Comment fais-tu ?

Je suis assise à mon bureau… j’écris.

 

J’étais déjà là hier, et avant-hier aussi.

 

Mais où est l’article que j’aurais dû poster lundi ? Où est celui d’aujourd’hui ?

 

Disparu, ou peut-être seulement effacé, inachevé.

 

 

Dis, comment fais-tu, toi ?

 

 

Je reçois tes newsletters, je te lis, je t’écris, le plus souvent… Parfois, il m’arrive de rester silencieuse, comme toi.

 

Mais ce n’est pas toujours parce que je n’ai rien à dire.

 

Ce peut-être, voyons… parce que la fenêtre de commentaire ne s’ouvre pas, parce qu’elle refuse obstinément de te déposer mes mots qui se perdent dans l’espace virtuel qui sépare mon écran du tien.

 

Mais le sauras-tu, toi ?

 

Sauras-tu que si je n’ai pas répondu, c’est parce que je ne pouvais pas ouvrir mon administration ?

 

Sauras-tu que c’est parce que rien ne pouvait se faire, ici, au moment où je pestais devant mon ordinateur ?

 

 

Dis, comment fais-tu, toi ?

 

 

Comment fais-tu pour que chaque jour, à l’heure dite, tes mots m’arrivent comme si tout était parfait dans notre monde partagé ?

 

Comment fais-tu pour m’écrire ces messages qui me ravissent et me laissent à penser que je devrais, pourtant, pouvoir réussir aussi à t’écrire ?

 

J’ai passé tant de temps aujourd’hui depuis tôt ce matin, pour te laisser un message un peu trop bref…

 

 

Dis, comment fais-tu, toi ?

 

 

Je ne sais pas…

 

 

Alors, aujourd’hui, assise comme si souvent devant mon clavier, j’hésite.

 

Dois-je changer de façon de faire ?

 

Dois-je seulement te poster une image pour te dire que je pense à toi ?

 

Dois-je seulement trouver des mots passe-partout qui m’éviteraient de réfléchir, de partager autre chose que des coucous ?

 

Dois-je cesser de penser à toi comme à quelqu’un qui frapperait à ma porte et que je pourrais recevoir, au coin du feu quand il fait froid, ou au jardin quand le soleil brille et réchauffe nos cœurs endoloris, en effaçant nos chagrins d’un sourire ?

 

 

Dis, comment fais-tu, toi ?

 

 

 

Je me suis abreuvée d’images et de mots.

 

J’avais envie de vous dire merci.

 

 

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117 commentaires à propos de “Comment fais-tu ?”

  1. Après neuf mois de blog je crois avoir compris une chose : nos blogamis sont fidèles ; bien sûr ils ne vont pas systématiquement laisser un commentaire en bas de nos articles et cela pour plusieurs raisons : l’envie, le temps, la nécessité, et plein d’autres. Par contre, nous savons bien qui ils sont, nous savons qu’ils nous lisent et qu’ils nous aiment bien. De notre côté, c’est la même chose, et puis parfois, au détour d’un commentaire ou d’un billet, on se prend à penser à eux, à tous ceux dont on s’est entouré, peu à peu, et qui sont si importants pour nous, si différents, si légers, si profonds, si pleins d’humanité ! Oui, j’ose le dire, nous ne sommes pas dans le virtuel, mais alors pas du tout, lorsque nous suivons régulièrement les publications de nos blogamis.

    • Je ne peux qu’être d’accord avec toi. Les liens se tissent au fil du temps, et ceux que nous appelons nos « blogamis » sont toujours très présents.

       

      Ils comptent beaucoup, et nous sommes bien loin du virtuel…

  2. j’ai été très touché par ce billet.

    C’est vrai, les commentaires sont pour un bloggueur ce qu’est une déclaration d’amour pour un bien-aimé.

    En 2008, j’avais un blog en anglais qui était visité par un bon nombre de gens chaque jour, mais seulement ça ne se voit pas en terme de coms. Je le leur ai fait savoir, mais en vain. J’ai fini par abandonner ce blog car je ne pouvais pas continuer à écrire à des fantomes, surtout que chaque billet me prenait au moins une semaine de travail quotidien… J’ai même arrêté d’écrire en anglais pour cette même raison!

    • Bonjour Nasamat.

      Je suis passée un peu trop rapidement chez toi.

      J’ai aimé l’idée que l’histoire aurait pu s’arrêter là, près de l’Arche. Tu écris longuement et ce sujet a besoin de temps et d’attention pour ne rien laisser perdre.

      Je ne voudrais pas te mentir et te laisser des messages qui ne tiendraient pas compte du contenu de tes billets. J’ai préféré ne rien écrire pour l’instant.

       

      Je sais que je reviendrai, dès que je le pourrai.

      Merci pour ces mots d’aujourd’hui.

  3. Oh là là tu te stresses beaucoup trop Quichottine ! 

    J’aime venir te lire et je suis plus ou moins assidue en fonction du temps dont je dispose et de ma dose d’énergie. Car oui, de temps en temps, il est doux aussi de rester sans rien faire. Mais tu ne dois surtout pas culpabiliser si tu ne parviens pas à nous écrire à tous ! Ton blog n’est pas une épicerie dans laquelle on vient déposer un commentaire contre un autre petit mot sur notre blog. J’aime les aventures de tes lutins, admirer les illustrations qui ponctuent tes billets, suivre tes visites…

    Ne laisse surtout pas les blogs prendre toute ton énergie et ta sérénité ! Tes blogopotes te liront de toutes façons. Un peu comme mes enfant, j’ai tendance à dire : encore une histoire s’il te plait ! Dessine nous de jolis rêves !

