On dit que le lutin vert, après s’être échappé de la bibliothèque, décida de croquer dans la vie à pleines dents.
Il réussit une prouesse que peu de lutins verts avaient pu réussir jusqu’alors.
Il se dédoubla, se tripla même !
On ne comptait plus ses apparitions dans la blogosphère.
Chacun et chacune l’avaient vu ! C’est vrai…
Martine, l’avait même pris en photographie à Cergy… sur la statue de don Quichotte…
Vous savez ? Celle dont avait parlé Quichottine, dans le Tiroir aux secrets…
Nymphea nous l’avait montré… fatigué ! Il faut dire qu’il venait d’être mis à contribution par tant de blogopotes qu’il ne savait plus trop où donner de la tête !
Muad l’avait photographié tandis qu’il répondait aux questions d’un journaliste !
Il ne pouvait pas en être autrement. Micromégas avait pris tant d’apparences diverses qu’il pouvait se trouver partout à la fois, ce qui n’était pas le cas de Quichottine.
Elle, elle doit être présentée lundi au juge, qui statuera sur son sort. Elle a bon espoir…
Vous savez, il y a tant de personnes sur cette enquête que nul n’arrive à savoir quelle piste suivre.
Adrien Monk, (merci Val’r) désormais, essaie de voir clair dans la bibliothèque.
Sans s’approcher des livres, toutefois, parce qu’ils ont été feuilletés par tant de personnes qu’ils sont certainement porteurs de microbes ou de virus, celui de la peste, celui du choléra, ou même, d’autres crobes entiers beaucoup plus ennuyeux pour qui les attrape !
Il s’est installé dans un coin, un peu loin de la cheminée, parce que là, il y a un être bizarre, armé d’un appareil photo qui essaie de prendre sur le vif quelque chose qui remue derrière le pot à crayons.
D’ailleurs, Adrien ne s’est pas non plus approché du bureau…
Il est en train de visualiser l’espace, sans bouger, presque tétanisé.
En effet, pas loin de lui, l’inspecteur Columbo, vêtu d’un imperméable qui n’a sans doute pas dû le quitter depuis au moins dix saisons, tient à la main, dans un équilibre instable, une vieille tasse…
Alors, vous pensez bien, si une goutte de ce café infâme qu’on a voulu lui servir un peu plus tôt éclaboussait sa veste où nul grain de poussière n’a jamais pu prendre place, ce serait une catastrophe !
Ah ? C’est vrai… J’étais là pour vous parler du lutin vert !
Depuis que j’ai lancé mon avis de recherche, j’ai recueilli de nombreux témoignages…
Ruegy a rencontré Archibald Jolifleur. Ce dernier, à peine dans la rue a rencontré le Père Noël !
Une chance ? Je ne sais pas…
Il en a profité pour tomber amoureux d’une princesse de contes de fées, et se retrouver sous les projecteurs un instant. Ce n’étaient pas les feux de la rampe ! Il aurait pu alors parader, ça lui plaît bien, parfois…
Mais là, c’était toute une armée de policiers en uniforme ! Du coup, il a laissé tomber ses amours naissantes et s’est esquivé une fois de plus…
Croyez-vous qu’il regrette sa princesse ? Je n’en sais rien. Il faudra le lui demander quand vous le retrouverez.
Un autre des avatars de Micromégas, après avoir sauté par la fenêtre de la bibliothèque, a été pris à parti par Oursonne Libre qui lui a demandé d’être son témoin, son porteur de micro, bref, son écuyer personnel, alors qu’elle allait au péril de sa vie prendre une photo compromettante…
Ce pauvre lutin en tentant de sortir parce que il en avait assez de contempler l’aquarium de Siratus se retrouve après avoir sauté par la fenêtre pris en otage par une oursonne affublée d’un appareil photo et obligé d’aller l’accompagner devant l’Élysée pour jouer les mamarazzi afin d’immortaliser notre président people et sa star de copine pour Noel pour la photo du canard enchainé.
