Pierre-Louis Daviken, La rémige bleue

Il est plus que temps que je vous parle de lui… sinon, vous allez croire que je veux le garder pour moi, rien que pour moi !

Pierre-Louis, c’est un blogopote… un aminaute… bref, quelqu’un qui passe de temps à autre me voir, histoire de m’avertir que la suite est parue.

La suite ?

Oui, je sais, j’ai une « suite » moi aussi qui vous ennuie parce qu’elle ne vient jamais assez vite.

Eh bien, chez lui, la suite est toujours pleine de surprises.

C’est l’histoire d’un manoir…

Non, pas vraiment… C’est l’histoire d’un chat…
Non, pas du tout !

C’est l’histoire d’une rémige bleue…


N’est-elle pas belle, cette bannière ? La jolie plume bleue m’a attirée la première fois…

Je vous parlais d’un manoir. C’est vrai, il y a aussi un manoir, un peu comme celui où j’aurais aimé installer ma bibliothèque… tout en haut de la tour.

C’est l’histoire de l’écriture d’un conte, surtout.

Derrière le conte, il y a un écrivain, quelqu’un dont je ne connais rien, seulement une image qu’il a mise sur son blog, pour se présenter…

Cela pourrait suffire comme présentation, mais j’ai envie de vous en dire davantage.

Lorsque je vais chez lui, je m’installe, auprès du feu que j’imagine dans la grande cheminée de pierre. Le vent souffle dehors, mais il n’est pas méchant. Il parle..

OUI, vous avez bien lu ! … C’est le vent qui parle, le vent, mais aussi les pierres de la maison, les dalles du sol, le moindre objet que l’on y trouve. Ils communiquent entre eux, ce sont les témoins de nos vies et nous n’y faisons pas attention d’ordinaire, nous, les « bougeants » terme qui qualifie tous ceux qui peuvent passer d’un endroit à l’autre, là-bas.

Chapitre après chapitre, nous entrons dans ce monde, celui où rien n’est impossible.
Ligne après ligne nous apprenons à le déchiffrer, à l’écouter.

Ce n’est pourtant pas un livre pour enfants… je ne crois pas, bien que les enfants puissent le lire. C’est un livre pour rêver d’abord, pour sortir de notre quotidien à nous, où nous marchons sans nous préoccuper de ces milliers de choses qui nous entourent et qui ont aussi des pensées qui nous surprendraient peut-être si nous savions les écouter.

Ils nous diraient comment ils nous voient… et nous feraient par là-même réfléchir.

Voyons, comment ne pas vous faire fuir pour autant…
Un livre pour réfléchir ? Pas tout à fait non plus.

Pierre-Louis publie son roman depuis le 4 décembre 2008… nous en sommes maintenant au chapitre 19, c’est encore possible de rattraper… ou au moins d’aller le découvrir et de le mettre dans un coin de sa mémoire pour le jour où La Rémige bleue sera sur une étagère de ma bibliothèque, pour de vrai, dans un beau livre illustré ou non, comme l’éditeur l’aura décidé.

J’aurais pu vous parler de Ronron, le chaton, du talus qu’il rencontre et qui l’abrite au premier chapitre, du chemin qui accepte d’être le sien au second, de Jonathan, le goéland (eh oui, c’est un nom très en vogue chez les goélands), de Pico et Pica les deux héros que la tempête sépare et qui s’aiment tendrement… mais… il faut suivre.

Un extrait ? Je vais le choisir à dessein, sans aucun des héros dont il a été question plus haut,

[…]

C’était toujours le même problème. Le grand problème des schisteuses, des briques, de la cheminée : elles faisaient partie des fixes ! Et un fixe, ça ne bouge pas !

– Pépé est-il dans les parages ?
– Il faut le demander aux briques du dessus !
– Eh Oh ! Les briques d’en haut, cria la cheminée.
– Oui ? Qu’est-ce qui se passe ? On s’enrhume ici.
– Qu’est-ce qui ne va pas ?
– C’est une tempête qui se prépare.
– Comment savez-vous ça ?
– C’est le parpaing du dehors qui nous l’a dit.
– Une petite tempête ?
– Non !
– Non ?
– Un ouragan, d’après le vent.
– J’ai peur ! cria une dalle au fond de la salle.
– Oh toi la dalle frileuse… dit celle d’à côté, tu paniques pour un rien.
– Un ouragan tout de même !
– Et alors ? Notre manoir a des siècles. Il en a vu d’autres.
– Tu crois ?
– Bien sûr.
– Eh, Oh ! Cheminée !
– Quoi encore ?
– Qu’est ce qu’il dit encore le parpaing là haut ?
– Il dit que le peuplier plie à se rompre.
– Ça va mal, dit une dalle près de la porte d’entrée.
– Est-ce qu’il voit autre chose ? clamèrent les schisteuses.
– Parpaing ? Vois-tu autre chose ? colporta la cheminée.

