Le lutin « Pfff », dernière partie

Quichottine avait enfin réussi à quitter la pièce à côté. Elle savait qu’elle y retournerait bientôt, parce qu’elle y recevrait ses petites-filles et qu’elle devrait pour cela retrouver les livres oubliés, les histoires d’autrefois, celles qui font rire et celles aussi qui font frémir ou soupirer.

Elle erra un moment dans les allées puis s’installa, comme les autres, sur l’un des coussins que l’on rangeait habituellement dans un grand coffre de bois, près des marches qui conduisaient à une petite estrade, tout près de la fenêtre de la bibliothèque. Aujourd’hui, elle laissait son fauteuil à une autre qui avait plus besoin qu’elle de douceur et de repos.

Tous attendaient la suite de l’histoire…

– Une suite ? Une suite à l’histoire ?

Bien sûr ! Où avez-vous vu qu’elle était achevée ? Le lutin « Pfff » n’a pas encore disparu comme il était venu… Ne vous souvenez-vous donc pas du premier épisode ?

– Ah ! Cette page où tu plantais le décor, celle que d’autres auraient appelé « Prologue »…

C’est bien celle-là.

– Et tu crois qu’on va encore venir lire la suite ?

Pourquoi pas ?

Je sais que certains aiment les contes, d’autres non, évidemment, mais on ne peut pas plaire à tout le monde…

– Pourquoi pas ?

Parce que pour plaire à tout le monde, il faudrait créer un nouveau type d’écrit, qui soit poésie, roman – un roman noir et rose, un peu sanglant aussi, mais pas trop, pour ne pas écœurer trop vite les lecteurs trop sensibles – et puis aussi un peu BD, un peu philosophie, beaucoup vie, mais pas trop, pour ne pas ressembler à ces récits dont certains se délectent et que d’autres ne liraient pas pour tout l’or du monde, même pour paraître au goût du jour…

Ce serait un drôle de mélange, un « inclassable » dont aucun éditeur ne voudrait, parce qu’il ne pourrait le mettre dans une collection, lui attribuer une catégorie…

Non, décidément, on ne le pourrait pas.

– Alors ? C’est toi qui racontes aujourd’hui ?

Non, j’attends comme vous. J’ai hâte de savoir comment les quatre fées vont trouver ce château qui était d’abord fait de pierres et de cailloux avant de devenir un palais d’or et de pierres précieuses…

(Un raclement de gorge précéda l’arrivée du Lutin bleu. Il semblait un peu fatigué par la journée qui venait de s’écouler. Il était un peu rouge et ses yeux brillaient.)

– Tu es souffrant ? Demanda la bibliothécaire à son ami aux grandes oreilles.

– Non… juste un peu fiévreux. Mais c’est normal, j’ai mal dormi.

– Pourquoi ?

– Je me demandais comment les fées devaient apparaître… Toutes ensembles ou l’une après l’autre ?

– Comment veux-tu que les quatre fées soient ensemble au même endroit ? C’est impossible puisqu’elles sont saison et doivent se succéder correctement l’une après l’autre pour que la nature s’y retrouve et vive paisiblement ?

– Justement…

– Comment justement ?

– Écoute, écoute…

– Là, ce n’est pas ta façon de raconter ! Tu exagères !

Quichottine se tut. Elle se revoyait, très longtemps auparavant, dans un grand amphithéâtre où un écrivain – une écrivaine – lisait un peu de son roman.

« Écoute, écoute » avait-elle répété, comme un refrain, tandis qu’elle racontait… C’était étrange et incroyablement beau.

Sa voix était chaude, grave… C’est important une voix, savez-vous, surtout quand on raconte, quand on veut être écouté. Il faudra demander à Sagine de nous raconter.

– Sagine ?

– Oui, elle donne sa voix à ceux qui ne peuvent pas voir, qui ne peuvent plus lire… Et elle le fait merveilleusement bien, je vous en parlerai un autre jour.

– Mais là, toi, tu ne vas pas imiter Dominique. Il faut rester toi.

(Le Lutin bleu sourit, de son étrange sourire de Lutin.)

Il reprit :

On dit…

On dit que cette année-là, partout dans le monde, une phrase revenait tout le temps : « Il n’y a plus de saison ! »

Plus de saison ? Mais comment était-il possible qu’il n’y en eût plus ?

La fée du printemps, la plus petite, la plus changeante aussi, était bien arrivée la première. Elle avait fait le tour du château, l’avait trouvé très beau, mais avait vu tout de suite qu’il manquait quelque chose.

Comment ? Pas la moindre fleur dans ce qui aurait dû être un parc et de magnifiques parterres ?

