Le temps file plus vite que je ne le voudrais.
J’avais promis qu’il reviendrait, que je reprendrais la lecture de mon livre bleu… C’était une façon pour moi de revenir à mon Quichotte, de résumer un peu les premiers chapitres, en ne gardant que ce que je pensais être le plus important.
Ma lecture ne peut se substituer à la vôtre, mais c’est ce que je garde au fil des jours de ma rencontre avec le chevalier de mon adolescence.
J’ai dédié les quelques chapitres qui me seront nécessaires à la communauté gérée par Glorfindel, Littérature pour les Nuls, parce que même si j’ai travaillé longtemps à l’âge adulte sur Don Quichotte et sur ce qu’en ont dit ou écrit les spécialistes de Cervantès, je ne veux me targuer d’en être.
Je reprends donc Mon Quichotte, ces réflexions à partager entre ceux qui l’aiment sans se prendre la tête, ou qui ont simplement envie de le connaître à ma façon.
Dérision, ou seulement acceptation d’un état de fait.
Lorsque je pense à mon chevalier, lorsque je lis ses aventures, je ne suis jamais tout à fait objective, ce que je devrais être si j’endossais mon habit de chercheur en littératures comparées.
Ainsi donc, aujourd’hui, avant que ne s’achève ce mois où je vous annonçais son grand retour, je suis allée le retrouver dans la bibliothèque.
…
– Ah ! Te voilà ! Tu n’as pas honte de m’avoir fait attendre si longtemps ?
J’en suis navrée, Messire. Si vous saviez ! Je me cherchais une raison, un nom.
– Un nom ? Tu te souviens ? C’était aussi le titre de ton premier chapitre, il y a trois ans. Tu lisais, et tu racontais combien il est important de donner un nom aux choses, non pour qu’elles existent, mais pour qu’elles soient autres et conformes aux désirs de celui qui les re-crée en les nommant.
Je me souviens très bien. Ce jour-là, dans ma bibliothèque débutante, j’avais écrit ces mots :
Il s’entraîne en baptisant son cheval. Ce n’est qu’une vieille rosse… mais, en l’appelant Rossinante, il en fait l’un des plus célèbres destriers de toute la chrétienté ! Le cheval est nommé, le chevalier peut, à son tour, se trouver un nom qui le transforme.
Ce sera Don Quichotte… Don Quichotte de la Manche pour faire bonne mesure. Un chevalier, ça doit avoir une patrie à défendre. La Manche, c’est son pays.
Et puis, pour avoir quelqu’un à qui dédier ses exploits, il s’invente un amour… une Dame, Dulcinée.
Ce sera la plus belle, la plus aimée, la plus chérie des héroïnes de la littérature, la moins réelle aussi. Dulcinée, ce n’est qu’un mirage, l’image transformée d’un souvenir. À travers quel prisme don Quichotte l’a-t-il rêvée ? Par quel miracle Aldonza Lorenzo, fille d’un laboureur du Toboso « Fort avenante et de laquelle il avait été autrefois amoureux » devient-elle cette merveilleuse Dulcinée du Toboso ?
Cela a-t-il vraiment de l’importance ?Ce qui est important, ce sont ces noms que le chevalier attribue à ceux qui seront les héros de son histoire.
Le conte peut enfin se dérouler, les mots ont commencé leur magie. Un simple gentilhomme, très quelconque, une vieille rosse décharnée et une paysanne vont pouvoir brusquement devenir autres et nous faire rêver.Quichottine, le 16 juin 2007
C’était un bon début, ne croyez-vous pas ?
– C’est vrai qu’un simple gentilhomme campagnard et un vieux cheval décharné n’auraient jamais pu accomplir de tels exploits, vivre tant d’aventures sans ce chapitre-là ! C’était essentiel…
Le chevalier avait souri, mais son visage arborait une expression étrange qui surprit la bibliothécaire.
Que se passe-t-il, Messire ? Êtes-vous souffrant ? Puis-je…
– Non, tu ne peux rien, Quichottine.
Mais encore ?
– Autrefois, lorsque tu étais cette enfant pas tout à fait assez grande pour ce qui t’arrivait, tu m’avais regardé autrement. Tu n’aurais pas dit ces mots-là.
Quichottine rougit, baissa les yeux, soudain inquiète.
– Allez, Damoiselle, n’ayez pas de chagrin. Vous avez seulement – un peu – grandi. À demain.