Mais il n’y avait que des feuilles qui s’envolent et des branches qui cassent.

– Où est Pépé ? Où est Pépé ? Est-ce que vous voyez Pépé ?
– On l’a vu ramasser du bois ! répondit le parpaing.
– Il faut faire quelque chose ! Il faut faire quelque chose !

Mais que pouvaient-elles faire ? Pépé était un bougeant. Et c’était toujours le problème des bougeants : ils bougent tout le temps ! Et quand il faut les prévenir, ils ne sont jamais à la bonne place.

[…]

(« Les fixes et les bougeants », 8 janvier 2009)

Et puis, un autre… pour faire bonne mesure et ne pas trop rester sur sa faim…

Pourquoi craques-tu ? C’est la vieillesse ? demanda la roue du moulin.

La roue et le ponton étaient aussi vieux l’un que l’autre. Ils coulaient des jours paisibles dans le flot d’une rivière tranquille.

– Et toi ? Pourquoi tournes-tu comme une toupie aujourd’hui ?

Pépé venait souvent les voir, lorsqu’il avait besoin de moudre un peu de blé pour faire la farine de son pain, ou pour emprunter Barquette la petite barque verte, histoire de taquiner la truite ou faire une virée jusqu’à la mer. Barquette semblait toute excitée, elle n’arrêtait pas de tirer sur son cordage.

– Ça suffit ou je te détache ! lui dit le vieux ponton.

Mais Barquette s’en fichait. Elle savait bien que sans Pépé, c’était impossible.

– Je sais ce que tu penses, lui dit le ponton.
– Et alors ? fit la petite barque.
– Alors va demander à la roue si ça fait mal de perdre une aube !
– Je ne comprends pas, lui dit Barquette.

La roue du moulin qui tournait comme une folle intervint :

– Je sais ce qu’il veut dire, petite insolente ! Continue donc comme ça et tu verras !

Barquette ne comprenait toujours pas. Cette connivence entre la roue et le ponton avait le don de l’agacer. Il fallait toujours qu’elle décrypte leurs sous-entendus.

– Tu vas me déchausser un pieu à force de tirer sur ton amarre, lui expliqua enfin le ponton.
– Et ça fait très mal ! ajouta la roue sévèrement.

La roue du moulin savait de quoi elle parlait. Elle avait perdu une pale et ne tournait plus très rond depuis quelques temps. Elle s’inquiétait pour son ponton. Ils étaient faits du même bois, et ce bois n’était plus très solide.

[…]

(« Le vieux ponton », 19 février 2009)

Et maintenant ?
Maintenant ? Il ne vous reste plus qu’aller lire… !

(La Rémige bleue a déménagé, on peut en lire des extraits désormais sur Over-Blog)

98 commentaires à propos de “Pierre-Louis Daviken, La rémige bleue”

  1. Merci de l’avoir mis en avant, c’est vrai, c’est un artiste, fait pour faire rever les grands comme les petits, un artiste, quoi !
    Comment faire pour le faire connaitre au plus large public et surtout les éditeurs ? Je vais chercher la solution, c’est dommage de laisser passer un tel talent, Pierre-Louis,nous sommes là, allez, on va y arriver, bisous

    • Tu es venue lire en avant-première…

      J’attendais Pierre-Louis, pour savoir si le billet pouvait rester en l’état.

      Bon, je suppose qu’il n’aura rien contre…

      Sois la bienvenue, Christine.

  2. Merci Quichottine,
    Je vais attendre l’accord de Pierre-Louis et ensuite je vais mettre un lien sur mon blog ( que vous pouvez visiter, je serais contente) vers votre article.
    Je vous souhaite une bonne semaine.
    Valy-Christine

    • Voilà, Pierre-Louis est passé, et mon billet paraîtra demain sur mon blog. J’ai bien aimé ce que j’ai vu chez vous aussi…

      Bonne semaine et grand merci.