Elle sautilla de-ci, de-là, éparpillant les graines qui restaient de ses rapines dans les champs. Elle les semait à pleines poignées en riant de la bonne surprise qu’auraient ses sœurs en arrivant. Elle planta les buissons qui se couvriraient bientôt de baies colorées pour attirer les oiseaux. Elle prit le temps de faire grimper des rosiers le long des murets, de glisser dans les interstices les rhizomes de ce qui deviendrait  plus tard ces plantes dont on se demande toujours de quoi elles se nourrissent.

Elle pleurait parfois, comme un enfant qui n’arrive pas à obtenir ce qu’il veut.

Puis elle passait à autre chose, dans un rire éclatant… sans plus de larmes, sans chagrin. Elle avait même oublié ce qui l’avait attristée un moment.

Elle entra enfin dans le château et s’assit devant l’âtre en observant les flammes qui caressaient les bûches avant de les transformer en braises rougeoyantes qui s’éteindraient un peu plus tard.

C’était un très beau spectacle. Elle en oublia sa mission et s’endormit.

On dit…

On dit que la fée de l’été survint à son tour, dans sa robe fleurie, couronnée de lumière… En fait, ne le dites à personne, mais elle avait choisi ce jour-là des boucles cerises volées à l’arbre qui montait la garde à quelques pas de là.

Elle contempla le parc, le trouva à son goût… mais elle y fit couler l’eau d’un petit torrent, y installa une cascade, et même un peu plus loin d’eau d’un étang où elle fit fleurir des nymphéas.

Ensuite… elle se pencha vers la prairie où jouait son ami le vent.

On dit…

On dit qu’il y cherchait des amis. Ce n’est pas gai de jouer tout seul.

La fée lui offrit alors une prairie où rivalisaient de beauté coquelicots et bleuets.

Enfin, elle aussi, elle entra dans la plus grande pièce, celle où se trouvait le roi.

Elle vit sa petite sœur devant l’âtre et se demanda si elle devait la réveiller. C’était une décision très difficile… elle avait l’air si fatiguée !

Alors qu’elle s’approchait d’elle, l’enfant qui rêvait sans doute trouva contre son sein une place et s’y blottit.

La fée de l’été la serra contre elle et ne pensa même plus qu’elles devraient toutes deux se trouver ailleurs.

On dit…

On dit que sur ces entrefaites, la Fée de l’automne, celle qui est si fantasque, mais si gentille avec tous, franchit à son tour le grand portail de bronze qui aurait dû fermer l’entrée du château.

Elle gravit les marches de l’escalier monumental qui conduisait aux pièces d’apparat du premier étage. De grands, d’immenses vases y présentaient toutes les fleurs de l’été. Curieusement, cela la mit mal à l’aise. Plus elle essayait de les remplacer par ses fleurs préférées, moins elle y arrivait. D’un bout du couloir à l’autre, et de l’autre au premier, elle s’entêta, ici un chrysanthème, là … un brin de lilas ? Mais que se passait-il ?

Ses fleurs semblaient lutter avec celles du printemps, de l’été… et même… Oui, de l’hiver aussi !

Impossible ! Le mot ne franchit pas ses lèvres. Elle venait d’apercevoir l’été et le printemps près de la cheminée… toutes deux endormies dans les bras l’une de l’autre… et, sur le pas de la porte, la grande, la majestueuse, l’unique, l’incroyablement blanche dans sa robe de dentelle, la Fée de l’hiver et son manteau de neige.

On dit…

On dit que de surprise la fée de l’automne s’évanouit avant d’avoir pu colorer d’or et d’ocre les arbres de la forêt.

C’était impensable, même pour le lutin « Pfff » qui en oublia de soupirer.

La Fée de l’hiver s’approcha du roi.

Il continuait d’observer les murs de son palais, les plafonds recouverts de superbes mosaïques aux motifs dignes des meilleurs créateurs de tous les temps. Il semblait perdu dans ses pensées, perdu dans un monde qui ne ressemblait plus au sien.

La fée effleura la main, puis le front… ôta même la couronne royale sans susciter la moindre réaction.

« Curieux », murmura-t-elle.

Elle aurait pu dire « étrange », « bizarre », « étonnant »… Non, elle avait dit « curieux », du bout des lèvres.

Sa voix trouva un écho qui se propagea dans tout le château, et même au-delà, dans toute la Forêt des Merveilles. Ce qui n’était qu’un murmure enfla, porté par le vent, par l’eau, par tous les animaux disponibles, du plus petit insecte au plus fier des oiseaux.

Le Lutin bleu qui passait par là – non, pas moi, je n’étais alors qu’un débutant qui n’avait pas encore écrit sa première histoire – décida que l’heure était grave.

Il vit le château, les fées endormies. Il vit le roi inerte au milieu d’une pièce où l’ombre de la nuit grandissait.

Il décida qu’il était temps d’agir.

– « Pfff », appela-t-il en essayant de n’être entendu que par lui.

Il aurait été trop simple que ce dernier réagît tout de suite. Non, il dut renouveler trois fois son appel.

