Il était une fois, Alphomega et le lutin bleu

Nouvel arrêt sur image… Ce jour-là, sous le quichottinier de Christine, Galet s’était indignée. Elle aurait dû d’ailleurs mettre son commentaire dans le bureau des réclamations… quoique…

 

En était-ce vraiment une ?

 

Par tous les lutins de Quichottinie ! Je suis verte, bleue, rouge, arc-en-ciel de dépit en regardant cet arbre ! C’est exactement ainsi que je l’imaginais, et je me disais que j’essaierais peut-être de le dessiner… Mais une une l’a fait, et de bien belle manière. Et je regrette, Quichottine, mais tes histoires sont à dormir debout : a-t-on jamais vu un arbre à contes vigoureux dormir autrement ? J’avais aussi remarqué autre chose : la mise en page du texte de Georges évoque une de ces énormes poteries de terre, pour planter un arbrisseau… Alors, quand tu feras des boutures, j’en veux bien une ! Bise grise, mais sans plus de neige.

Commentaire n°15 posté par GALET le 14/01/2010 à 10h18

Des histoires à dormir debout ?

 

Quichottine avait ri en lisant le commentaire de son amie de toujours. C’était évident. Il y en avait tellement en Quichottinie que ceux qui débarquaient pour la première fois sur ses rivages ne pouvaient que s’y perdre et se demander dans quel guêpier ils s’étaient fourrés.

 

Quelques uns restaient quand même, finalement.

 

D’autres fuyaient très vite avant de s’y engluer.

Quichottine leur gardait pourtant une place au coin du feu, au cas où ils voudraient revenir.

 

Ces histoires continuaient de fleurir, ici ou là, sous une fleur ou au pied d’un arbre, à l’occasion d’une rencontre photographique.

 

Il semblait que les mots pouvaient surgir n’importe quand.

 

 

C’est ce que pensait Alphomega. Il avait déposé une image, juste pour appeler le lutin bleu.

 

Il est magnifique ce quichottinier, je dirai même que c’est LE (ze) quichottinier. Mais où est donc encore passé le lutin bleu? Ah celui-là jamais là où on a besoin de lui. Je suis sûr qu’il est encore en train de s’amuser quelque part avec un de ses amis des bois.

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Ben tiens… qu’est-ce que je disais?… le voilà donc

 

100115_Alphomega_le-lutin-bleu-et-la-balancoire.jpg

Commentaire n°35 posté par Alphomega le 15/01/2010 à 23h35

 

 

Le lutin bleu se faisait rare en Quichottinie. La maîtresse des lieux s’était dit que ce n’était peut-être pas si bien d’avoir un lutin bleu qui dise tant de mots un peu bizarres et qu’il aurait fallu interpréter après lecture « entre les lignes ».

 

Il semblait si heureux lorsqu’il se balançait ainsi, sur l’image enneigée d’Alphomega !

 

Un peu ramassé, comme on doit le faire pour aller plus haut, il aurait dû en profiter pour prendre son envol et se retrouver sur l’île que lui avait choisie Quichottine dans l’atelier de Joëlle.

 

 

Joëlle Chen, La vallée perdue

 

 

La première fois qu’elle y avait croisé La Vallée perdue, elle s’était dit que ce serait un beau refuge pour le lutin bleu. Si difficile d’accès, si près de ses nuages.

 

Elle avait même confié ce désir à l’artiste :

 

Tu sais… dans la vallée perdue partira bientôt mon lutin bleu.

Mais il me faut encore un peu de temps, peut-être très peu.

J’aime ce tableau et ce qu’il me dit.

Bonne soirée, Joëlle.

Commentaire n°*** posté par Quichottine le 03/11/2009 à 17h31

 

Le tableau, comme si souvent chez Joëlle Chen, lui parlait de voyage, de tempête, d’éléments à vaincre, comme la tristesse qui l’envahissait quand elle songeait à ces mots qui se perdent parce que tout va trop vite et que la lecture devient autre, faute de temps.

 

Mais l’île de la vallée perdue était restée dans ses archives… et le lutin bleu continuait d’errer sur d’autres pages. Il y passait sans rien dire, ou s’arrêtait plus longuement, racontait… Il empruntait parfois une image qui correspondait à l’humeur du moment de la bibliothécaire.

