Le voyage de Clément

Au cours des jours qui viennent, je vais publier ici un « Voyage »… qui n’a rien à voir avec celui que je fais depuis des mois sur la Toile.

C’est un voyage imaginaire, à travers des images que l’on m’a offertes. Les images et le texte bénéficient d’un copyright, il est inutile des les copier. Mais, bien entendu, vous pouvez lire, il n’y a aucun danger (sourire)….

Si vous désirez laisser un commentaire, ce sera ici, parce que les pages de Clément peuvent s’auto-détruire. Je ne veux pas que vos mots disparaissent aussi.

Au cours de ce voyage, vous retrouverez certains de mes personnages, ceux-ci m’appartiennent bien sûr. Je vous en ai parlé, dans la bibliothèque, à plusieurs reprises.

Une page par jour… pendant douze jours.

Douze mois… le temps qu’il a fallu à Clément pour se retrouver.

Je vous souhaite une bonne lecture…

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100 commentaires à propos de “Le voyage de Clément”

  1. Bonsoir,

    Douze mois,
    C’est un long voyage…
    C’est surtout un voyage qui se prépare…
    Alors, nous allons vous suivre… Toi, Clément, tes mais, ses amis…
    Bises

    • C’est vrai… mais c’était un voyage indispensable, tu verras…

      Merci d’avoir été là au moment du départ.

  2. Le mois de Mars est un mois de renouveau.
    Je laisse le jeune Clément pour quelques jours. Bises

    • Je sais que tu pars en vacances, Ruegy !

      … merci d’être passé alors que tu faisais tes valises (sourire)

    • Attends d’être bien, Clo… il ne faut pas être devant ton ordinateur, et là, c’est un peu long à lire…

      Gros bisous, frangine !

  3. Comme c’est bien écrit… J’aime ce style…
    je pense que Clément promènera cette ombre longtemps…. et cela peut-être même sans le savoir et un jour, elle refera surface, tel un fantôme…. parviendra-t-il à oublier complètement?
    Tu vois, je m’y retrouve un peu dans cette histoire….(c’est mon jardin secret…)  et j’ai hâte d’en connaître le dénouement…

    • Merci…

      Le dénouement, c’est pour bientôt…

      Clément est sans doute l’un de mes personnages préférés… avec le Lutin bleu de ses histoires (sourire)

      Passe une belle journée, Yvette.

  4. Tellement bien rangès tes écrits que je suis passée à côté ! parce que si j’aime bien le personnage de Don Quichotte qui m’avait semblé être le pivot de ton blog , ça ne pouvait aller très loin pour moi , donc peu de lecture de livres finalement mais toujours envie de venir te retrouver dans ta bibliothèque …et là , je découvre…des choses qui m’interpellent au plus profond du coeur . Quichottine , je crois que j’ai beaucoup beaucoup d’un retard que je souhaite combler à te lire et que ,oui , je vais venir plus souvent chez toi la Douce ( je ne saurais te donner un autre nom ) Gros bisous , tout plein pour toi ce soir  ;-))  C’est très utile de savoir se ballader….  » l’autre  » m’avait intriguée …ben voilà !

    • Tu as raison, Blanche. Don Quichotte est bien le pivot de la bibliothèque.

      Ici, c’est un peu différent…

      Je pense que tu trouveras vite le pourquoi de cet « autre ».

      Bisous affectueux, Blanche !

  5. A relire , je pense avoir trouvé le pourquoi de cet  « Autre  » auquel je mets une majuscule tant il a d’importance …cet Autre si précieux que le coeur y est accroché , comme Amour-hameçon …à jamais ! Mes pensées les plus douces pour toi chére Quichottine . C’est parti pour le voyage …je sens que je vais aimer  ;-)))

  6. Tu traduis bien la difficulté et l’énorme effort que doit faire Clément pour dépasser son chagrin  et  Se dépasser pour rester Vivant !
    Quichottine , je vais lentement , je me force à ne pas me précipiter sur le billet suivant…Tu nous plonges déjà dans l’atmosphère …Ben toi aussi tu pourrais écrire un livre ! C’est tellement complexe un livre , cela suit un plan …j’en serais tout à fait incapable mais je sais en admirer la valeur étant donné ma proximité avec les plus belles oeuvres ,dès mon enfance , jusqu’à aujoud’hui . Amicalement  ;-))

    • Grand merci pour ces mots, Dame Blanche !

