Don Quichotte et la crise, Georges Lévy

Aujourd’hui, j’ai reçu un « croquis ».

  • – Chouette ! Pour ta galerie ?

Oui, pour ma galerie…

  • – Alors, pourquoi tu ne l’as pas appelé « Don Quichotte (25) » ? Ce serait bien tombé, nous sommes le 25 septembre…

C’est vrai, j’aurais pu… Mais…

  • – Mais ? Tu as encore des « mais » dans ta manche ?

Mais, je ne le pouvais pas. Comme celui de Gari, disons que c’est un portrait différent !

  • – Différent ? Là encore, il faudra que tu t’expliques ! Pourquoi n’arrêtes-tu pas de nous parler des différences. Ne sommes-nous pas tous égaux ?

Si… nous sommes tous égaux, mais nous sommes différents. Aucun de vous ne ressemble à un autre, et c’est tant mieux. Martine, l’autre jour, prêchait pour la diversité. Elle a raison. Moi, je suis contre l’uniformité.

Allons, laissez-moi vous raconter !

Georges m’avait dit…

  • – Georges ? Celui de…

Mais non, pas LE Georges de Nickyza ! Voyons ! Celui-là n’est que pour elle et pour ses visiteurs

(Je vous le recommande toutefois, parce qu’ils ont ensemble des aventures qui méritent toutes d’être lues.)

Donc, Georges Lévy avait laissé un commentaire, dans la Bibliothèque, sous les images quichottesques.

Bonjour en ce début d’automne. Peut-être est-ce lui qui m’a inspiré un modeste croquis
que je voudrai quand même vous envoyer ! Mais comment ? Je devrai avoir votre adresse e-mal pour en faire une attache. J’avoue que je n’aime pas ce mot « Bilan ». Il ne faut jamais faire de bilan, bien que chez vous il soit prodigieux en textes et images ! Alors continuez sur votre lancée, au gré du temps et des flots et surtout du vent qui fait tourner les Moulins de Don Quichotte ! Commentaire n° 63 posté par Georges Lévy le 24/09/09 à 09h29

Un « modeste » croquis ?

J’ai eu envie de lui répondre :

Eh bien non, Monsieur Lévy, il est superbe !
Il me plaît bien, à moi, ce dessin qui me fait tant penser à ceux trouvés sur votre blog.

Il faut que je vous explique.

Chez Georges, aujourd’hui, lorsque j’y suis allée, pour lui laisser mon adresse, j’ai trouvé une galerie de portraits qui à eux seuls méritaient le déplacement.

Imaginez, vous êtes enfant…

(Non, vous ne l’êtes plus, et ce sont les mots de l’adulte qui sont là sur ces pages.)

Vous n’êtes donc plus un enfant, mais vous vous souvenez, de ces jours-là, ceux où vous « séchiez » l’école pour accompagner votre maman dans les rues…

Et, vous regardez, vous sentez…

(C’est tout juste si à travers l’écran je ne sentais pas aussi… Je vous assure.)

C’était une promenade, les souvenirs d’une époque révolue.

Je sais bien que vous n’aurez pas le temps, mais choisissez l’un ou l’autre de ces portraits qui eussent pu faire tant d’articles différents sur le blog de Georges et qu’il nous offre sur un seul !

Je me suis régalée… en tenant, moi aussi, l’anse du panier aux souvenirs.

Je ne vous montrerai pas mon portrait préféré… Il vous suffit de commencer à lire et vous me direz, vous, sur lequel vous vous êtes arrêté plus longuement.

C’est une rencontre… comme il y en a d’autres sur la Toile. Un billet que je pourrais sans aucun doute mettre dans ma boîte à rêve, mais que je vous présente aujourd’hui, comme ça, juste parce que j’ai aimé, juste parce que ça m’a fait plaisir, alors même que je n’avais pas encore reçu son cadeau.

Ah oui ? Son cadeau ? Le voilà !

Don Quichotte et la crise, Georges Lévy, http://georges2.over-blog.com/

Un Don Quichotte différent et des mots, rien que pour moi, mais que je vous montre quand même.