 

C’est ainsi qu’en passant chez Alphomega, comme chaque jour, dès qu’elle le peut, la Dame de la Bibliothèque lui emprunta un arbre…

 

Alphomega, Silhouette crépusculaire

 

– Encore ? Mais Alphomega avait déjà un arbre dans la quichottineraie !

C’est vrai… Aussi ne l’y avait-elle pas mis. Elle attendait le bon moment.

 

– Mais, maintenant, c’est bien trop tard !

 

Ce pourrait l’être. Mais, puisque Quichottine a remonté le temps et se trouve encore avec ses bottes de quichottinocultrice dans les allées de son jardin… Pourquoi ne pas vous le montrer, cet arbre-là ?

 

C’était un arbre différent, un arbre qui venait de mourir dans la douceur d’un soleil couchant.

 

Un arbre encore ? Non, un tout. Un paysage.

« Silhouette crépusculaire » disait Alphomega.

Un arbre décharné qui lutte encore… Il ne sait pas qu’il est mort.
Il s’amuse des railleries de ceux qui l’entourent aujourd’hui, déjà gonflés de sève.

Le printemps arrive, il faudrait qu’il s’habille. « Ce sera pour bientôt » se dit-il, insouciant.

Pour l’instant, il rêve de saisir les derniers rayons de ce soleil couchant.

Il est nu, rien ne l’empêche de profiter de leur chaleur. Il lance vers le ciel ses moindres brindilles. Elles frémissent au vent, se laissent prendre dans ses bras, envelopper de sa tendresse.

Le vent ne lui fera aucun mal. C’est la nuit qui l’emportera.

 

Quichottine, « Juste avant la nuit »

in « Le jardin secret’, 5 avril 2010

 

 

La nuit était passée, de l’arbre mort ne restait qu’un petit tas de bois à brûler, mais la photo d’Alphomega, une fois encore, avait ému le Lutin bleu.

 

74 commentaires à propos de “Il était une fois, Alphomega et le lutin bleu”

  1. Je suis en panne de mots, j’ai peinturé une pièce aujourd’hui, je viens seulement de terminer. Je te dis bon dimanche.

    • Merci, Solange.

      Je n’ai pas pu lire ce message tout de suite, parce que j’étais absente… mais quel bonheur de te retrouver aujourd’hui !

      Bon lundi à toi, ma Solange, et très bonne fête.

  2. Bonjour Quichottine,je me suis reconnue un peu au début de ton texte.je t,ai assez bien suivie même si j,en perds des bouts mais ce n,est pas grave.la peinture de Joelle,je l,ai reconnue.

    Bon dimanche Quichottine et à bientôt.

    • Je sais que tu fais partie de ceux qui se perdent, mais je suis très touchée, parce que tu reviens toujours et que tu sais glaner des souvenirs qui me touchent.

       

      Passe une belle journée, Nadia. Merci pour tout.

  3. Tiens tu ne parle jamais de l’outillage que tu emploies pour « travailler » ton verger. La taillequichotte, ou le  quichottepioche  ! Enfin les noms de ton pays !!!

     

    Allez, bon dimanche douce réveuse !! Bises de nous deux !!

    • Ah… tu as raison, il faudra que je crée une page pour les outils… Merci !

      J’ai passé un très bon dimanche… j’espère que ta journée sera belle aujourd’hui.

      Bises affectueuses à vous deux.

  4. Sûr que Le lutin bleu tel un caméléon s’est caché dans ce superbe tableau de Joëlle et il s’y sent bien. Va t’il en sortir ?

    Bon dimanche

  5. On sait quand  on vient en Quichottinie , mais on ne sait pas quand on en partira …

    La maîtresse des lieux, nous promène par monts et par vaux , elle nous fait remonter le temps, elle nous enchante  et nous fait oublier les minutes qui filent  ,en nous racontant de belles histoires dans lesquelles on retrouve une âme d’enfant émerveillé ; elle nous promène dans ses allées sous le couvert d’arbres tous plus étranges les uns que les autres ..

