Emmanuelle Grün… Peut-elle passer chez vous ?

C’est vrai… je pourrais ne rien dire… Mais je n’ai pas envie.

J’ai lu un article, grâce à Annie-la-marmotte.
Je lui ai dit que je vous en toucherais deux mots…

Je vais tenir parole. Libre à vous ensuite d’essayer de l’aider si vous pouvez.

Elle est jeune, pleine d’espoir, avec encore des rêves à réaliser, des envies à satisfaire.
Elle a un grand projet.

Un défi un peu fou, mais si attendrissant que j’ai eu envie de l’aider. Moi, je ne suis pas sur son trajet, mais l’un de vous, peut-être ?

Et, qui sait ? Peut-être, grâce à vous, pourra-t-elle écrire son prochain livre.

Moi, en attendant, je mets son dernier dans mes livres à lire.

 Emmanuelle Grün

Du soleil dans les yeux et le pas de l’âne comme un coeur qui bat

Journal d’une traversée de la France avec un âne

Yvelinédition, 2005

Tous les renseignements sur le projet sont (clic)
Le livre est disponible en librairie et à la Fnac.

66 commentaires à propos de “Emmanuelle Grün… Peut-elle passer chez vous ?”

  1. Emmanuelle est passionnée et courageuse. Je trouve son projet ambitieux, mais c’est si beau d’avoir des envies et d’essayer de les réaliser !
    De même, je ne me trouve pas sur son itinéraire estival.
    Soutien et encouragements pour Emmanuelle et Chéri …
    Et merci à toi, Quichottine. Bisous.

    • Je le crois volontiers, j’aurais aimé être sur sa route.

      J’espère qu’elle trouvera des amis pour l’accueillir.

      Merci, Midolu. Bisous.

  2. je suis passé la saluer, car pour l’héberger en HLM et en pleine ville avec un âne, ce n’est pas possible !! Bises et bonne soirée chez toi.

    • Je me doute bien… mais en tout cas, je suis sûre que ta visite lui aura fait plaisir.

      Bisous affectueux pour vous deux. Passez une belle soirée.

  3. Sympathique projet avec son Chéri…sans passer par la Bretagne, dommage ! Je lirai ses livres alors. 
    Douce soirée, Amielle.
    Toutes mes affectueuses pensées. Gros bisous, tout plein.

    • J’ai trouvé le projet hardi, sans pour autant qu’il soit impossible.
      Je les lirai aussi, mais pas tout de suite, j’ai encore beaucoup à lire.

      J’espère que tu as passé une bonne fin de journée… Je te la souhaite belle aujourd’hui, mon Amielle.

      Je t’embrasse très fort.

  4. Belle promenade, mais je préfère mes pieds !
    Bonne soirée et merci pour l’orchidée.
    D@net.

    • Elle marche à pied, l’âne ne porte que ses bagages.

      J’admire beaucoup ce que vous avez fait sur les chemins de Compostelle. C’est une belle aventure.

      Passe une bonne journée. J’espère ne pas m’être trompée pour l’orchidée.

    • Nous sommes plusieurs à le relayer, c’est tant mieux je crois.

      Bon jeudi à toi aussi, Dom. Bisous.

  5. Il faut le faire vraiment, il faut être courageux. Elle l’a voulu on ne va pas la plaindre mais pauvre âne. Bises

    • L’âne porte les bagages… je ne pense pas qu’il soit malheureux de le faire.

      Je ne la plains pas non plus, ce n’est pas ce qu’elle demande. Je lui souhaite de réaliser son projet.

      Bises, Martine. Merci de t’être arrêtée.

  6. Pobre burrito, y él te parece que está de acuerdo de hacer toda esa travesía!!
    Saluditos

    • No lo sé. Quizás esté contento con la vida que tiene con ella.

      Le lien qui unit l’homme et son animal est parfois suffisant pour ce dernier… Mais je n’ai pas de réponse sûre à te donner.

      Merci, V.V.

  7. j’ai vu sa demande chez kri; elle ne passe pas non plus par chez moi : je ne sais pas si les ânes ont le pied marin!! je ne savais pas qu’elle avait érit un livre sur ses aventures ;
    je lui souhaite bonne chance !

