La dernière lettre

Je l’attendais, comme si elle devait m’apporter d’autres réponses. Peut-être les plus importantes, celles qui peuvent faire très mal ou, au contraire, redonner le cœur à l’ouvrage.

 

Je l’ai reçue, hier.

 

Vous vous souvenez ? Depuis le mois de mai, un livre est en attente, il a pour titre « Papilio, le monde merveilleux d’un doux rêveur ».

 

Je l’ai écrit à partir des images que Davy Durand publiait sur son blog depuis 2008. J’ai écrit l’histoire, puis, avec beaucoup de gentillesse et de talent, Davy a refait les images pour qu’elles s’adaptent parfaitement au récit que j’avais écrit, à sa mise en page. C’est lui qui a donné son nom au personnage. Il lui appartient, même si les mots sont de moi, sur les 176 pages que comporte le roman.

 

Davy l’a lu et approuvé.

 

 

120417 Davy

 

 

Je l’ai écrit sans vraiment réfléchir au public à qui je le destinais, comme ici, lorsque je crée mes « triades » – le mot est d’Adamante – en vous empruntant trois images.

 

Une photo, plusieurs parfois, ou, comme ici, des dessins si poétiques dans leur simplicité apparente, et je laisse l’imagination faire le reste…

 

J’aurais pu l’écrire autrement, c’est vrai.

 

Il se peut que depuis le premier manuscrit déposé au mois de mai chez l’éditeur qui l’attendait et ne m’a toujours pas dit ce qu’il en pensait vraiment, je me sois mise à le regarder d’un œil plus critique, comme on le fait parfois pour un enfant, lorsqu’il commence à faire ses premières « grosses » bêtises. Cependant, j’hésitais à en modifier la structure profonde.

 

Papilio, voyez-vous, c’est un doux rêveur… ça, tout le monde le sait.

Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que son livre favori, celui qui l’a fait devenir ce qu’il est, celui qui l’habite depuis qu’il l’a découvert, c’est le seul des livres de Saint-Exupéry qui m’ait touchée au point de m’habiter aussi.

 

Papilio, c’est peut-êre un « Petit Prince » moderne, un adulte au coeur d’enfant, plein de tous les espoirs, les rêves et l’amour qui devraient  être le moteur des adolescents d’aujourd’hui.

 

Mais, vous le savez bien, leurs lectures, leurs jeux, les films qu’ils voient, ne sont plus ceux d’autrefois. Il faut de la violence, du bruit.

 

En écrivant cela, j’ai bien conscience de mon erreur… ils ne sont pas « tous » comme ça. Je suis sûre que beaucoup aiment encore les histoires qui finissent bien, mais ils ne l’avoueraient pour rien au monde à leurs copains. Il faut paraître… avant même de savoir qui l’on est.

 

Papilio ne fait pas de bruit, il aime les livres, la lecture, les nuages qui passent… il observe autour de lui et il aime raconter des histoires à partir de rien, d’un regard, d’un sourire… d’une larme aussi.

 

Il aime les fleurs et les couchers de soleil.

 

Est-ce parce qu’il les aime qu’il plagie ?

 

Je me suis longuement interrogée.

 

J’avais envoyé une lettre aux éditions Le dilettante… avec notre manuscrit dans sa première version.

 

Je savais qu’ils ne publient pas de littérature de jeunesse, je savais donc aussi qu’ils ne le publieraient pas. Mais je voulais l’avis d’un éditeur que j’apprécie.

 

C’était comme écrire une lettre de motivation… il faut choisir ses mots, avec soin.

 

Il faudra que je vous raconte, page après page, l’aventure éditoriale de Papilio… mais ce sera une autre fois, sans doute dans les jours qui viennent.

 

Aujourd’hui, je vous confie la dernière lettre que j’ai écrite, et, demain, ce sera au tour de la réponse reçue.

 

 

Cergy, le 10 septembre 2012

 

Madame, Monsieur,

 

 

Étant actuellement en quête d’éditeur, ayant lu un certain nombre d’ouvrages parmi ceux que vous avez publiés, je me suis penchée sur ce que vous proposiez à ceux qui se mettaient en tête de vous contacter (la page « présentation » de votre site internet).

 

Vous dites ne vous fier qu’aux impulsions de vos goûts… j’ai envie de penser que vous acceptez de suivre d’éventuels « coups de cœur ».

 

Les limites que vous donnez à vos publications ont déjà été franchies, puisque quelques recueils de poésie figurent dans votre catalogue, cela m’a rassurée et confortée dans ma première impression.

 

Cependant, je ne viens pas parler de poésie, de science-fiction ou de théâtre… même si la poésie, la musique et l’art sous toutes ses formes ne sont pas absents du roman que j’ai envie de vous soumettre.

 

Je pourrais vous parler de moi, de mon livre, j’ai envie de vous décrire l’éditeur qui acceptera de le publier.

 

Il aime les livres, les images, même lorsqu’elles sont en noir et blanc, à peine esquissées.

 

Il sait ce qu’un livre peut prendre de place dans la formation d’un lecteur. Il a déjà trouvé « le sien », celui qui l’a conduit à en chercher d’autres, à avoir envie de proposer à des lecteurs d’autres lectures, différentes, qui lui permettent de s’émouvoir, de réfléchir, de rêver.

