Sous le quichottinier de Marlène, ceux qu’il restait à planter…

Attention : Ce billet est très long, il est tout enquichottiné, mais, vous pouvez en regarder les images, en écoutant le texte, que je vous offre, moi, grâce à mon ami Félix… De lien en lien, il a permis que mon fichier d’enregistrement soit transformé en fichier mp3, le seul que je pouvais partager avec vous.

Merci, Félix

Il me faudrait des jours et des jours, pour vous présenter ceux qui sont arrivés, ceux qui arrivent encore et attendent sagement leur tour, sur mes étagères.

Il me faudrait tourner des pages et des pages de mon livre d’images…

C’est vrai. La Quichottinie est un beau pays, le pays bleu de tous nos rêves, un pays riche de toutes les différences de ceux qui s’y côtoient…

Je vais ranger ici tous les quichottiniers dont je n’ai pas parlé, pas par manque d’envie, mais par manque de temps.

Dans l’ordre où je les ai reçus – ou presque -, admirés, sur mes pages, dans ma messagerie, ou sur vos pages à vous, celles que je visite chaque jour ou un peu moins souvent.

– Et le tien, Quichottine ?

Le mien, il viendra ensuite, avant de redonner les clefs de la quichottineraie à Sogo… ou peut-être après.

Pour l’instant, je vais m’installer sous le quichottinier de M., celle qui sait si bien me dessiner…

100125_Marlene_Quichottinier.jpg

M., Marlène, c’est sans doute mon portraitiste préféré.

– Et Sogo ? Et Koulou ? Quichottine, tu ne penses plus à eux ?

Mais si ! Mais, pour eux, et parce que personne ne me voit autrement depuis que j’ai eu ici mon tout premier avatar, dessiné par Koulou, dans la Petite Fabrique, je suis coiffée de la passoire, celle qui me permet de trier mes idées, et aussi de me protéger de celles qui pourraient me nuire, ou vous faire de la peine.

Pour Marlène, je suis juste moi …et un peu aussi celle qui aurait voulu décrocher la lune et qui ne l’a pas pu.

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Vous vous souvenez de l’image qu’elle m’avait offerte ?

090611_M_Quichottine.jpg

La Quichottinie de Marlène pourrait se résumer en quelques dessins, ceux dont j’ai émaillé mes mots. Quichottine, c’est cela, une rêveuse impénitente qui fait des bulles de nuages, qui rêve de soleil en regardant la nuit auprès de l’allumeur de réverbères, qui voudrait être ailleurs, souvent… et qui, pourtant, tel un arbre, cherche désespérément à ancrer ses racines afin de ne pas s’envoler.

Saadou l’a écrit : « C’est la faute à Quichottine« … C’est vrai… Elle se demandait pourquoi je m’étais mise à planter des arbres n’importe où… Un arbre, c’est la vie, une promesse d’avenir, quelque chose qui nous dépassera, quelque chose qui pourra même nous survivre.

Des arbres, Saadou, j’en ai eu assez, pour un grand parc, pour une immense forêt, et chaque arbre m’a émue…

Même lorsqu’ils ne m’étaient pas vraiment destinés. Même lorsqu’un hiver si froid voulait les transformer en bûches… N’est-ce pas, Alphomega ?

Oh ! Ils le savaient tous, les anciens, les nouveaux, les jeunes, les vieux, ceux que la vie gâtait, ceux qui souffraient, tous savaient combien les quichottiniers sont porteurs d’amitié.

Certains avaient laissé un arbre en commentaire, ou plusieurs…

Bruno, le tout premier, de grands pins, majestueux dans leur bel habit sombre, un dessin au fusain… Un bruissement où le temps se figeait.

Glorfindel me postait gentiment le quichottinier en fuite dont il s’était servi dans l’un de ses commentaires.

Mamalilou fouillait dans ses archives et y trouvait son arbre en compagnie du lutin bleu. Chez elle, j’en avais trouvé un autre

D’autres me les apportaient en lien, comme Arielle, Marité ou Melly. Qu’ils étaient beaux tes romeurs, Melly, ici et là !

Croc avait même pensé à tous mes blogopotes en m’offrant son tamarinier.

Lily Jane, Pascale la tricotineuse, Jeanne, me montraient leur arbre-poème.

Yentl, nouvelle venue en Quichottinie, m’offrait le quichottinier de Mary Poppins.

