réveur » à toi n’est à personne d’autre…
bises
Je souris à l’évocation de ta complicité avec ton petit-fils… Vous avez beaucoup de chance tous les deux. C’est merveilleux de s’aimer ainsi, cette confiance qui vous lie !
Rédiger un mémoire, une thèse, c’est aussi tenir compte de tout ce qui s’est dit, s’est fait avant sur le sujet que l’on traite. Tu sais, on ne demande jamais à un chercheur de partir de rien. Il pose une pierre sur un édifice en cours, il l’ajuste pour qu’elle ne prenne que la place qui lui est due.
Je suis sûre que ce n’est pas un plagiat.
Bises et douce journée à toi. Merci pour tout.
Chère Quichottine,
Au vu de ce que tu dis, je ne trouve pas que ce soit du plagiat. Tu mets tout de suite le lecteur au « parfum ». La référence est là, bien en lumière. Puis, Le Petit prince, comme un fil rouge, accompagne de loin Papilio. Celui-ci suit sa propre route, ses propres aventures bien ancrées dans notre présent, tout en sachant rester un doux rêveur.
Je suis bien mal placée pour donner des conseils en la matière. Réfléchis bien avant d’enlever ces pages. Il serait dommage d’abîmer cette charmante histoire. Tu auras d’autres avis j’espère.
Tiens bon Quichottine
Gros bisous
Martine
Je sais que ces pages resteront.
Elles sont importantes pour moi.
Gros bisous de douce journée, Martine. Merci pour ton soutien.
Ce que je pense c’est qu’il faut juste faire ce qu’il te semble juste parce qu’après tout c’est toi qui écrit et pas l’éditeur. L’éditeur adhère ou non à un livre. Comme je te disais : il prend ou il ne prend pas. Dans le premier cas il suggère des corrections sur le style pas sur le fond.
Je suis tout à fait d’accord.
En effet le mot est fort: soit le lecteur de la maison d’édition ne connaît pas le sens du mot plagiat soit il a été un brin agacé par tes références.
On n’a pas tous les mêmes appuis pour écrire, je comprends que le petit Prince soit cher à beaucoup, il est si riche d’enseignement et d’humanité!
Alors que dire de tous les romans écrits depuis si longtemps, porteur de toutes les lectures faites. On n’écrit pas sur une page vierge, on écrit avec ce qu’on a appris, ce qui nous a enrichi, troublé, bouleversé.
Dans ton histoire, Papilio ne peut se passer de son héros-ami, tu ne peux ôter cette partie de lui-même qui l’a formé et ému.
Bisous tendres
Il est possible qu’elle ait été agacée…
Davy et moi sommes d’accord pour ne rien supprimer de cette rencontre.
Le Petit Prince est aussi l’un des livres préférés de Davy.
http://euzebdessinateur.over-blog.com/pages/Ma_bibliotheque-5428642.html
Bisous tendres, ma Polly. Merci pour ces mots qui me touchent beaucoup.
« Le plagiat est une faute morale et/ou commerciale consistant à copier un auteur ou créateur sans le dire, ou à fortement s’inspirer d’un modèle que l’on omet délibérément ou par négligence de désigner. » (dixit Wikipedia). Ce n’est nullement le cas. Quel auteur peut écrire un roman sans se référer à son vécu de lecteur ? Aucun!
Douce journée ma Quichottine, je t’embrasse.
Je suis contente que tu partages ainsi mon opinion. Merci tout plein, Marité.
Douce journée à toi aussi.
Je t’embrasse.
Bonjour Quichottine ! Et que dire de Nothomb et son barbe bleue dont elle fait référence, et dans d’autres de ses livres aussi une référence à ceci cela… mais elle c’est Amélie ! Pas juste n’est-ce pas mais le monde appartient aux riches, mon avis perso ! Bises de jill
Je ne pourrais jamais écrire ce qu’elle écrit… alors, si c’est ce que les lecteurs veulent, tant mieux.
Elle a une personnalité très forte. J’admire sa constance.
J’ignore à qui il appartient. Il faudrait peu pour que ça change.