 

Il sait qu’il faut parfois prendre des risques, que certains auteurs n’auraient pas aujourd’hui l’audience qu’ils ont dans le grand public et auprès des institutions littéraires, sans qu’un jour quelqu’un leur ait fait suffisamment confiance pour les publier alors qu’ils étaient totalement inconnus.

 

Bien sûr, je pourrais vous en parler longtemps, faire un portrait que chacun des auteurs qui se décident à franchir la porte d’un éditeur ont sans doute en tête… Mais ce serait aller au-delà de ce qui est possible pour un premier contact.

 

Alors, parce que je me dis qu’il faut un jour oser, que celui qui ne le fait pas ne saura jamais transformer son rêve en réalité, je me permets de joindre à ma lettre le manuscrit d’un livre destiné à l’enfant que vous n’êtes plus, mais que vous pourriez retrouver pas loin, juste derrière sa couverture provisoire.

 

C’est un livre pour adultes aus
si bien que pour adolescents, un roman illustré, même si l’on a tendance à les réserver aux enfants. Les illustrations sont en noir et blanc, par respect pour les éditeurs et leurs contraintes budgétaires. Là où les mots font silence, le dessin sait prendre la parole.

 

… Vous n’êtes pas obligés de me croire, mais, malgré tout, j’espère que vous porterez un regard bienveillant sur ce manuscrit, qu’il ne sera pas retourné sans au moins être lu, et que vous accepterez, non pas de l’éditer (même si j’en serais tout à fait ravie), mais de nous dire, à Davy Durand et moi, ce qui a motivé votre décision.

 

Avec mes remerciements pour ce que vous ferez, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.

 

Quichottine

 

 

Que votre journée soit belle. Merci d’être là.

 

150 commentaires à propos de “La dernière lettre”

  1. Super ta lettre de motivation, excellente idée de te mettre à la place de l’éditeur. J’aurais juste changé le début. Dans une lettre de motivation pour rechercher un emploi par exemple, il ne faut pas commencer à parler de soi mais surprendre le lecteur dès les premiers mots. Mais le reste était tellement original écrit sincèrement avec le coeur que tu ne pouvais qu’avoir au moins un avis, sinon peut être je me mets à l’espérer un accord d’édition. Il va falloir attendre demain. Bises

    • J’ai eu l’avis souhaité, et c’était important. Je savais qu’ils ne me publieraient pas, mais j’étais contente d’avoir une vraie réponse personnalisée.

      … tu n’as pas attendu demain, c’est chouette !

       

    • Je ne les lis jamais non plus… mais j’essaie toujours de voir en diagonale ce que les autres ont dit, quand la page de commentaires s’ouvre.

      Merci d’avoir pris le temps, Martine.

      Je vais effectivement revoir un peu ma copie, parce que les remarques faites sont justes.

      Bisous et douce journée à toi. Merci encore.

  2. Bravo pour cette lettre de motivation ma Quichottine… J’ai hâte de connaître la réponse de cet éditeur. Bises et bon samedi.

    • Il ne publiera pas, mais ça, je le savais au moment de lui envoyer le manuscrit.

      L’important est ailleurs.
      Bises et douce journée à toi.

  3. Bonjour Quichottine,
    Vois-tu je prends la forme épisolaire après la lecture de ton courrier à l’éditeur. Je t’admire dans ta constance avec ce baton de pélerin qu’est ta plume fine et habile,un genre de lance (l’iconographie pourrait représenter Quichotte avec un stylo-plume?) pour défendre ce à quoi tu crois : le droit au rêve , le transport par les mots et l’image.Bravo, passe un bon week-end.

    • Merci pour cette lettre du matin.
      Je vais reprendre mon manuscrit au moins pour tenir compte du conseil que l’on m’a donné. Il est bon.

      Ensuite, je le proposerai de nouveau à Davy et nous l’éditerons en autoédition… J’avoue que j’ai hâte maintenant de l’avoir entre les mains.

       

      Passe une belle fin de semaine toi aussi.

  4. Bonjour Quichottine,

    Ce que j’aimerais écrire comme toi. Cette lettre de motivation est un modèle du genre. Moi, je la trouve magnifique.
    Je serais curieuse de savoir s’ils te donneront leurs raison. Beaucoup n’en donne jamais.
    En tout cas, j’ai envie de lire ton livre
    Gros bisous
    Martine

    • Il me les ont donné… et j’en suis vraiment heureuse.

      Je vais revoir mon manuscrit pour tenir compte de cet avis.
      Il est bon.

      Merci pour cette envie que j’espère pouvoir satisfaire bientôt.

      Passe une douce journée. Gros bisous.

  5. Il me tarde de lire sa réponse même si je sais maintenant qu’il n’éditera pas ce livre. Mais j’imagine sa surprise à la lecture de ta lettre et je me demande si sa réponse aura la même qualité que ta propre lettre très subtile et certainement très originale par rapport à ce qu’il reçoit habituellement, et s’il aura su jouer à ton « jeu ».
    Ma phrase est bien longue !!!
    Bises Quichottine et bonne journée…

    • La personne du comité de lecture a pris le temps… c’est ce que je voulais, car je savais à l’avance que le livre ne serait jamais dans leur catalogue.

       

      Pas trop longue, Cricri… Je suis contente que tu aies pu lire ce message et y répondre.

      Merci pour ta présence.

      Bisous et douce journée à toi.

  6. Comment peut-on te refuser une requête, avec ta façon de la rédiger ?

    Passez une belle fin de semaine. Bises affectueuses de nous deux.

