Il était une fois, Daniel Fattore

Il paraît qu’il s’appelle « Le tag du marchand de limonade ».

 

Pourquoi ? Parce que l’image qu’il entraîne avec lui est celle-ci :

 

 

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Elle a le mérite d’être très colorée… et surtout de m’arriver par l’intermédiaire de Daniel Fattore.

 

Je sais qu’il n’est pas forcément d’usage de présenter ceux qui vous taguent honteusement quand vous avez le dos tourné, mais, pour Daniel, je me dois de le faire.

 

La première fois qu’il est venu dans la bibliothèque, c’était en juillet 2008…

Il m’y avait laissé ces mots :

 

Lu et relu dans mon enfance, en italien dans le texte… c’est du tout bon, en effet. Merci pour votre billet au parfum d’antan!

De lui, connaissez-vous également la « grammaire de l’imagination »? C’est la théorie après la pratique, et c’est vraiment stimulant.

Commentaire n°48 posté par Daniel Fattore le 28/07/2008 à 11h13

 

Je lui avais répondu… comme je le fais toujours, plus ou moins rapidement, c’est vrai, en fonction du temps dont je dispose.

 

De rien… je ne l’ai jamais lu en VO, je ne connais pas l’italien. Mais j’espère qu’il a été traduit correctement.

Je connais la Grammaire de l’imagination, je l’ai lue avant de découvrir les Histoires au téléphone… C’est une lecture que l’on conseille à tous ceux qui un jour ou l’autre sont amenés à écrire ou à raconter des histoires…

Personnellement, j’ai beaucoup aimé.

Bienvenue dans la bibliothèque, Daniel. Merci d’être là.

Quichottine

 

C’était sa première fois…

Je lui ai rendu sa visite… Cela m’arrive aussi, même si certains pensent que je les oublie parce que je ne suis pas tous les jours penchée à leur fenêtre pour voir s’ils vont bien…

 

 

Kri_310708.jpg

 

 

Je lui ai donc laissé ce commentaire, sous le premier article de son blog.

 

Merci pour ta visite… qui me fait découvrir ton blog. Comment as-tu fait pour atterrir dans la bibliothèque ? Je me demande souvent d’où viennent mes visiteurs… alors, si tu peux me le dire, ça me ferait plaisir de le savoir. Je reviendrai ici lire ta réponse… … quant à la question que tu m’as posée, j’y répondrai chez moi, dès que les conditions seront propices sur OB… ce soir, sans doute. Pour l’instant, je ne te connais pas vraiment, mais ce que j’ai « survolé » en attendant de le lire mieux me plaît bien… Passe un bel après-midi d’été, si la météo de chez toi ressemble à la mienne, ce sera agréable.
Commentaire n°7 posté par Quichottine le 28/07/2008 à 12h38

 

Ne vous est-il jamais arrivé de vous demander comment un nouveau visiteur arrivait chez vous, pourquoi il s’installait ou non parmi vos aminautes ? Je dois dire que je me le demande souvent. C’est pourquoi j’ai apprécié qu’il me réponde.

 

Merci, donc, de ta visite et de ton message!
Je suis arrivé à ta bibliothèque en trébuchant sur les actualités d’Over-Blog – tout en ayant le nom de « Quichottine » quelque part en mémoire, déjà glané au détour d’autres blogs. Les « Fables au téléphone » sont vraiment un livre que j’ai lu et relu dans mon enfance, en italien dans le texte.
De mon côté, je vais repasser chez toi! Merci pour l’accueil…
P. S.: ici, il fait beau et chaud, ou le contraire…
Réponse de Daniel Fattore le 28/07/2008 à 22h51

 

C’était un bon début, et ça aurait pu en rester là. Mais non. Comme le dit Cali, je suis une incorrigible bavarde et j’aime bien, lorsque je le peux (je pouvais le faire à ce moment-là plus souvent parce que j’avais moins de visiteurs), rebondir sur une réponse, pour approfondir un peu.