Elle n’avait pas réagi assez vite. Lorsqu’elle voulut le retenir, lui présenter des excuses, il avait quitté les lieux, emportant avec lui son livre bleu.
Maurice Quentin de La Tour (1704-1788)
(Pastel sur papier gris-bleu exposé pour la première fois en 1745)
Musée du Louvre
Détail d’une photo de Quichottine, août 2010
…
que placer!!! cuanto me gustaba cuando leias el quijote espero con ipaciencia que continues
besos
tilk
No te preocupes, voy a seguir leyendo.
Bises à toi aussi, Tilk.
Allo Quichottine, ça me fait drôle ce texte, je me sens comme assise dans un coin de ta tête et assiste à ce dont tu rêves.. d’accord.. j’écoute. Bises
Je t’en prie… Tu peux t’installer.
… et merci pour cette présence tranquille.
Bises à toi aussi.
Bonjour Quichottine,
Ah, Don Quichotte et sa Rossinante. Un livre qui m’a tant plu. Quel bel article tu nous fais là! Pour terminer, cerise sur le gateau, par un superbe pastel de Quentin de la Tour. Merci pour ce régal de lecture
Belle journée à toi
Martine
Je suis contente que tu l’aies aimé…
Merci pour cette visite qui me rappelle que je dois mettre à jour mon carnet d’adresses. J’ai été débordée cet été…
Belle journée à toi aussi.
Bon mercredi ! Bisoux.
dom
Merci,Dom. Gros bisous à toi aussi.
Il est très beau ce pastel…. Certes il faut donner des noms aux choses mais ne donne t’on pas parfois des choses aux noms…. Bises
C’est vrai qu’on donne aussi des choses aux noms… l’arbre aux mots de ff en est la preuve éclatante
Bises et bonne journée, Martine. Merci.
un livre, cela fait toujours envie, surtout quand il est si bien présenté en peinture.
biz
C’est vrai que là, il est encore plus beau.
Merci, Main verte. Couage pour tes cartons du jour.
C’est vrai que tu avais un peu exagéré à l’époque…dire en face à ton Quichotte que son histoire se résumait à trois noms simplistes : un gentilhomme campagnard, une rosse et une paysanne… …là tu es allée vite en besogne…pas étonnant qu’il ait fait la grimace, ton Quichotte !! et c’est pourtant vrai : un gâteau est réussi ou il est raté selon les ingrédients que l’on choisit de lui ajouter…après il y a le temps de cuisson qui peut varier…le talent de la cuisinière se mesure là!
La comparaison peut te sembler étrange mais pour l’écrivain, c’est pareil ! En effet, avec trois simples noms – mais pas n’importe lesquels et n’importe comment – on bâtit une histoire qui touchera tous les imaginaires en bravant le temps et l’espace…ou pas !
Jamais été attirée par ton Quichotte…c’est marrant…sans doute parce qu’à l’époque, on jugeait que c’était une « littérature de garçons » ? Je n’ai jamais lu que des extraits…A la cinquantaine, il n’est peut-être pas trop tard pour faire connaissance avec ton Quichotte de….plus près ! (enfin si tu me permets de l’approcher plus étroitement !!)
Passe une bonne journée, ma Quichottine. Plein de bisous !
Tu vois, je crois que c’est ce que j’ai le plus aimé dans la première lecture que j’avais faite de ce roman.
J’avais alors de gros chagrins à évacuer, et il m’avait montré la voie. Il suffit parfois de trouver les mots qui vont bien pour que la vie s’éclaire.
Tu peux le lire, Nickyza, mais je ne peux pas te garantir que tu l’aimeras mieux qu’alors.
Plein de bisous à toi aussi. Passe une bonne journée.
Je ne connais de Don Quichotte que des extraits, il va bien falloir que je m’y mette, tu en parles avec tant d’amour
Je ne sais pas, Gazou.
Je ne veux obliger personne à le lire. On peut aimer ou pas. Il faut du temps, même si les nouvelles traductions sont plus accessibles.
Mais, si tu le lis un jour, j’espère que tu me diras ce que tu en auras pensé.
Ah, ce Quichano qui se prend un beau jour pour le chevalier errant Don Quichotte, parcourant l’Espagne combattre le mal et protéger les opprimés, en compagnie de Rossinante, le cheval, et de Sancho Panza, paysan un peu naïf. Comme je les aimées ses aventures ma Quichottine. Bises et bonne journée
Merci pour ce partage, Zaza. Je sais ainsi que tu sauras me dire si tu n’es pas d’accord avec ma lecture.