Muad, toujours aussi généreux, m’ouvrait le chemin vers le quichottinier de Françoise, tellement surprenant !…

Marie, dont je partage parfois les rêves de lecture, me faisait découvrir un magnifique quichottinier dans la librairie de Montolieu.

Même le Petit Poucet Rêveur avait peur d’être en retard et m’offrait ses mots :

Et je n’attendrai pas ta réponse:)
Je pense que les mots sont d’une certaine façon, eux aussi, des dessins qui remplissent le blanc d’une page. Alors je vais te dessiner des mots. Ce ne sont pas les miens mais ceux de quelqu’un qui aime particulièrement les arbres…

« J’ai toujours aimé les arbres et je suis allé très loin pour les voir, pour les saluer personnellement.
Je me suis rendu dans les îles du Cap-Vert, dans les Birmanies, je suis allé en Inde à Bengalore. J’aime me frotter contre les arbres, leur parler, capter leur énergie immense. J’aime autant leurs grosses racines que leurs branches. L’homme est-il un arbre qui a pris son indépendance ? Il s’est mis un toit au-dessus de la tête et il a chaussé des souliers qui l’ont éloigné de la terre.
Il y a plus de gens qui vont pieds nus sur la terre que de gens qui ont des souliers. Dans mes amazonies, des fantômes d’arbres immenses crient et j’entends leurs voix jusque dans mes europes, comme j’entends les voix des suppliciés du monde entier. »

Monde neuf – Julos Beaucarne

Commentaire n°89 posté par Petit Poucet rêveur le 16/01/2010 à 13h23

Elle avait bien raison… Les mots aussi peuvent dessiner des arbres sur une page, nous l’avons vu souvent dans la quichottineraie.

Les farfadets, comme à leur habitude, jouaient avec leur sens, mais n’oubliaient pas les images…

Gérard Panda mettait des arbres quichottins dans le décor d’une autre vie, « Lorsque j’étais sultan« .

Azalaïs, s’inquiétait… alors que j’avais déjà, depuis le tout début, son arbre au cœur de la quichottineraie.

Le Grillon, s’arrêtait un peu plus longuement, le temps d’un très beau conte, sous le quichottinier de FF.

Zazou, en passant, déposait un poème… Comme j’aurais aimé en faire tout un billet !

American Dreamer me faisait découvrir une autre façon de concevoir les quichottiniers.

Nickyza, merveilleuse conteuse, me prêtait une histoire…

On dit…que pour l’inauguration de la quichottineraie, une grande fête avait été organisée sous le couvert vert tendre des arbres-à-livres offerts à Dame Quichottine par nombre de ses amis.

Un grand buffet avait été dressé à l’ombre souriante des quichottiniers qui pour la circonstance avaient décorés leurs fruits-livres de gros nœuds rouges en forme de cœurs.

Des guirlandes d’étoiles scintillantes escaladaient les branches et reliaient tous les quichottiniers en une longue chaîne d’amitié.

Autour du buffet qui croulait sous les quiches de toutes sortes : quichothym, quichotthons, quicholard, les amis nombreux de Quichottine se pressaient dans un joyeux brouhaha quichottinien. Des bulles dorées éclataient dans le cristal des flûtes faisant briller les yeux de tous les convives.

Dans la rivière voisine au doux murmure qui ricoche sur les pierres, les consonnes et les voyelles allaient de caracole en farandole, formant des mots à la musique festive que reprenaient en chœur tous les oiseaux multicolores.

La musique était si entraînante que tout le monde se mit à danser : les amis de Quichottine, le lutin bleu et son ami le lutin vert et surtout tous les quichottiniers, les uns après les autres.

Un rythme endiablé secoua les branches des quichottiniers et les livres s’envolèrent haut dans les cieux, dans un bouquet de rires et de mots colorés, au-dessus des bras grand ouverts des convives massés.
Sur les ailes du vent, ils redescendirent doucement en planant, ivres de joie, pour atterrir au milieu de la clairière, dans un bien joli désordre.

Les livres parlèrent aux gens et les gens parlèrent aux gens et les mots emplirent l’espace jusqu’aux premiers ors du crépuscule tombant.

Dame Quichottine, reine de Quichottinie, souriait aux anges…ravie de cette liesse quichottinesque.