    • J’ai eu l’avis que je demandais, je n’en attendais pas davantage Ils ne me publieront pas, mais je le savais.

      Merci, Patriarch.

      Bises affectueuses et belle journée à vous deux.

  7. Même si ce n’est pas allé plus loin, comme tu l’a écrit, l’essai est réalisé car l’éditeur a répondu à la missive fort bien tournée. Et c’est une satisfaction à apprécier, d’autant que tu es prête à rebondir. Les critiques et encouragements porteront leurs fruits, je n’en doute pas !
    Avec toi et avec Davy, très fort.
    Je t’embrasse, chère Quichottine.

    • D’autres avis m’ont fait réfléchir… je vais reprendre au moins certaines pages.

      Mais à quel moment est-il important de se dire « c’est fini, advienne que pourra ! » ?

      Merci pour ta présence et tes mots. Je t’embrasse très fort, Midolu.

    • Un sourire… si tu savais le nombre de fois où j’aurais aimé pouvoir corriger les mots que je laissais ici ou là…

       

      Les lutins malicieux aiment à cacher des lettres.

  8. bonne chance- une belle lettre , on sent l’amour que tu portes aux mots – ton style si fluide et agréable-
    bravo ! gros bisous !

    • Là, il faut encore un peu de travail… et vive l’auto-édition !

      Merci, Lady Marianne.

      Gros bisous et douce journée à toi.

  9. Une belle lettre de motivation, bien pensée…
    .Mais les éditeurs en reçoivent tellement et il y a tellement d’auteurs..Il faut sûrement entrer par d’autres portes, trouver un « mentor » ..Le monde de l’édition comme bcp d’autres a ses modes et ses lobbies . Bises VITA

    • Pour le mentor, j’ai essayé, le meilleur que je connaissais… mais il met les manuscrits de côté sans plus les lire. Il en reçoit trop. 🙂

      Tant pis.

      Ce furent pour moi des mots perdus…

      Bises et douce journée à toi, Vita. Merci !

  10. Elle était belle ta lettre, à ton image. J’espère que la réponse a la même valeur et porte les mêmes valeurs.

    Bisous plein ma quichott’.

    • La réponse m’a interpelée… Je vais retoucher quelques pages avant de l’auto-éditer.

      Merci pour ta présence, Polly. Passe une douce journée.

  11. Bonjour Quichottine,

    Je sens à travers vos lignes des battements de coeur . Votre livre sera-t-il édité ? Je le souhaite pour vous et Davy Durand, dont je viens de visionner son « Amour et l’Horloger », si poétique.
    Il faut lutter contre ces violences dans les livres pour l’enfance pour leur garder le plus longtemps possible candeur et spontanéité qui les aideront dans la vie à porter un autre regard envers les différents et les moins chanceux.
    Bon Dimanche.
    Georges L.

    • Il sera auto-publié… Je crois qu’il ne faut plus que quelques retouches pour qu’on ne puisse plus rien nous reprocher.

       

      Merci d’avoir pris le temps de cette lecture et de ce visionnage. Davy a un talent énorme.

      Bon dimanche à vous aussi. Prenez bien soin de vous, Georges.

       

  12. Ah j’ai hâte de savoir Quichottine ! Et oui prendre sa plume pour se vendre en somme, choisir les mots ! Elle me plait cette lettre, suspense donc ! Bon W-E de la part de jill, bises

    • Pas si grand le suspense, Jill… maintenant, la réponse est sur le blog.

      Je ne suis pas vraiment douée pour le commerce.

      Passe une douce journée à venir. Bises.

  13. Il ne reste plu,qu’à attendre… patiemment, le bon vouloir de cet éditeur, et espérer qu’il ait lu ta lettre !
    Le petit Prince a été bien sûr pour un bon nombre d’entre nous une ouverture vers le rêve et la générosité, l’attention aux autres, un livre unique…
    Bisous Quichottine

    • La lettre a été lue, le manuscrit aussi…

      Le Petit Prince restera l’un de mes llivres préférés… quoi qu’il arrive.

      Bisous et douce journée à venir, Marine. Merci pour ta présence.

  14. bonjour Quichottine,
    puisque tu as osé l’envoyer, j’espère qu’ils auront donné un avis positif, ou un avis tout court, de professionnels!
    Je te souhaite un bon week-end, pluvieux aujourd’hui ici, c’est super !
    Bisous, MIAOU !!!

    • J’ai reçu un avis, c’était ce que je désirais. Il est négatif, je m’y attendais.

      Ici, encore un peu de grisaille, mais j’espère que le soleil reviendra.

      Bisous et douce journée à venir, Mistigris. Merci.

  15. superbe cette lettre !
    comment ne pas y répondre ???
    il te reste à écrire un roman concernant un écrivain qui n’arrive pas à trouver un éditieur , et à leur proposer .
    ( d’autres ont du avoir l’idée depuis un moment, mais ça me faire rire de penser à cette situation)

    en attendant ils ont joué le jeu en répondant honnêtement
    ( ;… pouvaient pas faire autrement ! )

    • J’ai failli écrire le roman de ma thèse. Il aurait eu pour titre « autobiographie d’une thèse »… je le ferai peut-être un jour.

      Heureusement que je n’ai pas eu besoin de trouver un éditeur pour la publier.

      Chris m’avait prévenue, je n’avais pas voulu la croire. C’est un monde où il n’est pas facile d’entrer…

      Je ris. Tu sais, le roman de l’écrivain qui ne trouve pas d’éditeur et qui passe sa vie à recevoir des lettres de refus existe. Son auteur a finalement été publié chez Chloé des Lys.