Bises et bonne journée à toi aussi.
Tu nous fait rêver Quichottine… et le rêve est nécessaire à chacun(e)…
BISOUS.
Sourire… et un grand merci, Marité.
Je sais que j’ai besoin de ce rêve-là. Alors, si vous aussi, c’est tant mieux.
Bisous.
Je crois qu’on a tous des mots, des noms, qui nous font passer ailleurs, nous faire rêver, ou nous effrayer, qui nous marquent tant qu’on les attribue à des personnages et qui ainsi leur donnent un autre » statut « .
Dès lors, on peut, plus tard, lire autrement un livre, une image, et parfois ne pas s’y retrouver, pour autant ces noms associés gardent inéluctablement la trace de l’émotion d’alors, et la font renaître …
Ainsi que dans certains livres où le nom d’un personnage laisse son empreinte en mémoire …
Le livre bleu me fait penser à l’album aperçu dans la librairie chez Mamago, sans doute la couleur et le rêve prêt à se libérer …
Je n’ai pas oublié Don Quichotte, peut-être se souvient-il de moi …
Bises ensoleillées, Quichottine. Passe un bel après-midi.
Qui sait ?
Je crois que tu as raison, au moins en ce qui concerne les mots qui ont un pouvoir différent…
Un peu comme la madeleine de Proust.
Nous ne sommes jamais totalement « vierges » dans notre lecture. Les lectures précédentes ont donné un sens aux mots, leur ont apporté des images.
Merci pour tes bises ensoleillées. Belle fin de journée à toi aussi.
Il est très beau ce pastel. J’aime que tu reparles de Don Quichotte tu racontes si bien les choses et sais nous les faire aimer. Bisous et bonne fin de journée.
Merci, Solange.
Je suis heureuse que tu sois parmi ceux qui suivront ma lecture.
Bisous et bonne fin de journée à toi aussi.
Intéressant … ce chevalier de septembre!
Trois ans … c’est court et c’est long …. tout dépend!
Passe une bonne fin de journée
Bisous
Viviane
Tu as raison… tout dépend.
Merci d’être passée, Viviane.
Bonne journée et bises pour toi.
vraiment sympa ce pastel , j’ai cru presque a un sténopé …bise quichottine
Me voilà un peu plus informée… J’ai cherché, je ne savais pas ce qu’était un sténopé.
Merci, Mrcafe.
Bises à toi.
Que celui qui n’a jamais pensé à se forger un autre nom lui jette la première pierre ! C’est un premier pas vers le rêve…
Je me suis trouvée un pseudo… peut-être pour cette raison.
Vers le rêve, peut-être… Un premier pas vers autre chose.
Bonsoir Quichottine. J’aime bien ton article. Le fait de donner des jolis noms à son entourage l’embellit et Rossinanta aussi bien que Dulcinée font rêver. Bisous
J’aime bien ce que tu dis… « embellir en donnant de jolis noms ».
Merci pour ta lecture.
Bisous.
Donner un nom aux choses oui , c’est iportant et pourtant on n’y pense pas toujours ,o néglige ..
Qu’importe si tu n’es pas objective en parlant de ton « héros » ?
Tu en parles avec ton coeur et c’est aussi bien car tu nous le fais connaître sous un angle qui nous aurait sans douté échappé .
Continue à nous parler de lui ainsi; attention, il est susceptible!
Bisous
Je vais continuer à en parler… maintenant que j’ai recommencé, vous n’allez pas y échapper.
Bon, je ne promets pas non plus de ne plus parler que de lui.
Merci d’être là, Fanfan.
Qui n’a pas rêvé de ce héros, imaginé paupières closes, à travers les yeux du cœur ?
Alors, si tu es de ceux qui l’ont fait, tu seras peut-être près de moi pendant mes lectures ?
Merci, Adamante.
Je me demande si je ne vais pas le rencontrer un de ces jours, ton grand ami, sur mon chemin, c’est déjà arrivé mais il faudrait pour que je le sortes de mes cartons une bonne raison, j’attends alors, quoi, une idée, une occasion, ou juste une envie ? Un prétexte en tout cas…
Tu sais, ce n’est pas une obligation.
