Une histoire noire (4)

C’est là que la conteuse s’arrête… un peu inquiète tout de même.

 

Elle vient de jouer avec le temps, comme le permettait la programmation de publications bloguesques.

 

 

Voyons… Le 21 courant

 

(J’aime bien, c’était ainsi que débutaient les réponses d’autrefois : « Comme suite à votre lettre du 21 courant… » Je pourrais imaginer les pages de l’éphéméride se détachant une à une et se poursuivant sur le sol après une chute – vertigineuse – d’un bon mètre soixante…)

 

Or donc, le 21 du mois de septembre de l’an de grâce 2010, vous avez fait connaissance avec une jolie sorcière issue de son grimoire…

 

Elle devait vous raconter Une histoire noire, très noire… et il suffisait d’en suivre le lien pour vous retrouver au lendemain.

 

C’était à la fois la meilleure façon de voyager dans le temps et le début d’un récit qui ne serait publié que le 22 courant.

 

Un avis, dans le bas de l’article, vous invitait à lire la suite… et donc, à faire un nouveau pas vers le futur, vers le second épisode, qui ne paraîtrait que le 23 courant…

 

J’avoue y avoir placé intentionnellement un lien vers La suite… (Un article publié bien plus tôt, au mois de janvier 2009, mais daté du 8 août 2008. Cette « suite en la majuscule« , avait déjà fait son office alors que je racontais l’histoire de Clément, le troubadour au vert pourpoint.

 

Pour ceux qui prendraient cet ascenseur temporel et voudraient lire avant l’heure le troisième épisode de mon histoire, j’y avais laissé un commentaire… C’était vraiment le moins que je puisse faire :

 

Ceux qui suivent les liens auront pu, aujourd’hui, lire le début de l’histoire et son second épisode.

 

J’espère qu’ils ne m’en voudront pas de les avoir conduits jusqu’à cette suite majuscule qui n’est qu’un clin d’œil quichottinien à mes aminautes.

 

Merci de tout cœur. *

Commentaire n°44 posté par Juste un sourire pour ceux qui me liront ici le 21/09/2010 à 08h45

 

J’avais écrit en gras… J’ai regretté ensuite de n’avoir pas pensé à y mettre le lien vers le troisième épisode, programmé et à paraître le 24. Vous seriez arrivés à aujourd’hui, après un petit détour dans les caves quichottiniennes.

 

Mais bon, il est difficile de penser à tout…

 

Hier, vous avez donc retrouvé le cours normal du temps… Et nous pouvons revenir aux premières lignes du billet d’aujourd’hui.

 

 

C’est là que la conteuse s’arrête… un peu inquiète tout de même.

 

Elle vient de jouer avec le temps. Mais, à bousculer les repères temporels de ses lecteurs, ne leur a-t-elle pas fait perdre un temps désormais trop précieux ?

 

Ô temps, suspends ton vol…

 

 

Faut-il tout résumer, très vite, brièvement, pour les retardataires ?

 

Le lutin bleu, effrayé par des ombres aperçues dans la quichottineraie, a appelé à l’aide son ami, l’esprit de la forêt. Le vent a relayé l’appel, vous en souvenez-vous ?

 

L’esprit n’a pas tergiversé, n’a pas hésité une seconde avant de se porter à son secours. Il est allé aussi vite qu’il le pouvait. Les hommes le regardaient passer, et, ceux qui avaient peur étaient sans doute coupables.

 

Dans le cas contraire, ils auraient admiré ce géant avançant malgré tous les obstacles. Ils l’auraient accompagné pour l’encourager, pour le stimuler… Mais, ce faisant, ils auraient ressemblé à la mouche du coche, et vous auriez sans doute beaucoup ri.

 

Face à l’océan, l’arbre s’arrête. Il pourrait le traverser, quitte à finir cette aventure sur le sable d’une plage, livide et décharné.

 

Il n’en fera rien. Près de lui, un goéland s’est posé. La mer n’est pas un problème pour lui, il la traversera, apportera un message au lutin bleu.