      Ne lis pas trop vite… après, le jardin te semblera bien vide…

      Gros bisous à toi…

  7. Bonjour Quichottine ,
    Je ne sais que dire ; je viens de lire les douze chapitres …
    Je suis tres trouble . Je pourrais te demander , un peu comme les auditeurs de Clement quand il disait ses contes , « d ou est venue l inspiration ? »
    Je ne viens pas souvent , mais …

    • Ne dis rien…

      Ça m’a fait plaisir que tu sois là.

      Comment raconter le pourquoi de l’écriture ? Je ne sais pas.
      Sans doute une façon pou moi de transformer la réalité pour la rendre différente, comme toujours !

      Sois le bienvenu dans le jardin.

  8. Cela ressemble à un deuil , une nudité que l’on prépare douloureusement …Quelle beauté cet arbre !

  9. Cette pensée en lui , que peut-être seul pouvait l’atteindre un nouveau malheur …la confiance dans la Vie est grâvement atteinte là …il lui faudra être cruel envers lui-même pour ne pas sombrer dans ce nihilisme …Tu vois je n’ai pu me retenir de lire plus avant …que de sentiments tu soulèves chére Quichottine ! c’est magnifique cette lente traversée  que je reprendrai demain , inch’Allah ! Je t’embrasse tout doux  

  10. Apparement la lutte est difficile contre la tentation de se laisser couler , s’asseoir et ne plus se relever ,attendre …ce que jamais on ne doit désirer , la fin d’une Vie , la sienne , dans le découragement total  (mais ce n’est que mon interprétation perso ) Quichottine , je te redis que cela me passione de te suivre  ;-))

  11. Rien n’est pire qu’un épuisement physique pour casser un moral déjà en peine…je suis Clément pas à pas avec toi et j’en ressentirais presque la douloureuse fatigue du corps …il serait temps ,oui , qu’il prenne du repos …mais…?…
    J’aime bien tes bisous Quich’  ils sont tout plein gentils –
    Le retour de Bill…ah celui-là …Merci à toi  ;-)))

    • L’épuisement physique peut aussi sauver celui qui a l’âme en peine je crois…

      Transposer la douleur pour pouvoir la soigner… peut-être.

      Merci d’être là, Blanche !

  12. Je reprends l’histoire au début…
    L’atmosphère est plutôt sombre. Plus que ne le veut la saison.
    Gros bisous, Amielle

    • Amielle… J’aime que tu sois là, tu le sais…

      Je voudrais tant que mes textes puissent être toujours gais et rieurs !  Il fait beau aujourd’hui, tu sais, et c’est un texte ancien, tu le sais aussi…

      Gros bisous

  13. Ne pas pouvoir « vivre sans » un coin de ciel bleu ou un petit nuage à suivre des yeux …Quichottine là j’ai pensé à la petite Anne Frank …enfermée deux ans pour tenter d’échapper à La Bête hitlérienne , dans une promiscuité épouvantable et qu’elle décrit très bien , et qui disait  » tant qu’on voit un coin de ciel on ne peut pas se plaindre « 
    Ton histoire est très riche d’enseignements et j’y suis très sensible , avec ce que je suis et ce que je pense . Zoubis reconnaissants pour ton beau récit . Demain je continue Inch’Allah !

    • Anne Frank disait et écrivait de belles choses…

      Il y a toujours un petit coin de ciel bleu pour qui sait le regarder.

      À demain, la Bernache. Inch’Allah !

  14. Je remarque que la présence de l’eau commence à le sortir de sa rumination triste- l’eau , magie vitale – bien sûr que non il  n’a pas oublié son chagrin …mais il commence à l’apprivoiser…il faudra encore du temps …

    • Apprivoiser son chagrin, c’est ce que nous faisons tous pour nous protéger, pour pouvoir vivre avec… Mais il arrive qu’il se rebelle.

