Le bleu de mai

Reprenons notre voyage, voulez-vous ?

On dit…

On dit que le Lutin bleu s’était trop longtemps attardé sur l’arc-en-ciel d’avril. Il savait que c’était important, que chaque image cachait un morceau d’histoire, un chapitre du Voyage. Mais tous l’avaient-il compris ? N’aurait-il pas dû prendre le temps d’expliquer, de montrer davantage le pourquoi de ce retour en arrière sur les écrits de Quichottine ?

Il secoua la tête… Les lecteurs avaient bien le droit de ne garder que cette première page, cette image sans laquelle l’histoire…

Non ! Pas cette fois.

L’histoire aurait existé même sans les images. Elles n’étaient que le support visuel qui intervenait le plus souvent dans une phrase ou une autre, juste pour le plaisir des mots.

Mais, au-delà des images, de ces photographies prises par l’Amie, il y avait bien plus que ces mots-plaisir, ces mots que l’on écrit par amour de la langue, de ce qu’elle sait transmettre d’émotion pure. Une fois ôtés, il n’aurait resté que ceux d’un chagrin inexplicable, inexpliqué.

Un chagrin à surmonter… les étapes franchies une à une doucement, au fil des mois, un récit écrit en quelques jours, cette année-là.

Le Lutin bleu secoua la tête et cela fit tinter le petit grelot dont il parait son bonnet pendant l’Avent.

Il sursauta. Il avait oublié qu’aucun bruit n’était admis dans la Bibliothèque…

Il tira de sa cachette un nouveau tableau.

Photographie © AA
Photographie © AA

Le ciel de mai… un ciel si bleu !

Mais en regardant bien, vous verriez qu’un géant de pierre grimaçait sur la gauche du paysage.

En savait-il davantage que nous sur notre héros hésitant ?

Savait-il combien il est important de trier dans ses souvenirs pour ne conserver que le meilleur ?

Je sais bien que beaucoup ne seront pas d’accord, et pourtant.

À quoi cela sert-il de garder en mémoire ce qui fait encore mal ? Ne peut-on pas appliquer sur nos blessures comme un baume tout puissant les souvenirs des jours heureux, des petits instants quotidiens qui savent dessiner sur nos visages de grands sourires ?

Dans le ciel bleu de mai, et même si Clément y cherchait encore des nuages absents, il n’y avait que le sourire, immense, caressant, d’une vie à reconstruire.

94 commentaires à propos de “Le bleu de mai”

    • Ou après-demain… 🙂
      Il y a toujours des imprévus en Quichottinie.

  1. Bon jour,
    Bleu de mai, rien que ton titre m’expédie dans les rêves.
    Je partage tout à fait tes écris. Peut être pas oublier, car les expériences nous apprennent, mais au moins les ranger pour ne laisser que le meilleur nous habiter.
    Merci pour ce partage plein de sagesse mais aussi de bien être au quotidien. D’autant que ceux qui conservent les mauvaises choses en surface de leur esprit sont bien les seuls à se ronger. Dommage de se faire du mal soi-même tout de même.
    Bonne journée

    • « Les ranger »… oui, je crois que c’est important de pouvoir le faire.
      Merci, Pascale.
      Passe une douce journée.

  2. Oui efforçons nous de ne garder que les bons souvenirs bien que… enfin sans s’attarder mais on n’oublie rien de ce qui est important !
    Le soir quand le sommeil ne vient pas et que s’on ressent les tourments qui viennent nous hanter, il faut faire un effort pour regarder du côté du bleu, se souvenir de ce ciel si bleu même au dessus des rochers menaçants …
    Je t’embrasse Quichottine

    • Je sais que ce n’est pas toujours facile, mais si nous n’avions pas ce bleu, ce serait encore pire.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

  3. Oui, il faut garder les meilleurs souvenirs pour avoir toujours un petit coin de ciel bleu… en soi 🙂
    Je m’applique à le faire et je n’y vois que du plaisir…
    Douce journée ma Quichottine et GROS BISOUS

    • Ta philosophie est sans doute la meilleure. 🙂
      Merci, Marité. Gros bisous et douce journée.