C’est la crise pour tout le monde. Don Quichotte n’y échappe pas. Espérons des jours meilleurs pour lui et pour nous…

Tout est chamboulé ces temps-ci : Les Moulins à Vent tournent à l’envers. Les riches deviennent pauvres. Et les pauvres qui vivent de l’aumône des riches veulent faire la révolution pour les assassiner et les punir…

Heureusement l’Automne est là pour nous consoler de la chaleur humide et partout jonchent les feuilles mortes rougies et jaunies pour parer les trottoirs.

Comme jamais rien n’est parfait, elles cachent aussi quelquefois les cartes de visites de nos amis à quatre pattes….
 

Georges Lévy, 24 septembre 2009
.

Ne croyez-vous pas que ça valait le coup de le mettre sur mes étagères ?

Bien sûr, on peut ne pas être d’accord avec ce don Quichotte, mais, les amis des sans-abris ne l’ont-ils pas choisi pour parrain ?

Que serait-il aujourd’hui ?

Il faudra que je reprenne mon livre pour le découvrir avec vous.

82 commentaires à propos de “Don Quichotte et la crise, Georges Lévy”

  1. J’aime bien ce Don Quichotte qui fait la manche, il est dans l’air du temps, et j’aime bien aussi que sous les feuilles on trouve nos amis à quatre pattes.
    J’irai voir sa galerie de portraits.

    Passe une bonne journée.

    Bisous plein pour toi ma Quichott’.

  2. Je ne crois pas que tes contes puissent être mal interprétés. Martine n’aime pas le noir mais rêve d’un petit lutin tout noir à aimer …. Très joli dessin plein d’humour que ce don quichotte qui fait la manche et d’actualité. Bisous

    • Merci Eglantine.

      Je crois pourtant que Martine a raison. Je suis certaine que si des psychanalystes se penchaient sur eux, ils trouveraient là de quoi alimenter toutes les dérives.

      Mais ce n’est pas mon but. Je voudrais seulement que tous comprennent qu’ils sont dignes d’intérêt. Nous avons tous une pierre à apporter à l’édifice. Si l’on n’en tient pas compte, l’édifice est bancal et s’écroulera, à plus ou moins brève échéance.

      Bisous.

  3. Bien sûr je n’embrasse pas toutes ses idées. Mais au moins,il en sort quelque chose.

    Bonne journée tout de même Quichottine, et bises de nous deux.

    • Bien sûr, je ne les embrasse pas moi non plus.
      Tu le sais, toi qui a vécu toute cette période de plus près que moi, ce n’est pas facile de parler de ce qui peut encore faire très mal. Je te comprends tout à fait.

      Mais je sais qu’il est important de pouvoir « dire »… et j’aime beaucoup ce dessin.

      Bonne journée, Patriarch. Bises affectueuses à vous deux.

  4. Bonjour Quichottine, merciiii pour ce lien, j’arrive de chez Georges. Quel moment de plaisir, j’ai tout oublié de la vie d’aujourd’hui pour repartir là-bas… il y a longtemps. Que de merveilleux souvenirs comme si j’y étais, la laiterie, etc.
    Je me souviens du petit magasin où nous allions acheter une sucette, une tête de « nègre » (je ne peux les appeler autrement), une glace… Et, à l’époque le camion qui passait une fois par semaine dans notre petit village, une véritable petite épicerie roulante… bon je repars. Gros bisous pour ce retour en arrière

    • J’en suis heureuse.

      Je me demandais si j’avais eu raison, et rien que pour ta réaction, je sais que je n’ai pas eu tort.

      Là-bas, c’est pour moi aussi un souvenir d’enfance. C’est peut-être pour cela que j’ai lu ses portraits avec un cœur d’enfant.

      J’ai aimé.

      Gros bisous à toi aussi, Mamago.

  5. Je reviens de « là-bas », et je ne choisirai pas. Je prends tout, parce que…

    Un grand merci à toi, et une grosse bise, ronde et sucréé, un peu poisseuse, comme une grosse figue bien mûre.

