Par le trou de la serrure… chez Davy

Vous ne le savez pas, mais, aujourd’hui, j’aurais aimé être petite souris…

 

– Ah ? Pourtant, elles ont des vies dangereuses, les souris… surtout dans les appartements parisiens…

 

Pas seulement là-bas… mais, parfois, elles s’en sortent et mènent la vie dure aux gens chez qui elles squattent !

 

– Il ne faudrait pas qu’il y en ait dans la bibliothèque…

 

Quichottine jeta un regard inquiet autour d’elle…

 

Il ne semblait pas y avoir d’intruse dans ses allées…

 

 

Non, il ne faudrait pas, d’autant que le chat a pris ses congés. Mais cela n’empêche rien… j’aurais aimé être une petite souris et regarder par le trou de la serrure…

 

– Bouchée ?

 

Mais non ! Que vas-tu chercher là ?

 

– Une vieille page, très vieille… tu ne te souviens plus ?

 

 

Quichottine soupira… Oh, si, elle se souvenait bien de cette histoire… elle revoyait son père la leur raconter, à eux six, les enfants de leur trop grande nichée.

 

Tous se pressaient autour de lui… et, lui, il prenait une voix incroyable, si grave… un peu caverneuse… et un ton de conférencier… enfin, le ton que prennent ceux qu’on n’ose pas mettre en doute.

 

« C’était un jeune vieillard »…

 

Il insistait sur « jeune », et passait à « vieillard », comme s’il s’agissait d’une évidence, comme si les deux mots s’accordaient, s’épousaient dans ce qui aurait pu être un éclat de rire s’il n’avait eu l’air si sérieux.

 

Il levait le doigt… et, tous, nous regardions ce doigt… pas ce qu’il nous montrait et qui n’existait pas.

 

« Assis, debout, couché, sur une pierre – de bois – »

 

Il avait dit les trois premiers mots comme s’il hésitait sur la position de ce vieillard, ou du moins sur le mot qu’il devait employer. La pierre, elle, était sûre… tangible, elle nous apparaissait si dure et froide… pour aussitôt disparaître avec la précision donnée.

 

« de bois« … J’avais les yeux écarquillés… je sentais sous mes doigts la douceur du plancher de notre appartement, si bien frotté à la paille de fer, nourri de tant de couches successives de cire qu’il en gardait l’odeur. Ce bois-là était chaud et tendre, même s’il avait coûté tant de sueur à ma mère.

 

« Il lisait… les yeux fermés « 

 

J’étais très jeune, mais je savais lire… Je savais, mais j’avais besoin de mes yeux. J’ignorais qu’ils ne sont pas toujours nécessaires pour déchiffrer les pages d’un livre.

 

« … à la lumière d’un bec à gaz éteint… »

 

J’imaginais, et le vieillard se faisait ombre chinoise. Il se détachait du mur où il s’était appuyé un moment auparavant. Je voyais le livre, les pages se tournaient… mais j’avais tort encore une fois !

 

« … un journal… plié en quatre dans sa poche ! »

 

Je crois que c’est le moment qui me plaisait le plus, celui où nous étions interloqués, mais où nous éclations de rire devant l’absurdité de la situation.

 

Mon père ne riait pas… Sa voix se faisait sombre, plus caverneuse encore. Nous entrions dans un monde empli de dangers.

 

« Il entendit du bruit… au grenier… »

 

Bien sûr !… Où pouvait-on entendre ce bruit-là, si ce n’est au grenier, repaire de fantômes, d’araignées, abri des chauves-souris… un endroit que nous ne connaissions qu’à travers les livres et que nous imaginions à la fois plein de trésors, et de gardiens à même de nous en chasser.

 

« Il monta… à la cave… »

 

Nous savions tous que la cave n’était jamais en haut d’un escalier… mais nous suivions le doigt qui montrait toujours un peu plus haut cette chose que nous ne pouvions pas voir.

 

« … et il vit par le trou de la serrure… bouchée !…

 

Bien sûr ! Nous avions tous compris qu’il fallait – pour que l’histoire fonctionne – que rien ne soit comme dans la vraie vie… dans notre réalité, nous n’aurions rien vu, mais là…

 

Là… mon père jetait sur nous un regard d’ogre affamé, je frissonnais…

 

« … des nègres – blancs – qui déterraient les morts… »

 

Quand je vous disais que mon père nous racontait des histoires bizarres quand nous étions enfants !