       

      Passe une douce soirée. Je t’embrasse.

  16. un beau texte comme d’habitude. je vois qu’ils te t’éditeront pas, mais j’espère au moins qu’ils t’ont encouragé ou expliqué ce qui n’allait pas
    bisous et bon week-end

    • Ils m’ont donné quelques pistes…  à suivre ou pas.

      Merci d’avoir pris le temps de la lecture, Lilwenna.

      Bisous et douce journée à venir.

  17. Ta lettre de motivation est bien belle, Amielle. Et enfin, tu reçois un avis « motivé », j’ai vu 😉
    Revoir ta copie… me laisse espérer Papilio à Noël.
    Gros bisous, tout plein

    • Je savais que tu le verrais…

      Oui, tu auras Papilio entre les mains à Noël, je l’espère de tout coeur.

      Gros bisous tout plein, mon Amielle. Prends bien soin de toi.

  18. Comment peut on te résister …sourires
    Une telle lettre n’a pu que donner envie de se pencher sur ce petit livre …et bien sur de t’en donner le bon et le moins bon …donc j’attends la réponse de demain …
    Bises Quichottine

    • Encore dix minutes à attendre…

      On peut encore me résister, tu vois. Les mots ne sont pas toujours suffisants.

      Bises et douce soirée.

  19. et alors ? et alors ?… Quelle que soit leur réponse j’espère qu’ils auront été sensibles à tes arguments si pleins de délicatesse et de retenue. Et quel que soit leur choix, Papillo est unique et pas un plagiat (j’espère qu’ils n’ont pas osé te dire ça !…). C’est une jolie histoire merveilleusement illustrée, une quichottinerie grand cru. Alors je croise les doigts et j’espère… Gros bisous

    • Le mot a pourtant été employé, pour me mettre en garde. Mais c’était plutôt dit gentiment.

      Merci pour cette « quichottinerie grand cru », j’apprécie.

      Ne t’en fais pas, Papilio ne restera pas dans un tiroir pour autant.

      Gros bisous.

  20. Je lis les commentaires… alors c’est non ! et tu l’avais prévu… ça j’ai compris. Mais j’ai très hâte de connaître la clé qu’ils t’ont remise et qui semble relancer ton aventure. A très vite donc. Gros bisous

    • Oui, c’est non.

      Un éditeur de littérature générale, pour adultes, ne pouvait pas le prendre vraiment au sérieux… mais ils ont argumenté leur décision…

      Papilio ira sûrement retrouver le Lutin bleu chez TBE.

      Gros bisous et douce soirée à toi.

  21. J’ai bien hâte de voir son avis, je vais revenir pour la suite. Félicitations pour ta lettre de présentation.

    • Ce sera pour tout bientôt… Merci, Solange.

      Une lettre ne fait pas tout. Il aurait fallu qu’elle soit accompagnée d’un mot de recommandation par quelqu’un de connu, et, encore, je ne suis pas certaine que ça aurait suffi.

      Passe une douce soirée. Bisous.

  22. C’ est une lettre originale et venant du coeur et il me semble que l’éditeur était obligé de répondre autrement que par une lettre de politesse ou par l’indifférence, j’attends la réponse

    • Un peux plus de la politesse… mais le même refus de publication.

      Je m’y attendais, il n’y a rien qui ressemble à notre livre dans son catalogue.

      Passe une douce soirée. Merci pour ta présence.

  23. Après lecture de ta lettre je me suis dit: « Il va publier Papilio… » et j’ai lu dans un de tes commentaires que non !!!
    J’attends la suite qui devrait expliquer les raisons de ce refus.
    Douce soirée ma Quichottine. GROS BISOUS

    • Ben non… une lettre ne suffit pas, même si elle peut aider.

      La suite est pour tout bientôt.

      Si je regarde l’heure où je t’écris, ce sera dans vingt minutes.

      Douce soirée à toi aussi, Marité. Gros bisous.

  24. heuuuuuuuuuuuuuu je suis « tombée » sur le commentaire qui dit que…. pour les impatients, donc je sais !
    mais j’ai hâte de savoir vraiment de la plume de la conteuse!
    je t’embrasse fort et surtout prends grand soin de toi
    Claire

    • Sourire… ce sera demain matin… enfin, dans moins d’une demie-heure maintenant.

      Merci, Claire.

      Je t’embrasse fort. Prends bien soin de toi aussi.

  25. Une tres belle lettre qui merite aussi d’etre….publiee !!!!
    Merci de nous l’avoir presentee , j’ai hate de lire la reponse . Elle doit etre interessante meme si ils ne publieront pas – pour le moment – ton livre .
    Bon week-end
    FANNY.

    • Sourire… Je crois que je me suis fait plaisir en l’écrivant.

      Mais chut, ne le dis pas !

      Passe une douce soirée, Fanny. J’espère que tu as passé un bon week-end toi aussi.

  26. Bonsoir Quichottine. j’aimerais être éditeur et recevoir une telle lettre.
    Nul doute que je lirais avec énormément d’attention ton manuscrit et que je lui offrirais une place de choix parmi mes favoris.
    Une telle lettre ne peut laisser indifférent et j’espère que tu as fait mouche. Ton talent ne s’exprime pas que dans le roman, tu as l’art d’écrire tout simplement.
    Je croise les doigts pour toi et je te fais de gros bisous

    • Je ne suis pas éditrice, mais je commence à comprendre leur fonctionnement.