Passe une douce journée. Bisous.
Ils ont le bon rôle ces hommes ou femmes qui décident de la vie d’un écrit ou non …
Ne change rien du tout Quichottine
Bisous
T’inquiète… je suis têtue.
… même si je ne suis pas tout à fait bretonne.
Bisous et douce journée.
Ecrire c’est dire ce que l’on a en soi, je ne crois pas nécessaire de se justifier, bien sûr nous subissons (si j’ose dire) des influences… Nous avons en nous des mots, des images, des souvenirs de lectures, des émotions, ensuite il y a une alchimie… Et alors ?
On peut toujours revoir sa copie Quichottine, tu peux le faire avec ton ami Papillo si tu le veux, remettre encore une fois sur le métier la tâche, et puis tu auras le contentement d’un travail bien ciselé, cela dit, je crois que c’est très difficile d’être correctement édité aujourd’hui… Il y faut beaucoup de chance…
La chance n’était pas au rendez-vous cette année.
Plus tard peut-être.
Papilio sera chez TBE, c’est notre décision.
Merci pour ton soutien, Marine. Bisous et douce journée.
Quand j’ai lu ton article, le mot m’a choquée aussi! Mais n’ayant pas lu ce que tu as écrit, je ne pouvais en juger.. Même si je crois par ailleurs à ton intégrité!…
Ce que tu expliques aujourd’hui m’incite à penser que l’éditeur a la dent dure!! Parler de plagiat alors que tu cites toi-même tes sources, c’est un peu fort de café!!! Quel auteur peut se targuer d’écrire sans aucune référence?
C’est un monde très singulier, et je te trouve courageuse de t’y frotter.
Je suis certaine que Papilio est lui-même, et qu’il trouvera des lecteurs objectifs!!
Je t’embrasse, douce amie
J’espère qu’il les trouvera…
Mais bon, nul ne peut le savoir avant d’avoir essayé.
Bisous et douce journée à toi, M’Annette. Merci d’être là et de tout suivre ainsi.
Mais non! on n’oublie pas le petit Prince! Heureusement, tu es là et l’on ne peut pas oublié!
Bonne fin de journée agréable: il fait beau!
Gigri
Un sourire.. je crois que l’on n’a pas besoin de moi pour ne pas l’oublier. Il est partout.
Passe une douce journée ensoleillée, Gigri. Merci !
Bonsoir Quichottine , je n’ai pas tout lu ( tu sais pourquoi ) et après avoir lu EGLANTINE , j’ai compris qu’un de tes publication avait été refusée .
Le PETI PRINCE !! Je l’ai lu et relu ! Ecouté et réécouté !
Je l’ai lu à mes filles !
Pour moi LE PETIT PRINCE est MAGIQUE !
Je devance les phrases PHARE , comme tout le monde , bien que Eglantine n’en soit pas touchée .
Enfin si tu as décidé QUE , il n’y a pas de raison que ce SOIT « PLAGGIAT » ! Tu en a fait à ton goût !
Et tu fait ressortir , ce que tout le monde devrait avoir lu et SUITE à ça !! qui sait !!! peut-être QUE !!
BISOUS QUICHOTTINE
ANY
Le livre sortira bientôt… en autoédition, comme d’autres.
L’important est qu’il soit lu.
Passe une douce journée. Bisous.
Je ne peux pas lire tous les commentaires qui ont été déposé à la suite de ton article, alors je vais juste donner mon avis, plagiat ne me semble pas être le mot qui correspond à ton roman, tu fais référence au livre de St Ex puisque le Petit Prince est le héros préféré de Papilio, il est comme son guide spirituel.
Il y a de nombreux romans qui font référence à la Bible (par exemple) ce n’est pas pour autant du plagiat.
Je crois qu’il est bien de garder ton idée première, elle souvent la meilleure !
je t’embrasse fort
Je le crois aussi.
C’est ainsi qu’il est né, il ne peut se muter en autre chose.
Passe une douce journée. Je t’embrasse très fort.