    Bisous

    Marie

     

    • J’ai toujours prévenu… pas de donnant-donnant, c’est un cercle infernal…

      Ce n’est pas ce que je souhaite.

       

      Mais je sais que j’aime me rendre chez vous, et lorsque le temps se fait plus rare, je n’aime pas du tout voir la technologie me claquer les portes au nez au moment où je suis disponible.

       

      Merci pour ta présence, elle me touche beaucoup.

      Bisous.

  4. Ah ma Quichottine, les mystères de de la toile et les tracasseries informatiques….. Des mots écrits qui s’envolent et se perdent…. Des fenêtres qui ne s’ouvrent pas, c’est vrai que c’est souvent ces derniers temps…!!!!!!! Bises et bonne journée

    • C’est souvent, de nouveau… et ce qui m’ennuie le plus, c’est que ça arrive au moment où je pensais pouvoir prendre un peu d’avance.

       

      Tant pis. Il faut faire avec… ou sans, en l’occurrence.

       

      Bises et bonne journée à toi aussi. Merci pour ta gentillesse, Zaza.

  5. c’est toi qu’il faut remercier, une nouvelle fois !!! les mêmes questions, les mêmes reflexions qui me taraudent mais toi tu sais trouver les mots pour partager cette pensée..gros bisous

    • Merci, Solyzaan.

      Tu as le don de me faire rêver sur tes pages… et je n’ai pas pu les ouvrir hier, au moment où j’avais le temps.

      Ce sera pour aujourd’hui…

  6. Ah, la plage blanche et l’ecrivain, cela est un grand mystére. Amitiés .

    Vieux berni

    • Nous sommes un peu loin de la page blanche, Berni.

      Ici, ce sont les machines qui ne voulaient pas. L’écrivain n’y était pour rien.

       

      Merci pour ta visite.

  7. On fait un peu comme toi!

    il m’arrive même de lire et d’oublier de laisser le message !

    Mais effectivement,il arrive que la fenêtre ne s’ouvre pas , ou que le message ne s’enregistre pas , c’est très énervant cela!

    Les passe-partout je n’aime pas ;je préfère ne pas venir un jour si je n’ai pas le temps et remettre au lendemain  .

    Moi, je ne suis pas très organisée : les heures fixes , je ne sais pas faire!!

    Meerci à toi aussi  de nous faire rêver . Gros bisous

     

    • Je n’aime pas non plus les passe-partout.

      Je crois que si je devais m’y contraindre, j’arrêterais de bloguer.

       

      … je n’ai pas non plus d’heure fixe, mais quand je peux m’asseoir enfin devant mon ordinateur, je n’aime pas du tout qu’on me claque la porte au nez.

       

      Heureusement, aujourd’hui, tout semble rétabli… alors, j’espère que ça va tenir un peu.

       

      Merci, Fanfan…

       

      (Ton billet de dimanche m’a énormément plu… Merci pour la découverte de cette vidéo que je ne connaissais pas. J’aurais aimé pouvoir la regarder plus tôt.)

  8. Souvent c’est le temps qui manque, hier j’avais le temps, je m’installe et impossible de laisser un commentaire sur aucun blogue. Il y a tellement d’impondérables. Bonne fin de journée chez toi.

    • Ben voilà !

       

      … nous étions donc au moins deux dans ce cas…

      Lorsque le temps manque, c’est encore plus difficile de revenir plus tard.

       

      Bonne fin de journée à toi aussi, Solange. Merci d’être là.

  9. Bonjour Quichottine,parfois être devant l’ordi c’est retrouver le silence et une paix certaine, c’est comme une petite promenande courte dans les bois ou au coin de la rue. Je laisse mes haricots a rammasser, mes 12 idées d’articles à écrire, photos à trier, randos à organiser, trouver la carte, le chemin voir selon qui va venir, où on va coucher samedi soir. laisser encore mon tas de bois pour l’hiver à ranger, passer un coup de balais dans la maison prendre le temps de lire le mémoire de ma fille.Et me  nourrir, relire « la vie secrète de Walter Mitty », rien de bien essentiel me diras-tu? Non l’essentiel je l’ai .Je ne suis pas enquête chaque jour d’un abri ou une soupe, on n’a pas détruit ma caravane pour me jeter de nouveau sur la route. Les amis sont là, Quichottine me fais visiter les musées de Paris….. ce n’est pas si grave si OB choisit de faire de la maintenance un lundi soir où on aurait tant de chose à dire!

    Je te souhaite une belle et bonne journée

    • Merci !

       

      Tu vois, je suis d’accord avec toi, l’essentiel, nous l’avons puisque nous prenons le temps de penser et de faire autre chose…

       

      Mais, j’aurais été navrée de ne pas pouvoir te lire aujourd’hui, de ne pas pouvoir te répondre… C’est un très beau moment d’échange, de partage, Pierre. Comme une pause dans ce quotidien où je pense que tout est important.

       

      Oui, j’avais beaucoup à lire, à dire… et je sais que tu comprends aussi le pourquoi de mes mots d’aujourd’hui. Merci pour ta présence.

       

      Passe une douce soirée.

  10. Comment je faisn ben comme toi, je peste contre eux…

    Et puis je pense que tu ne m’en voudras pas, de n’avoir pas eu le temps ou le pouvoir de te laisser un petit mot

    De gros bisous, amitiés, Flo

    • Je n’en veux à personne… sauf à cette folie qui est le « toujours plus » d’OB et qui nous rend si fragiles.