      Je n’ai pas fait mouche, mais ils ne se sont pas contentés de la réponse « bateau » que la plupart des éditeurs adresse en cas de refus.

      C’était ce que je voulais, et, à défaut d’avoir la réponse que j’espérais, j’ai eu celle que j’attendais compte tenu de leur catalogue.

      Gros bisous et douce soirée à toi. Merci !

  27. Bon, je viens de lire quelques-uns de tes commentaires et je vois que je n’ai pas bien croisé les doigts. Mais si tu es heureuse des commentaires reçus, c’est le principal. J’ai hâte d’en savoir davantage. Bisous Quichottine 🙂

    • C’était gagné d’avance…

      Mais bon, ce n’est pas grave, le principal est que Papilio paraîtra.

      Bisous et douce soirée, Oxy. Merci d’avoir pris le temps de la lecture.

  28. Bon maintenant que je connais la réponse… En tout cas ta lettre de motivation m’a bien plu et j’aimerai savoir quelle sera la réponse… Merci Quichottine, à demain. Bonne soirée.
    Je t’embrasse très fort.

    • Merci, Liliane.

      Papilio paraîtra sans eux.

      Mais ce n’est pas si grave.

      Je t’embrasse très fort. Passe une douce soirée.

  29. Ta lettre de motivation est très bien et je pense qu’elle va aiguiser leur curiosité et qu’ils prendront au moins la peine de l’ouvrir …
    je ne connais pas leur réponse, mais je pense qu’ils le liront.
    Bon dimanche
    Bisoux doux

    • C’est vrai qu’ils auraient pu aussi ne pas la lire… Mais ouf, ça n’a pas été le cas !

      Ils l’ont lu…

      Réponse demain matin…

      Bisous et douce soirée à toi.

  30. Passez un bon dimanche tous les deux.Avec du soleil si possible.

    Affectueuses bises de nous deux;

    • Un rayon dans l’après-midi, c’est mieux que rien.

      Merci, Patriarch.

      Bises affectueuses et douce soirée à vous deux.

  31. A moins de ne pas aimer son métier, avec une telle lettre ,la curiosité de l’éditeur aurait dû s’éveiller .
    J’espère que cela a été le cas ? J’attends la réponse avec impatience moi aussi !
    Tu fais durer le suspense ! Je te souhaite un bon dimanche
    Bisous

    • J’ai eu un peu plus qu’un simple refus d’édition… C’est mieux.

      Suspense involontaire, l’articile était un peu long et si j’avais tout mis d’un coup, il n’aurait pas été lu.

      J’espère que tu auras passé un bon dimanche toi aussi. Bisous et douce soirée.

  32. Une lettre d’une efficacité parfaite, c’est effectivement une lettre de motivation.
    Elle est écrite pour obliger l’autre à répondre, et fatalement à lire le manuscrit.
    Elle comporte des paragraphes concrets, indiscutables, puisqu’ils sont la philosophie même de tout éditeur.
    Elle me fait sourire, car elle comporte aussi un paragraphe budgetaire très subtile.
    Et puis pour terminer, il y a les sentiments, qui sont présents partout, mais éparpillés pour ne pas trop les dévoiler.

    Je serai curieux de lire le réponse.

    Mais pourquoi écrire que ce que voient, lisent et écoutent les enfants d’aujourd’hui soient plus bruyants et plus violents qu’autrefois ?
    Rien n’a changé, car comme leurs parents ont également changés d’habitudes, je ne suis pas certains que l’enfant d’aujourd’hui a changé. Il n’y a certes plus guère d’intérêt à jouer au yoyo et encore moins au bilboquet, mais jouer existe encore, tout espoir n’est pas éteint.
    Je vois mes petits Yoyos regarder la télé, avec les mêmes programmes que ceux que j’ai connus: j’y vois le Manège enchanté, avec Pollux et son accent anglais, en animation 3D de synthèse, j’y vois toujours les Disney, et j’ai découvert il y quelques semaines Le Petit Prince en dessin animé, allant de planète en planète.
    C’est vrai que c’est le petit écran et non des livres, mais l’effet est assez surprenant, mes petits Yoyos adorent les Disneys et d’autres héros de TV sous forme de livre.

    Il faut juste que les parents se bougent et les achètent. Même si finacièrement ce n’est pas toujours facile, il y a les bouquineries, les vide-greniers, le troc, et les bibliothèques publiques.

    Les temps changent, mais la recherche du rêve écrit qui nous sort un instant de notre réalité est toujours présent.

    N’accusons pas les enfants d’un changement de mentalité qui est en grande partie du à celui de leur parents.
    N’accusons pas les parents d’avoir manqué à leur devoir d’éducation, ils sont tellement pris par la vie.

    J’accuse, donc la Vie….

    Pirouette…

    • Oh, rassure-toi, je sais bien qu’ils jouent encore.

      Mais quand je vois ce qui leur est proposé, tant en livres qu’en jeux vidéo, j’avoue que je frémis.

      Je suis d’accord avec toi, et je suis contente de voir que certains programmes reviennent, que les enfants les aiment toujours autant.

       

      Je n’accuse pas, je constate. Les parents ne sont pas plus fautifs que les enfants… Le contexte est parfois à prendre en compte aussi.