Pauvre lutin vert qui ne souhaitait que voir le monde, eh bien il est servi. Finalement, l’aquarium c’était pas si mal.
Quand au dernier, celui qui doit être Micromégas en personne, il a atterri chez Val’r.
Je ne sais pas si vous la connaissez. Elle ne se déplace qu’avec sa batterie (pas de cuisine, non !)…
Ce qu’elle aime, c’est faire du bruit. Vous savez bien ! Ce bruit bizarre que les humains appellent « musique ».
… Même qu’à la fête de Chris, elle avait fait danser tout le monde ! Des danses endiablées, c’est vrai ! Ce jour-là, chez Chris, il y a eu tant de monde que la planète Alphabeta a tremblé sur son orbite… J’ai même cru un instant qu’elle allait en sortir. Pour aller où ? Je ne sais pas… et comme depuis, ça s’est calmé, nous n’en saurons jamais rien.
Voilà ce que mon amie Val m’a écrit…
Bonjour Quichottine, j’ai rencontré ton lutin vert ce matin… Il semblait épuisé, je lui ai proposé une tasse de lait et un peu de pâte de coing et nous avons discuté un moment. Je vais essayer de te rapporter ce qu’il m’a dit, en restant fidèle à ses propos:
« La bibliothèque de Quichottine est un immense labyrinthe, je m’y suis perdu alors que j’étais venu là pour trouver un livre sur la sculpture chez les trolls » dit-il en engloutissant un bon morceau de pâte de coing » J’ai alors cherché une ouverture pour en ressortir , j’ai regardé autour de moi… Il y avait des centaines de fenêtres de formes et de tailles différentes: des fenêtres à petits carreaux, des meurtrières, de larges baies vitrées…Je les ai comptées, il y en avait mille et unes! Vous vous rendez compte…Mille et une fenêtre, comment trouver la bonne? »
En disant ces mots, il entama un pot de gelée de coings. Il reprit son récit après en avoir étalé sur une énorme tranche de pain :
» Je décidai alors de passer par la petite fenêtre, celle avec les petits carreaux de verre, lorsqu’une grande lumière m’aveugla.. Je sautai à terre et vis trois jeunes gens qui me regardaient avec un grand étonnement, l’un d’entre eux avait une cicatrice bizarre sur son front et pointa sur moi sa baguette magique… Il me renvoya tout de go dans la bibliothèque de Quichottine. Je choisis alors une autre fenêtre ,plus petite, qui semblait construite avec de la paille. Le passage était plus difficile et lorsque je pénétrai dans la pièce, un grand souffle emporta les murs de la maison où j’étais tombé…je me retrouvai seul, face à u
n animal noir aux yeux luisants, qui avait en plus de très grandes dents! N’écoutant que mon courage, je retournai d’où je venais, suivi par la bête féroce. Je courus à travers les rayonnages de la bibliothèque, cherchant un abri, lorsque je vis une jolie petite fenêtre avec de beaux rideaux rouges, je l’enjambai, me cachai derrière un lit et ressortis de la pièce, laissant là une femme d’un certain âge et l’animal furieux qui s’était jeté dans cette chambre. Je soufflai un peu, calé entre deux livres de la bibliothèque lorsque je sentis ce doux parfum de coing…Il émanait d’une fenêtre qui était restée entrouverte, je jetai un coup d’œil et vit une personne qui préparait une délicieuse pâte. »C’est ainsi que Maître lutin, par l’odeur alléché, est entré dans ma cuisine et m’a à peu près tenu ce langage !
En fait, ce que tous ignoraient, c’est que le lutin vert n’avait envoyé que des hologrammes par la fenêtre…
Lui, il était resté là, et il riait en imaginant ce que je dirais quand je reviendrais à la bibliothèque…
Il faut dire que le lutin, bien malgré lui, avait eu un entretien avec l’inspecteur Columbo !