    Et puis ,il faut revenir aux dures réalités de la vie, et de l’horloge qui tourne ses aiguilles  trop vite ;à regret ,on s’en va ,sur la pointe des pieds pour ne pas déranger ceux qui restent encore un peu, ainsi que Quichottine qui continue  de parler  doucement …

    Merci pour cet hâvre de paix que tu nous offres ;Bon dimanche

    Bisous

    Cet arbre mort se détachant sur le soeil couchant est superbe!

    • Chère Fanfan !

      J’adore quand tu racontes aussi.

      Merci de faire partie de ceux qui viennent, lisent, écoutent… et m’écrivent si joliment que je suis toute émue en lisant à mon tour…

       

      Je te souhaite une magnifique soirée. Bisous tout plein.

  6. Merci de m’avoir fait une place aujourd’hui, mais ce n’était pas une réclamation, loin de là ! C’était un dépit créatif puisque, faute de savoir dessiner cet arbre que j’imaginais si bien, j’ai convaincu Augier de l’aménager… Et le lutin bleu y a élu domicile, le temps de ses passages en Quichottinie. Il sait que son tiroir l’attend, où qu’il aille vagabonder.

    En Quichottinie comme ailleurs, les arbres naissent, vivent et meurent. Mais même à cet ultime étape, ils restent précieux : dans leur fumée naissent les rêves, et leurs rameaux confiés à la mer racontent sur d’autres grèves les histoires à dormir debout mais à écouter assis que leur a appris la Dame, tout là-bas, à Yeur.

    • Sourire… je sais bien. Tu as fait pour moi beaucoup et ma quichottineraie ne serait pas la même sans Augier.

       

      Des histoires à dormir debout et à écouter assis… ce serait un joli sous-titre pour mon recueil. Tu me le prêtes ?

       

      Merci, Galet.

  7. Tout s’enchaîne dans ton écriture, tu sais si bien trouver le lien et conter la rencontre, sans perdre le fil, ou les petits cailloux blancs …

    Je vais les suivre, mais, comme je suis étourdie, n’oublie pas de les semer sur le chemin …

    Merci, Quichottine ! Bisous du Berry.

  8. J’ai cliqué à m’en faire tourner la tête, quitté le chemin principal pour revenir, de peur de me perdre entre le bureau des réclamations et la Vallée perdue. J’ai bien aimé l’arbre à tiroir chez Christine je crois, je ne sais plus avec toutes ces portes, un vrai labyrinthe ! Enfin je me suis reposée un peu devant  l’arbre mort au coucher du soleil qui a séduit le lutin bleu.

    Quels voyages chez toi Quichottine ! Et cela me poursuit, imagine, cette nuit j’ai rêvé d’un arbre, couvert de mots, qui tentait de passer inaperçu en marchant à pas de velours, un peu comme la panthère rose… pour ne pas me réveiller ?

    Allez, Bonne soirée.

     

    • Si je commence à peupler tes rêves, c’est que le quichottinier d’Adamante sera bientôt dans la quichottineraie…

       

      C’est un très bel arbre que celui qu’on appelle « arbre à mots ».

      Passe une belle fin de journée. Merci !

  9. Un petit coucou, je vois que tu écris toujours de jolies choses , et que l’arbre reste bien au premier plan avec le lutin bleu… j’ai admiré la photo d’Alphoméga… vraiment magnifique !….J’ai pensé à toi souvent en apercevant des arbres majestueux ou spectaculaires quand on fait de la route, je dis à Robinson : dommage qu’on ne puisse pas s’arrêter celui-là ferait un beau Quichottinier… hihi… c’est dingue… je porte le poid de l’arbre que je n’ai pas encore trouver à te livrer…hihi… Je suis sûre que ça viendra, c’est plus facile à trouver que le lutin bleu fripon qui se cache toujours… bisous Quichottine et bonne soirée !

    • Tu le trouvras un jour, Bigornette. Il n’y a a pas d’urgence, et, ce jour-là, je le mettrai avec les autres, dans la quichottineraie.

       

      Bisous et bonne fin de journée à toi.

    • Il est vraiment mort, tu sais… mais il est vivant sur cette image. Je crois que c’était important pour moi.

      Bises à toi.

