Le prochain… ce sera le deux centième !

Je ne sais pas qui sera le premier visiteur du jardin, celui qui postera le premier message, après ceux auxquels j’ai répondu ce soir…

Mais il ne gagnera rien, seulement un baiser, du bout des doigts, depuis le clavier de mon ordinateur.

Parce que voyez-vous, ce message-là, ce sera le deux centième !

Merci !

071023_Hellebore
Hellebore, photographie de Quichottine, 2007

26 commentaires à propos de “Le prochain… ce sera le deux centième !”

  1. Aors, c’est peut-être moi… Bonne journée Quichottine.

  2. Et moi !……..avec le placet de cette grande………de Alice !

  3. … et 203 ! Puis-je cueillir la fleur puisqu’il n’y a pas la queue du Mickey à attraper ?

  4. Après tout, l’important c’est d’être là… peu importe la place et je sais que ce baiser du bout des doigts tu le partages avec nous tous..
    Je t’embrasse, bonne nuit Quichott’

  5. Je suis juste arrivée au  » bon  » moment… Mais peu importe, ON est là… et je suis heureuse de pouvoir venir ici.

  6. c’est une chose que je n’ai jamais regardé le nombre de coms !!!

    Il va falloir que je jette un oeil
    Bisous

    • Ils sont affichés lorsque tu réponds… Mais cela ne veut rien dire.

      Il y a des commentaires qui comptent plus que d’autres.

      Merci pour tes mots.

  7. C’est bien pourquoi je n’ai jamais fait attention et ne prête cette attention qu’aux mots écrits…certains n’ont pas la même portée que d’autres.

  8. Snif !
    Je ne serai que le 202ème ! Je peux quand même avoir un bisou ?
    Bonne soirée, amie Quichottine. A plus tard.
    OB est encore très lent…
    Gros bisous 

  9. Ben mince alors c’est pas moi 🙁
    A défaut d’en gagner un, je t’envoie tous pleins de bisounours pour une fin de semaine toute en douceur!!!!

    • Je ris !! En fait c’était pas si facile… mais des bisous, j’en ai plein en réserve !
      Bonne fin de semaine à toi aussi !

  10. Très chère Quichottine,
    Tu te demandes peut-être pourquoi je te laisse un commentaire ici, c’est très simple à comprendre je te l’expliquerai dans quelques lignes.
    D’abord, j’ai ouvert presque toutes les pages de ton jardin. J’ai su, dès ta première invitation (je comprends à présent que c’était bel et bien une invitation et j’en suis flattée) que j’arrivais sur un blog « pas comme les autres ». Intimiste. Voilà le mot. Je suis allée assez loin puisque j’ai découvert également tes autres blogs. Ce soir, j’ai voulu m’attarder. Bien plus que d’habitude. Ce soir, je suis allée à la rencontre de Quichottine. L’autre Quichottine. Je me suis permise d’ouvrir toutes les portes. Celles qui sont ici tout au moins.
    Mon idée de départ était de juste répondre au commentaire que tu as laissé chez moi aujourd’hui. Je souhaitais le faire dans « l’intimité » si je puis dire et j’ai pensé que ton jardin était le lieu idéal pour le faire.
    Ma curiosité de te connaître un peu plus m’a poussée à afficher la liste complète de tes ‘ »nouvelles fraîches ». Je me suis installée, comme je le fais parfois dans ta bibliothèque, et j’ai commencé mes lectures. J’ai réalisé alors que je faisais partie des personnes que tu as gentiment mais très sincèrement invité à s’asseoir dans ton jardin. En cela je te remercie. Cela me touche profondément.
    J’ai ensuite décidé de choisir parmi tes publications, celle dans laquelle j’allais laissé ma réponse à ton commentaire et c’est celle-ci. Pourquoi ? Parce que tu y fais allusion à un bisou du bout des doigts. C’était parfait. Et pourtant, nous ne nous étions pas concertées.
    Tu vois, tout ce préambule un peu (beaucoup) long pour te dire ceci : il est des blogs qui ont une couleur, un petit quelque chose qui donne envie de revenir. Il en est d’autres qui possèdent une tonalité particulière, un je ne sais quoi qui fait que l’on s’y sent bien et ce, que nous laissions ou non un commentaire.
    Et il en est certains, rares, très très rares (quelques doigts d’une seule main) et dont le tien fait partie, qui ont, comment dire, une âme. Cela peut paraître idiot à dire mais lorsque je viens dans ton jardin ou dans ta bibliothèque, je n’y vois pas que des mots disséminés sur une page du jour. Non ! Je te vois toi. Je te sens derrière mon écran. Cela, je l’ai ressenti très vite. Quasiment dès les premiers commentaires que tu laissais chez moi.
    Voilà gente dame. Voilà la façon dont je souhaitais te répondre ce soir. J’espère avoir eu raison de le faire ici plutôt que chez moi.
    Autre chose Quichottine. J’ai lu beaucoup de choses et, entre autres, le fait que tu ne souhaitais pas faire de pub autour de ce blog-ci. Fais-moi alors savoir si je dois supprimer le lien que tu as dans « mes visiteurs ». (le tien, le jardin, est tout en bas). Comme tu le sais, j’inscris systématiquement toutes les personnes qui me visitent et, dernièrement, j’ai mis ton lien. Sache d’ores et déjà que cela ne me poserait aucun problème si tu me demandais de le supprimer.
    Je te souhaite de passer une belle nuit et de faire de doux rêves.
    A bientôt chère Quichottine et pardon d’avoir été si longue.

    • Tu vois… ta visite me touche beaucoup.
      Je ne sais que te répondre… je crois que je ne me suis pas trompée en t’invitant. Je savais que je pouvais compter sur ta délicatesse pour ne pas commettre d’impair.
      Le lien vers mon jardin, je l’ai mis moi même dans deux de mes articles. Peu se sont aventurés par ici sans y être conviés, ceux qui reviennent sont généralement mes ami(e)s. J’essaie de ne pas les noyer… ce n’était pas mon dessein en ouvrant ce second blog. Je veux seulement pouvoir y déposer parfois les mots qui ne conviennent pas au sérieux de la bibliothèque… On ne peut pas toujours tout raconter. Ici, je fais parfois des exceptions !
      Pour ce qui est de l’adresse, je te laisse libre de décider, de faire ce que tu crois être le mieux.
      (Ne t’en fais pas, ce n’est pas un test… quoique…)
      Je t’embrasse, Chana. Merci encore…

  11. Le temps est passé depuis la publication de cet article…
    Les saisons sont venues l’une après l’autre changer les couleurs du Jardin…
    et pourtant rien n’a changé,
    et je n’ai qu’un regret,
    ne pas avoir été capable d’écrire aussi bien que Chana, tout ce qui est dit dans son commentaire…
    Bises…

  12. C’est drôle (mais ce n’est pas le bon mot)…
    En suivant son lien, je viens de me rendre compte queChana n’avait rien publié depuis avril 2008…

    • Oui, Chana a mis son blog en pause. Je passe de temps en temps. Elle ne répond plus. Elle me manque.
      Tu vois, c’est ce que je voulais te dire aussi plus haut. Tu n’as rien à regretter, aujourd’hui, c’est toi qui es là…
      Merci.