– « Pfff ! »… « Pffff ! »… « Pfffff ! »

– Mais pourquoi fais-tu tant de bruit ? Qui demandes-tu ainsi ?

Toi !

– Moi ? Mais je ne m’appelle pas « Pfff » !

– Je n’en sais rien. Ce sont les premiers et seuls mots que tu as prononcés depuis ton arrivée.

– Il n’y avait rien d’autre à dire… Je devais bâtir…

– Un palais. Oui, je sais, un palais à ta façon à toi. Mais t’es-tu demandé ce que les autres en penseraient ?

– …

– Je vois. On ne t’a pas encore appris que les autres ont aussi leur mot à dire…

–  J’ai entendu leurs mots.

– Tu les as entendus, mais les as-tu écoutés vraiment ?

– …

– Il y a une différence.

– …

– On peut entendre sans écouter, et aussi écouter sans entendre.

– Parles-tu toujours par énigmes ?

– Quelquefois.

– Que dois-je faire maintenant ?

– Je ne sais pas. Je vais aller réveiller les quatre fées et notre roi. Il faudra que je leur explique que tout cela n’était qu’un peu de rêve en partage, un peu de vie aussi, de l’amitié, de l’entraide, une page prise au grand livre du temps…

– Tout cela ?

– Oui, et plus encore, mais nul n’a besoin de savoir…

– Et moi ?

– Toi ?

– Oui, moi !

– Toi, tu étais un mirage, un souffle d’énergie, un battement de cœur, un…

– Moi, je n’existais pas ?

– Toi… Souviens-toi, tu es arrivé sans couleur, dans un monde coloré. Tu ne parlais pas, dans un monde de mots, tu as agi dans un monde d’attente.

– Moi, je n’existais pas ? Insista « Pfff »… (Il avait des larmes dans les yeux, mais il savait bien qu’un lutin ne pleure pas… sauf parfois les lutins bleus.)

– Toi… si, tu existais, vraiment, dans un monde où rien n’est vrai. Tu as réussi à transformer un tas de cailloux en palais. Mais il est temps de tout remettre à sa place…

– De partir ?

– Si tu veux… ou de trouver ta couleur parmi toutes celles qui nous entourent aujourd’hui.

– De rentrer dans un moule ?

– Peut-être, peut-être pas.

– Pfff…

Le lutin bleu se frotta les yeux. Il n’y avait plus rien devant lui, plus de palais, plus de cailloux. La fée de l’hiver avait réveillé ses sœurs et chacune était partie vers son ailleurs, aux quatre coins du monde et même au-delà de ses limites, au pays où tout devient possible.

Le Roi s’était retiré dans sa demeure habituelle, sans autre souvenir que celui d’un songe – pas si merveilleux – où rien ne ressemblait à rien mais où tout était tellement parfait qu’il n’avait plus rien à décider. C’était tellement ennuyeux qu’il avait cru mourir de n’avoir plus rien à accomplir, à espérer.

L’aube se levait sur la Forêt des merveilles, les lutins s’affairaient, chacun à son ouvrage, comme si rien ne s’était jamais passé.

Mais, un rayon de soleil fit briller dans la clairière une petite marguerite, toute, toute petite, qui adressa au Lutin bleu un clin d’œil malicieux.

© Quichottine, 21 octobre 2013

La Marguerite des possibles, septembre 2013
La Marguerite des possibles,
Les Anthologies Éphémères, 2013

130 commentaires à propos de “Le lutin « Pfff », dernière partie”

    • Merci, Dom. Bisous doux et belle journée à toi aussi.

  1. Pfff! je n’en reviens pas de lire un conte si joliment écrit ! une fin qui redonne espoir car je te l’avoue j’étais triste de revenir à la réalité , tout était si magique …
    Embrasse pour moi tes quatre jolies fées qui m’ont fait rêver
    Je te fais de grosses bises Quichottine et te souhaite une merveilleuse journée

    • Merci !
      Nul ne peut vivre sans espoir, même lorsque la réalité efface le rêve qui l’a porté.

      Je suis contente que ce conte t’ait plu.
      Passe une douce journée. Je t’embrasse très fort, Marie.

  2. Les lutins passent comme les fées sur la pointe des pieds, la nuit je crois et au petit matin on ne se souvient plus très bien de ce qui s’est passé… Parfois il vaut mieux peut-être bien, mais il reste le froissement d’une robe scintillante, et le clin d’oeil d’un lutin facétieux !
    Il faudra inventer des histoires pour ces vacances de Toussaint, certains inviteront la sorcière à la citrouille, et au chaudron que tu connais bien !
    Bises Quichottine
    Marine

    • Les histoires se construiront au jour le jour. Fées et lutins sont en place. 🙂

      Merci, Marine.
      Bises et douce journée.