 

Chaud et beau aujourd’hui… J’ai lu d’autres billets…. ainsi que leurs commentaires. Je dois dire que je me suis alignée et que j’ai donc repris le « vouvoiement » qui semblait de mise. Je vais devoir explorer plus avant, en lisant, je me suis sentie brusquement toute petite. (Sourire… il ne faut pas le prendre mal.) Et je me suis demandée si je ne m’étais pas fourvoyée en utilisant ce « tu » que l’on emploie partout. Qui êtes-vous, Daniel ? C’est un peu la question que je me pose actuellement.
Commentaire n°8 posté par Quichottine le 31/07/2008 à 03h19

 

On peut en penser ce que l’on veut, mais j’aime bien aussi lorsque ceux que j’interpelle continuent à me répondre. Ce fut le cas.

 

Encore une fois, merci de votre attention… *blush*!
Chaud et beau? Ici, ce n’est que le prénom!
Le vouvoiement n’est pas forcément d’usage par là – mais spontanément ou en cas de doute, je préfère passer au « vous ». Cela dit, je ne vois pas de problème à nous tutoyer!
Qui suis-je? « Si je le savais, je serais un homme sage », m’a répondu un jour un chef d’orchestre… Licencié en lettres (littérature française), je suis traducteur pour le compte des Chemins de fer fédéraux suisses, chroniqueur musical pour le journal suisse « La Liberté », et lecteur impénitent – dans tous les genres, y compris les moins avouables, à l’exception du théâtre (que je ne lis plus guère) et de la poésie (à laquelle il faudra que je me remette, d’autant plus que j’ai de quoi faire chez moi).  
Et vous-même?  
Réponse de Daniel Fattore le 31/07/2008 à 22h16

 

Allions-nous en rester là ? Ce « et vous même ? » m’obligeait à une réponse, fût-elle une simple pirouette.

 

Merci pour votre réponse. Moi ? Je dois avouer que j’ai hésité avant de vous répondre. Mon « moi » est beaucoup moins passionnant, somme toute. Je lis de tout, y compris les moins avouables, et je lis aussi de la poésie et du théâtre… Même si j’admets volontiers que le théâtre est fait pour être joué, et donc mis en scène et vu/entendu/ressenti autrement que par la lecture.
Commentaire n°9 posté par Quichottine le 09/08/2008 à 12h24

 

Nous aurions pu continuer longtemps, mais Daniel ne posa pas d’autres questions.

 

J’ai eu lu du théâtre dans ma jeunesse, Molière, Racine, Corneille, un peu comme tout le monde; mais je vous rejoins sur le fait que le théâtre doit être joué, mis en scène et perçu/vu plus que lu. Je ne sais cependant même pas quand j’ai vraiment arrêté de lire du théâtre – peut-être en fac; l’une des dernières pièces aurait donc été « Le Mariage de Figaro » de Beaumarchais, voire quelque œuvre de Dancourt ou Regnard.
Quant à la poésie, il faut que je m’y remette sérieusement! 🙂
Réponse de Daniel Fattore le 09/08/2008 à 20h38

 

S’est-il remis à la poésie ? Je n’en sais rien…

Je passe de temps en temps chez lui, je suis contente de voir qu’il est toujours présent, qu’il ne fait pas encore partie des fantômes quichottiniens, ceux qui disparaissent un jour sans laisser de traces.

 

Il écrit, et bien. Il a même publié un recueil de nouvelles que je lirai sans doute un jour, dès que j’aurais, comme lui ou Martine, réussi à faire décroître ma pile de livres à lire.

 

 

Création de Daniel Fattore

 

D’accord… c’était un tag, j’en ai fait une rencontre… Mais pourquoi pas ?

 

Quichottine est imprévisible, toujours. Ce n’est pas Daniel qui me contredirait.

 

Lui aussi est capable de bien des fantaisies. Preuves en sont ses mini-nouvelles.

 

Peur du noir

Dans la profondeur des ténèbres, une voix s’élève :
– Papa ! J’ai peur dans le noir !
Papa ne veut rien entendre. Derechef, on entend :
– Papa ! Au secours !
Alors Papa Jupiter décide d’intervenir. Un rien excédé, il réplique :
– OK P’tite Terre, je vais te rallumer le Soleil.