  4. Bonjour Lutin bleu… Oh oui il le faudrait, c’est le meilleur remède à ses bleus, les absences, les souffrances…. comme ce ciel qui offre son bleu à ce geant de pierre grimaçant…. 😉 merci…. Bises de JB

    • « Il le faudrait »… Je sais que ce n’est pas toujours aussi simple et ce conditionnel le dit bien.
      Merci à toi, JB.
      Passe une douce journée. Bises.

  5. Bien sûr cela ne sert à rien de garder en mémoire ce qui blesse mais on ne peut faire autrement.

    • Je crois qu’on n’oublie jamais, mais on peut essayer de penser au meilleur au lieu de ressasser le pire. 😉

  6. Il fait du bien ce ciel bleu dans la grisaille et la froideur du jour !

  7. il a raison le lutin bleu, essayer de ne garder que le bon, mais on n’oublie jamais tout à fait,
    le bleu c’est ma couleur préférée, je le vois ton rocher sombre, mais faut regarder plus haut
    et ho ! vers le grand bleu !
    bisous, bisous, MIAOU !!!!

    • Sourire… j’aime ce bleu que je n’ai jamais trouvé chez nous. 🙂
      Bisous et douce journée Mistigris.

  8. … mais parfois la mémoire s’obstine, contre notre volonté…. et de douloureux souvenirs s’installent.
    Heureusement, il y a aussi les bons moments qui s’imposent et donnent la force de continuer!
    Je t’embrasse

    • Tout à fait…
      C’est ce qui aide à vivre, même quand tout va mal.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

  9. il y a 2 géants dans l a pierre, un squelettique et un au long nez, peut être que quand le soleil tourne (façon de parler) et que c’est leur tour d’être illuminés ils deviennent de bons gros personnages bienveillants

    • Qui sait ?
      J’aime bien ta propre interprétation de cette image.
      Passe une douce journée Emma.

  10. Bonjour Quichottine, ouh le vilain monsieur qui grimace, il a raison de rester à l’ombre, place au soleil, à la lumière, au sourire en effet. Oublier est impossible mais le temps qui passe permet de relativiser, d’essayer de comprendre, si possible d’accepter ce qui ne nous fait pas sourire.
    L’essentiel est de toujours le garder ce sourire, quoi qu’il arrive … le perdre à jamais serait terrifiant et si triste. Dans tout ce qui nous arrive il y a quelque de positif …
    Gros bisous
    Annick

    • « relativiser »… Je ne sais pas si l’on peut toujours trouver quelque chose de positif dans ce qui nous arrive, mais je crois qu’il faut de toute façon ne pas se laisser enfoncer dans le négatif.
      Merci pour tes mots, Annick.
      Gros bisous et douce journée.

  11. Coucou Quichottine
    Il n’est pas question d’effacer de sa mémoire ce qui a fait mal ..mais de prendre du recul pour pouvoir en tirer profit , ainsi face à un situation similaire notre reaction sera sans doute mieux vecue ..
    A demain Quichottine pour la suite
    Bises

    • Prendre du recul… relativiser.
      C’est cette expérience déjà vécue qui nous rend plus forts. Je suis d’accord avec toi.
      Bises et douce journée Claudine.

  12. Si c’était aussi simple, nous vivrions tous au pays des Bisounours mais hélas les hommes sont ainsi faits que les blessures restent, même si on travaille de toutes ses forces à les cautériser,
    les guerres actuelles ne sont que les manifestations de cette vérité
    bises

    • Nous ne vivons pas au pays des Bisounours… je sais bien.
      Pourtant, je continue à croire que si chacun s’efforçait d’être plus attentif aux autres, il n’y aurait plus de guerre.
      Bises et douce journée à toi.

  13. Et pourtant, on garde en soi les souvenirs qui font mal. Ils reviennent par intermittence raviver les plaies. Je cherche de plus en plus à décortiquer ces moments malheureux et essaient de trouver s’il n’était pas possible de les éviter à ce moment-là.
    Comme tout cela est compliqué !
    Bises et à + Quichottine !