 

Ce que l’esprit a dit au goéland du bout du monde, nul ne le saura jamais, mais, en quelques  battements d’ailes, l’oiseau rejoint le lutin bleu.

 

Il est temps… Il est temps ?

Est-il encore temps ?

 

Nous avons retrouvé le lutin bleu pétrifié devant la menace d’un désastre imminent. Les fantômes sont prêts à envahir la Bibliothèque. Ils vont blesser Quichottine, la tuer, peut-être ?…

 

 

Il arrive que le lutin bleu se trompe. La bibliothèque est vide, désespérément vide. Les fantômes en parcourent les allées, fort dépités.

 

Où est la dame de ces lieux ? Leur ferait-elle défaut ?

 

Sur le bureau, face à la fenêtre au vitrail bleu, un vieux stylo abandonné caresse une page inachevée tandis que sur le vieil électrophone, vestige d’un temps passé, un trente-trois tours murmure le premier mouvement d’une Sonate au clair de lune.

 

 

Et maintenant ?

 

Comme pour les enfants qui jouent à se faire peur, il arrive un moment où ce n’est plus tout à fait un jeu, où la peur s’insinue « pour de vrai », où l’on se demande si le petit lutin bleu restera pétrifié face à une fenêtre définitivement fermée.

 

Il arrive un moment où il ne reste qu’un tout petit filet de cette voix qui racontait dans la pénombre.

 

Et, quand bien même Émilie demanderait-elle un sursis, le temps est venu d’écrire le mot « Fin ».

 

Une fin qui, par respect d’une bibliothécaire étrange qui ne rêve que de douceur et de tendresse, ne peut pas se terminer par un incendie ou un pillage.

 

Mais alors ? Comment faire ?

 

 

Il suffirait peut-être seul
ement, pour terminer l’histoire, d’allumer la lumière.

 

 

100410_Clo_pendeloques_original.jpg

 

 

* Il y avait là un petit émoticône souriant… Je l’ai ôté pour qu’il ne se substitue pas à l’image dans mon résumé d’article.

Merci à Clo pour son image de printemps.

 

82 commentaires à propos de “Une histoire noire (4)”

  1. Bon retour Amielle.

    Belle maestria à entretenir le suspens  😉

    Gros bisous, tout plein

  2. Gare à toi Quichottine, égaré dans l’espace-temps, l’oeil hagard, j’ai failli ne pas retrouver  mon hangar où, avec beaucoup d’égards, j’ai garé mon stock d’agar-agar.

     

     

     

    • J’en suis navrée… Je ne voulais pas t’égarer.

      Heureusement, la lumière est revenue et le calendrier a retrouvé le cours normal du temps.

  3. Alors l’esprit de la forêt ne s’est pas noyé , il a traversé l’océan, il a allumé la lumière, éclairons les fantômes qui nous hantent… Bises Quichottine et bon retour

     

    • Si nous les éclairons, il se peut que nous arrivions à nous en défaire…

      Merci, Martine. Bises et bon dimanche.

    • Ce n’était qu’un interlude… Avec de très belles images.

      Merci pour ta présence, Pierre-Louis.

  4. Bonjour Quichottine,
    Je respire mieux depuis que La Lumière est revenue éclairer l’image, je m’étais tout enfoncé dans cette Histoire Noire où dans les méandres j’avais admiré entre autres, la Sorcière de Blueroze et l’Arbre de Vie de Joelle. Chez moi, la nuit venue, je perçois dans les arbres les rondes saccadées de petites Chauve-Souris qui dans ma jeunesse m’effrayaient. Avec l’aube elles disparaissent, cachées dans le feuillage épais. De ma chambre d’enfant, à travers la fenêtre je voyais et entendais en haut d’un immeuble d’en  face une girouette grincer dans le vent d’hiver. De loin elle ressemblait ,mon imagination aidant, à un personnage agitant ses bras qui disparaissait avec le matin. J’imagine mal la Bibliothèque plongée dans le noir. Je chasse cette image. Vive le Roi Soleil !