  3. J’ai rêvé ou bien lu entre les lignes parce que je vois dans ton conte des choses qui me paraissent bien coller avec notre société actuelle 😉 Bonne soirée Quichottine bise (:-*

    • Les rêves sont souvent faits de réalité… nous cherchons le plus souvent à la rendre supportable.
      Bonne journée et bises à toi aussi. 🙂

  4. Un très joli conte que tu nous écris-là chère Tisseuse de rêves, merci…
    Belle soirée à toi avec encore un peu de magie

    • Je suis contente qu’il t’ait plu.
      Merci, Joëlle. Bisous et douce journée à toi.

    • Merci à toi de l’avoir lu.
      Gros bisous et douce journée à vous deux.

    • Merci à toi de l’avoir lu.
      Passe une belle journée, Écureuil bleu.

  5. Et moi je dis que toutes les fées du monde devraient se réunir et faire tenir les mains de tous les hommes
    bons et moins bons !! et que Quichottine pourrait encore nous en faire de bons contes !!
    gros bisous

    • Ce serait bien qu’ils s’unissent tous pour que notre monde soit le meilleur possible… 🙂

      Passez une douce journée. Gros bisous et merci à vous deux.

  6. On dit que Quichottine est la reine des fées et qu’elle a tous les pouvoirs magiques….celui d’inventer sans fin des contes poétiques, légers, irisés comme la rosée du matin quand les petits lutins se sont endormis au coeur de la nuit. Bisous à toi, ma chère Quichottine.

    • Un sourire… et un grand merci pour ce joli commentaire et ce beau compliment.

      Passe une douce journée, Malou. Bisous.

  7. J’ai adoré la ronde des saisons Quichottine, c’est si bien écrit, si poétique.
    Je viendrai relire cette page demain, pour le plaisir tout simplement.
    Il eut été dommage de ne pas l’écrire.
    Que serait notre vie sans l’espoir ?
    Je t’embrasse très fort je vais voir si la fée du sommeil est arrivée. Elle se fait souvent attendre !
    Gros bisous et douce nuit.

    • Notre vie ne serait rien sans l’espoir qui nous pousse à agir…

      Enfin, c’est ce que je crois. 🙂

      Je t’embrasse très fort ma Cricri, en espérant que le marchand de sable soit bien passé pour toi.
      Gros bisous et douce journée à toi.

  8. c’est une très belle façon de voir les choses . belle et bonne nuit a toi

    • Un grand sourire… Merci, jill.
      Je t’embrasse. Passe une douce journée.

    • Merci, Dom.
      J’espère que tu auras passé une douce journée toi aussi. Bisous.

    • Tu as tout bien compris. 🙂
      D’un immense rayon de soleil venu d’un coin de ciel bleu…

  9. voilà bien une histoire qui me ravi mais j’ajouterai une fée de plus……………………………QUICHOTTINE la fée du net qui sait rassembler ses amies, amis, et fabriquer …………. »la marguerite des possibles » !
    BRAVO à toi, et plein de bisous ! MIAOU,MIAOU,MIAOU !!!!!!

    • Bonjour Mistigris.
      Je suis contente que tu sois rentrée… J’espère que tout va bien pour toi.
      Gros bisous et douce journée. Merci pour tout 🙂

  10. Un beau contre, bien écrit. bravo
    Bisous

    • Merci !
      Je suis contente qu’il te plaise.

      Passe une douce journée, Violette. Bisous.

    • Un grand merci à toi.
      Passe une douce journée, Jackie. Bises.

  11. Bonjour Quichottine
    Je viens te faire un « tit » coucou en revenant de voir mes Amis les Loups.
    L’histoire de certaines de mes soeurs est magnifiquement contée
    %a

  12. bonjour, ma chère Quichottine
    belle « fin » de cette féerie !
    j’adore ton passage sur les « inclassables »
    j’y vois même une certaine « explication » au fait que je n’ai jamais vraiment cherché à publier un livre…
    la paresse, bien sûr mais aussi parce que ne n’ai pas su, pas pu, ou voulu ranger mes écrits dans un genre déterminé… poèmes (ou plus modestement, recherche de l’introuvable Poésie)
    nouvelles, romans, contes…
    réalisme, imaginaire…

    Tes textes parviennent à faire cette synthèse !

    bonne journée
    gros bisous d’amitié
    jean-marie

    • Il n’est pas toujours facile de « classer » un livre.
      Pour ma part, je n’y arrive pas vraiment.

      Merci pour tes mots, ton soutien ici et là.
      Gros bisous et douce journée à toi Jean-Marie.