  8. C’est une très belle idée de partir avec chéri en balade…
    Je lui souhaite du soleil et du courage.
    Elle ne passe pas en limousin, dommage, il y avait de la place à la petite maison. Chéri aurait pu brouter dans la prairie et Emmanuelle dormir ici…
    Je t’embrasse très fort.
    Sophie

    • Ce sera sans doute pour une autre fois.

      Merci pour ta grande générosité.
      Le soleil ne dépend pas de nous mais je lui en souhaite aussi. Ce n’est pas drôle de marcher sous la pluie si j’en crois les randonneurs qui me rendent visite.

      Je t’embrasse très fort.

  9. dommage qu’aujourd’hui j’habite au coeur de Paris..ç’aurait été avec plaisir

    • C’est joli, le cœur de Paris… mais c’est vrai que ce n’est pas pratique pour recevoir Emmanuelle et Chéri !

  10. Un bien joli projet, très courageux, j’ai peur de faire partie de ces touristes un peu classiques Qui roulent bien plus qu’ils ne marchent oops !!!! lol

    • Comme moi…

      Mais, bon, il m’arrive quand même de marcher. Alors, j’admire ceux qui le font tout le temps !

  11. Merci à Quichottine et à tous les Quichottiniens pour vos encouragements. Grâce aux bloggeurs et bloggeuses, 2 contacts obtenus avec des familles qui sont pile poil de l’âne sur mon itinéraire. Je dois d’ailleurs préciser qu’il y a eu des petites modif, dans le trajet. Pour ceux qui sont en plein cœur de Paris, ça ne changera rien, mais pour les autres on ne sait jamais…
    voir sur : http://aupasdelane.vefblog.net
    A tous, très bonnes vacances estivales !

  12. Bravo Emmanuelle car tu pousuis tes rêves au point d’en faire une réalité nouvelle.

  13. Encore une fois j’arrive trop tard ! je pense qu’elle a pu passer tout près de chez moi et bien sûr j’aurais adoré l’accueillir, elle et son  » chéri « , il y a encore tout plein de place même si les moutons du voisin broutent tout près de la maison ! peut-être l’année prochaine ! merci Quichottine de nous faire partager ces rencontres rares donc exceptionnelles ;je te souhaite une bonne nuit

  14. C’est bien de retrouver symboliquement ce texte au moment où on ressort l’âne de la crèche. Par ici aussi j’aurais pu lui trouver un hébergement. Qui sait, elle viendra peut-être un jour…

  15. Coucou douce Quichottine, tu as bien fait de relayer l’information.. quelle aventure et je me dis dommage que je ne suis pas sur sa route..Chéri aurait eu de quoi manger..
    c’est passionnant de vivre de telles aventures.
    merci à toi de toujours penser aux autres..
    plein de bisous du matelot de la terre ferme.

    • Je ne pense pas toujours à tout, ni à tous… même en essayant de n’oublier personne.

      Mais c’est vrai que c’est une belle aventure.

      Merci, Chantal, pour ta présence aujoud’hui. Plein de bisous.

  16. je ne suis pas sur son chemin pour l’aider, c’est beau d’avoir un projet et de tout mettre en oeuvre pour le réaliser, félicitaions à cette aventurière asinienne et bonne chance. Très bonne fin de journée avec des bigs bisous

    • Je suis certaine que tes encouragements lui feront plaisir. Merci, Lili !

      Passe une belle journée. Bisous.

  17. J’ai mis l’info en module « texte libre » comme ca il reste toujours en haut
    J’espère qu’on la remarque, ca fait deux jours que je l’ai mise

    • J’ai hésité entre les deux. J’ai choisi d’en informer d’abord mes abonnés en publiant un article. Lorsqu’il aura quitté ma première page, je le mettrai en texte libre pendant un temps.

      J’espère que cela lui apportera contacts et encouragements.

      Bonne journée, Kri. Bisous.