Dame Quichottine allait pouvoir, sereine, s’absenter pour tisser d’autres rêves dans la haute tour de son château de sable…

Dans son châle de nuées mauves, dont elle s’emmitoufla, elle emporta des brassées de baisers déposés par ses amis…

Commentaire n°32 posté par Nickyza le 22/01/2010 à 01h46

C’est beau… Vous ne trouvez pas ? Je sais aussi qu’Augier, le compagnon de Galet, fera la fête avec nous ce jour-là…

Pas un(e) aminaute ne manquera, pas un blogopote, pas une copinaute, aucun de ceux qui pensent que la Quichottinie et sa quichottineraie existent, pour de vrai, que les quichottiniers ne sont pas une quichottinânerie supplémentaire dans un monde virtuel où rien n’est important.

– Dis, Quichottine…

Oui ?

– Tu as mis énormément de liens ! Tu crois que tout le monde va les lire ?

Bien sûr que non, pas tout de suite… mais, après, peut-être…

– Après quoi ?

Après la fête.

– Ah… Celle de Nickyza ?… Es-tu sûre d’avoir envoyé les invitations à tout le monde ?

Il en manque quelques unes… Celle de Miregi, celle de < a class=" hitperso2" href= "http://patdelapointe.over-blog.com/" target="_blank">Pat de la pointe, celle d’Alrisha aussi, et peut-être Val’r… Celle de Petite Elfe… Celle de Lorraine. Celle de Sophie, de Siratus, de Midolu… de… Il y en a tant ! Je ne sais plus !

Ce seront mes derniers quichottiniers.

– Les derniers ?

Oui, pendant quelque temps. Mais je vous les montrerai aussi, sans aucun doute, juste avant de partir.

Je dois prendre un peu de recul…

O90609_Marlene_Recul.jpg

Un clic sur les images de M. vous les montrera dans leur article original. Merci, Marlène.

94 commentaires à propos de “Sous le quichottinier de Marlène, ceux qu’il restait à planter…”

  1. Encore une belle balade à faire ce matin. Merci !! Passes de belles journées près des tiens. Bises de nous deux.

  2. Cette promenade avec ta voix, avec tes mots, un régal d’émotion, magie de la Quichottinie.
    Passe de bons moments et surtout n’oublie pas de revenir.
    Je t’embrasse fort.
    Sophie

    • Merci.

      Je n’ai pas oublié… mais j’ai eu tant à faire que j’ai du mal à rattraper mon retard.

      Je t’embrasse très fort.

  3. Encore un petit recul…Qu’il ne soit pas trop long, on a besoin de toi ici…
    Je t’embrasse.

  4. Ce vendredi matin, je découvre un peu plus de toi : ta voix, magie de la technologie ! Mais c’est vrai que cet article sonne bizarrement…Ton énumération tient plus du constat que de l’inventaire. Ce banquet serait-il une façon élégante de tirer ta révérance en emportant tes brassées de baisers ? Non, je ne veux pas le croire… Tu manquerais ici à beaucoup, à moi. Prendre du recul n’est pas prendre la fuite, n’est-ce pas ? Pour prendre du recul, point n’est besoin de tourner le dos. Et lorsqu’on prend du recul, c’est pour sauter plus haut ! Ne nous laisse pasdans l’incertitude, ne laisse pas dépérir d’angoisse les quichottami(e)s.

    • Ce n’est pas prendre la fuite… pas du tout.

      Juste un peu de temps pour revenir à l’écriture, à la lecture sur papier… aussi.
      Un peu de temps pour autre chose que l’écran.

      Je suis navrée de ne pas avoir répondu plus tôt… mais tu sais bien que je suis revenue, tu sais bien que j’ai fini patiemment de planter les arbres de la quichottineraie… et tu sais que tu as pu partir en vacances rassurée…

      Alors, moi, je suis heureuse de faire partie de tes amis.

      Merci, Galet.