       

      J’aime bien ta pirouette…

      Merci pour ce nouveau moment d’échange. Lorsque Papilio paraîtra, je l’enverrai bien sûr et j’espère qu’il te plaira ainsi qu’à tes petits… 🙂

       

  33. Bonjour Quichottine,

    Allez ! Au boulot ! (sourire)

    Avec tous mes encouragements.

    Je passerai commande dès sa publication.

    Bises et à bientôt.

    • Merci, Marie-Claire. Je crois qu’il n’y a plus que quelques modifications de détail à faire et l’approbation de Davy à obtenir et le livre paraîtra, pour ma plus grande joie.

      Bises et à bientôt. Passe une belle soirée.

  34. Bonjour,
    J’espère que vous recevrez une réponse, Davy et vous même, le méritez..
    Attendons..
    Merci de votre visite chez moi.. Effectivement, je suis très fière de mon petit-fils, un Polytechnicien issu d’une famille plus que modeste, mes grands-parents doivent être heureux, je ne le saurai jamais, mais je m’en doute !!!
    Bonne fin de journée.
    D@net.

    • Je crois que nous pouvons tous être fiers de ce que réalisent nos enfants… Je suis sûre que tes parents sont heureux. Il a fait sans doute beaucoup pour en arriver là et vous vous êtes aussi privés pour lui… quel bonheur de voir que ce n’était pas en vain.

       

      Bonne fin de journée à toi.

      Merci pour ces partages et tes voeux.

  35. L’argumentation est séduisante. Comment, après cela, ne pas lire ton manuscrit ?… C’est donc ici que se termine votre quête d’éditeur, sans doute avec beaucoup de regrets. Espérons maintenant que ton réseau de « fans » fasse résonner les tam-tams de l’amitié pour que les coins les plus reculés de la blogosphère sachent la naissance prochaine de Papilio. Sa place est déjà réservée ici… Bises

    • Je souris… il se peut qu’un jour Papilio trouve d’autres voies, mais pour l’instant, je pense que l’auto-édition sera la sienne.

      Merci à l’avance pour ton intérêt. 🙂

      Bisous et douce soirée.

  36. Bonsoir Quichottine,
    Ta lettre est bien plus qu’une lettre de motivation , elle ne peut qu’inciter à se plonger dans ton livre . j’ai hâte de découvrir la réponse !
    Tant qu’à la nouvelle génération !!! j’aime à croire qu’elle apprécie toujours les belles histoires que nous lisions mais lorsque je vois les enfants qui m’entourent s’installer devant un écran télé ou ordinateur pour des jeux bien moins intéressants que nos bons vieux cubes avec du sable à l’intérieur et de belles images à reconstituer, tu te souviens de ces puzzles ? je me pose des questions , surtout lorsque ces enfants me disent , je m’ennuie , je sais pas quoi faire !
    Néanmoins tu as raison , je suis sure qu’il y a au fond d’eux encore cette part de rêve …

    Belle soirée Quichottine . grosse bise

    • Je me souviens, oui… J’ai encore de nombreux jeux ici.

      J’ignore comment se passeront les prochaines vacances. J’espère qu’il fera beau.

      J’ai de la chance, mes petites-filles aiment encore jouer à la poupée et lire, sans pour autant négliger les écrans, qu’elles ont de plus en plus tendance à préférer.

      Passe une douce soirée. Je t’embrasse.

  37. Si Papilio est un clone du « Petit Prince » alors les enfants d’aujourd’hui qui ont oublié Saint Ex auront bien besoin de lui pour comprendre l’essentiel de la vie !!!

    • Ce n’est pas tout à fait un clone… mais c’est un de ses déscendants, sans aucun doute.

      Merci pour ce sourire du soir…

      Je t’embrasse fort.

  38. Pfff, je m’aperçois que mon premier commentaire n’est pas passé, je recommence donc :
    Si Papilio est un clone du « Petit Prince » alors les enfants d’aujourd’hui auront bien besoin de lui pour comprendre l’essentiel de la vie !

    • Si si, il est passé… mais OB prend le temps en ce moment…

      Merci d’avoir insisté, Marie. Quel bonheur de te retrouver ici !

  39. Pour ceux qui auraient hâte…

    Non, Papilio ne sera pas édité par Le Dilettante… 🙂

    • Il ne le sera jamais sous sa forme première… Au boulot !

      Bises à celles qui liront ce commentaire.

      Merci d’êre là.

  40. Une parfaite lettre de motivation ! j’imagine bien entendu que Papilio a été lu mais je lis ton commentaire et je découvre qu’il ne sera pas édité par Dilettante … j’ai hâte donc de connaître la suite …
    Une grande aventure en tous cas ! bravo à toi.
    Gros bisous

    • Pas par eux… mais ce que ma lectrice m’a dit va me permettre de le revoir avec d’autres yeux.

      Merci pour tout.

      Gros bisous et douce journée à toi.

  41. Bonjour Ma Chère Quichottine
    Ta lettre est superbe mais comme tu le dis plus haut la majorité des ados ne voient que par la violence. Il en reste encore quelques uns qui aiment ces doux récits. Ne désespere point. Il peut y avoir un miracle , il se peut que tu touches un coeur plus sensible. Pourquoi ne ferais tu pas une auto édition et nous pourrions ainsi lire cette histoire magnifique?
    bisous tout plein

    • Une auto-édition est prévue… mais je vais d’abord revoir quelques pages…

      Bisous tout plein et douce journée à toi.