  18. bonjour
    juste un tit coucou et merci pour tout ce que tu as fias pour NOUS

    • J’ai seulement fait ce que je croyais bon, Céliandra. J’espère pouvoir un jour présenter le recueil dans la bibliothèque… Je le ferai si je peux.

      Merci à toi pour ta présence aujourd’hui.

  19. Elle ne passe pas dans le Cotentin mais je lui souhaite une belle balade au rythme des pas de Chéri , elle devrait trouver tout de même des gens généreux et puis l’animal amène plus facile à échanger avec quelqu’un que l’on ne connait pas 😉

    Et si tu me permets un jeu de mot un peu cru , c’est une des rares qui peut dire que son Chéri est monté comme un âne 😀

    Bonne soirée Quichottine Bisous
    Tu peux supprimer mon com si tu trouves que je vais trop loin.

    • Rire, Urban !

      Pourquoi supprimerais-je ton commentaire ? Il m’a fait rire, hier quand je l’ai lu, et aujoud’hui, au moment où je te réponds.

      Mes lecteurs aussi ont le droit de rire…non ?

      En tout cas, tu as raison, la présence de l’âne doit permettre des contacts plus faciles.
      J’espère de tout coeur qu’elle réussira.

      Merci pour ta visite et pour tes mots. Je t’embrasse et te souhaite une belle journée.

  20. j’aurais peut-être pu lui trouver un abri pour elle et son âne mais elle ne passe pas par chez moi!
    bises

  21. De bien jolis rêves de voyage…

    Merci Quichottine pour ce lien attachant…

    KERFON LE CELTE

    • Merci à toi de l’avoir suivi.

      J’aime ce genre de projet où la seule chose que l’on demande, c’est un peu de solidarité.

      Bisous, Kerfon.

  22. Le titre est déjà sympa.
    Maintenant, reste à voir ce qu’il contient. 🙂 

    • Je sais… il est difficile de parler sans avoir lu. Aussi n’ai-je fait que relayer une demande. Le livre, on verra plus tard. J’ai bien aimé le titre.

  23. super projet….
    je vais lire son livre, si elle l’a écrit comme elle écrit son projet, cela doit-être savoureux!!