  5. La Douce…j’ai tout écouté en lisant en même temps , en contemplant les illustrations délicieuses …un moment de douceur , de paix , d’air léger dans le soleil au pied de l’Arbre – Vraiement …je suis admirative de ce partage – Je t’embrasse fort et merci …je respire mieux tu sais pourquoi – je pense en effet que je viendrai petit à petit , d’abord finir de lire l’histoire de Clément , si belle , ensuite cliquer sur un lien après l’autre de ceux que tu nous présentes – Déjà j’ai visité Muad et j’y retournerai inch’Allah ! Je te prends l’illustration de la Quichottine tout en bleu …TROP belle – Pi j’adore , je te l’avais dit , ton premier avatar , La Douce Bibliothécaire …avec la passoire sur la tête (LOL) …Tu vois La Douce , c’est TOUJOURS un réconfort de venir chez toi , un repos du coeur , de l’esprit …et en ce moment ben c’est pas de trop ! un sourire pour toi  que j’imaginais dans une classe où nous étions tous des enfants silencieux et émerveillès…Je peux être une petite fille parfois encore …souvent 

    • C’est vrai que tu l’as prise… mais, comme je n’étais pas là, tu l’as demandée à Marlène, et c’est bien.

      Cette quichottine-là, c’est un cadeau merveilleux qu’elle m’a fait. Comme un encouragement pour ce que je veux entreprendre et qui a besoin de temps.

      Merci d’avoir été là pour m’écouter.
      Je t’embrasse tout doux, Blanche.

      À très bientôt.

  6. c’est drôle, quichottine, les arbres, tu sais bien que ça a des racines et que ça ne peut pas bouger!
    pourtant d’arbre en arbre, j’ai l’impression d’avoir fait un beau voyage, voyage au pays de l’amitié…

    • Quand tu as lu, quand tu es venue voir ce quichottinier dont tu faisais partie, il en manquait encore…

      Les arbres voyagent, même si, comme d’autres, ils sont figés au sol sans pouvoir se déplacer.
      Ils capturent dans le vent la moindre histoire, le moindre parfum, la moindre émotion… et ils les ressentent aussi fort qu’ils sont grands et durs…

      C’est ainsi qu’ils peuvent ensuite nous raconter…

      Merci pour cette présence sur mes pages pendant que je n’étais pas là.

  7. Ma Chère Quichottine, une journée qui commence avec un moment de bonheur, écouter… un plaisir, un moment de rêve parmis les quichottiniers. Je reviendrai suivre tes liens et me balader dans cette belle forêt de l’amitié. Nous avons besoin de recul quelquefois, profite bien, tes amis seront, j’en suis certaine, toujours là à ton retour. Gros bisous à toi et a bientôt

    • Ils étaient là… et je sais que les amis n’oublient pas.

      Merci Mamago et pardon de te répondre aussi tard.

      Je suis heureuse d’avoir pu te procurer ce plaisir.

  8. long mais superbe !! tant de liens à visister ou re-visiter et des images qui font pousser des ailes !! merci à toi et merci à eux , reposes-toi bien, bizzzzzz

    • Merci à toi, Solyzaan.

      J’aime beaucoup ces images « qui font pousser des ailes »…

      Passe une douce soirée.

  9. J’avais commencé par lire les billets sur les derniers quichottiniers et mettre un mot ici ou là…. Et puis je suis arrivée sur celui-ci…
    Sans le savoir j’avais gardé le meilleur pour la fin. La fin de quoi, d’ailleurs…
    C’est la question que tout le monde se pose ou se posera probablement en t’écoutant. Surprise… Non pas vraiment. D’habitude on devine ta voix et aujourd’hui on l’entend, pour de vrai… Comme s’il pouvait y avoir une voix pour de faux… (ça, c’est l’elfe qui divague une fois de plus…) La voix de la maîtresse d’école qui sait si bien raconter les histoires.
    Ce matin, J’étais une petite fille assise et qui écoutait avec beaucoup d’émotion une merveilleuse histoire.

    Du recul ou du repos bien mérité. Tu donnes tellement ici… C’est incroyable…

    • Que te dire sinon un grand merci, Petite Elfe… ?

      Que te dire sinon te remercier à mon tour pour celle que tu m’a offerte aujoud’hui ?

      J’ignore si je ferai d’autres essais un jour, pour l’instant, il sera unique ici.
      Et toi ? Quel effet cela t’a fait de t’écouter ?

      Passe une merveilleuse soirée de printemps, et pardon pour cette réponse tardive à ton si beau commentaire.

  10. « l…es livres parlaient aux gens, les gens parlaient aux gens… » c’est beau! j’apprécie tout autant de t’entendre, j’en ai profité un max en écoutant deux fois 🙂 j’espère que tu réiterera c’est si agréable

    • Je ne sais si je le ferai de nouveau… C’était un peu troublant pour moi.

      Merci à toi, Fabienne, d’être là.