Moi je ne vois pas de mal, puisque tu cites le nom de l’auteur. Je crois vraiment que c’est une question de goût. Bonne soirée, il fait beau je vais prendre l’air.
Une question d’appréciation…
Merci, Solange. J’espère qu’il fait beau chez toi aussi aujourd’hui.
Bisous et douce journée.
Je ne vois vraiment pas pourquoi tu cacherais le lien qui unit Papilio au petit prince. C’est un hommage que tu glisses dans une délicieuse histoire poétique et il ne s’agit en rien de reproduire l’histoire de St Exupéry et encore moins de la plagier. C’est un déclic qui s’est produit et qui t’a amenée à écrire cette histoire… ce serait dommage de le renier !… Ces allusions deviennent un fil rouge (très) discret et l’histoire de Papilio est tout à fait originale. Je ne sais comment tu comptes la remanier mais surtout garde à l’esprit que c’est ton « bébé » et celui de Davy. J’ai très hâte que le livre paraisse, même si c’est en auto-édition, et de lire les commentaires qui ne manqueront pas d’affluer. Ce personnage est si attachant !… Passe une belle soirée. Gros bisous
Il sera là bientôt… je pense que d’ici un mois tout devrait être prêt pour son lancement.
Merci, Cathycat.
Bisous et douce journée.
Comme tu l’explique bien, un livre comme le Petit Prince est une référence, il ne peut, à ce titre être plagier.
Ce serait comme voler la Joconde et tenter de la revendre, c’est quasi impossible car l’œuvre est trop connue.
Si Papilio a besoin du Petit Prince, il faut lui laisser.
Quand je lis leur réponse, je me demande s’il l’ont lu en entier ou juste survoler.
Les dessins de Davy et l’écriture « trop enfantine » les ont peut-être incités à y voir une histoire proche de celle du Petit Prince ou en tout cas proche de la méthode de Saint-Exupéry (ça c’est un compliment).
Le Petit Prince est un livre de paix, pour adultes et enfants, qu’il accompagne Papilio n’est que très vraisemblable, puisque c’est un best-seller.
Le problème, c’est que les grincheux n’aimant pas le Petit Prince existent, et je citerai un extrait d’un article du Nouvel Obs de 2008, lors de la sortie en dessin animée:
« …il n’est ni vain ni mercantile de redonner à voir, à lire, ce conte merveilleux, n’en déplaise aux fâcheux. Le texte original et sa relecture en bande dessinée s’ajustent, se complètent et se regardent. »
Ils ont lu jusqu’à la page 85… Ce qui n’est pas si mal.
Nous verrons bien.
J’espère que le livre en autoédition trouvera les lecteurs qu’il mérite.
Bises et douce journée à toi. Merci pour tes mots.
Je viens de lire les commentaires. Tu vois que nous sommes unanimes !!! 🙂
En réfléchissant, je crois que ce que les éditeurs craignent, ce n’est pas une référence à une oeuvre quelconque, mais spécifiquement celle-là qui est très marquée dans les esprits et universellement connue (en plus les droits sont super protégés). Mais comme, encore une fois, tu ne plagies pas, tout ceci ne doit pas te freiner. A suivre donc. Allez courage ! et bonne soirée. Bisous
Merci de l’avoir fait…
Avec Davy, nous en sommes au finitions avant de l’envoyer chez TBE… il y sera bien.
Bisous et toute belle journée à toi.
Bonjour, je suis le correcteur de Mr Yoyo:
« plagié » et pas « plagier »
« survolé » et non « survoler »
à « best-seller », on préférera « meilleure vente »
Sourire… et merci au correcteur.
Quand on écrit, je pense qu’on ne peut pas oublier tout ce qu’on a lu. Cela me paraît logique.
Tout à fait.
Ça devient très compliqué l’histoire de ton manuscrit
Trop… je vais me « pauser » un peu.
PLAGGIAT ? c’est du grand n’importe quoi !
j’espere que tu ne changeras rien à ton idée initiale , et surtout pas un mot de ton manuscrit !
ps et en prime tu pourras meme envoyer un exemplaire à ceux qui parlent de « PLAGGIAT » et qui ne comprennent rien à rien
. ( en signant Papillo, ami du pretit prince qui le fait toujours rever ).
