Palimpseste

J’ai hésité à parler de « remord »… je ne suis pas peintre, vous le savez tous. Le remord, c’est une reprise, un morceau du tableau que l’artiste efface en le grattant ou en l’agrémentant d’une nouvelle couche de peinture. Ce peut être aussi un tableau, une esquisse, un brouillon qu’il ne signera pas tout de suite, parce qu’il décide d’en faire autre chose.

 

Picasso avait une « caisse à remords ».

 

Pour l’écrivain, on parle le plus souvent de palimpseste.

 

Les spécialistes analysent, essayent de retrouver les versions antérieures d’un manuscrit… de la même façon qu’on radiographie les toiles des grand maîtres pour en faire surgir les versions précédentes, on fouille les archives des maisons d’édition pour en exhumer la version inédite, celle que l’auteur a envoyée, celle qui a été, longuement ou non, raturée, corrigée, peaufiné.

 

C’est vrai… Le manuscrit premier n’est jamais tout à fait un simple brouillon à recopier. Il arrive que des chapitres entiers aient disparu. Mais c’est généralement pour la bonne cause, pour préserver la cohérence de l’ensemble, pour éviter les longueurs qui lasseraient le lecteur.

 

Vous savez tous qu’une partie de mon absence est due à mon envie d’achever mon propre manuscrit : pas une compilation de choses déjà publiées, ici ou ailleurs, mais une histoire tout à fait nouvelle, inédite, un roman dont j’ignore encore s’il sera pour adolescents ou « adulescents ».

 

Il est en voie de finition, et, si je ne l’ai pas encore achevé, c’est que les circonstances qui m’ont empêchée de venir vous retrouver pendant quelques jours, ne m’ont pas non plus permis d’y travailler.

 

Cependant… parce que j’ai arraché aujourd’hui quelques pages de mon « brouillon », que je sais que je ne les utiliserai pas dans mon texte définitif, mais parce que j’ai pris plaisir à les écrire, je vais vous les montrer…

 

Elles seront juste pour vous, vous qui passez encore dans la bibliothèque endormie.

 

Chut… ne dites surtout pas aux autres que vous les avez lues…

 

Dans un roman que nous signerons tous deux, Davy et moi, car ce sont ses dessins qui illustreront et compléteront mon texte, le héros devait apprendre la guitare. Il n’en fera rien, parce que ce serait un peu « hors sujet ».

 

Mais voici le passage que j’ai supprimé.

 

[…]

 

Il faillit abandonner cent fois… mais il tint bon et, finalement, réussit à passer des mélodies enfantines – « Au clair de la lune » et « Il était un petit navire » n’ayant plus de secret pour lui – à des morceaux plus compliqués.

 

Il avait compris qu’il ne servait à rien de se mettre en colère lorsque sa guitare semblait le bouder. Il la regardait alors tristement, la posait devant lui, et lui parlait comme à une amie très chère.

 

« Tu n’es pas heureuse, aujourd’hui ? Tu as passé une mauvaise journée ? Tu aurais voulu que je sois là, que je te prenne dans mes bras, que je te dise que je t’aime assez pour ne penser qu’à toi ? »

 

La guitare restait silencieuse, évidemment, mais un rayon de soleil en faisait briller le bois et accentuait ses rondeurs.

 

« Mais tu sais bien que je dois aller travailler, c’est important aussi, pour nous deux. Tu sais que je voudrais te consacrer plus de temps, c’est impossible ! »

 

La guitare continuait à le regarder sans rien répondre. Pourtant, elle paraissait l’écouter. Ses cordes frémissaient. Pour Papilio, le vent qui soulevait le rideau n’était pour rien dans ce frémissement. Il continuait :

 

« Un jour, tu verras, nous irons bien plus loin que ces études que je t’impose chaque soir. Tu riras avec moi de ces journées, de mes fausses notes, de mes inquiétudes. Ta voix répondra à mes doigts sans plus jamais se refuser. Tu seras capable de traduire le moindre de mes rêves en milliers de notes dont nous garderons les plus belles pour celle que j’aimerai… »

 

La guitare avait fait la moue à cette annonce. Papilio poursuivait pourtant, sans tenir compte de l’obscurité qui emplissait désormais une partie du logis.

 

« Il ne faut pas être triste… Lorsque je me rendrai sous son balcon pour lui chanter mon amour, c’est toi qu’elle entendra, c’est toi qui la charmeras bien plus que je ne saurais le faire. Elle t’écoutera et c’est grâce à toi, à la légèreté de ta mélodie que je pourrai la séduire. Tu ne voudrais pas qu’elle doive se boucher les oreilles ? »

 

110216_dessinjournalier038.jpg

 

La guitare accepta, elle aussi, l’inéluctable.

 

Elle ne souhaitait pas qu’il soit malheureux et, même s’il ne joua jamais sur scène, même s’il ne réussit pas à aller au-delà de ces « Jeux interdits » qui lui rappelaient un très vieux film en noir et blanc et un amour de petite fille au visage d’ange, Papilio la retrouvait chaque soir, et, après les quelques accords nécessaires, il chantonnait doucement, en s’accompagnant de notes fragiles et tendres.

 

Il improvisait le plus souvent et cela suffisait à son bonheur.

 

 

© Quichottine, mars 2012

(Extrait de « Papilio, Le monde merveilleux d’un doux rêveur »)

 

 

J’aime bien ce dialogue, même s’il n’est sans aucun doute pas adapté au récit, même si la guitare prenait trop de place, jouait un peu le rôle de Cyrano sous la fenêtre de Roxane.

 

Mais je l’ai supprimé, comme le seront sans doute d’autres pages au fur et à mesure de la construction de cette histoire où le Lutin bleu qui sommeille dans ma bibliothèque n’a pas encore écrit son dernier mot.