    • Je crois que j’ai du mal à l’imaginer ainsi. Il était grand temps d’entrouvrir la fenêtre.

      Merci, Georges.

  5. Après cette longue et belle lecture je te poserai juste cette question :

    Est-il encore temps ?

    Je t’embrasse

     

  6. Après avor tremblé jusqu’au bout,on pousse un timide soupir de soulagement: pas de catastrophes, pas de drames; une sonate,un beau poème , un  retour  dans l’enfance : allumons la lumière  qui va chasser les ombres de la bibliothèque et  attendons le retour de la dame des lieux .

    Bisous

     

  7. Ma reine du lien, nous avons suivi les méandres de ta pensée avec beaucoup de mérite, je crois, j’ai tendance à me perdre dans tes recoins mais bon la Sonate m’a calmée le temps d’une Pleine Lune  et si la clarté revient elle me sera bénéfique aussi !

    Tu peux te vanter de nous tenir en haleine !

    Zibous BiZous

    • J’ai noté votre obstination… D’autant qu’il me semble qu’OB a fait des siennes en mon absence.

      Merci pour tout, Zoupie. Heureuse que la musique t’ait plu.

      Bisous.

  8. Quel suspens…tu peux te vanter de nous avoir tenu en haleine ma Quichottine coquine. Bises et bon samedi

    • Une fois la lumière allumée, tout devient « normal » et conforme à ce que vous connaissez de la Bibliothèque.

      Merci d’être là, Zaza.

      Me voici de retour. Passe un bon dimanche. Bisous.

  9. ella puede refigiarse en mi blog  porque el gran guerrero jaffa tilk tampoco tiene miedo de nada y sobre todo de los fantasmas….

    besos

    tilk

  10. Enfin la lumière.. je commençais à m’y perdre un peu. Quelle vie! Bon WE Madame!

  11. Mes cauchemards se sont évanouis et la lumière m’a éblouie… Ton Histoire Noire était hors du temps mais si prégnante… MERCI Quichottine.
    BISOUS.

  12. Une histoire qui fini bien. Allumons nos lumières et tout s’éclairsi la peur s’en va. Bon dimanche Quichottine.

  13. J’aime l’image du crayon qui caresse la page inachevée….

    La lumière revenue, les petits lutins et tous les fantômes de la nuit disparaissent-ils ?

    Bon week-end à toi Quichottine.

    • Les petits lutins seront encore là quelque temps, la Bibliothèque a besoin d’eux. Les fantômes… ma foi, il en est un qui reviendra très bientôt.

      Merci, Oxygène. Passe un bon dimanche.

  14. Vous avez l’art Madame de ne pas finir votre ouvrage. Moi je veux la fin de l’histoire  : je veux savoir comment le lutin bleu trouvera l’aide de son esprit préféré, comment le goéland passera la mer et ce qu’il dira au juste… jE VEUX que l’esprit nous prouve qu’il est un esprit et que donc rien ne l’effraie ou lui est impossible.

    eT puis, je ne me suis pas perdu dans votre temps. J’ai vécu le mien, je me suis place loin de  toutes ces images et ai crée l’écran nécessaire pour m’en protéger et en alléger le sentiment que vous vouliez faire naitre.

    Les images se pressent dans ma tête et l’escalier me tend ses marches; Je suis sorti de votre histoire Dame Quichottine et j’ai écrit la mienne. 

    iL NE ME reste qu’un chose à avouer : quand vous avez dit que la nuit était noire, très noire, si noire au début, une lumière s’est allumée qui me disait : tiens, Quichottine va se jouer de Nous. eT j’ai souri.

    Que la nuit vous soit propice à créer encore et encore; Mais faites attention : la nuit sera encore plus noire ce soir.

    Douce noirceur.

    • Cher Liedich…!

      Je crois bien que ce commentaire-ci, je l’encadrerai un jour.

      J’ignore aujourd’hui encore si je reprendrai cette histoire, si vous aurez une autre fin que celle que vous imaginâtes sûrement en ce jour.