  11. Je suis comme une toute petite fille, les oreilles et les yeux grand ouverts, à écouter tes histoires, Quichottine…Je suis toute émotionnée, là…comme sur un petit nuage qui survole la grande quichottineraie et qui n’en revient pas de tout ce petit paradis de mots et d’images !
    Merci, Quichottine la conteuse, pour toutes ces fééries…
    Je t’embrasse fort !!

    • Comme sur un petit nuage, ma Nicky ?

      Alors, nous sommes deux. Merci !

      Je t’embrasse fort, très fort.

  12. J’ai bien aimé t’entendre ça donne un autre sens à la lecture. J’avais l’impression de me faire raconter une histoire. Merci et profites d’un repos bien mérité.

  13. Je suis très, très émue de t’avoir entendue et m’interroge. Ce ne serait pas un post d’adieu ???
    Non, rassure-moi.
    A bientôt. BISOUS.

    • La mise en place d’une future pause, qui a été un peu retardée… Oui.

      Mais il n’y a aucune inquiétude à avoir. Je n’aime pas les adieux, ce ne sont que des « au-revoir ».

      Merci, Marité.

  14. Quel plaisir de t’entendre…
    ce matin comme une douceur.

    merci.

    Je t’embrasse très fort.

  15. Tiens, cela faisait très longtemps que l’on ne m’avait pas raconté une histoire, un grand plaisir. A+

  16. La Douce , il n’est pas trop tard pour que je puisse te dire encore  Bonjour – Je suis passée chez Marlène , j’aimerais bien que tu me dises …j’espère ne pas t’avoir contrariée en prenant cette illustration divinement belle et douce qui te représente – si tu n’es pas trop fatiguée , peux-tu me rassurer ? Je l’ôterai tout de suite si tu n’es pas d’accord – Je t’embrasse de tout coeur

    • Il n’était pas trop tard… et c’est moi qui ne pouvait pas te répondre à ce moment-là.

      Je t’aurais dit que tu ne contrariais pas, surtout que tu avais pris la précaution de demander à Marlène, qui en tant qu’auteur de cette illustration aurait pu s’y opposer.

      J’espère que tu n’as pas été trop inquiète…

      Je t’embrasse de tout coeur, ma Blanche. Prends soin de toi.

  17. Un vrai plaisir d’écouter ta voix douce  et de lire en même temps ;
    j’ai passé un très bon moment à rattraper mon retard , j’ai regardé  tous les arbres qui avaient poussé pendant que je n’étais  pas là!
    Et le mien qui est encore en train de pousser: tu le mettras au fond de ton jardin  quand tu reviendras!
     Bisous

    • Merci, je sais que tu l’as fait…

      Là, quand tu as posé ce message, c’est moi qui ne pouvais te répondre…

      Le tien est dans la quichottineraie, et même si d’autres ne l’ont pas encore vu, ça ne saurait tarder.
      Je l’ai mis avec celui de Jeanne Fadosi, que tu connais… et avec le Planteur d’arbres de Giono.

      Ce n’est pas le fond du jardin, c’est un endroit où j’aime aller.

      Bisous et grand merci.

  18. Ce n’est plus « peut-être » Val’r, mais « sûrement » Va l’r.
    Tu trouveras sur mon blog un quichottinier et son acrostiche.
    Bises

    • Je l’ai trouvé en rentrant, superbe, sur ta page. Alors, j’ai mis l’image dans ma quichottineraie, et je t’ai laissé le poème, pas parce que je ne l’aime pas, au contraire, mais parce qu’ainsi mes visiteurs iront chez toi le lire.

      Ton lutin bleu est en bonne compagnie, il a retrouvé Jim… tu sais, celui de La Lune bleue… forcément !

      Je t’embrasse très fort. Merci infiniment pour ce cadeau qui m’attendait.

  19. coucou
    j’ai eu un week-end très cahrgé, je découvre ces quichottiniers qui viennent embellir ta quichottineraie de jour en jour

    Gros bisous

    • Merci d’être passée quand même en mon absence, malgré ce temps qui te faisait défaut.

      Gros bisous à toi, Corinne.

    • Eh oui.. je crois que nous en avons tous besoin à un moment…

       

      Bonne journée à toi aussi, Patriarch. Merci d’avoir été si fidèle en mon absence. Bises affectueuses à vous deux.