 Je le revois encore, je l’entends avec, à chaque fois, son jeu sur les silences, les points de suspensions, la musique des mots, les gestes, cette mise en scène qui m’a laissé le goût du théâtre et des contes…

 

« … pour les manger vivants !!! »

 

Et là, je ne sais plus si nous nous relevions bien vite pour nous éparpiller avant que d’être mangés à notre tour par cet ogre nouveau qui avait pris la place de notre papa… Je ne sais plus, mais je retrouve avec bonheur la sensation de ce lit salvateur où nous nous cachions tous, afin de ne pas être découverts.

 

 

Alors, non, le trou de la serrure n’était pas bouché chez mon copain Davy, et, si j’avais pu être petite souris, voici ce que j’y aurais vu…

 

121120_Papilio_livraison.jpg

(Merci à Davy qui m’a transmis la photo dont je me suis servie pour l’image)

 

 

Trois cartons… des livres…

 

Les livres qu’il attendait, dans le froid de novembre…

 

121116_Davy-Durand_Papilio.jpg

 

 

Les livres étaient bien arrivés.

 

 

Merci à tous ceux qui ont passé commande auprès de Davy ou de moi. Nous ferons au plus vite pour que vous receviez vos exemplaires dans de bonnes conditions, avec les dédicaces demandées.

 

Si vous avez un souhait précis à formuler quant à la personne à laquelle vous destinez votre exemplaire, n’hésitez pas à nous en faire part rapidement.

 

Il reste quelques exemplaires, il est encore temps de vous manifester chez Davy ou ici.

 

Passez une douce journée.

 

94 commentaires à propos de “Par le trou de la serrure… chez Davy”

  1. Chouette alors !!!
    Et merci pour ta petite histoire « abracadabrantesque » !
    Gros bisous et fais de beaux rêves… pas de souris !

  2. Merci pour cette histoire qu’on ne peut pas raconter à tous les enfants ! 😉
    Bon mardi, Quichottine.
    Bisoux doux.

    • Rire… c’est vrai qu’il faut attendre qu’ils sachent qu’il y a des contraires qui peuvent s’attirer.

      Bisous et douce journée, Dom. Merci !

  3. Un très bel écrit Quichottine. Émouvant ce souvenir de ton papa racontant si bien un conte qu’on pourrait croire un peu candide et qui se termine dans l’horreur. Cela me fait penser au poème de Victor Hugo « L’Oeil était dans la tombe et regardait Caïn » que mon père se plaisait à me réciter certaines parties. J’étais horrifiée par cet oeil mais c’est un très beau poème. Je n’avais pas compris qu’on pouvait te commander directement. Je suis passée par the book éditions. Bisous

    • Un poème que mon père aimait aussi… c’est drôle…

      J’ai vu que tu as commandé sur TBE… tu es notre première lectrice là-bas. Merci !

      Bisous et douce journée à toi.

  4. Tu as eu de la chance avec cette voix caverneuse… les pères aiment bien faire peur 🙂

    Je t’embrasse très fort, et bravo à toi et Davy.

    • Je le crois… bien que je n’ai pas de souvenir de mon époux faisant peur à mes enfants.

      Je t’embrasse très fort aussi, ma Polly. Prends bien soin de toi.
      Merci !

  5. Je connais aussi une histoire de ce genre, mais la fin n’est pas la même…

    Bonne journée avec bises de nous deux.

    • A la fin, quand je la racontais à mes enfants, je leur disais :

      « Je m’approchais de lui sans bouger et lui dis sans parler : Jeune Vieillard ! »

      Bonne journée et bises affectueuses à vous deux. Merci !

  6. Vi je connais l’histoire du jeune vieillard… Ok je vois je vois… Vous avez bien vendu votre Papilio donc… Tant mieux tant mieux !!! Bon mardi à vous, bises

    • Tous les exemplaires ne sont pas vendus, mais c’est en bonne voie.