Daniel Fattore

in « Un pépin dans l’orange« , 1.10.2008

 

Merci, Daniel. Je ne ferai pas ce tag, mais tous ceux qui veulent prendre le relai le peuvent. Il suffit de le retrouver chez Daniel Fattore.

 

58 commentaires à propos de “Il était une fois, Daniel Fattore”

  1. Tu fais de belles rencontres inattendues. Ce sont souvent les plus surprenantes, car on ne sait jamais où l’on va; puis, petit à petit, on découvre le chemin qui est souvent plaisant. Mais il faut aussi avoir du temps disponible, pour cheminer sur différents sentiers.

     

    Bonne journée, Quichottine.Je vais un peu me reposer car ces odeurs de peinture me prennent la gorge, et quand je l’ai irrité…. ma voix se barre. Bises de nous deux

    • Il faut avoir du temps, et nous en manquons tous cruellement.

      J’espère que tu auras pu te reposer un peu et que les odeurs de peinture se sont échappées.
      Bises affectueuses à vous deux.

  2. Un échange en concerto de la découverte à deux voix, un instant exquis que tu nous relates Quichottine.

    Bises

  3. « Tu »… »Vous »…c’est un peu sur ce thème que nous avons commencé. Je suis heureuse que nous ayons continué !

    • Certains continuent, d’autre non… il y a toujours des rendez-vous manqués.

      Je suis heureuse que nous ayons continué.

  4. Tout est dit déjà, trop bien pour que j’en rajoute et, dans ce cas, je préfère déguster en silence le souffle d’un échange où nous sommes conviés, tout en gardant la sensation d’être quelque part un peu voyeur. Je me suis faufilée et je repars avec la « peur du noir ». Merci de ces découvertes, aujourd’hui je me sens moi aussi toute petite.

    • Un peu voyeur… oui, c’est vrai.

      Pourtant, ces rencontres sont enrichissantes, je crois.

      Passe une belle journée, Adamante.

  5. Merci de nous faire connaître le blog d eDaniel Fattore..C’est intéressant…Mais il faudrait que les journées soient élastiques et s’allongent selon nos besoins..Qui va nous inventer ce »tte merveille?

  6. Tu en as fait un article très intéressant, je me demande si tu as le temps de dormir avec tous ceux que tu visites.

    • Il m’arrive de dormir… et, là, je pars quelques jours. Je vais en profiter.

       

      Plus sérieusement, je suis loin de visiter tous ceux qui voudraient que je le fasse plus souvent. Alors, je fais des mécontents. Le monde des blogs est exigeant.

  7. Tu as l’art de nous raconter tes rencontres bloguesques Quichottine… Et au fond c’est un travail d’archives, tu m’épates !

  8. Merci pour cette balade au pays des souvenirs! C’est aussi une manière sympa de (ne pas) répondre à un tag! Bien joué…
    A bientôt donc! Je te souhaite encore un bon week-end.

    • J’avais trouvé que tu t’en étais sorti de fort belle façon.

      … mais je n’avais pas de nœud papillon à proposer à mes lecteurs. Une passoire ne produit pas du tout le même effet.

      Bon week-end à toi aussi, Daniel. Merci.

  9. Et voilà ! Encore une surprise !

    Une rencontre très agréable avec celle que tu nous contes là !

     

    Et une qui me laisse un peu  » honteuse « , car je me suis aperçue à cette occasion que je n’avais pas laissé ma carte de visite sur le petit guéridon …

     

    Je t’embrasse fort, Quichottine.  Douce nuit …

    • Sourire… Ils sont nombreux, les Quichottiniens qui ont omis cette formalité.

      … mais ce n’est pas si grave.

      Je t’embrasse fort, Midolu. Douce journée à toi.