  10. Ton billet me fait penser à mes débuts lorsque j’ai découvert ton blog, j’étais complètement perdue… depuis lorsque je me perds c’est volontaire.
    J’ai bien aimé la photo avec le lutin bleu, j’ai suivi le lien et j’ai decouvert un joli blog.
    Bonne soirée
    Bises

    • C’est vrai qu’une fois habitués, c’est bien plus facile…

      Mais merci, Santounette, tes visites me font toujours très plaisir.

      Bises à toi aussi.

  11. C’est peut-être cet arbre là qui a le plus besoin d’étre aimé…

    Je t’embrasse.

  12. je suis sûre que cet arbre là, (bien oui je suis allée le voir)

    a dû revetir ses plus beaux habits

    Monsieur le soleil lui a mis des feuilles sur ses longs bras qu’il tendait vers le ciel

    Wouah elle doit être magnifique ta quichottineraie en ce moment

    Tu dois admirer leurs costumes tous aussi beaux les uns que les autres

     

    Gros bisous et belle nuit

     

    • Merci, Corinne. Je crois que chaque arbre a revêtu sa plus belle parure… S’ils pouvaient faire venir le soleil, ce serait bien.

      Gros bisous et bonne soirée à toi.

  13. dans ton récit je me suis arrètée à la vallée oerdue,fascinée par cet univers!je comprends que le lutin bleu y trouve refuge avec plaisir…

    • Le tableau de Joëlle est fantastique. Je comprends tout à fait qu’il t’ait fascinée.

      Merci pour ta présence.

  14. God sève the treee !

    s’est écrié le lutin bleu,

    et les branches désêchées

    Ont capturé 7 rayons de soleil

    Qu’elles ont transformés en arc en ciel …

    Et ce charme irisé  à fait fuire la déesse de la nuit …

    Les coeurs purs eux, n’ont jamais peur du noir …

     

    Bises des Farfadets

     

     

    • Quelle joie de te voir parmi nous !

      Si le lutin bleu avait tant de pouvoir, ce serait merveilleux.

      J’aime cet arc-en-ciel que tu as fait jaillir en quelques mots.

      Merci, Lucquiaud.

  15. Et bien me voilà… avec un peu de retard puisque lorsque tu es venue me tirer par les yeux (merci Quichottine) j’avais eu un souci de connection et puis j’ai oublié…

    Tu es une vraie Tisseuses de rêves, l’histoire nous tient en haleine tout en nous promenant dans des univers diverses et variés, merci pour cela Quichottine et à tout bientôt 🙂

    • Je voulais seulement te rappeler que j’avais utilisé l’image que je t’ai empruntée il y a si longtemps.

       

      Merci encore de me l’avoir si gentiment prêtée.

      Je t’embrasse fort, Joëlle.

  16. chez nous le lutin bleu a une histoire particulière, c’est un apprenti père-noël daltonien qui s’est pointé à son boulot habillé de bleu, ça le faisait pas… depuis il erre dans les jardins…

    :o))

    gros bisous à toi et toute belle soirée sous ce soleil violet

    • Ah oui ?

      J’aime bien cette idée.

      Mon lutin bleu voulait y travailler, mais il a eu beaucoup de mal à passer le concours d’entrée.

       

      Douce journée à toi, Mamalilou. Merci.

  17. Tout s’enchaîne dans ton écriture, tu sais si bien trouver le lien et conter la rencontre, sans perdre le fil, ou les petits cailloux blancs …

    Je vais les suivre, mais, comme je suis étourdie, n’oublie pas de les semer sur le chemin …

    Merci, Quichottine ! Bisous du Berry.

  18. Un petit coucou, je vois que tu écris toujours de jolies choses , et que l’arbre reste bien au premier plan avec le lutin bleu… j’ai admiré la photo d’Alphoméga… vraiment magnifique !….J’ai pensé à toi souvent en apercevant des arbres majestueux ou spectaculaires quand on fait de la route, je dis à Robinson : dommage qu’on ne puisse pas s’arrêter celui-là ferait un beau Quichottinier… hihi… c’est dingue… je porte le poid de l’arbre que je n’ai pas encore trouver à te livrer…hihi… Je suis sûre que ça viendra, c’est plus facile à trouver que le lutin bleu fripon qui se cache toujours… bisous Quichottine et bonne soirée !