Un livre, c’est une invitation que l’on peut décliner. Un jour viendra, peut-être, ou peut-être pas.
Il me semble que c’est important de se laisser porter par son envie, en l’occurrence.
Ne t’en fais pas, je n’en voudrais jamais à personne de ne pas le lire.
Ici, tu es près de moi, et ça compte.
Bonne journée, Zoupie.
Pour préciser : les vignettes 2, 3 et 4, en partant du haut …
Merci, Midolu.
J’ai emprunté les images à l’auteur du blog. Je m’en servirai bientôt puisque j’ai son autorisation.
Merci encore.
quel homme ce don quichotte de la mancha
et quel amour pour dulcinée
j’aime aussi sancho
brel et dario moréno un plaisir
Un énorme plaisir… sans aucun doute.
Un spectacle qui s’est gravé en mon esprit, et qui en est sans doute mon meilleur souvenir.
Mais je ne l’ai pas vu avec Dario Moreno. Robert Manuel le remplaçait lorsque je suis allée au Théâtre des Champs Élysées pour le voir.
Merci pour ce souvenir, Jeanne.
Continue Toi qui est aussi sa Dulcinée, continue car je veux lire encore et encore ce que ton regard trouve dans cet Homme de mes moulins dont les pales qui tournent sans cesse ne sont autres que mes tourments de mériter que l’on m’appelle un Homme.
Continue car j’ai besoin de grandir à l’ombre de tes mots.
Tu es remerciée Dulcinée.
Je continue… Je sais que maintenant que j’ai repris ma lecture, je ne l’arrêterai pas.
Merci à toi, Liedich.
oups c’est avec du retard enfin comme d’hebitude que je découvre ce chevalier, il semble attachant mais pourquoi est-il parti si vite
Vite Quichottine rattrape le, je veux connaître la suite moi
Bisous
Tu la connaitras, sans aucun doute. IL va redevenir le sujet principal de mon blog. Ce qu’il était à mes débuts.
Bisous.
Tu sais bien que nous ne sommes jamais « objectives »…
Tu es intimement liée à lui dans mon esprit, mais je ne parlais pas du livre, il est programmé chez moi, ce Don Quichotte, il va sortir incessamment sous peu, mais le texte dont je l’ai affublé me restait en travers… Ca fait … pfff… un bail qu’il est dans mes feuillets i Et puis je ne sais pas donner un air féroce à mes personnages , enfin disons « vengeur » …
Merci d’être auprès de moi, Quichott , c’est une belle rencontre virtuelle ! Il y en a…
Merci pour ce texte et cette image que j’ai reçue avec plaisir et émotion.
J’aime bien ce chevalier qui te ressemble.
Tu es aussi une très belle rencontre pour moi.
Ton article de 2007 plantait le décor et les personnages. Il ne manquait que sancho, le serviteur fidèle… Bisous et bonne soirée
Je sais que c’est lui que tu préfères…
Bisous et belle soirée à toi.
bonjour quichottine, oui on reviens toujours a ces premiers amours de lecture, enfin c’est mon cas
bon mercredi
S’il en est une que je garderai, c’est celle-ci.
Bon mercredi à toi aussi, René.
Il ets bien beau le mur de la bilbiothèque avec un « Quentin de la Tour » …
Je trouve aussi… Je dois dire que le personnage aperçu au Louvre m’avait touchée, à cause de son livre bleu.
C’est sur qu’avec le temps notre approche dans nos lectures habituelles peut evoluer
ne soit pas triste Quichottine, bises
Ta sollicitude me touche, mais ne t’en fais pas, je ne vais pas m’attrister davantage.
Bises, Canelle. Merci pour ce partage.
Je te l’ai déjà dit je crois, ce n’est pas une oeuvre que j’ai aimée, on me l’a proposée trop tôt sans doute et puis, je suis trop terre à terre pour partir à cheval sur une vieille rosse pour combattre les moulins à vent, tout juste capable d’attrapper quelque mots au passage quand s’agitent les branches de mes chênes
bises
Oui, tu me l’avais dit.
Ne t’en fais pas, je ne demande pas que vous aimiez. Ce serait impossible. Mais cela me fait plaisir que tu sois venue malgré tout.
Les arbres racontent la vie autrement. Tu as raison de les aimer.