      Bisous, Blanche ! Merci à toi de cette lecture attentive !

  15. Conteur…le voilà devenu Conteur…que c’est joli à imaginer , les mots lui offrent une respiration chargée d’images qu’il offre à qui l’écoute ,et si les rives ont été désertée , ce ne sera que pour un moment peut-être ? de toutes façons le ciel l’écoute et les oiseaux ont des auditeurs fidèles , enfin je crois  😉   Quichottine ! tu m’as dit d’aller lentement parce qu’après je trouverai le jardin vide ? curieuse réflexion , parce qu’à mon sens , ton beau jardin n’est jamais vide , il est ton coeur  – Je t’embrasse tout doux

  16. Juin se termine et déjà l’été allège les idées de Clément. C’est une de mes quatre saisons préférées 😉
    Grosse bise

    • Ah !!!! Ouf ! Tu es de retour, Ruegy ! J’avais peur que le bateau ait fait naufrage, se soit mis en grève, ne veuille plus revenir…

      Je sais que tu étais trop loin pour rentrer à la nage…. alors, quel bonheur de te retrouver au jardin !

      Merci… Ruegy !

      (Heureusement que les saisons ne sont que quatre… ou il t’aurait fallu un coeur d’artichaut !)

  17. Une journée chargée, j’avais envie de me poser un peu, je suis venue suivre Clément…
    je ne pensais pas rester aussi longtemps…
    de janvier, je suis arrivée à janvier, j’ai passé une année avec lui.
    Je me suis laissée embarquer dans son histoire et je n’ai pas pu partir avant de connaître la fin, tant elle m’a passionnée.

    Pour trouver les réponses à ses questions faut-il partir loin de tout et de tous ?

    Ce ne doit pas être facile… après tant de remises en cause et de sacrifices, Clément mérite vraiment d’être heureux.

    Cette histoire m’a rendue un peu nostalgique, mais elle est très belle, merci Quichott’

    Pour finir sur une note moins tristounette…
     tu peux écrire celle de Clémentine quand tu veux ;-Þ

    Je t’embrasse bien fort

    • Merci… Tu ne peux pas savoir ce que tu m’as fait plaisir en étant là, en t’installant dans le jardin ainsi !

      Je ne sais pas s’il faut partir loin de tout et de tous… pourtant, nombreux ceux qui l’ont fait avant Clément, sans doute pour éviter les obligations « sociales », ces moments où l’on doit partager avec d’autres, autre chose que nos propres pensées, nos soucis.

      J’espère que tu n’as pas été trop nostalgique, tout de même, ça m’ennuierait !

      Quant à l’histoire de Clémentine, j’ai bien noté que tu la désirais, sans les pépins… ;-Þ

      Je t’embrasse aussi, Kinou, très fort !

  18. Tu vois je n’avais rien perdu du fil de l’histoire malgré le laps de temps écoulé depuis ma dernière visite – cela te démontrera s’il en était besoin que ton récit est passionnant et qu’il m’a imprégée ! Parcourir la Montagne , monter haut…toujours plus haut …une véritable drogue quand on connait ! a Vie ! Inoubliable meme quand ce n’est plus possible – Par contre là je me fais du souci pour Clément…il est mal , perdu dans un brouillard de l’âme …mais j’ai confiance …Ah Quichottine que je l’aime ton récit ! j’étais malheureuse de l’avoir égaré . Bisous tout doux

    • Merci d’être de nouveau là, Blanche.

      Ne t’en fais pas pour Clément. Il a autour de lui des amis sincères. C’est ce qui est important.

  19. J’espère que ses traces ne s’effaceront pas avant que j’entreprenne mon voyage avec lui…

  20. J’ai tant à dire. Peut-être ce soir je vais me taire.
    Me taire pour laisser venir à moi les richesses que tu as parsemées tout au long de ce voyage, comme une allégorie de la souffrance, et même plus.
    Je reviendrai mettre mes pas dans ceux de Clément, ce sont des pas qui me sont familiers.
    Je t’embrasse très fort.