  13. Bonjour belle amie des Fées
    Je viens te faire un tit coucou en revenant de voir mes Amis les Loups.
    Tu as merveilleusement narré l’histoire de mes 4 soeurs
    Ce ne sont pas les seules qui oeuvrent dans votre Monde.
    Derrière chaque arbre,
    Dans chaque fleurs,
    Sur chaque brin d’herbe
    Dans les sous bois,
    Dans vos maisons ,
    Partout elles sont là.
    Attentives à vos gestes
    Inquiète de voir votre planète
    se détruire petit à petit
    Horrifées de voir les guerres se déchainées.
    Dans le Monde du peuple Caché
    Nul de ces faits.
    Il n’y a que paix et sérénité.
    OUI !! tous les Hommes devraient TOUS se donner la main
    quelque soit leur couleur , leur race, leur religion
    car Les Fées savent que d’ici peut,
    si rien n’est fait
    ce sera la perte de l’Humanité
    bisous tout plein de la part de
    Celiandra une autre fée

    http://nsm08.casimages.com/img/2013/10/23/1310231138076140511664731.jpg

    • Merci, Celiandra.

      Tes mots me font très plaisir. J’ai vu que tu avais eu un souci avec ton premier commentaire… Il s’était envolé ?

      Passe une douce journée, Celiandra. Bisous tout plein.

  14. la Fée de l’automne a bien fait les choses aux Entrefêtes, dommage que le gif « clin d’œil » ne fonctionne pas en direct, pas grave tous les lutins et fées ont si bien travaillé. Même avec quelques Pffff! Un vrai bonheur.

    • Ce doit être de ma faute je pense… Je n’ai pas mis la bonne image. 😉

      Merci pour tout, Pierre. Je suis contente que ça te plaise.
      Passe une douce journée.

  15. Il ne pouvait en être autrement… ce conte finit bien… l’espoir des possibles est encore là et c’est très bien 🙂
    Je t’embrasse ma Quichottine. Doux mercredi.

    • Merci, Marité… Tu as raison, il ne pouvait pas en être autrement.
      Je t’embrasse fort. Passe une douce journée.

  16. Quelle belle histoire !! merci pour ces délicieux moments. Bises d’ici Dame, passe une douce soirée

    • Je suis ravie qu’elle te plaise.
      Bises d’ici aussi, Dame Croc. Passe une douce journée.

  17. merci chere Quichottine, un bien joli conte, qui nous a tenu en haleine, c’est bien toi la « fée du net », heureux d’avoir fait ta connaisance, grosses bises

    • Merci, René.
      Je suis contente également que tu sois là et que cela te plaise.
      Passe une douce journée. 🙂

  18. fées et lutins de mille couleurs nous ont bien fait rêver ! merci pour ce joli conte , j’ai adorer te lire
    bisou Quichottine

    • Je suis contente que cela t’ait plu, Cri.
      Merci pour tout.

      Bisous et douce journée.

  19. tout demeure possible
    il suffit d’y croire
    merci pour ce doux moment
    je te souhaite une excellente fin de journée
    ti bo

    • « Il suffit d’y croire »… Je suis tout à fait d’accord.

      Merci, Sonya.
      Passe une douce journée. Gros bisous.

  20. QUICHOTTINE BONSOIR !

    Dis moi 329 indésirables ???

    Donc je prends l’habitude de lire 1 PAGE chaque soir : Je tiens le rythme !

    Mais je pense que je vais en lire 2 ce soir !

    C’est bien écrit .

    BISOUS ++++

    A BIENTOT

    any

    • Il semble que oui… Mais ce n’est pas moi qui le dis. 🙂
      Merci pour tout, Any.
      Bisous et douce journée à toi.

    • Je le ferai sans doute un jour… 😉

      Bises et douce journée, Durgalola. Merci !

  21. Un conte magnifique …… tu nous apportes , comme le lutin, du rêve qui s’évanouit à la fin de la lecture mais qui laisse un sillage de parfum qui nous suit longtemps après.
    Douce soirée, bisous Quichottine

    • Je suis contente qu’il t’ait plu. Merci, erato.

      Passe une douce journée. Bisous.

  22. Bonjour Quichottine,
    je viens te dire un petit bonjour pour te dire que je ne t’oublie pas. je n,ai pas le temps de lire le lapin bleu car le conte est sur plusieurs articles, tu m’excuseras.
    À bientôt.

    • Il n’y a pas de souci… Je sais que tu manques de temps.
      Passe une douce journée, Nadia. Je ne t’oublie pas non plus.

      Bises et à bientôt.

  23. J’adore ! moi j’aime les contes et je ne m’en lasse pas ! Et quand c’est toi et tes lutins qui les racontent, c’est encore mieux !
    bisous et bonne soirée

    • Merci !
      Je suis contente que ce conte t’ait plu.
      Bisous et douce journée à toi.

    • Passe une douce journée toi aussi, Dom.
      Bisous doux.

  24. tu as une façon inimitable de conter, avec des intervenants multiples, dont la conteuse, c’est très original -merci Quichottine

    • C’est un très beau compliment que celui que tu me fais.
      Merci, Emma.
      Passe une douce journée.