  24. Bonsoir,

    Un petit message pour te dire merci de ton passage sur notre blog des Cahiers il y a quelques jours et pour ton commentaire sur cet article que j’ai écrit juste après la mort de Juliette la femme de mon ami Jean Pélégri. Moi non plus je ne t’oublie pas et cette fois-ci je te réponds comme tu vois sur un texte qui n’a rien à voir avec l’art mais avec les bestioles fabuleuses que sont les ânes… ça change un peu mais moi ça me rappelle mes années de liberté et d’utopies partagées dans les Cévennes… qui ont été le vrai bonheur de ma vie !
    Pour ce que tu me dis dans ton com au sujet des amis qui comptent tant pour moi c’est vrai que j’ai la chance comme je l’écrivais dans cet article d’avoir des amis comme on en rencontre peu dans la vie je crois. Jean en était un qui avait la grandeur et la beauté d’âme des gens simples et bourrés de talent de bonté et d’humanité. Je ne pourrai jamais dire ce qu’il m’a donné mais il est de ces êtres rares qu’on rêve de croiser un jour dans les rêves qu’on fait quand on est enfant en se disant bien sûr que ça n’arrivera jamais… Et puis quand ça arrive alors on sait que c’est un petit signe du destin et on a qu’un mot aux lèvres : merci.
    Mais il n’y a pas que Jean qui a fait de mon chemin zigzag une piste fabuleuse de découvertes tu t’en doutes. Marie Virolle qui est aussi une amie très chère et qui a publié la première mon petit bouquin  » Par la queue des diables  » dans sa revue Algérie Littérature Action a été à l’origine de toutes mes rencontres avec les créateurs d’Algérie. C’est elle qui m’a permis de publier mes articles de critique littéraire dans sa revue et son amitié ne m’a jamais fait défaut depuis qu’on se connaît même et surtout ces dernières années où j’en ai vu des belles sur le plan humain ! Marie partage avec moi tous nos rêves d’Algérie et d’écriture, on est des frangines d’utopies, et ça c’est magique !
    Il y a aussi Christiane Chaulet Achour que tu connais et qui m’a permis de faire le lien entre mes gribouillages et le public tellement lointain pour moi des Facs… ces gens qui travaillent sur et avec les bouquins qui ont donné à mes écritures un autre ou d’autres sens que ceux que je croyais et avec qui j’ai pu parler échanger me relier au monde étrange des  » intellectuels « … J’ai pu vous rencontrer toi et les autres personnes présentes à ses cours… Et puis il y a eu Solen qui a travaillé sur mon p’tit bouquin et tant etn tant d’autres croisements grâce à mes passages éclairs à la Fac de Cergy avec Christiane !
    Il y a Patrick Navaï qui est poète et responsable de la revue Migraphonie un ami franco iranien que je fréquente depuis quelques années et qui a aussi un talent fou ! Ecrivain poète dessinateur musicien et avant tout un ami qui soutient nos Cahiers des Diables bleus depuis qu’ils existent en les achetant et en y écrivant et qui m’a accueillie chez lui et fait découvrir sa femme Sylvie qui est prof de dessin et qui fait des peintures sur papier qui me font penser à celles du Douanier Rousseau ainsi que son fils Yvan qui est un musicien extra ! Yvan joue du santhur un luth iranien de l’accordéon du piano… le tout comme un diable généreux et génial et il chante en perse et en français. C’est un pur bonheur de passer des moments en leur compagnie et leur gentillesse leur hospitalité me soutiennent toujours. On a des tas de projets de lectures et d’expos ensemble avec Louis et eux trois… mais avant tout ce sont des êtres qui me font du bien car ils me permettent de croire encore à la bonté et à la poésie humaine.
    Et puis il y a Françoise Bezombes que tu connais aussi qui est une des personnes dont l’amitié me touche beaucoup car on s’est rencontrées autour de notre histoire avec l’immigration algérienne dans les cités de nos enfance et autour de notre culture populaire partagée comme c’est le cas avec Louis aussi. Françoise a trouvé dans nos Cahiers un espace d’expression où elle se sent chez elle et elle se démène pour faire connaître cette petite revue totalement artisanale à toutes ses relations et pour la vendre avec une énergie et une passion qui m’enchantent. C’est le type même d’échange de solidarités dont tu parles dans ton article sur cette jeune femme voyageuse avec son âne qui me comble car il fait partie de mesutopies de jeunesse et là je sais que c’est possible…
    Et puis il y a Louis qui est mon compagnon et mon ami car la bienveillance est au rendez-vous entre nous avant tout et sa rencontre comme celle de Jean a complètement bouleversé ma petite histoire car c’est un garçon qui mêle la simplicité et l’intuition poétique à la Prévert… Je n’en finirais pas comme tu vois et mon ami Jacques Du Mont le photographe qui accompagne mes délires depuis 25 piges me dit souvent qu’on est partis dans la même galère tous ensemble et que si après tous ces virements de bords on est encore là à se tenir bien fort ça prouve quandmême quelque chose non ?
    Bien sûr il y a les amis qu’on a perdus en route ceux qui ont trahi le lien qu’on croyait tellement solide et puis… et aussi ceux de notre jeunesse rebelle qu’on a perdus de vue parce que la vie… parce que le temps… et ces fameux virements de bord justement… Mais ils sont là auprès de moi quand je pense à nos moments si intenses et si beaux autour des flammes de nos feux de bois dans ces hivers cévenols où on avait pas de toits à nos baraques ruinées dans nos hameaux au bout de nos chemins de terre gelée… Ils sont là au coeur de nos étés fabuleux et de leurs nuits bleues comme celles de nos banlieues aujourd’hui.
    Je pourrais te raconte cette histoire de l’élevage d’ânes que faisaient noscopains justement afin d’emmener les gens en randonnées une fois le printemps de retour et toutes les aventures folles que ça faisait… Le projet de cette jeune femme a ça de magique c’est qu’il sejoue sans le rapport obligé au fric et à quelque chose de bien sensé de bien formaté comme on aime tant ça désormais. Elle ose vivre un truc un peu ouf et généreux et demander aux autres de lui filer la main s’ils veulent bien ! Ouaouf ! C’est du rêve à l’état pur ça dans lemonde sarkorien qui nous tue à petit froid dans le coeur et à grande solitude…
    Alors j’espère que les portes vont s’ouvrir et que la bonne aventure sera au rendez-vous et vraiment encore et encore merci pour cette fenêtre grande ouverte sur de l’utopie et de l’émerveillement juste au bord de cet été flamboyant. Qu’il te soit plein d’enthousiasme et on se retrouve bientôt. Dominique