    • Merci, Polly.

      Je ne sais ce que j’ai mis dans ce voyage, ou du moins ce qu’y voient ceux qui le lisent.
      Peut-être fallait-il seulement que certains le fassent, même s’ils ne disent rien.

      Je t’embrasse très fort aussi, Polly !

  21. Quichottine , en lisant les coms je relève qu’il est question d’effacer les traces de Clément ? J’espère bien que tu n’en feras rien !!! elle est trop jolie son histoire …là je vais continuer – gros bisous ;-))

    • Pour l’instant, il est là, mais il était prévu, dès sa publication, qu’il disparaitrait.
      Comme tout livre sur les rayons d’un libraire, il n’a que peu de temps pour faire ses preuves. Moi, je teste ici un certain nombre de choses, et, je le teste en milieu protégé. J’aurais pu le faire dans la bibliothèque, je ne l’ai pas fait.

      Peut-être un jour, le trouveras-tu, dans le monde réel, pas loin de chez toi… ?
      Il sera autre, mais pourtant je suis sûre que tu pourras le reconnaître.

      Gros bisous.

  22. Il est évident qu’on peut se demander parfois s’il vaudrait mieux n’être pas regardé par Dieu…la douleur de Marie …la douleur de toutes les Mères …l’insupportable ! l’inacceptable ! l’incompréhensible surtout !!! Ton récit est fait avec ta sensibilité de Chrétienne , moi je le lis avec ma sensibilité de Musulmane…nous sommes pareilles sur toute la surface de la Terre chére Quichottine ! Permets-moi de te citer une parole du Prophète Muhammad (saw) qui avait des révélations tellement grandes : « Le Paradis est sous les pieds des Mères  » !

    • Je ne sais où est le paradis, ni même s’il existe, mais s’il est un paradis, je pense que les mères seront les premières à y entrer.

      C’est peut-être pas tout à fait ce que je voulais dire, mais je n’efface rien.

      Tu traduiras.

  23. Tout ce que tu touches devient or, Quichottine, devient émotion pure. Quelle perte ce serait pour ceux qui sont encore en quête de la parole vraie… Je te supplie de penser
    à ceux-là dont je suis

    • J’essaie de traduire des émotions, je ne réussis pas toujours.

      Merci pour tes mots.

      Pour l’instant, tout reste là.

  24. Happy End ! Clément a pris le temps de réfléchir – je me demandais s’il n’allait pas vouloir devenir moine lui aussi – Bref un équilibre lui est venu , gagné à force d’efforts et grâce à l’amitié , il pourra faire le bonheur de celle qui l’attend  ;-))
    J’aime les récits en prise avec le réel chére Quichottine et celui-là m’a bien plu – merci de l’avoir écrit tout simplement – bisous de la teigneuse (hihihi)

    • Bien ! Tu as tout lu… Il ne pouvait pas devenir moine, il ne croit pas en Dieu.
      Il croit seulement en l’amour.

  25. Je suis revenue du côté de chez Clément  – c’est plus gai ! la blogosphère est atone , des ami(e)s absents , Chris orageuse , toi silencieuse…Quichottine …oulah …en plus nous cuisons à la cocotte-minute encore aujourd’hui…je vais commencer à déprimer moi si ça continue ! et Clément , que fait-il avec sa bien-aimée pendant ce temps là hein ?…je t’embrasse tout doux  ;-))

    • Tu cuis… et moi j’ai froid !
      Le monde est mal fait !

      Ne déprime pas je t’en prie. Clément et sa bien aimée ? Ils s’aiment, sans aucun doute, et je respecte leur silence.

      Je t’embrasse tout doux, Blanche. Prends soin de toi…

  26. ave maria..
    quand je suis face à marie dans la petite église de S. si souvent je lui dit.. mais pourquoi il ne parle plus ton fils…pourquoi il ne veut pas me parelr….

    Je ne continuerai que demain à la suite de Clément…ce soir , je ne peux pas… ce txtelà… me renvoit à trop de questions…

    • C’est un peu ça pour moi aussi.