Rien… sauf peut-être quelques détails.
Bonne idée.
Merci, Félix. Je suis sûre que Papilio te plaira.
Passe une douce journée. Bisous.
Je ne les modifierais pas si j’étais à ta place… Ce n’est pas du plagiat ce sont des références à un héros de roman, symbole des rêveurs.Bisous
Dont acte. Je suis ravie de voir que beaucoup pensent comme moi.
Bisous et douce journée à toi.
En tête d’un texte cette citation est loin du plagiat, c’est une « épigraphe ».
Je comprends que le mot sans doute ne voulant pas blesser de l’éditeur, est inapproprié.
Les allusions et les « à la manière de » sont plus faciles sur une page de blog que sur le papier, c’est un exercice difficile où je suis bien mal placé pour répondre aux questions que tu te poses. essayer peut-être de reprendre l’idée avec une feuille blanche et tenter la reformulation? Merci de partager tes doutes et tes humeurs, la puclication est un parcours du combattant. Cordialement.
L’épigraphe… j’avais oublié le nom. 🙂
Merci, Pierre.
Papilio va paraître en autoédition. C’est le mieux que je puisse faire.
Passe une douce journée.
Ne change rien Quichottine ! N’enlève pas à Papilio son support, il doit s’accrocher lui aussi à son étoile…Il serait perdu sans, j’en suis sûre…
Je t’embrasse fort.
J’ai essayé, mais je ne peux pas l’ôter.
Papilio ne veut pas.
Je t’embrasse fort. Passe une douce journée.
Quichottine,
tu as le droit de » citation « .
Il y a des textes officiels là-dessus.
Bon vent à Papilio !
Loop
Cadeau :
http://aloreedespeutetre.over-blog.com/article-c-est-vrai-parce-que-loop-l-a-vu-87019317.html
Merci pour ce cadeau, Loop. Je suis touchée.
Passe une douce journée.
Référence et plagiat sont deux mots différents ! si tu décides de changer, ton livre n’aura plus le même esprit du doux rêveur …
Bisous Quichottine
Aussi n’ai-je changé que des points de détail…
Bisous et douce journée, Marie.
« parce qu’il vit aujourd’hui, qu’il n’habite pas un astéroïde mais notre Terre, … dans l’une des plus grandes villes du monde, Paris » eh bien pour moi Paris est bel et bien un astéroïde.
Papilio a vécu de nombreuses aventures sous la plume de son auteure et de son illustateur et il semble qu’il en vive d’autres plus difficiles, plus terre à terre sous le joug des éditeurs.
Tant que Papilio ne maniera pas une baguette magique ou n’ira pas à la poursuite de quelque vampire je crains qu’il n’ait encore à se battre contre l’adversité.
Je crois que Papilio est ce qu’il est, heureux de ce qu’il voit autour de lui, juste un peu trop humain…
Alors, laissons-le vivre auprès de ceux qui lui ressemblent un peu et qui sauront faire avec lui un bout de chemin.
Nous n’en ferons pas un jeu vidéo… quoique…
As-tu fais lire ton livre à différentes personnes de ta connaissances (mais sont tu étais sure qu’ils te diraient vraiment ce qu’ils pensent sans vouloir te flatter ?) bisous
Je n’y ai pas manqué.
C’était important de le faire…
J’ai eu des lecteurs tout ce qu’il y a de plus impartial, et d’autres qui l’étaient forcément moins.
Bisous et douce journée, Katara.
Il y a des livres qui nous marquent…rêveurs que nous sommes… Du Petit Prince et son renard à Jonathan le goéland en recherche d’idéal…on ne peut les occulter! Ils sont aussi ce que nous sommes, ce que nous sommes devenus. Certains livres nous « appartiennent » et font partis de nous, indissolubles, car ils nous ont tant marqué qu’ils sont devenus « nous »….
Alors…comment enlever des passages de livres sans se renier?