       

      J’étais furieuse de ne pas pouvoir profiter du moment de liberté que je m’étais accordé.

       

      C’était comme être devant la vitrine d’un pâtissier, avec un énorme vigile à l’entrée pour m’en interdire l’accès… Tu imagines ?

       

      Gros bisous à toi aussi, Flo. Merci pour tes mots.

  11. On passe souvent à côté de quelque chose où de quelqu’un, parce que le temps est trop synchronisé et que la seconde passée ne se retrouve pas. Mais tu as des mots qui peuvent s’adapter à tellement de personnes sans vraiment cibler  quelqu’un en particulier.

  12. une jolie façon de dire merci.

    mais c’est idem pour nous. je ne compte plsu le nombre de fois où je ne peux ouvrir tel ou tel blog ou laisser un message.

    aujourd’hui encore je me suis cogné le nez su bon nombre de blogs.

    pourquoi l’un s’ouvre et l’autre pas mystère et ça restera surement un mystère.

    amitiés

    • Je ne sais pas à quoi c’est dû… Ce matin c’était difficile. Très. Mais c’était mieux qu’hier, puisque dans la soirée, rien ne s’ouvrait.

       

      J’en ai pris mon parti, mais quel dommage ! Pour une fois que le temps ne m’était pas compté !

       

      Merci à toi du temps passé aujorud’hui.

  13. merci à toi, combien de fois oui, l’administration joue des tours, les billets disparaissent avant publications, un bug, internet explo ou mozilla qui répond plus, la sauvegarde qui ne se fait pas, une mise à jour qui arrête tout, l’antivirus qui bloque tout…. une surcharge de connexions massive sur l’adresse ip

    et pffft plus rien, une fenêtre de comm qui ne s’ouvre pas, obstinément, voire plusieurs blogs pour cause de serveur surchargé…

    et non personne n’en sait rien, on n’a pas envie de copier coller une excuse, tout le monde sait que ça arrive, parfois tout le monde est logé à la même enseigne dans la soirée…. alors… alors ben on reste positif, on se fait confiance, on lit les stats pour voir qui est passé par ex… :o))

    gros bisous tendres et merci pour ce billet encore

    much love

    • Non, je n’avais pas envie de copier/coller… Je n’aime pas.

       

      Les stats ne disent pas forcément qui est passé. Tu sais que « tant » de personnes sont arrivées par un blog ou l’autre, tu ne peux pas assurer qu’il s’agit de l’auteur de ce blog.

      Tu ne peux pas savoir qui vient à partir des news…Tu sais seulement que certains sont venus par leur messagerie.

      (… C’était seulement un clin d’œil. Je regarde de moins en moins mes stats.)

      Mais bon, ce n’est pas si grave. je ne cherche pas forcément l’audience et me fiche de mon BR, mais j’aime bien, quand j’ai le temps, m’attarder, faire part de mes coups de cœur, même s’il ne s’agit que d’une image dans un très grand article…

       

      Hier, même lorsque les pages s’ouvraient, rien n’était possible… alors, c’est vrai, j’ai laissé tomber.

       

      Gros bisous à toi aussi, Mamalilou. Merci à toi pour tes messages souriants.

       

  14. O Quichott , grande rêveuse, grande partageuse, c’est bien vrai que ça ne marche pas toujours rond cette machine infernale, cet « interné »,  cette administration parfois « en maintenance », ces connexions atteintes de léthargie… 
    Te voici doutant devant ton clavier, mais c’est naturel, le doute s’insinue entre les touches , et ce sont des questions en cascade du genre :  à quoi bon tout ce temps consacré, après moi le déluge, le quotidien d’abord, les femmes aux fourneaux,   personne ne se pâme face à mes traits de génie, tout le monde s’en fout .. bref, Quichottine, on a bien droit à des petites pauses salutaires…
    Oui, ce serait bien de s’asseoir au coin de ton feu , sur un fauteuil momentanément déserté par le chat et je sais que chez toi les heures passeraient comme des secondes, que tu saurais dissiper ma gêne , au moment où je penserais : je ne vais pas être à la hauteur, tu sais parfois tout à coup on n’a plus de mots et on s’empêtre et on n’est plus soi-même car on a peur de décevoir…

    Plein de bisous Quichottine !

    • Morte de rire devant « mes traits de génie »… Tu sais, je n’attends pas que l’on se pâme. J’aurais du mal à vous réanimer.

       

      Mais tu as raison, il y a des mots que j’adore recevoir et les tiens en sont !

      J’adore quand tu frappes à la fenêtre, que tu t’assois au coin du feu, en poussant le chat, bien sûr, mais il revient et se love sur tes genoux. Il aime bien aussi, faut croire.

       

      Ne t’en fais pas, il n’est pas question d’être ou non à la hauteur (où la situer, d’ailleurs, cette hauteur ? Toi, tu as trouvé le moyen de t’envoler jusqu’à la fenêtre de la Bibliothèque, et d’y entrer… Il n’y a pas de hauteur pour un oiseau.)

       

      Il est seulement question de rester soi et de pouvoir l’être, en toute sincérité.

       

      Plein de bisous pour toi aussi, Zoupie. Merci pour ta présence.

  15. je trouve overblog très capricieux ces derniers temps !!! j’ai plus souvent la possibilité de lire les articles mais pas celle de laisser des com’s !! quelquefois je n’accède plus non plus à mon propre blog et la journée passe je n’ai plus le temps de rallumer l’ordi !!! bonne nuit (je sais il n’est que 17h30 mais je ne verrai pas les heures défilées entre devoirs, repas, lecture du soir  et il sera déjà temps pour moi de rejoindre mon lit !!)