Vous ne me coyez pas ? C’était le premier matin… alors qu’il y avait tant de monde…
Mais là, mon histoire est déjà trop longue. Je vous raconterai la suite demain…
Quel suspens, j’attens la suite avec impatience….
Demain….
C’est magnifique, Quichottine, toutes ces histoires nées individuellement de l’imagination de tous…..incroyable et rassurant !
Je trouve aussi ! Pour moi, c’est plutôt une merveilleuse expérience…
je n’ai pas le temps de lire le com de Chana je le regrette, je verrai ça à un autre moment….quelle imagination…débordante…je souris car ce lutin nous en fait voir de toutes les couleurs…c’est un bon petit diable..;en fait..;gros bisous Quichotine et Je te souhaite une bonne et heureuse année 2008. surtout une bonne santé à toi et aux tiens..
C’est un vrai morceau d’anthologie ! J’espère que tu le liras… à tête reposée.
Bonne et heureuse année à toi aussi
Avec les hologrammes et le don d’ubiquité du Lutin vert, tout s’explique!!! (Et même, je crois avoir pris en photo, un clone du Lutin vert… que je te montrerai un peu plus tard, bien évidemment)…
Et la version de Chana (qui est à coté de moi, pas loin de la cheminée ;O)) est excellente aussi…
Re très bon dimanche, Quichottine
;O))
J’attends ta photo, Elleiram ! Je t’avais bien vue près du bureau !!!!
Tu as raison… j’adore la version de Chana ! C’est un très beau cadeau qu’elle m’a fait là !
Re-bisous amicaux, Elleiram
Bonjour Quichottine, merci pout ta visite. je te souhaite de passer un bon réveillon!!! pleins, pleins de bizou pour cette fin d’année.
P;S : et je dois faire des efforts début 2008 pour faire revivre mon blog et venir te voir plus souvent si le temps me le permet.
Je sais bien que tu feras ce que tu pourras, Céline… On n’est pas toujours maître de son temps !
et très bonne année à toi aussi !
Je venais applaudire Quichottine pour sa belle histoire, et je tombe sur le commentaire de Chana. Alors j’applaudis aussi Chana et Chanelfe qui ont fait liberer notre conteuse. Bisous et bon dimanche.
Merci Ruegy ! Toi aussi tu as pu admirer le texte de Chana ! J’en suis contente !
Bon dimanche à toi aussi
Chana et Quichottine, je pense que nous sommes atteintes de blogofolie…et nous ne sommes pas les seules 😉
Merci à vous deux car vous nous donnez l’occasion d’écrire et de partager nos écrits et ça, c’est un super cadeau…
Blogofolie… ça c’est un super titre !
Merci Val’r !
… j’adore cette maladie !
Blogelfie, Va l’r, blogelfie ! C’est notre maladie…
Tous des malades, les amis de Quichottine, même en faisant la grève de la faim à tour de rôle !
Trop de chocolat chaud ? Trop d’épinards verts ? Trop de confiture de coing ? Trop de courant d’air ?
Trop de charmes elle a,
assistée d’un grand Druide de Carnac !
Vivement demain, qu’elle soit libérée…
Je suis morte de rire, Amie Siratus ! Vous n’allez pas vous chamailler pour le nom de notre maladie commune ?
Mes amis sont merveilleux, et toi, ma Dame de l’Océan, tu le sais bien ! Ils sont toujours là, dès qu’on les appelle… et même avant parfois !
Mais tu as raison, Blogofolie ou Blogelfie, il faudra bien que cette histoire se termine et que mes deux lutins regagnent gentiment le fond du tiroir aux secrets dont ils sont sortis…
Demain, Je serai libre, c’est sûr !
Gros bisous de la nuit, Siratus… Que ta journée soit douce !