    • Je ne cherche pas… je crois que c’est en cherchant ainsi qu’on culpabilise, ce qui n’arrange rien.
      Mais je suis d’accord avec toi, Alrisha. Tout est très compliqué.
      Bises et douce journée.

  14. Coucou ma Quichottine, Merci pour ce joli mois de mai où l’on fait ce qu’il nous plait. Il ne faut garder que les bons souvenirs… pas la peine de s’encombrer l’esprit avec les mauvais. J’adore cette photo et ce personnage qui est sculpté dans la roche. Merci pour ce moment de rêve ma belle. Bises et bon lundi. ZAZA

  15. ce qui fait mal on veut l’effacer mais ça reste tout de même ancré en nous et il suffit d’une petite action défavorable pour que la blessure s’ouvre à nouveau

    • C’est vrai que ces blessures ne s’effacent jamais tout à fait. Mais il faut quand même essayer de les rendre moins douloureuses.

  16. C’est ce que j’ai décidé de faire : ne garder que le meilleur, ne garder du passé que le bon.
    A quoi bon ressasser le mauvais ?
    Ton image fait rêve Quichottine , car le bleu du ciel de ma région est parti je ne sais où depuis plusieurs semaines…

    • Il va revenir… vous avez un bleu que nous n’avons jamais ici. 🙂

  17. Faire le tri dans ses souvenirs et ne garder que les bons.. Voila une excellente chose… Ruminer ne sert à rien ..
    Merci pour ce texte rien que le titre fait rêver.
    Bonne soirée
    Bises

  18. Malgré nous, nous conservons le meilleur, car ce qui fait mal, tout doucement le temps le gomme. Reste le souvenir de la douleur…. A nous de ne pas lui redonner trop de vie, en attirant ce souvenir…… Je t embrasse, Dame, et je te souhaite une douce soirée

    • Ce n’est pas toujours facile de ne pas la laisser ressurgir.
      Mais gardons le meilleur.

      Passe une douce journée Dame Croc. Je t’embrasse fort.

  19. A quoi bon ressasser ce qui nous a blessés?
    On ne l’oublie pas certes mais on décide de porter notre regard vers ce qui nous dilate, nous épanouit
    « La joie nous guette » comme dit une chanson ancienne

    • J’aime bien cette joie qui nous guette. 🙂
      Merci, Gazou.
      Passe une douce journée.

  20. Bien sur ! Il est possible de gommer ou de pouvoir lasser de côté ce qui fait mal !

    Malheusement certains faits faisant mal : Si mal ! qu’il est impossible de tirer un trait !

    D’abord parce que certains faits sont PLUS VIVANTS !

    Ne pas ressasser le MAUVAIS ! Mais si le mauvais est AUSSI VIVANT que TOI ou MOI !

    Je n’ai lu quelques uns et je suis restée sur « Débla » .

    A BIENTOT

    any

    • Je sais bien que ce n’est pas aussi facile qu’en l’écrivant… 🙁
      Mais courage pour tout, Any.
      Bisous et douce journée.

  21. juste envie de te joindre ceci :
    Ecris sur le sable
    Les outrages et les rancœurs.
    Et le vent se lève !

    Graves dans le roc
    Les douceurs et les bonheurs.
    Et le vent se lève !
    Jeanne Fadosi, 31 décembre 2009

    Interprétation libre, en haïkus, d’un très sage proverbe arabe.

    bises et belle soirée

    • Merci pour ces haïkus… J’aime !
      Il faut donc écrire sur le sable… le vent l’effacera. 🙂
      Bises et douce journée à toi.

  22.  » il n’y avait que le sourire, immense, caressant, d’une vie à reconstruire. »

    Il y a chaque jour
    une vie à reconstruire…

    Souvenirs de pierre
    Gravés en filigrane
    Aux murs de lavie

    • Merci pour ces mots, Marie.
      Passe une douce journée.