    • Le problème est que nos horaires ne coïncident pas toujours avec ceux d’OB…

       

      Mais merci d’être passée, Solyzaan.

      Douces soirée et nuit pour toi.

  16. coucou Quichottine, tu sais chacun gère ses passages comme il peut

    depuis quelques temps j’agis différemment tout en essayant de rester fidèles à mes amis

    Tu sais j’ai remarqué que depuis que j’ai pris un peu de distance, certaies personnes ne passent plus chez moi, et bien je vais te dire qu’au début j’étais un peu déçue certes mais en réfléchissant cela veut simplement dire

    « je passe chez toi , si tu viens chez moi » et bien moi, je ne fonctionne pas ainsi

    Si c’est pour avoir un com, qui ne correspond pas du tout à ton article, alors qu’on a passé du temps à le préparer et bien je me suis fait une raison

    C’est sûr j’ai un article qui date de plusieurs jours, donc je comprends les personnes qui passent juste me faire un petit coucou mais je sais qu’ils ont pris le temps auparavant de le lire

    Alors comment je fais ???? je viens quand j’ai du temps mais cela ne m’empêche pas de penser à vous mes amis fidèles

    Voila Quichottine, ne t’inquiète pas, tes amis, les vrais comprennent

    Je te fais de gros bisous et je te souhaite une excellente soirée

    • Merci, Corinne. Ton passage me touche d’autant plus que je sais que tu as peu de temps en ce moment.

      Trouver du temps, l’employer à essayer de faire plaisir, c’est vraiment gentil.

       

      Je crois que le blogamis savent distinguer… tu en es la preuve.

      Douce soirée à toi, Corinne. Gros bisous.

  17. Dis, comment fais-tu, toi pour écrire si bien sur nos petits problèmes de blog? Bonne soirée.

    • Nos petits problèmes m’ont bien joué des tours cette nuit, et encore aujourd’hui… alors, ceci explique peut-être cela…

       

      Mais merci pour cette question et ta gentillesse.

      Bonne soirée, Bernard.

  18. Allo Quichottine, je sais qu’hier soir, en pleine heure de pointe, l’Administration a sorti son artillerie.. je me suis dit: ça doit être important.. Fais-toi en pas avec les sorties portes fermées.. une autre s’ouvre sur soi… Passe une belle fin de soirée! Bisosu de Snow

    • Overblog a fusionné avec Wikio… Je suppose qu’il y aura d’autres changements encore…

      Je l’ai appris en regardant une vidéo chez Fancri.

      C’est sans doute une avancée énorme pour son créateur, mais une menace pour ceux qui ne veulent pas entrer dans le jeu du profit.

       

      Douce soirée à toi, Snow. Bisous.

  19. et moi.. devant tes mots…je rêve…Dis … comment fais-tu…. pour accrocher notre regard, nos émotions…

  20. Bonsoir Quichottine, je comprends ton désarroi face à ces machines qui s’amusent à nous rendre enragés… Dernièrement j’ai eu quelques soucis aussi : « on » m’annonçait : « la page n’existe pas  » ou « service unavailable » ou « too long to process »… Que des gros mots très méchants qui avaient le don de me faire bouillir…

    Et je ne parle pas du super commentaire que j’écris parfois et dont je suis très contente et que mon serveur un peu caractériel fait disparaître avant que j’aie pu l’enregistrer… Je fouille partout au travers de mes pages, tape sur « précédente », « historique »… Je voudrais chiffonner mon ordi comme on fait une boule d’une feuille de papier quand on est en rage, mais c’est impossible et, de toute façon, cela ne changerait rien… Lorsqu’alors je reprends ma plume (…euh, mon clavier, pardon) l’inspiration est passée et je ponds un com banal qui n’a pas la spontanéité de ceui qui a eu le toupet de disparaître…

    Tu vois, je te comprends… 

    En tout cas, tu n’as pas à te soucier. Tes copinautes tiennent à toi quoique tu fasses. Je fais partie de tes lecteurs récents, mais je m’attache déjà et sois tranquille, tu n’es pas obligée à des visites régulières chez moi.

    Je te fais de gros bisous en espérant que la guerre des machines va se terminer.

    • Aujourd’hui, ça a été le cas très souvent, alors, il faut ruser, insister, recopier l’adresse, changer de fenêtre ou d’onglet… ça prend du temps… ça énerve.

       

      J’avais écrit un commentaire sur ton dernier billet… que j’ai adoré. Il s’est envolé… « service unavailable »… alors, comme je sais que je reviendrai le voir, parce que j’ai adoré les images de ce moment de magie en mer, que je me suis crue sirène un peu… je n’ai pas insisté.

       

      Je ne vais pas en vouloir à mon ordinateur, il n’y est pour rien…

       

      Je sais bien que je ne suis pas obligée de venir… mais je rage quand j’ai du temps pour le faire et que ce sont les machines qui s’y opposent !

       

      Tu es là depuis peu, c’est vrai, mais je suis heureuse que tu m’aies invitée chez toi… C’est toujours une belle rencontre ! Je sais bien que je ne suis pas obligée de venir… mais je rage quand j’ai du temps pour le faire et que ce sont les machines qui s’y opposent !

       

      Gros bisous, Oxygène. Merci.