    • Bonjour Dominique,

      Ton message (pas si petit) me fait plaisir.

      Le projet d’Emmanuelle m’a touchée aussi, pour ce qu’il sous-entend d’espoir et de foi en l’humain. Je me suis dit que c’était beau et qu’il fallait l’aider, dans la mesure de mon possible. Si j’avais été sur son trajet, je les aurais volontiers accueillis.

      J’aime ce que tu dis au sujet de Jean… et des rencontres qu’on rêve de faire. Il n’en est pas de si nombreuses qui nous laissent ainsi le goût de l’inaccessible enfin atteint. C’est merveilleux. Ce merci, je suis heureuse que tu aies pu le dire aussi.

      « Frangines d’utopie »… j’en suis sûre, c’est magique ! Cette communion qui lie deux êtres… Oui, c’est très beau.

      Pour Christiane, je suis d’accord. C’est quelqu’un que j’admire, pour sa présence chaleureuse, pour son travail, pour le sérieux et la constance de son engagement.

      Je souris en lisant ce que tu écris sur ceux qui donnent un autre sens à tes écrits… Tu sais, je crois que chaque lecteur est ainsi, il s’approprie tes mots, leur donne un sens parfois très différent. Ce qui compte, c’est de l’avoir fait réagir, dans un sens ou un autre, l’échange qui peut avoir lieu, virtuel ou réel. Lorsque tu m’écris, plus encore que lorsque je je lis tes mots sur ton blog, je ressens cette présence qui m’avait séduite à la Fac. J’ai l’impression que cet échange commencé, sans que tu le saches alors, s’est poursuivi dans tes écrits, ceux que j’ai lus, ici et là, et qu’il pourrait être réel sans rien perdre de sa richesse.

      Croire en la bonté et à la poésie humaine… on y revient. Je crois qu’avant tout ce sont des relations à protéger. Garder cet espoir, cette foi dont je parlais. Ne pas se laisser abattre par ceux qui nous objectent les réalités qu’on met en avant partout dans les journaux. Le bien et le beau existent, il peut aussi être mis en avant. La solidarité existe, autrement que pour le bruit qu’on fera autour. Solidarité de  ceux qui œuvrent en silence, et qui font, tout doucement, avancer les choses.

      Françoise… oui, je la connais. Je l’ai trouvée géniale. Louis, j’adore ce qu’il fait sur les cahiers, et sur ton blog, ces illustrations qui m’enchantent dès que je passe chez toi.

      … Oui, il y a des personnes d’exception autour de toi, et je sais que c’est important. Personne ne peut vivre tout seul dans son coin, et c’est ce que j’aime, ces liens qui se nouent…

      C’est vrai que certains disparaissent, que certains le font en blessant, comme si rien n’avait compté… mais il ne faut pas leur en vouloir, la vie est faite aussi de ces blessures, de ces chagrins.
      Le temps se charge de trier…

      J’aime ce « rêve à l’état pur » dont tu parles. Seulement lui saura nous sauver de l’hypocrisie et de l’égoïsme.

      Merci à toi, pour ta présence, pour tes mots, pour ce partage qui est le tien chaque fois que tu viens ici.
      Je sais que tout n’est pas facile pour toi aujourd’hui, mais j’aime te retrouver, toujours fidèle à ce que j’ai vu en toi la première fois, à la Fac, à Cergy.

      Que ton été soit beau aussi, Dominique. À tout bientôt.