Buen dia Cariña
Bonne question… En fait, je suis sûre qu’en ce qui me concerne, c’est impossible.
Buen día, Cariña. Je t’embrasse très fort.
Quichottine, ma douce amie je ne pense pas que tu aies fais un « plagiat » . Accroche-toi ma belle et souviens toi qu’il y aquelques temps nous avons écrit un livre dont tu as fais la préface et qu’il a fallut pres de 9 mois pour qu’il voit le jour. Papillo verra le jour-Parole de Fée- mais sois patience.
bisous tout plein
C’était et c’est toujours un très beau livre…
Merci pour ce rappel, Celiandra.
Papilio est un peu impatient, mais de toute façon, il sait qu’il naîtra.
Bisous tout plein à toi aussi. Passe une douce journée.
bonjour, ma chère Quichottine,
mais ça n’a rien à voir avec un plagiat !!!
c’est te faire injure…
les gens qui te critiquent sous cet angle n’ont jamais lu ou jamais compris le Petit Prince…
ils n’ont aucune idée de la liberté de l’auteur
le Beaumarchais du « Mariage de Fiagaro » a-t-il plagié « l’Ecole des femmes » ,
les « Voyages de Gulliver » l’Odyssée ?
le Petit Prince est en nous quand nous nous piquons de Rêverie ou de Poésie
il est chez toi chaque étape de la vie du héros
excuse-moi de paraître vouloir interpréter ta pensée
et je suis sans doute loin de bien l’exprimer…
ou je n’ai rien compris moi non plus…
pas grave !
Ne modifie rien, c’est tellement bien dit!
bonne journée à toi
gros bisous d’amitié
jean-marie
Merci pour ta compréhension…
Ne t’en fais pas, tu as très bien compris, je pense.
Bisous et douce journée à toi.
Je n’ai pas trop envie de lire les extraits, je préfère être toute neuve vis à vis de lui quand je le découvrirais par moi-même, sans idées préconçues… Tu permets donc que je saute tes mots d’aujourd’hui, en attendant le tout !!!
Tu as raison… il vaut mieux attendre un peu.
Pas de soucis. 🙂
Passe une douce journée. Merci.
Papilio a le droit de lire ce qui lui plait …. NA
Na !
Tu as tout à fait raison…
Si j’écrivais un livre, je serais évidemment inspirée par tous ceux lus jusqu’ici, c’est à dire pendant 64 ans ! aussi je ne pourrais les citer tous. J’écrirais « mon » livre à moi, logiquement inspiré par mes lectures et ma vie.
Il faut rester libre, indépendante, ne pas trop obéir aux règles inventées par les hommes, c’est un peu ennuyeux je trouve de lire ces référence. Papilio est libre.
Mais ce n’est que l’humble point de vue d’une Anniclick hyper indépendante ! et … libre 🙂
Gros bisous
Papilio le sera encore plus sur les pages de son livre.
Merci pour ton avis. Il compte pour moi.
Gros bisous et douce journée à toi.
Quel dilemne chère Quichottine et comme tu dis plagiat est un mot vraiment trop fort mais pour les raisons dont je t’ai parlées dans le précédent commentaire, cela peut poser problème. En principe les références à un autre livre sont faites en italiques avec une référence en bas de page mais tu connais cela mieux que moi. Moi j’aime l’idée que tu donnes comme compagnon le Petit Prince à Papilio mais les éditeurs le verront-ils d’un bon oeil. Continue une bonne étoile se penchera sur toi et t’éditera..
tout plein de bisous
le matelot de la terre ferme
Les citations faites le sont selon l’usage.
Merci de me le rappeler.
Plein de bisous à toi aussi, et merci pour tes encouragements.
Passe une douce journée.
Tu t’accroches à ton étoile et tu vis tes rêves en les mettant en mots!
Un sourire… et un grand merci, Kri.
Difficile de plaire à tout le monde…Quant à savoir s’il faut que tu modifies ou pas, je pense qu’il n’y a que toi qui peut prendre ce genre de décision…tu l’as écrit tel que tu le ressentais, alors pourquoi changer ?…
Douce soirée Quichottine & gros bisous de nous deux
Je n’en ai changé que quelques détails…
Nous allons l’autopublier.