  21. Tu sais Quichottine quant-on vient sur l’ordinateur c’est que l’on s’autorise ce temps.

  22. Pour ce qui est des traits de génie, je pouvais y inclure mes pseudo traits également, euh… manière de dire, faut pas croire !!! je me verrais bien aussi avec ton chat sur les genoux car le mien quand je lui reprends ma place, il sait qu’il a une solution de secours !…

    il y a des endroits comme chez toi que l’on aime bien squatter

    Bises Quichott’

  23. Bonjour Quichottine,ce texte est une merveille car chacun de nous se dit la même chose,j’en suis presque certaine car je me demande souvent comment telle personne fait pour écrire des commentaires chaque jour car moi,c’est impossible de voir toutes les personnes chaque jour et cela pour plusieurs raisons,il faudrait se cloner en trois et en 4 pour réussir… peut-être…

    Comment vas-tu Quichottine?

    À bientôt.

    • Je ne peux voir tout le monde chaque jour… Je sais que ce serait impossible.

      Ne t’en fais pas pour moi. Je vais bien, merci… Même si j’ai beaucoup râlé hier et aujourd’hui…

      Je n’aime pas quand les machines s’y mettent.

      Merci pour ta présence aujourd’hui, Nadia.

      À bientôt.

  24. Sourire

    Merci pour ce tendre billet, Amielle.

    Les blogs-amis nous sont chers. Aussi quand soufflent les perturbations…

    Non. Je ne peste plus devant mon écran mais je suis têtue, j’essaye, encore et encore… Mes yeux fatigués se ferment alors et je m’endors sur ma chaise ! Ne ris pas, c’est vrai  😉

    Au réveil, 15mn ou 3h après, je recommence ou je vais dans mon lit !

    Gros bisous, tout plein. Belle soirée.

    • Je t’imagine bien t’endormant sur ta chaise…

       

      J’espère que tu n’en tomberas pas. Ici, quand mes yeux se ferment, je vais dormir, c’est le mieux.

       

      Gros bisous tout plein et belle soirée à toi, Amielle. Merci pour tes mots.

  25. Comment je fais ? J’essaie surtout de faire ! Et je suis en admiration devant des personnes comme toi qui disent un « petit » mot chaque jour et qui plus est, qui disent des choses belles, avec des mots justes et mesurés. C’est rassurant pour moi de te savoir quelque part, derrière ce petit écran. Je t’embrasse.

    • Tu as tant à faire… alors, c’est vrai, j’aime aussi te savoir tout près, juste derrière mon écran.

      Merci d’être là.

  26. J’ai rendez-vous avec toi tous les jours… Même si tu ne publies pas.

    Il y a toujours un moment où je pense à toi… surtout quand j’écoute une émission littéraire.

    Je t’embrasse Quichottine.

    • C’est un très gentil message que celui-ci.

      Merci pour ces mots, et pour tes pensées.

      Je sais que je ne viens pas chez toi aussi souvent que je le voudrais… mais lorsque je le peux, c’est un vrai plaisir pour moi.

       

      Je t’embrasse. Passe une belle journée.

  27. Chère Quichottine, comment je fais ? Tu le fais si bien, je crois d’ailleurs t’avoir posé la question. Comment tu fais, toi ? Chaque jour des mots qui se suivent si beau, des liens, des coms.Merci à toi Amie et… Comment tu fais ? Je n’y arrive pas. Bisous

    • Chacun fait au mieux je crois. Lorsque j’ai du temps, tout est plus facile…

       

      Mais le temps est une donnée très variable, même ici.

      Passe une belle journée, Mamago. Bisous.

  28. ben voilà, c’est malin, je m’étais dit je passe en coup de vent sur la pointe des pieds car un oeil à la pendule de l’ordi m’a dit qu’il était déjà tard. et me voilà 10 bonnes minutes plus tard, à avoir lu tous les coms, à être souvent d’accord avec et à avoir envie de mettre quelques mots. Je lis, je n’écris pas toujours, pas souvent même. Même quand internet ne cafouille pas, je suis une lente et dois faire des choix. C’est une petite frustration en regard de ceux qui n’ont pas accès à ces nouveaux médias, non pas parce qu’ils n’en veulent pas par posture (cf Amélie Nothomb et José Arthur, on peut comprendre le second) mais parce qu’ils n’en n’ont pas les moyens. Et on tisse des liens sur la toile c’est vrai. Il est aussi vrai que nous n’y montrons qu’un aspect très parcellaire de nous-même. Je n’aurais pas l’idée de m’y vanter de mes défauts, du moins ceux dont j’ai conscience …

    Et puis finalement, les ratés et les pannes informatiques sont les équivalents modernes des crevaisons en rase campagne, de préférence sous la pluie battante, ou des batteries nases le matin où il ne fallait surtout pas être en retard au boulot !

    Je t’embrasse Quichottine. Merci de mettre des mots sur nos petits déboires et nos petites déceptions. Ma plus grande frustration ici, c’est de ne pas pouvoir suivre tous les blogs qui m’intéressent.

    • J’ai bien aimé te lire, Jeanne.

      La comparaison avec les ratés de la voiture est excellente. En général, la loi de Murphy fonctionne à plein.

       

      Je crois que j’ai la même frustration. Au cours de mes voyages bloguesques, il m’arrive de suivre un pseudo, l’auteur d’un commentaire original, ou simplement le lien donné dans un article… et de découvrir une merveille.

       

      Mais il est impossible de « tout voir », de tout suivre avec autant d’assiduité que je le voudrais… Même parmi mes visiteurs, il faut que je fasse des choix.