    • La prochaine fois que tu m’écriras ici, Galet, il faut que tu corriges ta fenêtre de commetaires.

      Elle envoie encore vers l’autre « galet ».

      J’ai refait celui-ci avec la bonne adresse et j’ai supprimé celui que tu m’avais laissé.
      Ce ne pouvait être que toi, avec ces mots-là !

      Passe une belle journée.

  6. Quel beau cadeau, ce dessin est magnifique, j’aime beaucoup le « coup de crayon » ce qu’il représente et ce qu’il veut dire…
    Bonne fin de semaine.
    D@net.

  7. Oh ! Quichottine comme je me retrouve dans tes mots ; je dis et écris même « Nous somme tous égaux, mais malgré tout, tous différents »…
    La mode ne touche pas tout le monde ! L’uniformité ? Très peu pour celle qui est & n’est pas comme dit si bien Quichottine.
    Je pense aller à la rencontre de celui qui a imaginé un Don Quichottine au réflet d’une image vraie.

    A bientôt Grande Quichottine.

    P.S : J’ai apprécié « Mamie »…
    VRAIMENT.

    • Merci, Toi qui ne fus jamais et qui es toujours…

      Je vais continuer le conte où tu es, malgré toi, l’un des acteurs désignés volontaires…

      J’espère que tu ne seras pas déçue.
      Comme chaque fois que j’envoie mes visiteurs vers un ailleurs, il est bon de savoir que ce que j’ai aimé, je l’ai souligné et que je ne peux pas garantir le reste de la lecture.

      Nous sommes tous égaux et différents. C’est ce qu’il faut avoir en tête.

      J’ai aimé les portraits peints par Georges, pour ce qu’ils me montraient de mon enfance. J’aurais pu écrire certains d’eux, pas tous.

      Il a vraiment une belle plume et je me suis prise à le suivre dans la balade, la main dans celle de sa mère.

      Je crois que ceux qui ont lu mon billet et qui liront ces commentaires le savent bien. Son Don Quichotte, si original, est parfait. Il m’a fait rire et réfléchir.

      Merci, AneverBeen.

      … pour ton PS aussi.

  8. J’imagine aussi qu’avec son idéalisme têtu, le Don Quichotte moderne soit sur le pavé
    de la grande ville…Logique, il y en a tant par les temps qui courent…

  9. notre ami G a bcp d’humour et son Don Quichotte qui fait la Manche est à se tordre de rire avant et à réflèchir après…
    bises

  10. Il fait de bien beaux dessins, je suis un peu pressée aujourd’hui, la grand-mère gardienne. Je reviendrai.

    • Déjà, c’est très gentil d’avoir vu ses dessins.

      Demain, une longue histoire, chez moi. Mais tu pouras la lire en plusieurs fois.

      Passe une belle soirée, Solange. J’espère que tes petits-enfants n’ont pas été trop fatigants.

  11. Merci pour le détour…dommage cependant que l’article soit si long…j’ai donné mon avis qui est bon, mais je t’ai rejoint sur l’idée de la découpe qui permettrait finalement de mieux savourer chaque métier…car là je l’avoue je n’ai pas pris le temps de tout lire… bisous Quichottine..;bonne soirée…

    • C’est vrai… Il aurait fallu le couper par métier… mais l’histoire se tient.

      Tout lire, il faut du temps.

      Merci d’être passée là-bas.
      Bisous et bonne soirée à toi.

  12. Je reviens du  passé avec un peu de nostalgie et j’ai dégusté les dessins de ce croqueur de temps, croqueur de mots…une belle découverte une fois de plus grâce à toi.
    Gros bisous

  13. J’ai, il y a quelques années, fais un voyage d’affaire dans la province de ‘La Mancha’ à Albacete mais je n’ai pas rencontré Don Quichotte, est-ce normal ?
    @+ 

    • Il n’y en avait nulle part ?
      C’est étonnant.