      Merci pour tout, JB.
      Bisous et douce journée à toi.

  7. Magnifique ces souvenirs du père passant au travers une histoire d’enfance. C’est papilio qui vient d’arriver chez Davy. Bises et bon mardi

    • Sourire… Je susi contente que ce soit arrivé.

      J’ai pointé les chèques reçus… tu as donné le tien à Pou Ronchon ?

      Bises et bonne journée à toi aussi.

  8. mais de qui est ce conte bizarre et terrifiant, auteur ou source que , je viens de le constater, beaucoup de gens cherchent sur le net ?
    un vrai colis, par la poste , comme une vraie lettre papier, fait un peu battre le coeur, comme jamais ne le fera un mail…

    • Je ne sais pas… Mon père nous le racontait… je l’ai raconté à mes enfants…

      Je terminais ainsi : « Je m’approchais de lui, sans bouger, et lui dis, sans parler : Jeune Vieillard ! »

      C’était important, je crois, de laisser Davy réceptionner ces livres… Je sais ce qu’il a dû ressentir… Une très grande émotion.

       

      Merci, Emma. Passe une douce journée.

  9. C’est tout l’art de savoir raconter des histoires qui est expliqué ici avec une précision montrée du doigt.

  10. Comme toujours j’ai aimé te lire et j’ai hâte de découvrir ce livre !!!!!pour la dédicace tu peux la mettre pour nous deux après libre choix….
    Douce journée & gros bisous de nous deux

  11. Oh, j’ai hâte, j’ai hâte ! Autant que j’ai eu hâte de connaître la fin de l’histoire sans fin de ton papa…L’intruse est discrète en ce moment, mais je ne lui laisserai pas le loisir d’apprécier ce livre, je le mettrai en lieu sûr jusqu’au moment de le remettre ! J’ai bien aimé la suggestion de Katara : une serrure bouchée à la mie de pain ! Pour que la petite souris puisse prendre un en-cas avant le spectacle…

    • Je ris…Ce ne sera qu’un en-cas pour la petite souris.

       

      Je sais bien que tu as hâte, moi aussi…

      J’ai hâte d’avoir ces livres entre les doigts, de vous y écrire quelques mots, de les mettre dans une enveloppe et de vous les envoyer… afin qu’ensuite vous puissiez me dire ce que vous en aurez pensé…

      Merci et douce journée à toi.

  12. une belle histoire pour montrer les livres par le trou de la serrure chez Davy ! Tu tiens de ton papa pour raconter les histoires !
    bises et bonne journée

    • Sourire… je ne sais pas s’il aimerait la façon dont je les raconte.

      Mais il n’est plus là pour m’en faire reproche.

      Bises et douce journée, Lilwenna. Merci !

  13. Quelle belle aventure chère bibliothécaire.. et des cartons plein de livres ça s’arrose ça hein! bien présenté dan le trou de la serrure.
    douce journée avec mille bisous
    le matelot de la terre ferme

  14. Mon père aussi me racontait des histoires, mais c’était des contes et toujours les mêmes , ce qui m’agaçait beaucoup. Ensuite c’est moi qui en ai raconté et inventé à ma soeur. Bisous

    • Et c’est malgré tout ainsi que l’on se passe le relai… ta soeur a dû être très heureuse que tu lui racontes ainsi des histoires.

      Bisous et douce journée.

  15. coucou, j’attendrai…patiemment, y a pas l’feu, ni de souris…chez mistigris !!!(grands rires ! )
    bonne journée et gros bisous,
    MIAOU !!!!

    • Sourire… Nous allons faire au mieux, avec Davy… Mais c’est vrai qu’il faut un peu de temps encore pour que tout soit prêt.

      Merci pour ta patience, Mistigris.

      Bisous et douce journée.

  16. je n’ai jamais eu la chance que mon papa me raconte un histoire et quand je te lis je le regrette
    bisou , bonne journée
    ps .. le père Noël avant l’heure pour la livraison de ces livres, bon courage

    • Merci, Dgidgi…

      Je dois dire que ce n’était pas souvent… mais c’est un souvenir que j’aime.

      Bises et douce journée. Merci pour tes encouragements.