Bises, Azalaïs. Passe une belle journée.
merci de ta visite sur mon blog
je ne savais pas que nous nous étions manqué sur le stand, j’en rage à la vérité.
merci aussi pour tes mots qui me donnent beaucoup de courrage
à très vite de te lire
bises
Pierre
J’étais passée… Mais il est vrai que j’ignorais que tu étais là, je ne l’ai appris que sur le stand.
Bises à toi, Pierre. Merci pour ce mots du matin.
Ton « Quichotte pour les nuls »… Moi, je me reconnais bien là, et je suis heureuse que tu mettes tes articles dans cette communauté car…il me faut bien l’avouer…j’ai pris Don Quichotte à la médiathèque… 3 fois, j’ai repousser la date pour le rendre parce que oui, je lisais mais par petits bouts doucement et malheureusement, je n’ai pas réussi à aller au bout dupremier tome… Cette impression que Don Quichotte se répète, et trouve toujours , dans les diverses personnages qu’il rencontre, à user et abuser des mêmes manières envers les autres, envers sancho…Bref…il n’a pas réussi à me captiver jusqu’au bout, alors, bien sur que j’ai besoin de « ton Qiochotte à toi » parce que là…il me semble que j’arriverai à le trouver et à le suivre dans sa quete perpétuelle….
et …le regard que l’on porte sur les choses au moment de notre « juenesse » (sourire…) évolue, et encore heureux! alors, je suis sure que j’aimerai ton Quichotte de maintenant, car pour de telles découvertes, j’ai besoin, moi, de garder une âme d’enfant….
Je sais qu’il n’est pas facile d’y entrer. L’écriture n’en est pas simple, malgré les dernières traductions publiées.
Alors, ce n’est pas grave du tout, tu le liras avec moi.
Cela me plaît beaucoup de te savoir là. Merci, Mahina.
« Dulcinée », d’un nom propre est devenue un nom commun ! Et « se battre contre les moulins » est aussi passé dans les expressions courantes de notre langue…
Don Quichotte et sa bande ont laissé leur empreinte depuis bien longtemps, et… pour ma part, je n’ai pas encore osé l’aborder : quand je serai grande, peut-être ? 😉
Bises, et bonne soirée à toi qui aimes tant les mots
Quand tu seras grande… sans soucis.
C’est un livre dont beaucoup ont peur. Je pense qu’il faut y grapiller.
Passe une belle journée, Séverine. Merci pour ces mots.
Je l’ai rencontré, dans sa bibliothèque, qui est aussi la tienne …
http://www.lagandara.fr/Diversb.htm#
Bises, pour mettre du soleil dans cet après-midi …
Il est superbe… j’adore !
Merci, Midolu.
Bises et bonne fin d’une autre semaine à toi.
OUI oui, c’est même un excellent début …..
Voici un autre Chevalier :
Sourire… J’aime bien celui-ci aussi.
Merci, Glorfindel.
Mais comme cela est d’une grande justesse ma chère Quichottine, en grandissanr la perception est différente, les ressentis aussi, et c’est à mon sens en comparant la différence que l’on perçoit que les années ont légèrement passé.
Bises Quichottine et belle fin de semaine à toi
Trinity
Ici, sans doute plus que « légèrement »… mais ce qui est important c’est que l’émotion perdure.
Bises et belle fin d’une autre semaine pour toi.
Merci.
et ben moi, ya un chevalier respectable trop mal traité, encore une fois, bafoué, oublié, tenu dans l’ombre
auquel je veux ici rendre hommage, avec ta permission, très chère:
bisous
J’aime beaucoup Sancho… Il a un très grand rôle dans le roman. Merci de lui rendre hommage.
Je pense qu’il ne faut pas aller trop vite, mais je peux te dire ici que l’un ne serait rien sans l’autre… Cervantès a aussi inventé le premier grand duo de l’histoire.
Merci, Mamalilou, pour cette photo.
Moi-même, je te suis reconnaissante : j’ai ainsi découvert cet artiste, par la recherche que tu as indirectement initiée …
Passe une belle journée, Quichottine.
Tu m’apportes beaucoup, Midolu. Merci d’être là.
Belle journée à toi.
Le temps…oui, le temps manque…et pourtrant, je suis là, je prends soin de tout et son contraire et il s’en va sans en avoir l’air et ça m’agace. De toutes les manières avons-nous le choix? Ceci dit, « Le livre bleu » je l’attendrai, encore, toujours.
Merci, Betty. Cela me touche beaucoup.