      Il y a bien une rue don Quijote, des restaurants, des clubs, une résidence universitaire (etc.) du même nom, à Albacete, comme dans la plupart des villes espagnoles, si ce n’est toutes…

      Je suis sûre qu’il s’est caché quelque part en te voyant arriver.
      Est-ce normal ?

      Un sourire pour toi… Merci.
      Passe une bonne soirée.

  14. J’ai dégusté avec délices les souvenirs de l’anse du panier !
    Merci pour cette découverte.
    Bonne soirée
    Bises
    Marie

  15. voilà un    don quichotte pas ordinaire..je suis allée voir le blog de Georges, j’aime bien ses desssins

  16. J’aime beaucoup Quichottine !
    Ce qui est intéressant, avec des blogs comme le tien, c’est que le web continue de véhiculer des valeurs d’écriture et de pensée qui sont de puissantes digues contre le débordement de toutes les inepties d’Internet …
    Amitiés et à +,
    Alain MARC

    • Merci, Alain-Marc.

      Le tien me fait toujours autant rêver. J’aimerais pouvoir suivre tes stages d’aquarelle… mais je ne le peux pas.
      Alors, j’imagine.

      Amicalement à toi.

  17. il est génial ce croquis !… bravo à Georges 🙂
    T’embrasse Quichottine, une petite halte par chez toi qui me ravie, bon we

    • Venant d’un peintre de talent, ce commentaire lui fera certainement plaisir.

      Merci, Joëlle.

      Bon weekend à toi aussi. T’embrasse plein.

  18. Chez Georges, dans son panier à souvenirs, j’ai été  » accrochée  » par un portrait. Normal, c’est celui de Francine la bouchère et des esses de sa boutique !
    Pourtant, je ne peux pas dire que c’est celui que je préfère, mais en tout cas son réalisme cru, violent de la violence faite à ces animaux, suintant les souffrances infligées aux hommes, m’interpelle si fort.
    J’aurais préféré l’art du cordonnier Lévy, ou l’attente du cheval du maraîcher, mais difficile de faire un choix …

    Merci, amie Quichottine, de m’avoir guidée vers ce chemin des souvenirs de Georges.
    Plein de bisous pour toi.

    • Il y en avait beaucoup, c’est vrai. Personnellement, je n’ai pas pu choisir… j’ai aimé y aller et y retourner pour ce qu’il m’apportait de souvenirs d’enfance.

      Les petits commerçants me manquent aujourd’hui… ces rues qui vivaient à leur rythme.

      Chez nous, rien ne ressemble à tout cela.

      Passe une douce fin de semaine, Midolu. Plein de bisous pour toi aussi.

  19. Il est excellent ce dessin de Don Quichotte face à la crise. Cependant le vrai chevalier de la Mancha ne se serait jamais abaissé à cela… il aurait envoyé son fidèle « Sang Chaud ». C’était l’époque qui voulait cela! mais après tout… puisqu’il traverse ces fameuses époques et qu’il a la faculté de voyager au fil, avec et à travers le Temps, pourquoi ne ferai-il pas la manche à une station de métro? « Cambronne » ou « Bonne nouvelle » à mon avis il aurait hésité, à moins qu’il n’alterne.

    En attendant de le voir par ici, je te souhaite une bonne semaine

    • Je suis d’accord en cela… Mais qui sait ? Peut-être qu’aujourd’hui, pendant ce temps, Sancho serait en train de manifester… ?

      Cambronne ou Bonne nouvelle ? Je ne sais pas…
      Avec un peu de chance, il serait plutôt en train de mener la manifestation.

  20. il évoque de beaux souvenirs en effet Georges! tous ces gens qu’il fait revivre à travers ses  récit  c’est toute une époque disparue!
    J’aime beaucoup son dessin  !! Don Quichotte aurait aimé je pense!
    bisous

    • Je ne sais s’il aurait aimé… Mais je suis certaine d’avoir aimé ce que j’ai lu et vu dans les rues alors que je voyageais avec Georges dans la rue de son enfance.

      C’était aussi la mienne.