  25. Un joli conte que je veux bien tenter de lire si tu m’envoies le texte en entier ( doc ou pdf), c’est plus facile pour moi .
    C’est la première fois que j’entre dans une histoire et cela me plaît bien, je prends moi aussi une autre dimension d’un seul coup. Merci.

    • Et un grand merci à toi d’être venue lire. 🙂

      Passe une douce journée, Sagine. Je vais t’envoyer le conte, je serais ravie que tu me prêtes ta voix pour lui.

  26. La marguerite va consoler le lutin Pffff heureusement; un très beau rêve à raconter au coin du feu …
    Avec ton talent de conteuse , je pense que tu racontes aussi bien que Sagine . C’est généreux de prêter sa voix à ceux qui ne peuvent pas lire! Bisous

    • Sagine a une voix qui me plaît beaucoup. Je resterai des heures à l’écouter.
      La mienne s’est un peu cassée avec le temps.
      Bisous et douce soirée.

  27. Tout d’abord, merci pour le fauteuil, c’est gentil, enfin j’espère que c’était pour moi, car je l’ai occupé :))
    J’ai adoré ce conte, et j’étais vraiment loin d’imaginer l’issu. Tu nous a boullégué, ici et là, dans une construction, un palais … Mais non ! c’était la construction du livre, cette construction ou chacun a apporté un petit bout de son cœur. Tu nous a transporté aux pays des merveilles, au cœur de la marguerite. MERCI ma grande
    Je t’embrasse très fort

    • Il était pour toi, puisque tu l’occupes. 🙂
      Merci à toi, Tit’Anik. Je t’embrasse très fort.

  28. Oh ma douce bibliothécaire, je reviendrai pour lire la suite… trop en retard ce soir.
    mille bisous du matelot de la terre ferme

    • Nous avons tous des moments comme ça. Merci pour ce coucou-bisous-pressé. C’est tout gentil.

    • Toujours, même s’il m’arrive de m’absenter un peu…
      Bises et douce soirée, Fancri.

  29. J’ai attendu que le conte soit terminé pour lire les 4 épisodes à la suite. J’ai aussi lu les commentaires, mais chacun(e) y a trouvé différentes choses.
    Quant à moi, j’ai surtout retenu que quand on veut on peut, même si on ne fait pas toujours ce qu’on voudrait et que comme le dit mon voisin « y’ plus d’saisons ma brav’dame »!
    En tous cas tu as toujours le « psit psit psit » qui fait qu’on est pris par l’histoire.
    Je t’envoie plein plein de bisous

    • Je suis heureuse que tu aies pu le lire et qu’il t’ait plu.
      Merci, ma Zézette.
      Plein de bisous et douce soirée à toi.

  30. otra vez con dificultades no puedo soportar mis gafas nuevas…no se cuando se va ha terminar todo esto te he leido con mucho apuro
    besitos
    tilk

    • Espero que pronto. Sé que no es facil para ti.

  31. Je n’ai pas suffisamment de temps pour te lire en entier mais je te souhaite un bon vendredi et un excellent weekend.
    A bientôt.

    • Merci, Philippe. Chacun fait ce qu’il peut. C’est tout gentil d’être passé malgré tout.

  32. J’ai lu le commentaire de Urban et …
    Je pense que rien n’existe qui n’aie été imaginé … Alors!
    Bisoux elfiques Quichottine

    • Un sourire pour toi… Merci pour cette affirmation, je crois que c’est aussi mon avis.
      Bisous et douce soirée, Kri.

    • J’espère que tu auras passé une bonne fin de semaine toi aussi, Dom
      Bisous doux à partager.

  33. Moi j’aime bien les contes ma Quichottine.
    Je suis en train de créer des petits éléments pour ma crèche, c’est aussi une part de rêve que l’on raconte chaque année et j’étais en train de me demander ce qui pourrait bien se passer si ton lutin facétieux venait se perdre dans mon monde.
    Bises Quichottine

    • Il emporterait de nombreuses images je pense…
      Les dernières découvertes chez toi me plaisent infiniment. 🙂
      Passe une douce soirée.

  34. Dis au Lutin bleu que j’ai lu la fin et sauté un chapitre de son histoire, mais promis je vais
    me rattraper 🙂
    cette Églantine en plus Lilas, comment fait-elle pour être toujours à la traîne je te demande ! surtout lorsqu’il s’agit des fées saisons ! elle a succombé au charme de cette histoire et est heureuse que les saisons existent ..
    à très vite promis

    bises

    • Je sais que chacun fait comme il le peut… Ne t’en fais pas, le Lutin bleu aussi. 🙂
      Bisous et douce soirée, Églantine. Prends aussi du temps pour toi.