ça devient de la folie ton conte….c’est génial…
gros bisous…bonne fin d’année pour toi
unos abrazos muy fuertes
tilk
De la folie, oui, mais je dois dire que je suis ravie !
Bonne fin d’année à toi aussi, Tilk…
Abrazos también para ti !
Bon bout d’an!
Bon bout d’an à toi aussi, Val’r
En tous cas Quichottine,tu en as de l’esprit,aller tout lire ,j’en aurais pour combien de temps dans ce labyrinthe tu penses?
Bonne fin d’année et A+
Oh… je crois que mille et une années… bien employées !
Bonne fin d’année, Nadia !
j’arrive trop tard
Mais non, N-Talo… il n’est jamais trop tard !
Noël est passé, mais j’ai encore un cadeau, ou plutôt un message de la part du Lutin bleu, pour toi… ici!
;O))
Merci, Elleiram ! C’est un magnifique cadeau !!!
j’ai bien reçu le message du lutin bleu… je verrai ce que je peux faire. Merci à toi de me l’avoir transmis.
Un petit tour par chez toi pour te souhaiter une belle et heureuse année 2008. Biz !
Merci à toi ! Belle et heureuse année pour toi et pour ceux qui te sont chers.
Tu as un bien joli pseudo…
(et ton blog, que je ne connaissais pas, semble plein de merveilles !)
J’en perds définitivement mon lutin là , moi l’angliche titche heure !
Je suis morte de rire, Cactus ! Passe une belle soirée…
Grand merci pour cette seconde visite, Dany !
Bon dimanche à toi aussi
Parfois une enquête est résolue grâce au témoignage tardif d’un témoin qui, taraudé par ce terrible regret de n’avoir pu se manifester au bon moment, prend le temps d’entrer au commissariat pour expliquer et démêler l’histoire. Voici ce que les enquêteurs ont rapporté :
« Je me nomme Chanelfe. Je suis issue du croisement d’un chat roux, d’une sirène et d’un lutin vert. Faites une enquête de moralité et interrogez tous les psys de la terre, je suis une personne saine de corps et d’esprit, aussi, écoutez bien :
Je me trouvais dans la bibliothèque de Dame Quichottine au moment des faits. Inspecteur Derrick, mais réveillez-vous donc ! Vous ne pouvez ignorer ce haut lieu. C’est l’espace de rencontre de tous les imaginaires. Nous étions donc tous présents. J’étais près de la cheminée, sirotant le divin nectar que Dame Quichottine nous avait servi avant de commencer à lire ses contes. Un breuvage rose et vert, très pétillant, avec quelques flocons de magie et deux soupçons de rêve pour nous préparer comme elle le fait chaque fois.
Nous étions tous suspendus à ses lèvres. Comprenez que le silence régnait car lorsque Dame Quichottine prend la parole, il s’instaure comme un parfum de délice que seuls nous, les blogobiens, sentons. Oui, oui, j’en arrive au fait.
Notre hôtesse avait commencé sa lecture quand soudain, par je ne sais quel mystère, elle a plongé dans son livre. Quand je dis « plongé' » c’est au sens propre du terme inspecteur. Elle était tellement dans l’histoire qu’elle s’est littéralement fondue dans les pages et a rejoint les personnages dont elle nous parlait. Rendez-vous compte ! Nous avons tous dû nous partager le livre que nous avons fait tourner à tour de rôle pour suivre le récit. Heureusement qu’il y avait des images, nous pouvions ainsi suivre sa progression.
Le problème, c’est que avez débarqué comme si nous étions tous des malfrats. Ni une, ni deux vous avez réquisitionné le livre en le refermant brutalement, sans aucun respect pour les pages précieuses. A présent Dame Quichottine est enfermée dedans. Il vous suffit d’aller voir. C’est un livre qui sent bon le chocolat chaud siroté au coin du feu. Quoi ? Vous n’aviez même pas remarqué ? Pffttt !
Comment ? Pourquoi personne ne l’a dit avant ?