  42. bonjour, ma chère Quichottine,
    ta lettre est très belle
    tu fais durer le suspense !
    j’espère que la réponse correspondra à ton attente
    bonne journée à toi et bon week-end
    gros bisous d’amitié
    jean-marie

    • Elle y a répondu… les critiques étaient les bienvenues.

      Mais, comme je le savais, je ne serai pas publiée chez eux.

      Gros bisous d’amitié à toi aussi. Passe une douce journée.

    • Comme tu dis… il faut que je m’y mette vite. Je voudrais avoir fini le plus tôt possible maintenant.

       

      Ce ne seront que des retouches et j’espère qu’elles ne nuiront pas à l’ensemble. 🙂

  43. Sourire, tu as donné la réponse, alors j’attends demain en sachant déjà un peu, mais pas tout, peut-être que la réponse est plus étoffée que d’ordinaire…
    Quoi qu’il arrive j’aime de plus en plus ce Papilio, surtout s’il ressemble au Petit Prince…
    J’attends juste avec impatience la meilleure façon de faire vraiment sa connaissance.

    • Un peu plus… des pistes à suivre ou non.

      Papilio est un doux rêveur, il te plaira peut-être, je l’espère.

      Chez TBE bientôt.

  44. cette lettre est superbe Quichottine, de quoi avoir envie d’aller plus avant à mon avis de l’autre côté !

    • Certaines ne sont jamais lues… celle-ci l’a été.

      Merci pour ton compliment, Katara.

      Passe une douce soirée.

  45. Bonjour Quichottine,
    Elle est fantastique, ta lettre. Tu sais je suis arrivée sur la pointe des pieds et influencée par le contexte actuel, je songeais plutôt avec cette « dernière lettre » à un contexte professionnel. Quelle joie de lire ces mots : ils sont adroits, intelligents et le projet achevé que tu présentes y est déposé sincère, justifié. Cette lettre et son objet ne peuvent QUE retenir l’intérêt.
    Grosses bises et BRAVO.

    • Il fallait seulement qu’elle soit lue… et un peu approuvée.

      Elle a été lue, mais pas aprouvée. Ce n’est pas grave, le livre sera publié malgré tout, mais sans doute en auto-édition.

      Merci pour tes mots Corine.

      Passe une douce soirée.

  46. Tu es vraiment habité par cette passion d’écriture et de lecture, je le suis aussi, mais de loin pas à ton niveau !
    Bravo et merci d’être toi !

  47. Une telle lettre ne peut laisser indifférent. J’admire, tout simplement. Et les mots qu’elle contient: persuasifs et sincères, et sans aucune prétention, ce qui est une grande qualité dans ce cas précis.
    Et j’ai grand hâte de tenir ce livre dans mes mains.
    Je t’embrasse.

    • Bientôt… ce sera sans doute chez TBE.

      Merci, Marie. La lettre, c’était un essai « pour voir », pas vraiment transformé, mais mieux que rien.

       

      Passe une douce soirée. Je t’embrasse.

  48. Une excellente nouvelle. je prends note des coordonnées.
    J’ai croisé Adamante sur le web et l’apprécie.

    • Sourire… Il faut encore attendre un peu, mais c’est pour bientôt.

      Merci pour Adamante.

      Passe une douce soirée. Bisous.

  49. Je vois que tu es décidée à revoir ton manuscrit, j’espère que leur réponse aura pu t’aider
    Douce soirée Quichottine & gros bisous

    • Je le reprends une dernière fois… et ensuite, chez TBE. Ce sera de toute façon un beau livre.

      Gros bisous et douce soirée à vous deux.

  50. Jamais, comme toi, je n’aurais écrit à un éditeur Je me refuse à le faire Il aime mon travail il prend sinon rien Et en plus comme je n’aime pas démarcher ni parler de mon travail je finis par me moquer du fait d’être éditée ou pas et en plus je pratique les préceptes de Lao Tseu qui consistent à : laisser faire et voir venir

    • C’était une lettre d’accompagnement… un essai, non transformé. Mais bon, j’avais envie d’essayer.

      Nous laisserons donc faire et verrons venir.

  51. je trouve que ta lettre est bien détaillée
    tu maîtrise ton sujet
    et aussi tu mets en avant le pour et le contre
    au moins il saura que tu es très lucide au niveau de tes dires

    j’espère le meilleur pour toi
    gros bisous

    .•°•.Ś Ő Ń Ŷ Á.•°•.

    • Merci, Sonya.

      Cet éditeur ne le publiera pas, mais j’aurai essayé.

      Gros bisous et douce soirée à toi.

  52. Magnifique! J’adore cette lettre qui devrait en émouvoir plus d’un. J’espère que cet éditeur a bien pris en compte tous les éléments de ton souhait pour accepter de le publier. Il ne peut pas refuser une si belle demande!
    J’attends la suite!
    Bon week-end!
    Bisous

    • Il ne le publiera pas, mais c’est normal. Il n’a pas ce genre de livre dans son catalogue.

      Bisous et douce soirée. J’espère que tu as passé un bon week-end.

  53. C’est vraiment le parcours du combattant pour faire éditer un livre que l’on a porté dans son coeur tout au long des pages….. Il faut plaire pour arriver au but!! Cela m’interroge.
    Belle soirée, bises Quichottine

    • Il faut plus que plaire… Mais je crois que je le savais aussi.

      Belle soirée et bises à toi aussi. Merci.