  23. Tu as raison pour les souvenirs, facile à dire mais… Il suffit de très peu de choses pour qu’un mauvais souvenir refasse surface, hélas…

    • Hélas… alors essayons de les repousser au plus vite. 🙂

  24. Je suis d’accord avec toi, et de plus,il me semble qu’on garde plus la mémoire des bons souvenirs que des souvenirs malheureux. C’est peut-être ce qui nous permet de vivre tout simplement . Je t’embrasse

    • Je crois que nous en effaçons le plus possible, mais que certains ont du mal à s’évanouir tout à fait.
      Merci pour tes mots, Fanfan.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

  25. Les blessures qui ne cicatrisent pas font de la vie un enfer.
    On ressasse, on s’empoisonne et on empoisonne tout le monde.

    J’ai fait le pari d’une thérapie, et j’avoue que ce ne fut pas facile; mais quelle liberté nouvelle m’a été donnée depuis! Je ne dis pas que c’est la solution, il y en a d’autres évidemment; je ne dis pas non plus que la tristesse ne s’abat plus tout soudainement mais elle s’efface plus vite.

    Ces blessures font trop souvent de nous des êtres agressifs, offensifs, et si on développait tant soit peu l’envie de les dépasser, nous aurions moins de méchanceté, de désastres autour de nous.

    Mais je suppose qu’elles sont nécessaires aux humains pour supporter leurs peurs.
    Et c’est si difficile de se pacifier dans l’hostilité ambiante.

    bisous.

    • Je n’avais pas pensé aux peurs qu’il nous faut supporter aussi…
      J’espère que nous trouverons un jour la paix.

      Merci pour tes mots si sages, ma Polly. Bisous et douce journée.

  26. Ne garder que le meilleur….c’est vrai, pour cela , il faut une grande force , ce n’est pas facile et pourtant , c’est ce qui nous permet d’avancer dans le ciel bleu. Mais il ne faut pas oublier que les nuages gris ou noirs existent et peuvent nous anéantir . Alors , apprenons à faire des petits billets de beaux et bons souvenirs, et quand , la grisaille arrive , piochons-en un et rêvons!
    Douce soirée, je t’embrasse Quichottine

    • Un album de bons souvenirs à feuilleter lorsque le temps est trop gris. 🙂
      Merci pour ces pages bonheur que tu nous offres aussi.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

  27. Ce serait bien en effet d’avoir un baume pour passer sur nos blessures, mais hélas ! Pas facile de le effacer, même si les bons souvenirs sont là, et qu’on essaie de voir le ciel bleu même quand il est noir dans notre tête
    bisous et bonne semaine

    • Rien n’est facile… mais plus nous essayons, mieux nous y arrivons.
      Bisous et douce journée à toi aussi Lilwenna.

  28. Je ne sais pas s’il faut oublier ce qui fait mal, il me semble alors que les souvenirs risquent de ressurgir avec violence. Je crois plutôt qu’il faut parvenir à placer dans le ciel bleu ce qui fait mal, comme le géant de pierre de la photo, pour que tout ait, sinon un sens (ce qui fait mal a rarement un sens) mais simplement « sa place ». Je dis « il faut », mais je sais bien à quel point c’est difficile, donc ce n’est pas du tout une injonction, juste un effort que j’essaie souvent de faire, sans toujours y parvenir bien sûr.

    • J’aime ta proposition, Carole.
      Placer dans le bleu ce qui fait mal… oui, c’est une bonne idée.
      Merci pour tout.

  29. Ressasser les vieilles blessures empoisonnent la vie, vaut mieux faire l’effort d’oublier.

    • C’est un effort, mais le résultat en vaut toujours la peine.

  30. Inutile de garder les souvenirs, il faut regarder toujours devant soi, sans se retourner… C’est devant que les belles choses arriveront… Les peines comme les joies font partie de notre vie… Il faut les accepter… Rester debout !
    Bisou de bonne journée Quichottine

    • Rester debout… oui, je suis d’accord avec toi, même si le fardeau est parfois bien trop lourd.
      Bisous de bonne journée à toi aussi. Merci. 🙂

  31. Faire le tri dans les souvenirs …
    Une bonne façon de se libérer de ce qui nous empêche d’avancer.
    Je te souhaite un bon mardi
    Bisoux doux
    dom

    • Merci, ma chère Dom.
      Bisous doux et belle journée à toi aussi.