  3. Merci ; pour tout ce petit monde de fixe et de bougeant; qui nous fait rêvé   ; on en a tellement besoin de REVER …………………. merci encore       bonne et belle nuit     bisous porter par les vents du sud

  4. Coucou, Amielle. J’ai eu un peu le temps de lire ici et chez Pierre-Louis…J’aime beaucoup. Merci de nous le recommander.
    Toujours pas de chance avec la connexion adm. Après demain j’essayerai depuis Manille… Gros bisous, tout plein

    • Merci à toi, mon Amielle.

      J’espère que depuis Manille, ça fonctionnera !

      Gros bisous à toi aussi, tout plein !

  5. Très belle la bannière en effet Quichottine, et bien il ne reste plus qu’à aller lui rendre visite à ton blogopote 🙂
    bisous pour toi en passant.

    • Merci… Je ne sais s’il te plaira, mais j’aimerais… parce que c’est ainsi que je t’imagine, écoutant ceux qui bougent et ceux qui ne le peuvent pas. Je suis sûre que tu les entends aussi.

      T’embrasse fort !

  6. Je n’ai pas le temps de tout lire maintenant mais ça a l’air alléchant !
    To compteur n’affiche plus les nombres de visiteurs, j’avais déjà remarqué hier
    Bises

    • Oui, plus de compteur depuis un moment, mais il part et revient, c’est un bug d’OB qui nuit aussi au bisou que je dépose dans mes commentaires et mes réponses. « 0010 », c’est un drôle de bisou !

      Mais ça reviendra… Je préfère quand mes deux petits compagnons s’embrassent ! Merci, Jeanne.

  7. J’adore !!!! Mais que les journées sont courtes pour satisfaire toutes nos envies !!

    Bonne journée à toi. Bises de nous deux;

    • Les journées sont trop courtes, Patriarch, je sais bien. On n’a pas le temps de tout voir… mais Pierre-Louis ne publie pas tous les jours… alors, c’est ma récréation du dimanche

      Passez une belle soirée à deux.

  8. Quichottine, merci ! Ton billet réveille et attise l’envie de lire La Rémige Bleue …
    Merci bien sûr à Pierre-Louis, que je ne manquerai pas d’aller visiter.

    • Tu verras, c’est une très belle histoire. Et, comme il ne publie pas tous les jours, on peut suivre

      Merci à toi

  9. Je connaissais l’expression « blogopote » mais là je découvre « aminaute » c’est mignon.
    J’aime bien cette idée de faire parler les objets, je me demande dans quelle catégorie ranger cette histoire, un conte? un roman?… J’aime bien ce style en tout cas.
    Bises

    • Les « aminautes »… C’est une expression de Sophie et j’aime bien.

      Pas de catégorie… C’est un récit où chacun peut trouver ce qu’il veut. Conte pour les enfants, roman pour les adultes, une fiction magnifique !

      J’ai adoré !

      Merci d’avoir donné ton avis.

  10. J’aime beaucoup, il passe aussi chez moi pour me prévenir d’une suite
    Gros bisous et bon mercredi ma quichottinette
    Flo

    • Je sais que tu vas lire… et cela ne m’étonne pas. Nous aimons les belles histoires, toi et moi !

      Gros bisous, ma Flo, passe une douce soirée.

  11. coucou et oui quand l’un ne fonctionne pas sans l’autre, il vaut mieux créer une discorde

    bisous

  12. Magnifique bannière Quichottin, et je vais m’en aller au manoir faire un arrêt près de la cheminée, je me suis laissée tenter. Bises

  13. bonjour, chère quichottine, je ne suis pas venue depuis un long moment, pas trop la forme, ces derniers temps, je vais mieux et retrouve le gout d’amller sur les chemins et tu es bien sur, ma chère amie d’un monde virtuel, la première sur ma liste ….
    merci de nous faire découvrir des nouveaux poètes ….

    • Merci à toi d’être là…

      Le chemin que tu as pris est difficile, mais je sais que tu vas retrouver la forme.

      Je t’embrasse, Isabelle.

  14. Et je dois dire que ta présentation me donne vraiment l’envie d’aller lire cet auteur. Je le découvre chez toi avant d’aller faire un tour sur ses pages, je le sens déjà, avec bonheur.
    Merci pour cette découverte.
    Bisous à toi et bonne soirée, Syl

    • J’espère que tu iras… C’est une vraie aventure, pleine de poésie et de tendresse. J’adore.

      Bonne soirée à toi aussi, Sylviane.

  15. Moi j’irais bien m’installer pour peindre dans ce manoir. Je vais passer sur son blogue voir le tout.

    • Je ne pourrais pas m’y installer pour peindre, parce que je ne sais pas le faire, mais je me mettrais à tes côtés pour te regarder créer… j’aimerais !