Bisous et douce journée à vous deux.
Non Quichottine, ce n’est pas du plagiat! Ce ne sont que des mots que n’importe quel auteur pourrait utiliser. Je ne vois aucun souci de s’approprier des phrases qui s’adaptent à une histoire.
Tu as raison de penser à tes anciennes lectures qui t’inspirent.
Continue à nous faire rêver!
Bonne soirée!
Bisous
Je vais essayer… le plus possible.
Bisous et douce journée à toi.
tu devrais envoyer une lettre à un descendant de Saint Exupéry pour lui raconter les histoires de Papilio et son amitié avec le petit prince.
bisous
… Je ne sais pas.
J’attendrai d’avoir le livre.
Bisous et douce journée.
je n’ai pas pu tout lire à cause de ma migraine
je repasserai Quichottine
je te souhaite une agréable soirée
ti bo
ti bo
J’espère que tu vas mieux…
Bisous et douce journée à toi, Sonya. Prends bien soin de toi.
Plagiat n’a vraiment pas de raison d’être…Je dirai plutôt que ton livre est comme une auto-thérapie. Le Petit Prince enfoui ds ton inconscient guide tes pas et anime ta philosophie…pour ce que j’en ai lu sur ta page. VITA
Autothérapie… j’adore !
Merci, Vita.
Bisous et douce journée à toi.
tu nous en parles tellement de ce livre que bientôt nous n’aurons plus du tout de surprise en le lisant. excuse-moi, tu sais que parfois je suis un peu abrupte mais va-t-il falloir attendre encore longtemps? Ne crains-tu pas de nous faire le coup du parent qui fait tellement attendre son enfant qu’à la fin il n’a plus du tout envie de jouer avec le train électrique ou la poupée qu’il convoite depuis si longtemps?
bises et bon dimanche
Non, plus très longtemps.
Nous attendons le premier exemplaire, sans doute cette semaine. Après vérification, le livre sera disponible sur TBE. Sa sortie est prévue pour le 15 novembre.
Tu as raison, je crois, je n’aurais sans doute pas dû vous en parler autant.
Pourtant, je ne crois pas que vous en sachiez plus que celui qui ne lirait pas mon blog.
Nous verrons bien…
Je suis désolée de t’avoir lassée. Ce n’était pas mon but.
Passe une douce journée. Je t’embrasse.
quel talent que le vôtre quichottine dans votre dialogue
avec l’allumeur de réverbères qu’est le petit prince:))))
Puis-je,à mon tour, vous présenter
un extraordinaire allumeur de rêve du Québec, Canada
par la scène, poète-conteur…
véritable réberbère sur deux pattes en plein jour:)))
ENTRE MONTREAL ET PARIS
SIMON GAUTHIER
LE VAGABOND CELESTE
courriel de Simon Gauthier
du 3 avril 2013
le lendemain de son spectacle
LE VAGABOND CELESTE
à la maison de la culture
cote des neiges, montreal
Salut Pierrot,
Tu dormais mon cher,
sur ta paillasse
hier au soir
tu dormais sur la plancher
de ton ami chansonnier
tu dors dans les draps de ton doctorat
pendant que je conte
l’histoire de cet homme vagabond
de cet écho de ta vie
de cet inspirant récit
d’un homme voyageur
vêtu de lumière
Pendant que le vagabond céleste marche
parmi les étoiles
tu peux dormir mon ami
tu peux dormir
dans l’esprit des gens
réunis,
tinte tinte les clefs
tinte
tinte
le rêve
Le vagabond céleste
habille de chaleur
le corps désir de ceux qui rêvent et de ceux qui pleurent
ceux qui rêvent et de ceux qui pleurent
Bonne journée Pierrot
Simon
——
réponse de Pierrot
Cher Simon
Oui, hier soir, je dormais avec, dans mes bras, la biographie de Cervantes
de Jean Canavaggio. Ce Cervantes qui a écrit Don Quichotte à 53 ans alors qu’il était en prison et qu’il lui manquait un bras.Qui aujourd’hui ferait confiance à un homme de 53 ans en prison à qui il manque un bras?:))))) Seul un impossible rêve permet un tel surgissement d’impossible réalité.