  17. ce n’est pas si facile cet exercice…ça me rajeunit les contraires en histoire et celle ci est bien belle
    bisous Quichotine et merci pour te visites dans la cachette

  18. Il avait l’art d’adoucir les histoires de peur.Alors c’est pour bientôt. J’ai hâte. Bonne journée.

    • Pour tout bientôt… Je vais essayer de faire en sorte que ton livre parte en fin de semaine. Ce serait bien… il a un grand voyage à faire.

    • Merci !

      Ce n’est pas facile de tout faire tout en travaillant… donc je pense que Davy pourra en faire davantage en fin de semaine. Nous ferons au mieux.

      Bises et douce journée.

  19. Je me régale de votre excitation et de votre plaisir. J’attends mes exemplaires avec impatience mais mon plaisir est aussi dans l’attente et l’assurance qu’il n’est plus très loin.
    J’ai adoré ton histoire effrayante. J’imagine bien la mise en scène. Enfant j’aurais été littéralement terrorisée… Mais quel souvenir !… Merci de nous l’avoir racontée. Gros bisous et belle soirée à toi.

    • Bientôt…

      Merci d’avoir aimé ce souvenir, c’est l’un de mes plus chers…

      Gros bisous et douce soirée à toi.

  20. Quelle histoire fantastique !!! Une histoire à faire peur comme aime les enfants !!!
    (Je t’envoie mon courrier demain ma Quichottine.)
    GROS BISOUS et douce soirée sans ogre qui croque…

    • Merci, Marité. Je l’attends donc, d’ici deux ou trois jours. 🙂

      Gros bisous et douce journée à toi.

  21. Génial ! C’est une bonne nouvelle !
    Ton papa est toujours dans ta mémoire… Dans la mienne aussi !
    Bonne soirée. Bisous Quichottine.

    • Il faut un peu de temps pour que les exemplaires soient dédicacés, mais nous les enverrons au fur et à mesure.

      Bisous et douce journée à toi.

  22. Je m’en occupe cette semaine.. Quelques petits soucis de santé à nouveau et RV en urgence ce matin chez mon généraliste.

    • Merci… pas de souci, Davy n’a pas encore terminé ses dédicaces… 🙂

      Il faudra que tu me dises à quel nom je dois te le dédicacer. 🙂

      Bisous tout plein, prends bien soin de toi.

  23. J’ai beaucoup aimé l’histoire de ton papa.
    Pauvre Davy. Je compatis si vraiment il attendait de la manière dont il le fait savoir !!!
    Bisous.

    • Heureusement, je crois qu’il n’a pas eu besoin de le faire ainsi… mais il est au travail maintenant.

      … ce qui me réjouit, c’est qu’il adore faire ses dédicaces.

      Bisous et douce soirée.

  24. Et voilà d’où te vient le gout pour les histoires.
    Pour ma part, mes premières lectures, c’était « Petzi » (tu connais?) que je lisais tout haut pendant que ma mère s’affairait dans son magasin et rectifiait mes erreurs de lecture.
    Bonne fin de semaine.

    • Oui !!!!!

      Quel bonheur d’avoir retrouvé son nom grâce à toi !

      Merci, Philibert. Bonne fin de semaine à toi aussi.

       

      (ton livre part lundi)

  25. j’adore cette histoire, Quichottine!! Si ton papa racontait de si belles histoires, je ne m’étonne plus de ta capacité à nous emporter dans les tiennes!!
    Passe une agréable journée, au soleil, j’espère…

    • Il n’en racontait pas souvent, mais quand il le faisait, j’adorais !

      Le soleil nous fait défaut depuis quelque temps… grisaille et pluie ici.

      Mais merci pour ta présence chaleureuse.

      Bises et douce soirée.

  26. Quel bonheur d’avoir un papa qui sait si bien raconter les histoires… et de pareilles histoires!

  27. ELLE EST TERRIFIANTE TON HISTOIRE! DES NÈGRES BLANCS (zut! on va avoir la ligne anti-racisme dont nous!) QUI MANGENT DES MORTS!
    Bon… ça fait peu!r mais j’aime bien ce genre d’histoires…
    Bonne journée,
    Gigri

    • Il faut remettre ça dans une période où personne ne se plaignait….