  35. Qu’il est beau ce conte, je suis presque triste qu’il soit fini… Mais je veux garder l’espoir que d’autres contes verront le jour par ta plume délicate.
    Plein de rêves, plein d’espoir, espoir d’un meilleur pour accepter le mauvais d’aujourd’hui.
    Même si je dis que les illusions se transforment trop souvent en désillusions, il faut continuer de croire que tout peut arriver….un jour…. quel jour ? un jour, un autre demain….
    Je vais libérer le coussin sur lequel je m’étais confortablement assise pour écouter cette belle histoire, et je reviendrai lorsque d’autres contes seront à écouter, à entendre !
    Je te souhaite un doux week end.
    Je t’embrasse.

    • Il y en aura d’autres, ne t’inquiète pas.
      Comment vous laisser sans nouvelles histoires ?
      Doux week-end à toi aussi, Claire, même si ce n’est pas le même. 😉

  36. Tu es une excellente conteuse, on se prend tout à fait à ton jeu, on redevient dans l’enfance..cela fait du bien Merci et je t’embrasse
    Hélène

    • Je suis contente de pouvoir vous apporter un peu de la tendresse de notre enfance.
      Merci pour ce beau compliment, Hélène.
      Je t’embrasse. Passe une douce soirée.

  37. Merci pour toutes tes visites et tes commentaires auxquels je ne puis répondre sur mon blog (?)
    Bonne fin de semaine.
    Bisous

    • Ah oui ? Tu as eu des soucis ?
      J’espère que tu retrouveras vite ton administration de blog.
      Bonne fin de semaine à toi aussi, Amaneda. Merci !

  38. une jolie histoire qui m’a bien passionné …bon week-end Quichottine

    • Merci Dom. Je suis contente que tu l’aies aimée.
      Passe une douce soirée et un bon week-end.

  39. Une jolie histoire qui fini bien et ces lutins de toutes les couleurs ça crée un beau décor. Bonne fin de semaine, bisous.

    • J’aime ton regard d’artiste sur les contes. Merci, Solange.
      Passe une bonne fin de semaine toi aussi. 🙂
      Bisous.

  40. une très belle histoire on en redemande et on peut en même tps apprendre pas mal de choses comrendre la vie

    • Merci pour tes mots Flipperine.
      Je suis contente que cela te plaise.

  41. Lutin bleu rêve
    Quichottine l’a écrit
    Le conte est fini.
    Tu vas bien ?
    Je t’envoie des bisous comme s’il en pleuvait.

    • J’ai été malade, très, mais ça va mieux maintenant. Merci pour tes mots, Zézette.
      Bisous tout plein et douce soirée à toi.

  42. « Un petit clin d’oei »l,ça fait du bien de traverser des mondes un peu plus soft que le nôtre. Merci, Dona pour
    « un peu de rêve en partage, un peu de vie aussi, de l’amitié, de l’entraide, une page prise au grand livre du temps… ». Bises VITA

    • Et merci à toi pour ces mots que tu soulignes dans les miens.
      Cela me touche beaucoup.
      Passe une douce soirée. Bises.

  43. Je suis terriblement en retard et j’arrive pour découvrir la fin d’un conte… Je n’ai pas assez de temps ce matin mais je reviendrai pour tout lire de A à Z.
    Bisous Quichottine.

    • Quand tu pourras, Oxy. 😉

      Bisous et douce soirée à toi.

  44. La magie du conte ciselée de poésie avec un soupçon de rêverie
    Juste une petite pincée au bon moment pour s’envoler sur un nuage…
    Un nuage que je reprendrai pour refaire le voyage à l’endroit
    à l’envers tout doucement sans compter le temps
    et cueillir par ci par là
    des petites marguerites d’espoir
    des fleurs de sourire
    des galets pour palais
    des jeux de lutins
    des arcs en ciel de rencontres
    et des phrases de vie comme celle-ci que j’emporte ce soir
    « On peut entendre sans écouter, et aussi écouter sans entendre. »

    Merci Quichottine

    • Et merci à toi… pour ces mots en partage, pour ta lecture attentive, pour ton amitié. 🙂
      Belle et douce fin de semaine, Marie.
      Prends bien soin de toi.

  45. Coucou ma Quichottne,
    Je viens de rattraper mon retard, et je peux te dire que j’ai adoré ce conte. Merci pour ces moments magiques de rêve.
    Bises et bon mercredi. ZAZA

    • Merci à toi de l’avoir lu et pour ces mots laissés en partage.
      Bisous et douce fin de semaine à toi.

  46. La fin ne va satisfaire tes petites chéries, car on n’efface pas un rêve d’enfant comme un calcul d’équations sur un tableau noir. Le palais d’azur , le roi de la forêt et les quatre fées de la forêt sont entrés dans leurs souvenirs, ils tournent dans leurs têtes aussi réel que le chat d’Alice au pays des merveilles, le nez de Pinocchio ou l’épée de bois de Peter Pan.