      On peut se poser des questions, parfois on ne trouve pas de réponse.

      Parfois on en trouve une, comme ça m’est arrivé lorsqu’un jour j’ai ouvert une fenêtre où j’ai lu :

      Que sur mon chemin, je trouve….

      Une fleur pour illuminer le soleil
      Un bouquet de fleurs à offrir,
      Une brise légère pour avancer
      Une tempête pour me faire découvrir le monde,
      Un serin pour chanter avec moi
      Un condor pour m’emmener rêver là-haut,
      Un regard pour m’accompagner,
      Un sourire à partager,
      Une main tendue pour prendre la mienne
      Des mains ouvertes pour offrir le monde.

      Ce poème-là, il m’ouvrait une porte que j’ai franchie sans me poser plus de question.

      Je me suis abonnée à la newsletter, sans même en avoir lu davantage (ce qui ne m’était jamais arrivé) et je suis venue souvent, lire et relire.
      Je crois que tu n’auras aucun mal à savoir de qui je parle.

      Je t’embrasse fort.

    • Oui… tu es allée jusqu’à la fin avant de partir ?

      Je suis contente. Mais, Clément t’attendra quand même.

  27. Je viens juste de commencer le mois de janvier. Je savoure le mystère de Clément qui s’en va. Je vais de ce pas voir ce qui se passe en février.
    A bientôt.

  28. Je suis arrivé au mois de juin, Clément semble aller mieux, tous ces mois de marches ont-ils guéri son âme ?

  29. Une image d’immensité légèrement voilée…

    Promesse d’espace encore floue mais « largeur », « ouverture » même si Clément ne nomme pas pour l’instant

  30. Tes images sont fort bien choisies…

    La lumière de l’arc en ciel…

    Parallèle entre la nature et les sentiments…il te ressemble tant ce Clément.

    • Comme souvent, j’ai choisi les images avant d’écrire. Tout était là pourtant, en moi. Mais j’avais besoin des images pour dire.

      Je mets toujours un peu de moi dans mes écrits. Je ne suis pas la seule…

    • Là… Je te lis… et je suis morte de rire !

      Tu as raison, ce « peu » c’est tout moi !

      Je t’embrasse fort

  31. Et ben voilà !!!

    Tu vois on y arrive !

    Avec moi tu vas avoir du mal à te « cacher »

    • J’aime bien quand tu es là !
      Je n’ai pas vraiment envie de me cacher.

      J’ai une image devant les yeux alors que je te réponds : celle du tout petit enfant qui joue à cache-cache, et qui, les mains devant les yeux, croit qu’on ne peut pas le voir.

      Sincérité : C’est l’image qui m’est venue.
      Vérité : j’aurais pu ne pas t’en parler.

  32. Merci Quichottine pour cette gentille invitation au voyage qui tombe à pic je crois pour me sortir de la torpeur (virtuelle) où je m’enfonce depuis plusieurs semaines.
    Tu vois, depuis mon retour de Lille fin juin, j’ai vraiment beaucoup de mal à m’y remettre et les pensées de Clément trouve un écho particulier en moi.
    A très bientôt pour découvrir la suite de ses aventures et de sa renaissance.
    Je t’embrasse,

    • Je sais bien que tu as un peu de mal depuis ton retour… mais tu as aussi trop de travail et ce n’est pas du tout facile de trouver du temps entre sa famille et ses obligations professionnelles pour le blog…

      Aussi, j’apprécie beaucoup ces moments que tu passes à la bibliothèque ou au jardin…

      Je serai contente si ce voyage te plaît.

  33. tendre, sans rien attendre, porter sans rien apporter, limer sans l’aimer, river sans arriver, tire sans taire, rimer sans arimer … on pourrait poursuivre ainsi : tirer la moure sans amour…et si en Amour, tout n’était qu’une question d’A ?
    hein ?

    • J’aime beaucoup ce que tu dis…

      Je n’y avais jamais pensé ainsi… Alors, oui, sans doute, on peut le dire, tout n’est peut-être qu’une question de A, sutout s’il est majuscule…

      Bisous à toi !