       

      Alors, j’essaie de faire au mieux, de ne pas laisser trop longtemps des messages sans réponse, en me disant que ceux qui ont eu la gentillesse de m’en laisser ne devraient pas avoir à attendre…

       

      Nous avons de la chance de disposer de ce moyen de communication… il faut l’utiliser mais ne pas en devenir esclave… Je crois que c’est important.

       

      Merci pour tes mots, Jeanne. Passe une bonne journée.

  29. En ce qui me concerne, il y a des moments où les mots ne viennent pas alors que le message m’a touchée, trop peut-être, où que tout est si bien dit qu’il n’y a rien à ajouter, où que le silence s’impose comme après une bonne séance de cinéma… mais frapper à une porte, l’hiver, quand il fait froid, et être reçue, ça réchauffe sacrément ! Merci de ces mots qui chantent. Belle soirée Quichottine. Adamante.

  30. on fait comme toi Quichottine !! on peste quand ça bloque, on insiste, on programme, et puis parfois on est coincés devant l’OB obtu et on va lire sous la couette en attendant que demain le chemin du coucou  soit libre de toute entrave … merci pour ce billet!  moi il me plait tout simplement  et j’en profite pour piocher une friandise dans ta jolie boite bleue !! bizzoux de bonne nuit ..

  31. Il y a des jours, oui, où on ne sait plus, où les mots se mettent en mode silence, où d’autres facettes de la vie se mêlent de tout mais ce qui est doux, soyeux, enjôleurs, magiques, c’est que le verbe rebondir fait de l’effet à nouveau et on se sent, bien, pluss que bien…
    Quichottine, un p’tit moment de douceur et de confidence dans tes mots. J’aime.

    • Il y a des jours aussi où les mots fusent, où le temps est clément, où les sourires apportent bien plus que ce qu’on espérait.

       

      Tu as tout à fait raison.

      Je suis contente que tu aimes.

      Merci.

  32. Ton univers virtuel est un tel havre de bonheur. Tu demandes comment fais-tu toi?

    Je n’arrives plus à publier aussi régulièrement que je le faisais. Je ne trouve plus le temps nécessaire. Est-ce la fatigue? Ce n’est pas le désintérêt car je trouve ici tellement de satisfactions. Tellement de plaisir à venir te voir, voir les amis.

    Je viens d’avoir de la visite pendant deux jours et me voilà complètement en retard et pourtant j’ai envie, très envie de tout lire, de répondre par un commentaire, de dire merci pour toutes ces belles choses écrites…

    Quoiqu’il en soit, je sais qu’ici j’ai des amis, des vrais que je tiens à  conserver en disant merci à la vie de m’avoir permis d’ouvrir cet espace virtuel pour découvrir qu’on n’est jamais vraiment seul, qu’une main sera toujours tendue pour nous aider à passer quelques mauvais moments et chez toi je trouve tout cela.

    Merci ma douce amie, prends soin de toi et fais nous encore rêver.

    Dame Sophie.

    • Non… je ne crois pas que ce soit de la fatigue. Je pense que tu fais seulement la part des choses et que le blog retrouve sa place, celle qu’il doit avoir.

      J’aime te savoir entourée dans ta réalité aussi, savoir que tu as ton jardin, tes balades, les petits points, tout ce que tu as partagé au fil des jours sur ton blog et que je retrouve avec joie quand j’ouvre ta fenêtre.

      Tout cela demande du temps, de l’énergie.

      Prends soin de toi aussi, Dame Sophie. Je t’embrasse très fort.

  33. Très joli texte pour exprimer ce que nous sommes nombreux à ressentir. Bloguer fait un bien fou mais exige temps et ténacité. Et les jours où tout bugue cela deveient encore plus compliqué ! Bisous et bonne soirée

    • Merci pour cette approbation. Je dois dire que le temps me manque souvent.

      Bisous et bonne soirée à toi aussi.

  34. Bonjour,

    C’est la magie du « virtuel » quand ça ne marche pas, on peu facilement perdre le contrôle, mais ce qu’il y a de bien, contrairement au téléphone que je trouve agressif, c’est que tu viens quand tu en as envie et les mots, les commentaires sont encore plus doux…

    Bonne fin de journée.

    D@net.

    • Là, je suis d’accord.

      L’avantage, c’est qu’on peut écrire ou répondre quand le moment est bien choisi.

      Il y a oins d’agression ou de contrainte.

       

      Bonne fin de journée à toi aussi, D@net. Merci.

  35. Bonsoir Quichottine,

    Il est vrai que dans les échanges que nous faisons, certains nous apportent et semblent plus sincères que d’autres. Les mots laissés chez untel se font simple blabla ; chez un autre, c’est plus qu’un simple commentaire pour commenter ou poster dans l’espoir de recevoir en retour mais un message, un véritable échange. On sait, bien assez tôt, ceux qui prennent de leur temps et se font présents, bien que virtuellement, et attentifs à nos partages, aussi divers soient-ils ; et, inversement…

    Le temps manque parfois à se rendre chez l’un alors que chez l’autre non. Je dirais, ou plutôt ici écrirais, que certains espaces demandent davantage d’attention et de respect car le gestionnaire prend temps de le mettre en forme et qu’il serait d’un dommage de ne le remercier que par un « coucou » des plus communs.

    Pour ce qui est des soucis que l’on rencontre avec la toile, il faut savoir être patient. Il m’est arrivé plus d’une fois de devoir réécrire un message ou d’attendre le lendemain si ce n’est surlendemain pour faire savoir que je fus visiteuse dans les allées de celui qui m’avait, sur un moment, accueilli.