  10. Pour répondre à ta question Quichottine, oui lorsque de nouveaux visiteurs arrivent je me demande toujours comment ils ont atterri sur mon blog, je pense que la question est légitime. Pour moi il s’agit du pur hasard, un commentaire qui me plait, un nom qui revient souvent chez mes amis et qui me donne envie d’en connaître plus, un pseudo amusant et hop je vais visiter. Ou alors, je suis les liens d’une bibliothécaire quand le temps me le permet comme ce soir et je vais découvrir les blogs qu’elle nous propose. Je me demande comment tu fais pour retrouver les commentaires, quel travail, un jour je tenais absolument à connaître la date de rencontre avec une amie et je me souvenais de l’année et approximativement le mois mais j’en ai passé du temps pour retrouver la date exacte. Au fait Quichottine, il ne manquerait pas quelque chose à ce billet, un tag par exemple? Tu as détourné le problème à la façon quichottinienne. Bonne soirée Bises

    • Ce n’est pas toujours facile de retrouver le premier commentaire d’un visiteur… tu as tout à fait raison. Surtout lorsqu’il s’est installé depuis longtemps et qu’il commente tous les jours. Là, ce n’était pas le cas.

      Il manque le tag, bien sûr… puisque je l’ai détourné.

      Mais tu peux le retrouver chez Daniel.

      Merci pour ce long partage, Santounette.
      Bonne journée et bises à toi.

  11. Il y a des rencontres qui laissent des traces ..

    Par contre,tu n’as pas parlé de cravates comme  Daniel Fattore!!

    • Je pense que s’il en a tant parlé, c’est à cause du titre de son livre… Je n’avais pas ce problème.

      Merci, Fanfan.

  12. Bonsoir Quichottine,

    Je prends temps de passer par chez toi, ce soir, et ce, même si je te sais absente.

    Je reviens doucement d’une absence et te remercie de ta précédente et jusque là dernière pensée. Je sais que le temps te manque comme il manque a beaucoup et pourtant tu as pris temps de passer par là, chez celle qui semblait ne plus être…

    Comme toujours, je retrouve avec plaisir tes mots ou plutôt la manière dont tu les poses et nous en fait part. Quichottine peut parler de tout comme de tous, qu’on ne lasse pas de ce qu’elle écrit, dit !

    Il nous faudra découvrir les livres dont vous parliez Daniel et toi… Lire des histoires, on apprécie ; mais en écrire, n’est pas non plus pour nous déplaire.

    J’ai apprécié Le mariage de Figaro de Beaumarchais, il fut dommage que Daniel n’ait pas songé à en dire un ou deux mots.

    Sur-ce, Quichottine, de là où tu es, je te souhaite de passer de bonnes soirée et nuit.

    A bientôt…

    • Tu sais, ma chère aminaute, il nous arrive à tous d’avoir des moments de silence, des moments où tout semble vain. Pourtant, que cela ne te conduise pas à penser que tu n’es plus.

       

      Ton pseudo est ce qui m’a attirée de prime abord par tout ce qu’il me suggérait… mais, aujourd’hui, je sais que tu es, bien plus encore, pour moi. Tu « es » toujours et jamais je ne pourrais effacer de ma mémoire ce que j’ai lu ou vu chez toi, nos partages.

       

      Pour Beaumarchais, je suis d’accord avec toi. J’ai aimé, beaucoup…

       

      Me voilà de retour, AneverBeen, je suis heureuse que tu sois là. Merci.

  13. Qui chottinera sera !
    C’est l’italien du marchand de limonade de Daniel Fattore qui m’a inspiré ce… proverbe ! Je me souviens qu’il y a quarante ans passés le flâneur que j’étais dans les rues de Tel-Aviv pouvait se rafraîchir avec un verre d’eau gazeuse dans un kiosque pour presque la plus petite monnaie d’alors. Le verre était commun à tous les consommateurs et rincé rapidement…Mais personne n’en souffrait…Le soleil généreux aseptisait naturellement. Je suis à un âge avantageux où je crois découvrir de nouvelles choses parce qu’en fait je les avais simplement oublié à cause de ma mémoire volatile. Comme personne ne peut savoir de quoi le lendemain sera fait j’ai pris l’habitude d’écrire toujours un texte d’avance sur mon Blog pour le programmer à mon choix. Souvent je me pose la question de savoir quel motif me pousse à remplir mon Blog. Ce n’est pas par orgueil, ni ambition d’être lu par des milliers d’internautes, (vu les messages, je peux les compter sur les doigts d’une main, et encore amputée d’un ou deux doigts !!), mais simplement pour rafraîchir ma mémoire en essayant de ne pas faire trop de fautes de français ! Et puis aussi pour quelquefois hurler ma vérité sur le passé dont j’ai été témoin et qui est foulé quotidiennement et pseudo-scientifiquement par des saboteurs de l’Histoire. Et puis quelques fois j’y fais des rencontres étranges. Ainsi c’est en m’intéressant au dernier Prince d’Annam, qui fut envoyé à Alger en exil doré, (Il habita une très belle Villa) que je découvris que cet homme très cultivé fut poète et sculpteur et se maria à l’Église avec une fille de la haute bourgeoisie algéroise et j’en avais parlé quelque part dans mon Blog. Ce Prince fut enterré en France. Et bien c’est un Francais habitant maintenant au Pays Thai qui me demande d’essayer de retrouver quelques oeuvres de ce Prince très doué. J’ai écrit au Conservateur du Musée des Beaux Arts d’Alger, mais jamais ne reçu de réponse, même par internet… Peut-être qu’un jour le hasard fera bien les choses..
    Merci Daniel pour votre limonade rafraîchissante.
    Bonne fin de semaine Quichottine dans la sérénité littéraire et familiale.