      Bisous, Fanfan.

  21. c’est un superbe quichotte, hélas !
    j’aime beaucoup les dessins et les souvenirs qui sentent bons l’enfance , celle de dans le temps !!! sourire

  22. Je suis allée voir Georges, et l’histoire de l’anse du panier puis celle sur les graines de caroube m’ont transportées dans un autre univers.
    En tout cas, j’aime beaucoup le dessin qu’il t’a offert…
    Je t’embrasse en te souhaitant une nuit paisible Quichottine 

    • C’est vrai que c’est un univers très différent.

      Merci d’être allée lire.

      Je t’embrasse fort, que ta nuit soit paisible aussi.

    • Un métier qui a presque disparu… Pourtant, les matelas de laine, c’était bien.

      Avec le « tout bio » nous y reviendrons peut-être.

  23. J’aime bien son univers décalé … En tous cas, son dessin est criant de vérité et plein de sens cachés !
    Bonne fin de semaine ! Bisoux.

    dom
     

  24. Ce croquis est magnifique
    La crise tout le monde … même les braves

    Bon vendredi

  25. Oui, je vais aller voir … Tu as ce don de nous mettre l’eau à la bouche dans ta quête de nouveautés, qu’on ne résiste pas…
    J’ai le temps… A bientôt.

  26. je suis morte de rire en lisant ton commentaire.. mais avec les grandes oreilles on reconnait mieux la différence entre un cheval et un âne
    Trop bien le dessin de Georges qui était venu se perdre dans mon Oasis et  j’ai découvert son anse du panier il y a quelque temps. Un régal à lire !
    je te fais plein de bisous ma douce Quichottine, je vais aller goûter aux rayons du soleil qu’il y a dehors.
    le matelot de la terre ferme

    • C’est vrai… je n’avais pas les yeux en face des trous, c’est sûr !

      J’ai vu que tu connaissais déjà Georges, et cela m’a fait plaisir.

      Plein de bisous pour toi aussi. J’espère que tu as bien profité du soleil.

  27. J’y pense de plus en plus à ces sans-abris et ce matin particulièrement quand j’ai ouvert la fenêtre de ma chambre et qu’il est rentré un air très frisquet. Différence entre le « dehors » et le « dedans », entre les « ayant un toit » et les « sans-abris ». leur parrain va avoir encore fort à faire cet hiver!!!
    Bises du soir Quichottine!

    • C’est vrai que le temps fraîchit.

      J’aimerais que l’on trouvât une solution pour eux.

      Bises du soir, Alrisha. Merci d’être passée.

  28. moi j’aime bien le litre de rouge à côté…cela explique bien pourquoi il a du mal à tenir assis et qu’il a les jambes écartées…

    • Tu m’a fait rire… Le litre de rouge fait partie de l’imagerie des « clochards ». Là, je ne sais pas. Peut-être est-ce pour Sancho ?

  29. ben oui c’est pour Sancho…autrement Sancho « pencha »

  30. Et bien j’ai rencontré l’enfant du jour chez ton ami, il m’a fait pensé a mon charmant voisin. Un papy bien sympathique, l’autre grand père qui remplacera un peu celui que loic n’a pas connu. il était d’Alger lui aussi, et il aurait pu écrire ces mots ^_^ je n’ai pas le temps de laisser une trace chez lui, mais j’y retournerai sans doute. quand a Sancho qui fait la manche, ma fois aujourd’hui qui peut dire qu’il ne la fera pas. A part les planqués sur leur beaux fauteils en cuir bien sur ^_^ je me demande si je vire pas Anar moi oupss il faut que je me soigne 🙁

    • Sourire, ma Loralie…

      Je suis contente que ce voyage chez Georges t’ait plu. Il faut du temps… mais il en vaut la peine.

      Je te comprends, tu sais… il y a des moments où je me demande la même chose… et il y a de quoi le devenir !

      Bisous tout plein… j’espère que tout s’arrangera avant qu’on le devienne vraiment.

      Je te souhaite un beau weekend.