    Les mots égarés ? … J’ai déjà du connaître sans même m’en rendre compte et/ou le savoir…

    Il y ait aussi des attentions qui se perdent dans le monde réel ; il n’est donc pas si étonnant qu’il en soit de même dans cet autre monde qui se fait virtuel.

    Ton billet m’a plu Quichottine. Il est à la fois d’un telle vérité mais aussi douceur…

     

    Je te souhaite de passer une belle soirée.

     

    A bientôt…

     

    • Chère AneverBeen !

      J’aime quand tu t’installes ainsi, que tu partages tes sentiments devant des mots ou des images… que tu prends le temps toi aussi.

       

      Il est vrai que je sais que ce n’est pas partout possible, mais je suis très émue de voir que tu le fais si souvent pour moi.

       

      Il est sur la Toile des êtres que j’admire, que je crois sincères et « vrais » malgré le virtuel de ce monde. Tu en es.

       

      Je te souhaite une belle soirée aussi, AneverBeen. Merci pour ta présence auprès de moi.

  36. Bonjour fidèle amie de mon île. Dans la nébuleuse des mondes virtuels il y a aussi des embouteillages, des chemins fermés pour entretien, maintenance disent les cantonniers du net, des trains en panne ou des avions qui ne partent pas mais est-ce important ? Je crois que ces mondes virtuels sont hors du temps des hommes. Une date en haut d’un article, c’est cela la présence de l’ami (e). C’est rassurant et agréable et celui qui ércit sur son blog viendra ce soir ou demain ou dans trois jours déposer un com. Si les blogs sont hors du temps, l’amitié du net ne connait pas le temps. C’est une liberté agréable. Ne crains pas ces jours ou même le net semble aller de travers. Bisous et à très bientôt gente dame.

    • Merci pour ces mots-ci, Decrypto.

       

      J’aime quand un un blog un peu déserté se remet à palpiter. Il est bon d’en retrouver la lumière.

       

      Bisous et à bientôt… Quand tu pourras/voudras. Tu sais que tu es le bienvenu.

  37. En retrouvant le MDP du compte où je recevais ta news, je passe…

    Et en fait, j’ai juste envie de te dire: »Comment fais-tu, toi? »

    Quichottine si présente, ne change pas ta façon de faire, ta façon d’être! La présence d’un ami est parfois silencieuse…

    Une porte, le coin du feu, cela se partage, d’un côté comme de l’autre

    Et quand le com ne passe pas,  que les  mots nous maquent..

    Tu sais? On peut toujours sourire, même devant un écran, ce que je fais, en ce moment!

    Gros, très gros bisou à toi,

    • Merci pour ce message-là, ma belle amie.

      J’espère que tout va bien dans ton ailleurs à toi.

      Je t’embrasse très fort. Un panier de sourires pour toi.

  38. A mon avis c’est nous qui devons te remercier , ton blog…ta Bibliothèque devrais-je dire , est tellement appréciée – j’imagine que cela représente un travail incroyable …Merci Quichottine la Douce – je t’embrasse

  39. Ah, la plage blanche et l’ecrivain, cela est un grand mystére. Amitiés .

    Vieux berni

  40. On passe souvent à côté de quelque chose où de quelqu’un, parce que le temps est trop synchronisé et que la seconde passée ne se retrouve pas. Mais tu as des mots qui peuvent s’adapter à tellement de personnes sans vraiment cibler  quelqu’un en particulier.

  41. et moi.. devant tes mots…je rêve…Dis … comment fais-tu…. pour accrocher notre regard, nos émotions…

  42. Tu sais Quichottine quant-on vient sur l’ordinateur c’est que l’on s’autorise ce temps.

  43. Il y a des jours, oui, où on ne sait plus, où les mots se mettent en mode silence, où d’autres facettes de la vie se mêlent de tout mais ce qui est doux, soyeux, enjôleurs, magiques, c’est que le verbe rebondir fait de l’effet à nouveau et on se sent, bien, pluss que bien…
    Quichottine, un p’tit moment de douceur et de confidence dans tes mots. J’aime.

  44. En retrouvant le MDP du compte où je recevais ta news, je passe…

    Et en fait, j’ai juste envie de te dire: »Comment fais-tu, toi? »

    Quichottine si présente, ne change pas ta façon de faire, ta façon d’être! La présence d’un ami est parfois silencieuse…

    Une porte, le coin du feu, cela se partage, d’un côté comme de l’autre

    Et quand le com ne passe pas,  que les  mots nous maquent..

    Tu sais? On peut toujours sourire, même devant un écran, ce que je fais, en ce moment!

    Gros, très gros bisou à toi,

  45. Même dans le virtuel quand un « ami » ne vient plus, on se pose mille questions. Et pourtant ce n’est QUE du virtuel. On s’attache aux amis quels qu’ils soient. J’ai des amis du net qui me manquent terriblement. Mais toi, je sais que si je ne te « vois » pas c’est qu’il y a une raison valable… quant aux newsletters, je m’en méfie en ce moment…

    Alors je te dis à bientôt Quichottine. Passe une bonne journée.

    • Merci, Marie.

      Je ne crois pas qu’il soit possible de ne pas s’attacher, de ne pas ressentir de manque quand l’un ou l’autre disparaît.

      Pourtant, je sais aussi qu’il faut accepter les décisions de ceux qui décident de partir.

       

      Merci pour tout, Marie. Bonne journée à toi.