  16. tu as mille fois raison chaque fois que je sors de chez lui j’ai les yeux qui brillent et ce sentiment de plénitude ressenti dans l’enfance lorsque l’on vivait les vraies choses importantes de l’existence 🙂
    big bisous

  17. La façon dont tu le présentes cel ame fait penser à Patrick Cauvin…
    Si j’ai du temps
    En tout cas toi tu sais « provoquer le désir » et ceci est rare…

    je t’embrasse

    • Merci, Lmvie. Je peux partager l’envie que j’ai… je ne sais pas faire sinon.

      Sincérité : lorsque j’aime, je le dis.

      (Même si je préfère ne rien dire quand je n’aime pas.  )

  18. kikou ma belle j’ai du prendre un coup de vieux car de quelle sirène tu me parles pour le 5 avril. Je ne sais pas de quoi il en retourne. Pas d’uiversité tantôt car des gros problèmes d’intendance avec les prof grévistes. Sous le ciel bien gris du jour je t’envoie des bigs bises

    • Pauvre Lili ! Mais non ! Tu n’as pas pris de coup de vieux… tu n’as pas vu que je te laissais un lien pour aller voir chez mon amie Siratus, en avant-première.

      C’est vrai qu’il fait bien gris aujourd’hui… alors bon courage à toi…

      Passe une douce soirée…

  19. C’ est original comme style d’ écriture. Cela me plaît bien. « Pépé » est un personnage attachant.

  20. Bonjour Quichotine,
    La rémige bleue, car que par le titre elle m’avait attiré.
    Dès le début, j’ai été conquise.
    J’aimerais tenir ce livre entre mes mains et le lire au coin du feu.
    J’avais perdu le lien==> cause mon pc avait rendu l’âme, emportant mes liens.
    MErci 😉

    • Moi aussi !!! J’ai hâte qu’il termine et qu’on puisse l’avoir vraiment entre les mains. Ce sera un beau livre !

      Bisous, Sarang !

    • C’est vrai… Il y avait des soucis aujourd’hui sur OB…

      Merci à toi d’avoir insisté.

      Bonne nuit, Fancri !

  21. J’aime beaucoup ses écrits, j’ai juste comme pour toute la blogosphère en ce moment un peu de mal à suivre tous les chapitres mais j’aime le lire,sa façon de faire parler les objets, les animaux, à chaque fois je passe un bon moment sur son blog et dans son univers…… merci Quichottine c’est un bel article… gros bisous…

  22. Bonjour Quichottine. Cela fait un effet terrible de voir sa prose publiée ailleurs que sur son blog. Sans doute un petit avant goût de ce que ça sera lorsque je tiendrai mon livre entre les mains. Joli hommage à tout mon monde qui s’éveille jour après jour sous ma plume. Je te remercie énormément.

    Et maintenant ?
    Maintenant ? Il ne me reste plus qu’à continuer mon écriture.

    Amitié.

    • Je suis contente que ce billet ait ton approbation. Merci pour ces images et ces mots que tu me prêtes, c’est plus facile pour parler de ton monde, que j’aurais présenté de toute façon.

      J’adore ce que tu fais !

      … alors, c’est vrai, toi, il faut que tu écrives cette suite que j’attends.

      Merci pour ton amitié.

  23. Moi je crois que les enfants pourront le lire tout comme nous
    LIZAGRECE

    • J’en suis persuadée.

      Ce que je voulais souligner, c’est que ce n’est pas que pour les enfants. C’est un livre pour tous.

      Merci, Liza.

  24. C’est vrai tu as raison, ça mérite lecture, je vais aller découvrir cela de plus près …

  25. roh laaaaaa, que j’aime auand tu nous fais découvrir de telles merveilles!! je file là bas… rien que le titre, déjà m’attire! et puis… faire parler ainsi les vieilles pierres, le manoir, les arbres… j’y cours!! Bisous Quichottine

    • J’aime énormément… Je suis sûre que ça te plaira !

      … enfin… pour autant que je puisse l’être !

      Bisous à toi aussi, Mahina.

  26. j’ai vu tes échanges avec Siratus…Tu lui diras qu’à l’occasion : les manilles : il faut bien les serrer…sinon elles se dévissent…et bien sûr tu lui transmets nos amitiés mari-« naute ».

  27. ben : j’ai bien aimé…et le manoir, et le ponton…il a une bonne tête ce gars là…si : c’est un bougeant …il ira loin.