C’est très simple inspecteur. Il existe une règle d’or chez les blogobiens : lorsque l’un des nôtres est dans l’embarras, tous se lèvent comme un seul homme pour le protéger. Ils ont eu peur de lui porter préjudice et ont préféré se taire. C’est ça l’amitié.
Comment ? Pourquoi je la dénonce aujourd’hui ? Mais vous n’avez rien compris. Je ne la dénonce pas, je viens porter assistance à personne en danger et si vous ne la libérez pas un drame risque de se produire.
A cet instant, tous les inspecteurs, Columbo, Miss Marple, Maigret, Agatha Christie, avec Derrick en tête, se retournent vers l’écran de télévision pour suivre le flash de dernière minute : « ….nous apprenons que OB vient de porter plainte. En effet, selon une source sûre, les blogobiens se sont réunis devant leur siège. Ils viennent d’entamer une grève de la faim. Ils réclament la libération de leur conteuse. Personne ne veut croire qu’il suffit d’ouvrir un livre, un beau livre, pour la libérer. Tous défilent unis par une solidarité jamais vue auparavant. Il y a même une sirène, un lutin vert, un chat. Un gréviste de dernière minute s’est joint à l’assemblée, Don Quichotte en personne.
Derrick éteint le poste de télévision, regarde Chanelfe puis s’adresse à ses collègues : « apportez-moi ce livre. Cette histoire est complètement folle mais je veux en avoir le coeur net ». Si madame Quichottine est bien à l’intérieur de ces pages, l’alibi tient la route ».
Derrick prit sa tête dans ses mains, effaré par ce qu’il venait de dire. Comment lui, pragmatique et logique, pouvait croire un instant à la véracité de cette histoire loufoque ? Voilà qu’il se mettait à écouter une créature bizarre nommée Chanelfe issue de croisements aussi bizarres que l’étaient son nom et son histoire !
Epilogue : Dans la bibliothèque de Quichottine, le lendemain, tous étaient présents. Elle avait été libérée. Il n’avait pas fallu bien longtemps à Derrick pour être envoûté par la Dame et ses talents de conteuse. En ouvrant le livre, elle était apparue continuant, comme si de rien n’était, son histoire de lutin vert, de sirène, de chat roux et d’aquarium. Conquis et convaincu, Derrick la laissa repartir et la déposa même devant sa porte.
Les blogobiens avaient retrouvé le sourire en même temps que leurs repères. L’histoire pouvait continuer. Le chocolat chaud coulait à flots, les bûches brûlaient dans l’âtre et l’assistance grignotaient quelques biscuits confectionnés par Dame Quichottine. La grève de la faim, ça creuse ! Après avoir souhaité la bienvenue à leur hôtesse et s’être restaurés, les blogobiens prirent place autour de Quichottine qui, un livre à la main, était sur le point de commencer sa lecture.
Une sonnerie retentit : c’était Derrick. Il était venu se joindre aux invités de »l’heure de conte » invité par Dame Quichottine qui lui avait permis de retrouver son âme d’enfant.
————-
Dis-moi Quichottine, dois-je me faire soigner ? Je crois que je suis atteinte ! Lol.
Bon dimanche à toi.
… Je ne sais même plus quoi dire !
Tu es géniale, Chana… Merci !
(Si c’est une maladie, elle est bien agréable…!)
Bonjour hère Quichottine, que j’aime cette deuxième version?? à plusieurs voix (ce n’est pas pour rien que je chantais dans une chorale lol…) et j’attends la suite avec impatience. Quand à Chana oui je crois qu’elle est très atteinte…lol mais de talent..
Merci pour tous ces mots qui font du bien à mon âme d’enfant et à mon esprit..
Très belle journée avec plein de bisous
chantal
Je suis d’accord avec toi… pour ce qui est de Chana, c’est évident !
Passe une belle journée !