      Aujourd’hui, les écrivains africains parlent de leur « négritude » et la revendiquent.

      Alors, tant pis pour la ligue anti-racisme… J’étais enfant, il y a prescription.

      Douce et belle soirée à toi. Merci pour ce partage.

  28. Une serrure bouchée ho !!!!! avec quoi hein ? de la mie de pain pour se déboucher si facilement à la fin. bisous Quichottine

    • Rire… et comme dit Galet, c’est la petite souris qui l’a mangée !

      Bisous et douce journée. Merci !

  29. Bonjour quichottine
    Dans un com précedent je te demandais de m’en reserver mais je n’ai eu aucune réponse Je ne sais ou , comment et combien cela reviens frais de port inclus. peux-tu me le dire?
    merci beaucoup bisous

  30. Dés la première phrase j’avais compris, comme je comprends ton impatience chère Quichottine, chaque chose en son temps, nous serons patients :-))

    • Merci pour ta patience. C’est vrai que nous ne pourrons pas tout faire en même temps.

      Passe une douce journée.

  31. bonjour et bonne journée Quichottine
    une belle histoire*

  32. bonjour ma chère Quichottine
    oui, tu vois je sore un peu de mon trou
    honte d’être devenu soudain fragile ?
    repli sur soi après un traumatisme…
    peu importe, l’essntiel c’est que mes Amis ne croient pas que je les abandonne
    bien sûr que je veux me procurer ton livre !
    et avec impatience
    mais là, il faut me prendre par la main et me dire en détail ce que je dois faire…
    quand tu en auras la possibilité
    merci, ma chère Quichottine
    bonne journée à toi
    gros bisous d’amitié
    jean-marie

    • Je t’envoie un courriel, Jean-Marie…

      Merci pour ta commande, je suis heureuse de voir que tu me fais confiance quant à son contenu.

      Bonne journée à toi aussi… j’espère que tu vas mieux.

      Gros bisous amicaux.

  33. Chic, ils seront bientôt chez nous aussi !!

    BreizhAmitiés !

    • Le plus rapidement possible, Melly… Nous ferons au mieux, Davy et moi.

      Je te préviens dès que ton livre part.

      Bises et douce journée.

  34. Belle découverte par le trou de la serrure et rigolote la petite souris grise chez L’Intruse.
    Bonne dédicace et félicitation pour ces premières ventes.
    Bel après-midi et à bientôt
    Bisous

    • Sourire…

      Merci, Annick. Nous avons de la chance, Je pense que le premier tirage sera vite épuisé…

      Bisous et douce journée à toi.

  35. Petite souris, oui, car l’on doit découvrir mille et une chose que personne d’autre ne peut voir !
    Bonne journée et bonne chance ma belle amie
    Bisous

  36. Et forcément , pour échapper à l’ogre , tu allais te cacher dans un trou de ….souris 🙂
    Bonne soirée Quichottine Bise (:-*

  37. ça en fait des livres
    je suis vraiment très contente pour toi
    j’ai bien aimé ta façon de l’annoncer

    douce soirée

    ti bo

  38. je t’envoie mon chèque ce week end … promis !! et aussi, à 4h30 Durga a miaulé, avec un souriceau dans sa gueule, je dormais fort, juste Olivier s’est levé, le souriceau s’est échappé … il doit être encore dans la chambre …
    bises

    • Merci. Nous l’aurons donc en début de semaine prochaine sûrement…

      Merci, Andrée…

      Navrée pour le souriceau, j’espère qu’il ne sera pas trop affamé et qu’il retrouvera vite la porte de sortie.

      Bises et douce journée.

  39. Donc , tu as reçu le don de conter , d’émerveiller, de tenir en haleine.C’est extraordinaire.
    Tu vois , le livre est là , terminé , prêt à migrer dans les foyers. La lumière est toujours au bout du chemin , même s’il est rocailleux , il faut grimper, c’est tout.
    Douce soirée, bises Quichottine

    • Il faut encore un peu de temps pour réaliser toutes les dédicaces, mais les livres partiront au fur et à mesure.

      Nous ferons le mieux possible.

      Merci pour tout, Erato.

      Bisous et douce journée.