       

      Mais si je la termine, ne serez-vous pas déçu ?

       

      Bonne nuit, Liedich. Prends soin de toi.

  15. Et voilà comment on passe du noir à la lumière !!! Notre Quichottine est mal à l’aise dans cette pénombre ! La lumière lui va beaucoup mieux ! Et j’ajouterai: la douceur et la tendresse émergent à chaque instant.

    gros bisous et bon début de semaine Quichottine !

    • Démasquée !

      C’est vrai que je ne suis pas à l’aise du côté sombre…

      Gros bisous et bonne fin d’une autre semaine à toi.

  16. Ah j’ai compris, l’Esprit de l’arbre a traversé l’océan à la « page » car lui ne connaissait point  de « N »  

    Son ami le lutin bleu du pis « R« , lui  est sorti de sa « cage »  sans (R)age mais venu du fond des âges …

    Quant à la bibliothèque , sa résidente, à nouveau nous y engage ,

    Pour notre faim de lire et lire sans jamias de fin …

    Farfalulu du matin …

     

    • C’est excellent !

      Merci infiniment pour cette explication… que j’utiliserai peut-être un jour.

       

      Passe une belle fin de semaine, Farafadet.

  17. Hou là là ! Tu as bien failli me perdre dans la nuit de ton histoire sombre ! Dès que la lumière est en veilleuse, je ne gambade pas aussi vite d’épisode en épisode !  

    Bises

    Marie

     

     

    • Je crois que je ne suis pas vraiment douée pour le côté sombre…

       

      Je préfère la lumière moi aussi.

      Merci, Marie.

  18. En ce 27ème jour de septembre de l’an de grâce 2010, je me dois de te dire que je regrette d’avoir raté le rendez-vous final. Mais ma machine à remonter le temps m’a permis de combler cette lacune et de me souvenir des parties de « minuit sonneur » avec mes cousines : l’une de nous devait retrouver les autres cachées dans une chambre plongée dans le noir le plus total. C’était à qui s’accrochait à une porte, se faufilait sous un meuble, grimpait sur l’appui de fenêtre… Quand on a 7-8 ans, il n’en faut pas plus pour stimuler l’adrénaline !

    • C’est d’ailleurs comme ça que mon frère aîné se cassa une incisive juste sortie… jouer à cache-cache sous les lits, c’est dangereux.

       

      Je n’ose même pas penser à cet appui de fenêtre…

      Heureusement qu’il y a eu quelqu’un pour rallumer la lumière.

       

      Merci, Galet. Pardon de te répondre si tard.

  19. C’est vrai il suffit juste d’un peu de lumière pour se rassurer

    mais tu sais quand même, bien, je n’ai pas eu trop peur en lisant

    Bisous

  20. L’imaginiation… 🙂

    Pas si évident que cela de suivre le conte noir de Quichottine : est-ce le fait que le suspens se faisait des plus présents. En tout cas, cette fin nous convient et nous nous retrouvons ravie que Quichottine n’eut connu aucun tort.

    Ce conte nous change bien de ces contes enfantins dont nous nous avons eu, à quelques reprises, la lecture sinon avec lesquels nous avons débuté et pris goût, bien assez tôt, aux mots 🙂

    Une belle soirée à Quichottine ainsi qu’une nuit éclairée dans ses songes…

     

    A bientôt…

     

    • Merci, AneverBeen.

      Je suis plus à l’aise dans la lumière, et tu l’as bien vu aussi, je pense.

       

      Ma nuit sera claire.