  20. Je ne sais plus où je suis, j’ai vu de très beaux dessins, j’ai lu de très beaux textes, j’ai cliqué à droite et à gauche, au petit bonheur etme voici, voulant te laisser un message et ne sachant pas s’il arrivera à destination…Je suis un peu gourde quand j’entre dans la Quichottinerie, je n’ai pas le mode d’emploi mais je m’y amuse, je m’y perds, je me retrouve, me voici nez-à-nez avec un quichottinier inconnu, et je me réjouis, chère Quichottine, de tant d’imagination, de tant de rêves que je cueille au hasard. Cela convient à ma nature un peu fantasque. J’agite mon mouchoir pour que tu me voies parmi la foule de tes amis. Je te dis « Bonsoir, il fait doux, je vais lire un peu, je reviendrai bientôt, je t’embrasse ».

    • Tes messages m’arrivent, sans problème… Même s’il est vrai que je ne peux pas toujours y répondre aussi vite qu’il le faudrait.

       

      Merci d’être là, de te promener en Quichottinie pendant ma semi-pause.

      Je t’embrasse fort, Lorraine.

  21. Merci de m’avoir signalé le pb concernant mon lien. Je viens de le corriger tout en écoutant ton bel hommage à tous les planteurs d’arbre qui ont orné la quichottineraie.

    • Merci à toi, LLT.

      C’est toujours émouvant pour moi de penser à tous ces visiteurs qui ont participé à la plantation.

      Je t’embrasse. Passe une belle journée.

  22. et superbes les illustrations……du savoir faire qui me plairait………très bonne journée

  23. Comme je suis plutôt nouvelle dans ce monde de Quichottine, je n’ai pas tout compris sinon qu’elle aime beaucoup les arbres : j’en ai plein ma hotte !En veux-tu ?

     

    • J’aime les arbres, c’est vrai, pour ce qu’ils représentent pour moi… mais la quichottineraie, ce n’est pas seulement des arbres, c’est un recueil de textes et d’images offertes par mes visiteurs après le commentaire de l’un d’entre eux.

       

      Georges avait créé le mot « quichottinier ».

       

      Tu auras l’explication en lisant le tout premier article qui s’y référait.

      http://quichottine.over-blog.com/article-le-quichottinier-42460191.html

       

      Si tu le désires, bien sûr !

  24. Je n’ai pas eu accès à cet article auquel tu faisais référence en cliquant sur le lien (petit flash orange ).Comment puis-je le retrouver ?Merci

    Denise

    • De quel article parlais-tu ?

      Il y a de nombreux liens sur ce billet. Lequel n’a pas voulu s’ouvrir ?

       

      Normalement, aucuns des liens ne s’ouvre en fenêtre pop-up et donc rien n’est arrêté par le navigateur.

      Si tu peux me dire où tu as cliqué, ça me permettra de te donner l’adresse qui te manque.

      Merci à toi.

  25. C’était en fait un article de présentation (?) que tu me proposais de lire afin de connaître la véritable histoire des arbres en « quichottineraie « .Je suppose qu’il est triop ancien ?Tu m’avais donné une adresse ( que tu peux retrouver dans les commentaires mais …

    Merci néanmoins de te préoccuper de ce petit souci

    Bonne soirée

  26. Tout est dit … et l’arbre sourit par-dessus l’épaule du printemps

  27. commencer une journée comme ça……. elle ne pourra qu’être bonne…

  28. il est vrai que ce dessin où tu es en train de lire sur un petit nuage qui se déplace au gré du vent : te colles bien à la peau…

  29. Je n’ai bien sur pas cliquer sur tous les liens ce matin
    mais pendant « ton recul » je reviendrai visiter tous tes amis
     Bisous Quichottine

    • Je sais que tu en as visité beaucoup… En reste-t-il que tu ne connaisses pas dans ma quichottineraie ?

      Merci d’être passée en mon absence. Bisous pour toi, Kri.