Si ce lutin vert mesure 1m20, est couleur épinards trop cuits, louche et bégaie légèrement lorsqu’ il est ému, ne le cherchez plus ! Il est chez moi.
Je l’ ai trouvé un matin, tout apeuré de ce qu’ il venait de vivre, tremblant dans la réserve de mon café.
Après un récit plus ou moins intelligible, il me supplia de le cacher en attendant que les esprits se calment.
Le pauvre n’ est coupable que d’ une seule chose : celle d’ être différent du prototype humain.
Il est doux et gentil. Un peu naïf aussi. Et c’ est cette naïveté qui est cause de tous ses tourments.
Tombé amoureux fou d’ une sirène, il quitta le chêteau de Dame Quichottine, pour aller à sa recherche.
La belle, ignorante des ravages qu’ elle avait causés dans le coeur du lutin vert, s’ en était retournée à son océan natal.
Et depuis, le lutin errait à sa recherche, désemparé…..Il avait cru la voir, mais ce n’ était qu’ une princesse ordinaire.
Une de ces princesses banales pour qui un chevalier encore plus banal, court le monde pour tuer des dragons cacochymes, qui crachouillent des semblants d’ étincelles.
Ce n’ était pas SA princesse à lui !
Mon lutin vert original n’était pas si grand, mais tu sais, tout est possible aux lutins !!!
Je suis sûre qu’il s’agit bien là d’un de ses avatars…
Merci !
Tu peux prendre l’ ascenseur si tu veux. Ce n’ est pas ma propriété exclusive (hé hé ).
Si ça te pose problème, je peux même t’ envoyer son url. Ce sera plus facile 🙂
Je te souhaite une bonne et heureuse année 2008, ainsi qu’ aux tiens et à tes lecteurs 🙂
Bises .
Merci pour tes voeux, Clo… et merci aussi pour ton aide. Effectivement, je te demanderai comment on fait, ce sera beaucoup plus simple ! merci infiniment…
Bonne et heureuse année à toi aussi…
Merci pour cette magnifique image, Michka !
Très bonne année à toi aussi…
J’attends demain avec impatience Quichottine, pour en savoir plus sur les aventure de ce petit lutin gourmand … Bonne soirée à toi !
Merci Bandolera !
Bonne soirée à toi aussi… et à demain si tu peux !
coucou dame quichottine, ça ne m’étonne pas d’oursonne …
l’intervention de colombo m’amuse beaucoup(toujours là quand il faut)
bon dimanche
bises et amitiés
béa
Coucou Béa ! Merci pour ta visite et pour l’image que tu as déposée ici !
Je me suis amusée avec Columbo, je l’avoue…
Bon dimanche à toi aussi
Ouha….c’est du blog que votre blog!
Ben moi je débute, comme on peut s’en rendre compte
en allant sur le mien ….. de blog!
Leo
Oui… J’ai vu pour ton blog. Je vais attendre un peu de voir ce que tu en fais… mais je viendrai !
Bon courage à toi pour sa mise en place…
Je viens te souhaiter un très bon réveillon et une excellente année 2008 qui va bientôt débuter !
Bisous à bientôt !!!!
Grand merci pour tes voeux, Tania !
Excellente année à toi aussi (pour ton réveillon, je ne me fais pas de souci… je suis certaine que tout sera parfait !)
Bonsoir Quichottine, je viens de lire consciensieusement ton article et ses commentaires et d’explorer tes liens et je reste sans voix devant ce fourmillement d’idées et de chaleur humaine que tu inspires …
Merci Dona Quichottine,
Quel beau message, Muad ! Tu as raison… pour ce qui est de la chaleur humaine dont m’entourent mes blogopotes… je les trouve géniaux !
Merci à toi, Muad, et merci à vous tous !
Puisque tu demandes notre avis : je préfère cette version 2
Bonne soirée à toi
Merci pour cet avis, Kri. Il est conforme au mien !
Bonne soirée à toi aussi