  21. J’aime beaucoup : « Il suffisait d’allumer la lumière » comme en toutes choses quand la petite lumière luit au fond du tunnel l’espoir est là

    bonne fin de semaine

  22. La lumière s’est allumée… le soleil est entré dans la bibli, la musique douce résonne à mes oreilles, et j’attends sans impatience mais avec sérénité le retour de la bibliothécaire. Le lutin bleu me l’a assuré, elle n’est partie que pour un temps, ce’st le vent qui via l’oiseau qui lui sussuré à l’oreile…et, le vent ne ment jamais…

  23. Un peu de mal à tout suivre ce matin …mes neurones ne sont certainement pas tous réveillés

     Bon WE quichottine

  24. merci Quichottine , tu as fait un super travail on nous maitenant ainsi en haleine !!!mais la lumière est revenue et c’est tant mieux….

    bises à toi Quichottine

    • Contente de voir que tu préfères la Bibliothèque sans ses fantômes…

      Bises, Canelle. Passe un bon dimanche.

  25. moi aussi j’aime bien le 212 courantet j’écris toujours comme cela dès que je le peux….

  26. Je propose d’allumer une bougie ce sera plus doux …

    • La bibliothèque est grande… mais tu as raison, ne multiplions pas les risques d’incendie.

      Une bougie sur mon bureau, ça suffira à chasser les fantômes.

  27. Laisser des possibles … et pas de fin surtout !

    Merci pour la lumière dans ces pendeloques qui sont les fils de l’histoire à tisser à son gré ou à son rêve … Quelques espaces d’ombre composent aussi la vie et le conte …

    A bientôt. 

  28. Laisser des possibles … et pas de fin surtout !

    Merci pour la lumière dans ces pendeloques qui sont les fils de l’histoire à tisser à son gré ou à son rêve … Quelques espaces d’ombre composent aussi la vie et le conte …

    A bientôt. 

  29. Joli voyage dans le temps, pour une histoire noire qui finit dans la belle lumière, et le plaisir de revoir cette magnifique photo de Clo !

    Merci Quichottine j’ai voyagé dans le temps sans prendre une ride ! une prouesse !

    Bises du soir

    Trinity

    • C’est vrai que son image est belle… quelle qu’en soit la couleur.

       

      Merci à toi d’avoir voyagé avec moi. Bises de la nuit pour toi. Passe un bon dimanche.

  30. Joli voyage dans le temps, pour une histoire noire qui finit dans la belle lumière, et le plaisir de revoir cette magnifique photo de Clo !

    Merci Quichottine j’ai voyagé dans le temps sans prendre une ride ! une prouesse !

    Bises du soir

    Trinity

  31. « Clic ! »
      
    Fiat lux !
      
    🙂

    Bon week-end, Quichottine, et gros bisous

    • C’est gentil…

      Passe un bon week-end aussi, Séverine. J’espère que votre vide-grenier aura du succès.

      Gros bisous.

  32. on n’a pas besoin d’être un petit lutin pour préférer la lumière à l’angoisse de la nuit!

    bisses Quichottine, bon dimanche

    • Un sourire pour toi… un peu trop tard, je sais. Mais je suis tout à fait d’accord avec toi.

      Bises et belle fin d’une autre semaine pour toi. Merci.

  33. Dans la lumière , les ombres des fantômes se déplacent beaucoup plus vite alors peut être juste la lumière d’une bougie 😉

    Bon dimanche Quichottine

    Bisous

    • Une bougie… vous êtes plusieurs à me l’avoir suggéré.

      J’y penserai, la prochaine fois.

      Bisous, Urban. Merci et belle fin de semaine à toi.

  34. Chère Madame,

    Par cette lettre du 29 courant , je vous informe que je vais étudier la possibilité de vous prendre comme « reine du lien et des labyrinthes »…Je vous contacterai pour un RDV, facile et sans détours. Bien cordialement

    VITA

    • Chère Madame,

      Comme suite à votre lettre du 29 septembre dernier, vous m’informâtes de l’éventualité d’un poste qui serait à ma mesure… Je suis désolée de n’avoir pas pu me rendre à votre rendez-vous… Est-il trop tard pour en solliciter un autre ?

       

      Avec mes remerciements

       

      Quichottine

  35. Toujours si complet et riche ton blog…des histoires à lire, à suivre, à aimer…

    Amitiés…

    un « ancien lecteur métamorphosé et revenu des limbes »…