  30. Ce matin je sui encore ensommeillée, mon cerveau a du mal à évacuer les rêves nocturnes … Peut-être ne suis-je pas réveillée du tout en lisant ce billet ?  Peut-être que ce billet n’a pas existé ?
    Quichottine remercie tous ceux qui ont planté des quichottiniers …
     Je n’ai pas laissé de quichottinier, trop occupée que j’étais  à charrier des cartons, à planter des clous, à ranger des placards …
    Je me suis contentée de venir me promener dans la quichotineraie en me promettant chaque jour de venir planter mon arbre … Et puis, je m’aperçois  que c’est trop tard, que Quichottine veut partir « prendre du recul » dit-elle …
    -« Et combien de temps ça dure un recul ?
    Je ne sais pas … Alors je suis là avec mon arbre en pot … Il me reste bien les arbres à livres … les arbres à lire.. Mais ce n’est plus pareil en Quichottinie, quand il n’y a pas Quichottine …
    Je crois que je vais me réveiller et qu’elle va revenir et je lui apporterai mon arbre en pot …

    • Chère Liza !

      Sais-tu que ce message m’a mis les larmes aux yeux ?
      C’est vrai, il m’a émue, profondément.

      Un recul… ça dure un peu… parfois longtemps…
      Mais, tu sais que j’aime nos partages, alors, il ne faut pas te faire de souci.

      Même si la bibliothécaire déménage, il y aura toujours une place quelque part pour toi, pas loin de moi, même sans cet arbre en pot… Nous avons beaucoup partagé, Liza, je ne crois pas que j’arriverais à prendre assez de recul pour que tu ne puisses pas me rejoindre ! (et je ne le désire pas)

      Bisous doux pour toi… Passe un bon week-end.

  31. Ce matin, un sentiment bizarre, une avalanche d’arbres, une abondance un peu inquiétante, puis ce long article, comme un adieu, et pour finir, ce message enregistré. Une voix chaleureuse mais un peu triste, un long chemin que je voudrais pas voir se terminer ici….C’est vrai, Dona, tu aimes décrocher la lune, mais tu sais, on aime la voir à sa place, la lune, toi, dans ton jardin, regarde-la en paix, elle est là, c’est l’essentiel…Bises   VITA

    • Un grand moment de découragement après beaucoup de soucis… comme j’aime tes ressentis, Vita. Ils sont bien souvent proches de la réalité.

      Comment fais-tu pour tant savoir ?

      L’essentiel sera entre la bibliothèque et le jardin… sans doute une quichottinie un peu moins tentaculaire, un peu plus réservée… mais je sais que toi aussi, tu y seras.

      Bises, Vita. Merci.

  32. Là, j’ avoue être un peu sonnée.
    Je laisse décanter dans ma petite cervelle et je reviens 🙂

  33. je n’avias pas beaucoup le temps , mais je l’ai pris !!
    c’était un plaisir !

  34. Un vrai régal de t’entendre , merci bises et profites bien de ton repos

  35. Je me promène dans la foret et je t’ecoute… Je reviendrai… pour me poser aupres de chaque arbre….

  36. La douceur  de Marlène et l’élégance des tracés donne à ses dessins un air de jeunesse intemporelle.  Je la verrai bien illustratrice de livres pour enfants, pour pré-ados et même plus. Car, je la crois capable d’exprimer en quelques touches une profonde sensualité féminine

     Elle m’a fait penser à Samivel par son dépouillement et à Peynet pour sa touche bleue.

     

    Je suis persuadé qu’elle anime un blog superbe.

     

    Le grillon

    • Merci, Christian.

      Son blog est superbe, il est vrai.

      J’y passe chaque matin et suis toujours surprise par sa créativité. Elle est de plus d’une générosité sans pareille. Sais-tu qu’elle m’a envoyé l’original de ce dessin ? … Une jolie aquarelle, rien que pour moi !

      J’ai adoré.

      Douceur, tendresse… sans aucune mièvrerie… sensualité aussi, et une imagination débordante. J’adore ! Marlène est capable de tout !

  37. Coucou !

    Merci et à mon tour de te souhaiter une bonne fête des mamans  !

    Toujours perdue sur ton blog mais je ne prends pas le temps de visiter tranquille .

    Bon dimanche bizoux Françoise !

    • Ne t’en fais pas… je sais qu’il n’est pas toujours facile de s’y retrouver.

      Bon dimanche Françoise. Merci.

  38. Un arbre en plus …

    Il reste dans mon coeur l’espoir d’un vieux rêve

    Comme un impatience que transporte la sève

    L’arbre de ma vie vacille mais chante encore

    Et ses branches s’élèvent vers les étoiles d’or

    Marcelle

  39. Merci d’être passée. Belle façon de faire découvrir son blog et les liens.Jolie voix (si c’est la tienne!) Bonne journée.