  32. Bonjour Quichottine, Ton titre me plait : « bleu de Mai » , le joli mois de Mai ou les fleurs volent au vent et ou le printemps fait jaillir de belles perspectives .

    Le Lutin bleu se souvient d’événements majeurs qui ont marqué notre histoire . Mai le mois des luttes sociales, le mois des amours , un mois ou tout est permis et rien n’est impossible.

    • C’est vrai que bien des événements ont marqué le mois de mai… Mais était-il question de cela ?

  33. Bonsoir Quichottine ,
    Exception à ma règle , je reviens ce soir ( sourire) , ce sujet est très intéressant comme d’habitude …
    Je suis restée très longtemps dans mes mauvais souvenirs mais en vieillissant je commence enfin à avancer et me projeter . Quitter et oublier tout ce qui a pu nous faire souffrir ne peut que nous aider à vivre sereinement , certes certaines blessures restent encore en mémoire… il faut faire avec !!
    Je te souhaite une belle soirée et t’embrasse bien fort

    • « Faire avec »… oui. C’est peut-être dans cette acceptation possible que réside notre force.
      Merci pour tes mots, Marie.
      Je t’embrasse bien fort. Bonne journée à vous deux.

    • Je suis ravie qu’il te plaise. 🙂
      Bonne journée à toi aussi, Tiot.

  34. Ne garder que le meilleur pour s’envoler avec les ailes de l’espoir et redécouvrir les sentiers de la joie …

    • Le meilleur, l’espoir, la joie, pour accepter et vivre sans trop de mal avec le pire. 🙂

    • Merci ma chère Dom.
      Bisous doux et belle journée à toi.

    • J’aime aussi. 🙂
      Merci, D@net. Passe une bonne journée aussi.

  35. déjà la mémoire par prédilection choisit d’oublier les mauvais souvenirs … et privilégie les meilleurs ; bises

    • Je l’espère pour tous.
      Bises et douce journée à toi.

    • Merci.
      Je suis contente que ça te plaise.
      Bisous et douce journée.

    • Merci ! Vous êtes très peu à le faire, alors merci beaucoup pour ça.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

  36. Le visage grimaçant pourrait faire peur, mais Clément ne l’a pas vu, seul sa quête de nuage dans ce ciel peut-être trop bleu, ne l’intéresse aujourd’hui
    Je t’embrasse

    • 🙂

      C’est vrai… il ne l’avait pas vu. 🙂
      Passe une douce soirée Tit’Anik. Merci !

  37. Tu as mille fois raisons et, d’ailleurs, tes mots ont même réussi à faire sourire ton géant de pierre ! (Tendresse)

    Je t’offre, en pur partage, ces quelques extraits de mon livre ……

    « Apprivoiser l’obscurité fait toucher la lumière. »

    « Quand nos larmes inondent notre coeur, c’est pour
    mieux faire sourire sa terre de notre prochaine
    floraison. »

    « Nous trébuchons sûrement pour mieux réfléchir aux
    obstacles et emprunter le bonheur avec l’adresse
    d’un oiseau. »

    « Les ronces sont là par effet de délicatesse, comme
    pour nous aider à mieux prendre soin de ce qui nous
    entoure. »

    GROS Bise-houx tout doux de mon jardin d’ivre-vert : sabine

    • Merci pour ces cadeaux qui me touchent beaucoup.
      Ton jardin d’ivre-vert est une merveille.

      Passe une douce journée.

  38. Oups …………le « s » à la fin du mot « raison » est à ôter , à moins qu’il ait voulu jouer lui aussi (pas facile à porter, après tout, ce mot « raison » ……RIRES !)

    Biiiiiiiiiiiises.

    • Je ris… des lutins malicieux s’amusent à jouer avec les mots et leur ajoutent ou retranchent des lettres à leur gré. 😉
      Merci, Sabine.
      Passe une douce journée. Bises.

  39. Moi, je ne veux rien voir d’autre que le profond éclat de rire de la paroi juste en face du géant !