  34. Je suis l’histoire de Clément.. .en silence… Bon dimanche.

    • Merci Eolina… je sais que tu viens lire. C’est important aussi pour moi, car, je pense que tu me donneras tes impressions à la fin du voyage…

      Bonne journée à toi aussi…

  35. Tu vois Quichottine, on aimerait tant que l’amie de Clément ait répondu favorablement à sa déclaration.
    Ce refus le laisse complètement désemparé, à la recherche de lui même dans une quête qui ressemble à un voyage initiatique pour trouver sa bonne étoile. C’est tout ce que je lui souhaite …
    Je trouve vraiment agréable de pouvoir te lire sur un récit plus long et emprunt de poésie.
    Je t’embrasse,

    • Merci Muad…

      C’est tout à fait cela que je voulais décrire… merci de l’avoir lu ainsi !

      J’espère que ce récit te plaira jusqu’à la fin.

      :0010;

  36. Tu as raison… Juste ceci: la nature nous procure parfois le réconfort que les mots ne donnent pas…. Bonne journée.

    • Je le crois volontiers, Eolina… Plus ça va, plus je me dis que les mots ont trop tendance à s’envoler. L’arbre a des racines dans le sol, il est là, solide… les fleurs apportent des sourires qui ne mentent pas…

      Bonne journée à toi aussi…

  37. Il « avait déconstruit sa vie »… Il n’a pas vraiment plus le moral… Mais il va rebondir… j’en suis sûre, il va trouver un lutin… pour le faire sortir de sa morosité. Bonne journée.

    • Peut-on vraiment « déconstruire » sa vie de façon durable ?

      Je ne le crois pas, surtout si l’on trouve des amis sur son chemin…

      Bonne journée à toi aussi, Petite Elfe !

  38. Tu vois Quichottine, plus Clément avance, plus je me sens bien à le suivre à la trace, un peu comme si son empreinte, débarrassée de ses tourments, avait des vertus apaisantes …
    Mon seul regret, mais je suis sûr que tu comprendras, c’est de ne pas avoir de contact « charnel » avec ton histoire. Il me manque le bruit des pages qu’on tourne …
    Merci pour ce partage,
    Je t’embrasse,

    • Je le sais… Il n’y a rien de tel que la présence physique. Un livre, c’est comme un ami, on voudrait qu’il soit là.

      Pourtant, même si ce n’est qu’à travers ces messages que tu déposes ici, je suis contente de savoir que tu es là. Merci.

  39. La lumière est au bout du chemin… J’aime beaucoup les paroles du « vieux sage » comme je l’appellerai…
     Bonne journée.

    • Merci… Bonne journée à toi aussi !

      Je vais garder ce vieux sage en réserve pour les jours où il fera trop gris….

  40. Je pars sur les traces de Clément, mais je ne ferai pas le voyage d’une année en une fois… je le suis petit à petit pour lui laisser le temps de bien fermmer ses portes et partir surement à la recherche de nouvelles

  41. en mars… ecs accorcs de lumière qui ressemblent à cun coeur….
    Demain sera un autre jour….

    • J’aime que tu sois là…

      Tu as relevé ce qui m’avait plu dans l’image. Demain, c’est toujours un autre jour.

      Merci

  42. Les attentions de la nature…il y en a toujours, il faut savoir ouvrir les yeux…
    Je m’arrête sur le sourire de Clément, les mots font leur chemin…

    • J’espère que tu iras jusqu’au bout.

      Il y a le désespoir avant l’espoir. Ne pas s’arrêter en chemin.

  43. je m’arrête au bord de ce lac de montagne avec Clément pour écouter ses histoires… Je ne sais si j’aurai le temps de repartir avec lui, le lac m’attend vraiment… Que Clement ne se sauve pas de ce blog avant le mois de décembre…. 😉

    • Il ne va pas se sauver, Mahina.

      Je voudrais que tu trouves ce qu’il faut pour te ressourcer.

      Les histoires de Clément sont ici ou dans la bibliothèque, tu les retrouveras aussi !

      Je t’attendrai