    • J’espère. Je rencontre rarement des personnes qui me donnent l’envie d’être moi-même éditrice, mais là, tu vois, si je le pouvais, je le ferais.

      Il y a quelque chose de vraiment bien dans ce qu’il écrit. Ce serait dommage qu’il ne soit lu que par quelques uns.

  28. Ta présentation est si belle, si enthousiaste que je ne peux m’empêcher d’aller découvrir ce manoir…
     Bonne journée Quichottine

  29. Oh là là je cours ce matin….. bon mais cette plume bleue est bien attirante! j’y vais…. rien que pour voir le manoir! on dirait qu’il est du….
    Bises dany

  30. merci !
    je suis émue de ce passage dans ma petite vie !!!!
    d’une grande de la littérature.
    Oui, il y a deux ans naissait chet tout gris, que j’ai du fermer pour ,des imbéciles qui m’envoyaient des injures de jalousie
    faisant suite le même jour Milraid la soeur de chat tout gris, sans faillir, racontait la vie des chats heureux…
    et la poésie mon amie oh! poésie en toute liberté sans rimes « ni raisons » rires….
    je te remercie du fond du coeur pour ton attention. bisous
    IRENE

  31. Coucou Quichottine, l’image est très belle et ton billet très alléchant.
    Je verrais ce week-end car pour l’instant, je ne peux malheureusement que survoler …
    Gros bisous et très bonne soirée,

    • Je ne sais si tu trouveras un peu de temps, mais si tu peux, je t’assure que le détour en vaut la peine.

      Gros bisous et très bonne soirée à toi aussi

  32. Merci du tuyau en tout cas le manoir en photo est superbe et j’avoue que je m’y verrai bien.
    bien amicalement
    krismalo

  33. Une bien belle dédicace, délicate attention de celle qui nous entraîne vers d’autres monde, de celle que tu arrives par des mots à nous envoûter. Je tourne la page et je vais aller me promener vers d’autres lieux… Biz Dame Quichottine & belle soirée

    • Va te promener là-bas, je suis certaine que ce monde te plaira.

      Bisous, Miss Betty. Passe une belle soirée aussi

  34. Merci à tout le monde pour ces gentils commentaires. Merci beaucoup à toi Quichottine pour ce brillant honneur que tu fais à tous mes petits personnages. Cela les encourage à continuer à jouer dans l’histoire de la rémige bleue. A bientôt.

    • J’espère ne pas t’avoir mis trop de pression… mais c’est vrai que j’aime cette histoire et que je ne veux pas la voir tomber dans une quelconque oubliette…

      Merci Pierre-Louis.

  35. l’écriture me plait en tout cas, je verrais ce que je peux faire, si seulement je pouvais arrêter ma pendule, je prendrais le temps ce soir  je note dans le coin du pc cette adresse , tu le présentes très bien en tout cas 😉

    Bonne soirée ^^

  36. Coucou ma chère Quichottine, comme tu choisis le haut de la tour, je prendrai moi la petite masure sur la droite.. je saurai lui donner une nouvelle vie.
    C’est la première fois que j’entends les voix des objets inanimés parler.. cela me plait beaucoup, bravo à ton Aminaute..
    Je suis une bougeante qui craque vue mon âge lol..
    bon week-end à toi avec plein de bisous
    le matelot de la terre ferme

    • C’est vrai qu’elle est jolie aussi.

      Merci d’avoir suivi mon lien….

      Passe un très bon dimanche, Matelot.

  37. Sais-tu que le pays de Pierre-Louis me plait… Histoires enfantines comme je les aime, description, mise en scène, plantage du décor : tout y est! & P.L est même venu à ma rencontre, pioupioupiou comme dirait miss Betty, quelle aventure mais quelle aventure!
    Biz & je te fais une infidélité ce soir, je m’en vais au pays de Clément qui n’attend que moi 🙂

    • Sourire… J’étais sûre qu’il te plairait !

      Merci de suivre Clément avec autant de fidélité !

  38. Bon, je rattrape mon retard accumulé je ne sais ni pourquoi, ni comment ( peut-être un peu trop de vagabondages ici et là), et je fonce là-bas, à la première occasion 🙂

    • Tu peux toujours aller ici ou là, et le billet que j’avais fait pour toi est toujours accessible.

      J’ai seulement encore quelques transformations à faire pour que tout redevienne – presque – comme avant.

      Merci d’être là, Pierre-Louis.
      Aujourd’hui, j’aurais besoin de murs qui parlent.

  39. La voilà donc la p’tite frimousse de Pierre-Louis! 🙂