    Tu as enfanté un conte, mais tu n’as pas le pouvoir de revenir en arrière, de remonter le temps. Il va vivre sa vie de conte, il va se colorier à d’autres vents, les fées ouvriront des fenêtres dans les murs aux quatre coins du palais pour reprendre leur voyage, remerciant le roi de son invitation. Et celui ci en sera si heureux qu’au lieu de rougir comme le font ses sujets, il pâlira tellement de joie qu’il en deviendra transparent, si transparent qu’il ne voudra plus redevenir visible, sauf pour le lutin blanc, une fois tout les mille ans. Mais ceci est une autre histoire, que tu raconteras dans mille jours.

    Bises du grillon

    • Il faudra que j’encadre ce commentaire… J’aime bien la suite que tu donnes à cette histoire.
      Je la raconterai, ou toi peut-être, dans mille jours… ou peut-être jamais, mais elle existera ici, entre nous et ceux qui lisent les commentaires.

      Merci, Christian.
      Bises et douce journée.

  47. Je dois m’absenter qq jours mais pas sans passer te dire à bientôt chère Quichottine
    T’embrasse !

    • Merci d’être passée avant ton départ, ma Joëlle.
      T’embrasse aussi, très fort.

  48. J’ai aimé ce conte … toi aussi tu es du Petit Peuple , sans aucun doute
    Merci pour ta longue visite et tes multiples mots déposés
    Merci aussi pour tes deux très bonnes suggestions >>> bidouiller la villa en orange et créer une page pour réunir mes bannières. Je vais y penser.
    Bisous Elfiques

    • Je suis contente d’avoir retrouvé tes bannières sur ta page récapitulative.
      Je suis très touchée que tu aies tenu compte de mes suggestions.

      Bisous et douce journée à venir, Kri. Prends bien soin de toi.

  49. je vais prendre le temps de relire tout cela ce week-end … bonne soirée quichottine

  50. mira pues lo he pensado y me parece muy dificil
    besitos
    tilk

    estoy contento prque poco a poco estoy recuperando ahora puedo leer una pagina entera de un libro
    sin descansar …es muy importante para mi…tu sabes lo importante que es leer

    • Je suis contente que tu retrouves le plaisir de lire… C’est tellement important !
      Merci, Tilk.
      Passe une douce fin de semaine. Prends bien soin de toi.

  51. Pendant que j’étais dans ta blibliothèque j’en ai profité pour finir ma lecture que l’autre jour j’avais laissé en suspens faute de temps.
    Un joli conte et il y a une phrase qui m’a marquée « on peut toujours écouter sans entendre ».. je la trouve tellement vraie tout le monde peut écouter mais qui entend vraiment!
    La fée a dit bizarre, elle a dit bizarre?
    Pour ma part, je préfère le mot écrivain à écrivaine, une question d’habitude sans doute.
    Merci pour tes mots ma chère Quichottine, ils nous font rêver.
    bisous tout plein
    le matelot de la terre ferme

    • Je crois que je suis comme toi, je préfère « écrivain », je ne me fais pas à ces féminins inutiles…

      Merci d’avoir pris le temps de cette lecture attentive et de ces remarques qui me font très plaisir.
      Bisous tout plein et douce journée à toi.

  52. Le lutin « Pfff » aurait-il été à l’école du facteur cheval? Cet homme comme le lutin ne manquait ni d’énergie ni de suite dans les idées, quant au goût c’est tellement personnel.
    Sur notre Terre c’est la fée Automne qui s’est installée et elle joue avec l’interrupteur du soleil aussi bien qu’avec les vannes du ciel.

    Bon dimanche à vous

    • Je ne sais pas… Je suppose que le Facteur Cheval aurait aimé le rencontrer, ou inversement. 🙂

      La fée d’automne délaisse un peu trop le soleil en ce moment. Elle pourrait l’installer quelque temps dans le ciel, ça me plairait bien. Il est tellement agréable de le voir jouer avec les couleurs !

      Passe une douce journée. Amitiés.

  53. En effet, le pays des merveilles est fait de songes… à rêver, éventuellement à tenter de concrétiser. Evidemment, certains songes sont plus fictifs que possibles mais l’on est en droit de les rêver et ce même, éveiller.
    On a apprécier les diverses allusions… Le pays des merveilles, la présence des fées des 4 saisons…
    Ainsi que les réflexions.
    Après une journée passée sur le terrain, il fut plaisant de se poser à tes côtés, le temps de découvrir les suite et fin de ce conte et d’imaginer, au fil de mots, les différentes scènes.
    Merci. 🙂

    Bonnes soirée et nuit.
    A plus tard que jamais! 🙂

    • Merci à toi mon aminaute, pour ta lecture attentive et ta présence ici.
      Douce et belle soirée à toi.

      J’espère à très bientôt, ici ou là… 🙂