  46. Ne te tracasse pas tant pour nous (ou moi…), je sais que tu es là , que tu ne peux pas être partout , et en fait l’ important c’est de te savoir présente avec ou sans commentaires

    gros bisous Quichottine

    ne change pas surtout

  47. Comment je fais ? je laisse aller le temps. Si la fenêtre refuse de s’ouvrir et bien je passe à autre chose et je reviens plus tard. Pourquoi toujours vouloir faire les choses dans l’immédiat ? Il y a le temps …

    • Il y a le temps, tu as raison, Liza… mais lorsque le temps fait défaut et qu’il en restait juste un peu, trop peu, pour se faire plaisir en visitant les blogamis, c’est rageant de ne pas pouvoir en profiter.

       

      Bien sûr, je suis passée à autre chose… en me disant « plus tard », comme toi.

      Plus tard, c’est aujourd’hui…

    • Ah… Je me suis demandé ce que tu mettais dans ce message… Un silence amical ?

      Merci pour ta présence, Vita.

    • Je ne crois pas que tu penses mal…

      Merci pour ce bouquet, Glorfindel, et pour ce compliment si gentil.

  48. Quand je travaillais et que je culpabilisais de ne pas passer assez de temps avec mes enfants, ma mère me disait, ce qui compte ce n’est pas la quantité mais la qualité des instants de partage!

    Pour le blog c’est un peu ça aussi 🙂

    J’aime bien quant tu passes chez moi car on sent toujours la sincérité dans tes écrits, donc, MERCI

    • Je suis d’accord avec toi…

      L’important c’est de rester fidèle à ce qu’on croit.

      Merci, Pâques.

  49. Hier, et encore aujourd’hui, des longueurs, des pages  » introuvables « , ou même plus angoissant   » ce blog n’existe pas  » …

    La pensée ne franchit pas toujours les ondes …

    Je pense à toi, Quichottine, et à vous, hôtes qui avez la gentillesse de m’accueillir.

     

    Je pense à toi

    • Et la communauté d’Ecureuil bleu a disparu… j’espère qu’elle va la retrouver, de nombreux articles sont « orphelins » chez moi.

       

      Tu vois… trop de problèmes sur OB, j’espère que ça va s’arranger.

       

      Merci pour ces pensées amicales… je t’embrasse fort.

  50. Ce que je sais c’est que ce que tu fais tu le fais très bien !!!

    Merci à toi !

    Bisous et douce soirée

    Trinity

  51. Hier, et encore aujourd’hui, des longueurs, des pages  » introuvables « , ou même plus angoissant   » ce blog n’existe pas  » …

    La pensée ne franchit pas toujours les ondes …

    Je pense à toi, Quichottine, et à vous, hôtes qui avez la gentillesse de m’accueillir.

     

    Je pense à toi

  52. Ce que je sais c’est que ce que tu fais tu le fais très bien !!!

    Merci à toi !

    Bisous et douce soirée

    Trinity

  53. C’est dur d’écrire tous les jours, et de visiter également nos blogamis quotidiennement… Ca me culpabilise souvent. Et quand la technique s’en mêle (s’emmêle ?), c’est moche !!! Le strict donnant-donnant, non, mais je pense quand même qu’un minimum de petits signes est nécessaire pour entretenir la « blogamitié », qui ne supporte pas le vide…
    Gros bisous Quichottine, passe un bon mercredi

    • Je suis d’accord pour dire que la blogamitié ne supporte pas le vide…

      C’est évident.

       

      Mais il ne faut pas culpabiliser quand le temps fait défaut ou quand les machines nous obligent à « débloguer »…  Personne ne peut tout faire au quotidien, je pense. Prenons aussi le temps de vivre.

       

      Passe une belle journée, Séverine.

  54. et toi comment fais-tu  pour écrire des choses aussi belles ?… et venir me voir et aller partout mettre des mots gentils…merci Quichottine… gros bisous et à bientôt mon amie, je te souhaite une belle journée…

    • Je fais ce que je peux, tu le sais aussi…

      J’essaie, sans y arriver toujours.

       

      Belle journée à toi aussi, Bigornette. Prends soin de vous deux, tu as tant à faire !

      Gros bisous.

  55. Je souris ….

    C’est toujours quand on est en retard que l’informatique se fait espiègle, que le téléphone sonne et que c’est un faux numéro, etc ….

    Quand ça m’arrive, malgré une bordée de jurons quand c’est systématique sur plusieurs blogs, je n’insiste pas ….. et j’ai un peu plus de retard à rattraper !!!!

    C’est le lot du blogueur et cela arrive à tout le monde.

    Ca ira mieux demain, pas de panique !!!!

    Bisous sœurette et détends-toi 🙂

     

    • Rire… Certains l’appellent la Loi de Murphy moi je l’appelle la LEM. Mais c’est vrai que c’est tout le temps pareil.

      J’en ai pris mon parti aussi. Merci, Clo.

       

      Je commence à rattraper mon retard.

  56. Je souris ….

    C’est toujours quand on est en retard que l’informatique se fait espiègle, que le téléphone sonne et que c’est un faux numéro, etc ….

    Quand ça m’arrive, malgré une bordée de jurons quand c’est systématique sur plusieurs blogs, je n’insiste pas ….. et j’ai un peu plus de retard à rattraper !!!!

    C’est le lot du blogueur et cela arrive à tout le monde.

    Ca ira mieux demain, pas de panique !!!!

    Bisous sœurette et détends-toi 🙂

     

  57. Souvent selon mon temps, parfois selon des envies mais toujours avec mon ressenti au moment du passage et de mon com !

    Bisous tout doux Quichottine !