    • Vos mots me font toujours énormément plaisir, Georges. Merci.

       

      Je crois que nous écrivons tous d’abord pour nous souvenir… ensuite pour des raisons diverses.

      Je sais que certains écrivent même sans avoir jamais de commentaires, comme nous le faisions dans nos cahiers intimes… mais là, les mots écrits sont livrés à ceux qui passent.

       

      Ce n’est pas toujours facile de dire ce que nous ressentons à la lecture d’un texte, à la vue des images… parfois, le silence est une réponse.

       

      Pour le Musée, j’en suis désolée. Je crois que chaque demande devrait avoir une réponse, fût-elle négative.

       

      Alors, qui sait ? Je vais croiser les doigts pour que le rendrez-vous existe un jour. (Il n’y a pas de hasard… c’est mon amie Kri qui le dit haut et fort sur son blog… et je la crois. Seulement des rendez-vous avec notre destin.)

       

      Passez une douce fin de semaine, Georges, et merci encore.

  14. creo que es lo mejor que hay en los blogs los encuentros…y el compartir claro

    besos señora

    tilk

    • El compartir siempre fue importante para mi.

      Je suis contente quand c’est possible.

       

      Bises à toi aussi, Tilk. Passe une douce fin de semaine. Merci.

  15. C’était un tag… hum… Et quel en était le sujet? Je suis un peu embrumée ces jours-ci… En tout cas, tag ou pas,  j’ai bien aimé ce billet. Le « tu », le « vous », d’où viennent ceux qui atterrissent chez nous… des questions que je me pose aussi.

    Passe une belle journée Quichottine.

    • Je ne l’ai pas mis ici, puisque je l’ai détourné… Mais tu peux le savoir en suivant le lien.

      Tu n’es pas embrumée, c’est moi qui vous enquiquichottine avec mes écrits à dormir debout.

      Plein de questions, toujours, auxquelles je ne sais toujours pas répondre.

      Passe une belle journée, Marie. Merci.

  16. je vais aller faire un ptit tour….. merci Quichottine

  17. Je veins de commander le recueil de nouvelles de Daniel Fattori (non sans mal et en plus le site exagère avec le montant des frais d’expédition – comme de nombreux sites d’ailleurs ) J’espère maintenant le recevoir très vite

    • Je trouve aussi… pour les frais.

      Tu sais, c’est pouquoi j’attends généralement d’avoir plusieurs commandes pour les regrouper. C’est ce que j’avais fait pour d’autres livres. Seul Amazon fait des envois gratuits.

       

      Quand tu l’auras lu, tu me diras ?

  18. Ressortit d’anciens commentaires doit être une travail le longue haleine. Mais passionnants aussi, on y voit aussi l’évolution, celle des lecteurs et la sienne propre !

     

    Bisous Quichottine

    nettoue

  19. Quand Quichottine troque son clavier pour une baguette magique, elle transforme une simple rencontre bloguesque en roman à suspense !!!

    Je me suis régalée à la lecture de cette page.