  19. dans ton récit je me suis arrètée à la vallée oerdue,fascinée par cet univers!je comprends que le lutin bleu y trouve refuge avec plaisir…

  20. L’arbre d’Alphomega ne sera pas brûlé dans le poêle . Il est trop tard maintenant. Nous sommes en mai, il y a du soleil,  l’air est tiède dans la bibliothèque. L’arbre nu peut garder ses racines enfoncées dans la terre. Il a été sauvé !

    • J’aurais aimé… mais je sais bien que ce n’est pas le cas. Alphomega me l’avait confirmé, ici.

      Cependant, dans la quichottineraie, il sera toujours heureux de pouvoir lever les bras dans sa prière au soleil.

       

      Passe une belle journée, Liza. Merci.

  21. Mais je trouve que c’est une si belle mort, pour un arbre, de finir en alimentant un feu, qui pétille, craque, jette des étincelles, comme un dernier feu d’artifice, au lieu de pourrir abandonné de tous dans le coin d’un bois……………… gros bisous très mouillés ajourd’hui, Madame

    • Chère Croc !

      Il va falloir que tu corriges les informations de la fenêtre de commentaires au niveau de ta signature…

       

      Mourir dans l’éclat d’un dernier feu… oui, j’aimerais bien aussi, dans le feu d’un dernier amour… sans l’avoir vu s’éteindre.

      Je te réponds bien tard… ici, il pleut aussi aujourd’hui.

      Prends soin de toi, Croc. Bisous.

  22. Quel bonheur de te lire… merci Quichottine j’admire ton talent d’ecriture

    bises et bonne journée

  23. , vite fait je pote age tant qu’ya du soliel….

  24. bises et merci pour ton passage – beaucoup aimé le tome II de Koulou

     

  25. Ma Quich’ et sa magie des mots …..

    Tu es vraiment incomparable !!!!

    Je n’ai pas utilisé le mot UNIQUE à bon escient, c’est trop banal 🙂

    Gros bisous ma belle amie et bonne fête des Mères

    • Tu es trop gentille, ma Clo.

      Prends soin de toi, et continue à me faire rêver de voyages sur tes pages… j’aime !

      Plein de bisous pour toi.

  26. Ma Quich’ et sa magie des mots …..

    Tu es vraiment incomparable !!!!

    Je n’ai pas utilisé le mot UNIQUE à bon escient, c’est trop banal 🙂

    Gros bisous ma belle amie et bonne fête des Mères

  27. L’arbre d’Alpho est tout un symbole , c’est celui qui implore le soleil 😉

    Bonne soirée Quichottine

    Bisous

  28. Tu n’as pas fini de me surprendre ma douce Quichottine.. je t’imagine en quichottinocultrice.. avec un beau tablier la couleur du lutin bleu avec une poche sur le devant pour qu’il se mette dedans et te suivre dans tes allées..et un livre à lire quand tu prends quelque repos.

    J’ai reconnu tout de suite le style de Joelle dans la Vallée perdue..
    Je te souhaite une douce soirée . Ici dans mon Oasis, il tombe des cordes mais c’est bien, cela va faire pousser les arbres plus vite.

    plein de bisous affectueux

    le matelot de la terre ferme

    • Ce tablier me va bien ! Merci !

       

      Il ne pleuvait pas encore ici quand tu as déposé ces mots… Aujourd’hui, pluie et vent sont au rendez-vous.

       

      Je suppose que le jardin en avait besoin. Mais je voudrais un peu de soleil aussi.

      Bisous tout plein pour toi, Chantal. Merci.

  29. Le plaisir de lire tes mots qui font voyager l’esprit !

    Je t’embrasse Dame Quichottine

    Trinity

    • Merci Trinity… j’ai bien aimé partir en voyage dans tes bois aujourd’hui. Tu as dit qu’il n’y avait pas de méchant loup, mais il y avait là de bien jolies fleurs bleues.

       

  30. Le plaisir de lire tes mots qui font voyager l’esprit !

    Je t’embrasse Dame Quichottine

    Trinity

  31. merci de ta visite quichotine, j’ai pas le temps de lire alors j’hesite a mettre des coms

    bisous

    • Ne t’en fais pas… Je suis passée pour voir comment tu allais.

      Je sais bien que beaucoup manquent de temps pour lire ou pour commenter.

      Bisous.