On m’a rapporté l’immense délicatesse artistique avec laquelle tu redonnes
espoir à ceux et celles qui écoutent le conteur-poète de la Côte nord.Autant Mon ami Woodart que mon compère de bibliothèque Raymond le philosophe ont été invités par ta passion de passeur de rêves à naviguer vers leur rêve personnel. Tu as fait de ma démarche un conte post-moderne qui risque d’enflammer les humains comme des lampadaires. Tu es vraiment devenu un allumeur de coeurs-réverbères. Woodart a été plus qu’épaté. Lui qui me connait à l’usure depuis 40 ans, il a noté ta force à coudre des tableaux de mots par de la lumière de rêve dans laquelle il a reconnu ta signature d’une très grande maturité créatrice.
Une vie d’artiste, c’est une longue marche
et je te vois enjamber des continents
un flambeau à la main.
Mes 64 ans bien au calme
dans leurs bottines
qui se préparent à repartir le 15 juin
saouls de liberté, te souhaitent
Bonne route internationale camarade, car,
comme Félix Leclerc, un jour, le succès t’attendra
ici au Québec à un de tes retours d’Europe.
Pierrot
http://www.enracontantpierrot.blogspot.com
http://www.reveursequitables.com
http://www.simongauthier.com
sur youtube
simon gauthier conteur video vagabond celeste
longue vie à vous
et à votre blogue :)))
Pierrot
p.s.
peut-être aurez-vous l’occasion
d’assister à sa prestation
PARIS
SIMON GAUTHIER
CONTEUR INTERNATIONAL DU QUEBEC
SPECTACLE « LE VAGABOND CELESTE »
25 MAI 2013,
21 H À 22H 30
LE PETIT NEY
10 AVENUE PORTE-MONTMARTRE
PARIS
——-
puis-je aussi me permettre de vous partager
son courriel du 1ER MARS 2013
——–
Allo Pierrot, je suis en France.
Je rentre demain au Québec.
Il fait froid et humide partout, même dans les lieux publics. Il fait gris et un brin de soleil redonnerait du tonus à tout le monde!
Je voulais te dire que j’ai raconté (ou plutôt) le vagabond céleste est passé et a été entendu
à Quévin (près de LOrient en Bretagne)
Il a été entendu à la prison de Béthune (Nord de la France) et pas un prisonnier ne s’est levé durant le spectacle (comme il est de coutume) les
gardiens mon dit que c’est la première fois qu’ils voyaient ca!)
et le Vagabond à passé à Lille avec son et éclairage, 3 rappels!
Les gens sont restés longtemps
et plusieurs larmes d’espoir brillaient dans le noir.
Plusieurs messages me sont parvenus pour te dire merci!
Merci!
Merci!
++++
Autrement la tournée me rentre dans le corps. Un bon brin de fatigue et de
grippe à la gorge.
De bonnes tisanes et des amis pour guérir
+
+++
J’espère que tu vas bien et que ton travail de vulgarisateur âme, société,
gens et pays oeuvre d’art
va bien!
On se voit sous-peu
en mars, si la vie le veut!
pour aller plus loin!
Bonne journée
Simon :+)
—–
REPONSE DE PIERROT
A SIMON GAUTHIER
CONTEUR INTERNATIONAL DU QUEBEC
Cher Simon
Je te prédis un succès international
parce que tu es un poète-passeur:)))
Bravo Simon
longue vie à ta vie d’artiste
et de conteur international
Merci d’avoir pris le temps, Pierrot.
Je vous souhaite toutes les rencontres possibles… Être allumeur de rêves, c’est un métier formidable.
Votre site est tout à fait splendide. Quelle belle idée que la vôtre !
Que cette journée vous soit douce. Prenez bien soin de vous.