    Merci ma Quich’ et gros bisous !!!!

  20. On fait des rencontres, de blog en blog, certaines sont très enrichissantes, et quelquefois débouchent sur des rencontres physiques..ce qui m’est arrivé plusieurs fois..je dois dire qu’il y a encore des personnes que je dois rencontrer, et que je n’y arrive pas faute de temps..je te fais plein de bises Quichottine, à bientôt

    • Le temps n’est pas toujours complice, c’est vrai.

       

      Merci, Jackline pour ta visite. Bises à toi.

  21. et oui tant de choses font que l’on a envie d’aller vers un blog .. un pseudo, une catégorie.. un hasard pur … un nom qui revient souvent chez un copinaute et on finit par se dire « mais qui est-il qui est-elle ? » ..

    beaucoup de choses ..

    je me suis égarée aussi hier un peu dans ta bibliothèque !! il y a des choses un peu partout comme chez Nessa .. hihi !

    bonne journée ou fin de journée plutôt !

    christelle

    • Sourire…

      Tu fais partie des nouveaux arrivants, alors je comprends que tu t’égares.

      Mais merci d’être là et de ne pas fuir devant mon fatras.

       

      Bonne journée à toi.

  22. Une bien belle rencontre………….;

    je serai absente quelque jours, nous avons dénoncé notre contrat ici, et partons tenir compagnie à une vieille comtesse perdue dans les hautes alpes. je ne sais pas si nous aurons l’internet là-haut…….. à bientôt 

    • Ah… J’espère que tout va aller pour vous.

      Je croise les doigts pour cette nouvelle destination.

      Je t’embrasse fort, Croc. Courage à vous deux.

  23. Eh bien, c’est un récit rempli d’émotions !…
    La dernière « mini-nouvelle » est superbe ausi.

    Tiens, au fait : ton lien sur mon blog renvoie vers un « blog-brouillon », j’ai pensé plein de fois à te le dire, et puis j’ai oublié. C’est dommage…
    Gros bisous et bonne fin de semaine, Quichottine

    • Merci de m’avoir averti pour mon lien, c’est corrigé chez toi.

      Gros bisous, Séverine, et bonnes expositions à venir.

  24. un tag peut-être mais en te lisant e n’en’ai pas trouvé le sujet mais comme toujours tu as su me captiver et adorable cette peur du noir. Très bon week-end sous encore un parapluie, mais avec des grosses bises toutes pleine de soleil

    • Merci pour tes bises pleines de soleil. Il a dû t’écouter, parce qu’il brille ce matin.

      Le sujet du tag est resté chez Daniel puisque je l’ai détourné. Il suffit de suivre son lien pour le retrouver s’il t’intéresse.

      Très bon weekend à toi aussi. Gros bisous !

  25. Bonjour Quichottine,

     

    Quel plaisir de lire tes échanges avec Daniel :  Quichotu- Quichovous- Quichotag sans toutefois passer au Quichottina italien.  Intrigué par la couverture de Martine, qui n’avait rien à faire dans vos échanges ( bravo pour le classement qui te permet de retrouver tous les commentaires ) je suis allé voir le ou plutôt, les blogs de ce marchand de limonade.

     

    J’y ai trouvé sur le chant des cépages, original, des textes sérieux avec procréation assistée par ordinateur, jusqu’à Martine et sa PAL .   

     

    Ouf, je relie les bouts du dialogue, ferme le livre et la page d’écriture.

     

    Bonne journée

     

    Le grillon

    • Sourire comme toujours en te retrouvant sur cette page… Merci, Christian.

      J’avais trouvé l’image de Daniel rigolote, parce que ma PAL à moi ne baisse pas assez vite à mon goût.

      Il m’arrive de plus en plus souvent d’avoir envie de journées qui feraient soixante-douze heures, parce que même quarante-huit ne suffiraient pas.

       

      Merci pour cette visite qui t’a conduit de lien en lien… et t’a ramené ici.

      Passe une belle journée, Christian. Je t’embrasse amicalement.

    • Une immense image… j’ai failli pourtant ne pas pouvoir répondre… mon administration était récalcitrante !

       

      Tu crois qu’elle a eu peur aussi ?