  54. Pas facile de naviguer dans cette jungle…C’est pareil dans le monde de la peinture…Le commerce et l’argent domine alors il faut faire « Ce qui se vend »…
    Courage Quichottine
    Bises

    • Je ne suis pas prête à fair « ce qui se vend ».

      Alors, je garde seulement espoir que ce livre aura des lecteurs parmi nos relations et amis, et peut-être un peu plus, par le bouche à oreille ensuite…

      Bises et douce soirée. Merci pour tes encouragements.

  55. Douce bibliothécaire, quelle belle lettre tu as écrite.. j’en suis toute retournée toi seule sait manier les mots et leur mise en place avec un tel brio. J’ai hâte de lire la réponse..
    belle journée à toi avec plein de bisous
    le matelot de la terre ferme

    • Ce sera pour demain… l’article paraîtra à minuit aujourd’hui, mais je suppose que tu dormiras à cette heure. 🙂

      Bisous et douce soirée à toi, Chantal.

  56. très belle lettre et j’espère que tu as reçu une lettre intéressante et répondant à ton attente
    bises

    • Celle que j’attendais, à défaut d’être celle que j’espérais.

      Merci, Andrée.

      Bises et douce soirée.

  57. Bon dimanche ma Quichottine. Je te l’ai mis en réponse com, mais tu as reçu mon article prévu demain !!! Mystère ?
    Bisous à toi

    • Ton article était un ancien article, j’ai fini d’ouvrir mes newsletters.

      Bisous et douce soirée à toi.

  58. Qu’est ce que tu parles bien … enfin « écris bien »
    Ces mots ne peuvent que attiser la curiosité
    Si j’étais éditeur … je serais séduite!
    Bizzz

    • J’ai eu davantage que le simple avis de non publication… mais l’éditeur n’a pas été séduit. Je savais que ce serait le cas.

      Ce n’est pas un éditeur de jeunesse. 🙂

      Bises et bonne soirée à toi.

       

  59. Mais c’est SINCERE.
    Je me demande si pour être publié, il ne faut pas une histoire sordide, quelques bas résilles aussi minimum, ça ne mange pas de pain (lol!) et 2 ou 3 meurtres. Ah s’il y a un contexte social particulier ou un problème de religion ça peut aider aussi.
    Lol ! Non mais si tu écoutes ce qui sort à la radio ou à la télé, je ne dis pas que ce soit mauvais, mais j’ai surtout l’impression qu’il faut que l’histoire heurte.
    Allez, tous au gore ! Je blague. Il faut toujours faire ce que l’on aime et j’ai vraiment adoré ta lettre.
    En effet, j’en ai rajouté dans ce que j’ai dit ci-dessus car il y a toujours un public qui aime la fraîcheur.
    Bisous.

    • Je crois que je serai incapable d’écrire ce qui paraît aujourd’hui… enfin, du moins, ce qui fait fureur.

      Je crois que l’important c’est de rester fidèle à ce que l’on est.

      Je ne suis pas un auteur de bestsellers. 🙂

      Bisous et merci pour ta gentillesse et ton soutien.

  60. J’avais lu la réponse de l’éditeur mais je n’avais pas lu ta lettre. Voilà c’est fait et c’est sûr on pouvait pas ne pas te répondre!.. je reviens sur l’autre article!
    Bises
    Dany

  61. Remarquable et originale cette lettre ouverte à l’éditeur! Elle aiguise la curiosité et annonce la couleur…. qu’a-t-il décidé? J’aime énormément les dessins de Davy! Ils parlent d’eux mêmes! Papilio est le surnom qu’Armand notre fils donne à son papa Chéri! On t’embrasse très fort! A tout bientôt Quichottine et merci pour tes visites durant notre évasion!

    • C’est un joli surnom pour un papa… j’aime beaucoup !

      Je suis heureuse que tout cela te plaise.

      Merci à toi et douce soirée à vous deux. Bisous.

  62. Très belle soirée à toi. Euh… nuit pardon !
    Ah oui déjà !

  63. Il y a fort longtemps, juste après mai 68, nous étions à Courbevoie, et nos fenêtres donnaient dans la cour de la M.J.C de cette ville. Christiane, revenue du Maroc, cherchait à se rendre utile et proposa ses services bénévole comme secrétaire. Elle devint un rouage modeste, mais très au courant du fonctionnement de la Maison, de son besoin de financement et autres problèmes. Il y avait parmi les animatrices des femmes admirables dont deux étaient au comité de lecture de grandes maisons d’éditions.
    Et déjà, elles nous disaient qu’avant qu’un manuscrit arrive jusqu’à leur table, il fallait qu’il ait été recommandé par quelqu’un de connu.

    Sans connaitre cette maison d’édition, je pense que , malgré la teneur plaisante de ton courrier, tu n’as pas franchi le premier barrage. Ont-ils seulement retourné le manuscrit ??,

    Je vais lire la suite dans un instant.

    Courage pour ce parcours de le combattante;

    Christian

    • Ils me l’ont retourné, avec un mot personnalisé.

      Je pense qu’ils ont lu le manuscrit, du moins en partie.

      Je savais en le leur envoyant qu’il ne correspondait pas à ce qu’ils publiaient. Je n’ai pas été déçue.

      Cet éditeur est de ceux que j’ai apprécié pour leur gentillesse et leur compréhension.

      Merci, Christian. Le parcours est en ce qui me concerne terminé. Maintenant, c’est à Papilio de faire ses preuves, comme un grand.

      Pass une douce journée.