 

… Évidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire.

 

184 commentaires à propos de “Palimpseste”

  1. Je ne parlais pas du livre mais du rêve de l’artiste, bien sûr Quichottine et du fait que rien parfois ne peut l’empêcher de continuer son art…

  2. Tu en as de la chance d’avoir trouvé un illustrateur, c’est important.
    Cet extrait est prometteur Quichottine, je te souhaite beaucoup de bonnes choses pour la suite de l’aventure.

    • Je connais Davy depuis déjà quelques années. J’espère que tout ira bien.
      Merci pour tes souhaits.

  3. J’aime bien ce passage ou tu donnes vie à la guitare. Nous avons tous eu enfant un objet à qui nous parlions, un ami, un confident. Je ne savais pas ce qu’était un remord ni un palimpseste. j’ai appris. Avec l’ordinateur on ne conserve plus rien. Bises

    • Je crois que les éditeurs continueront à conserver… et puis, tu vois, j’ai encore les versions précédentes, au moins jusqu’à l’achèvement du manuscrit.

      Merci pour ce partage, Martine. Je suis contente qe tu aies aimé.

      Bises et douce journée à toi.

  4. Ben, je l’aime bien, moi, ce passage !
    Mais, promis, motus et bouche cousue, je ne le répéterais à personne.
    Je te souhaite un bon mardi.
    Bisoux pluvieux et venteux

  5. En te lisant je pensais justement à Cyrano… J’aime ces histoires. Il y a beaucoup de pudeur en elles…

    Belle journée Quichottine. Ce matin nous allons faire connaissance du remplaçant de notre généraliste.. Je ne crois pas que je pourrai signer un bail de 35 ans comme avec le précédent……

    Bises de nous deux.

    • Merci, Patriarch.

      Pourquoi ne pas en signer un plus long, si tout va bien ?

      Je ris… mais que je suis contente que ce se soit bien passé !

      Bises et douce journée à vous deux.

  6. Bonjour Quichottine,
    Le titre de ton article m’a interpellée n’en connaissant pas la définition , ma curiosité étant assouvie j’ai pu lire et apprécier ce superbe passage qui nous est spécialement dévoilé. Nino va également aimer ta tendre histoire , lui qui ne se sépare jamais longtemps de sa guitare!
    Comme il doit être difficile de faire le choix !
    Merci Quichottine
    Je t’embrasse et à tout à l’heure…

    • Merci infiniment. Je suis contente que cette histoire te plaise. Tu me diras ce qu’en aura pensé Nino ?

      Bisous et douce journée.

  7. Papilio, gentil personnage joliment illustré par Davy et qui sait si bien parler à sa guitare. Et toi coquine qui lui fait dire « et tu ne voudrais pas qu’elle se bouche les oreilles ? »… c’est trop mignon et tellement convaincant ! comment une guitare aussi capricieuse soit-elle aurait-elle pu résister à de tels arguments ? Si ce passage ne fait pas partie du livre, il fait à lui même une jolie comptinette…
    Allez ! courage chère Quichottine, les derniers moment d’écriture doivent être difficiles mais le résultat sera à la hauteur de tes espérances et avec Davy, vous allez nous concocter un grand moment de poésie… Gros bisous

    • Merci tout plein pour ces encouragements.

      Je suis contente que cela te plaise. Je crois que Davy et moi nous complétons bien. 😉

      Gros bisous et douce journée à toi.

  8. … et merci pour le lien avec ce site qui me sera très utile, ne connaissant pas grand chose dans les subtilités techniques de la littérature. Bisous

  9. Il faut bien sûr croire aux jolies histoires, Quichottine ! Ce croquis est craquant (tiens, c’est amusant ) nous avons essayé de pianoter puis de gratter la guitare, le jeune professeur était charmant, maintenant pour charmer Roxane, il y faut beaucoup de talent !
    Merci de ce partage, bisous

    • Un sourire… et un grand merci pour ce partage.

      Continues-tu à jouer ?

      Bisous et douce journée, Marine.

  10. Il est superbe ce passage ma Quichottine, mais bien entendu, motus et bouche cousue. Bises et bon mardi, ici sous la pluie, enfin … !!!

    • Merci !

      Garde bien le secret, ma Zaza.
      Ici, ce matin, le soleil joue avec les nuages…

      Mais la pluie fait du bien, c’est certain.

      Bises et douce journée à toi.

    • Merci à toi… Je suis vraiment rès heureuse qu’elle te plaise.

      Je t’embrasse très fort. Passe une douce journée.

  11. je ne sais plus où, une vieille dame très ordonnée rangeait et classait absolument tout – elle avait même une boite étiquetée « petits bouts de ficelle ne pouvant plus servir à rien ».
    C’est merveilleux que l’informatique permette de garder tous les petits bouts de ficelle, des pépites qu’un jour tu refondras – et pourquoi sommes nous attachés à ce nous écrivons ? parce que c’est toujours, quel que soit le sujet, un ectoplasme de sincérité ?

    • J’ai ri en pensant aux bouts de ficelle… Mais qui sait ce qu’ils sont ensuite devenus ?

      Je crois que chaque mot écrit est un peu de nous… enfin, en ce qui me concerne, un peu de moi.

      Merci pour ta présence, Emma.

      Passe une douce journée.

  12. Bonjour Quichottine, comme on dit c’est toi qui vois… J’ai deux petites-filles en classe de musique, les débuts à l’instrument ne sont pas facile mais elles s’y tiennent ! Bisous du jour et bonne suite et fin à ton roman, j’aime le choix de ton illustrateur ! Bizzzzzzzzzz

    • Merci de me faire confiance et d’apprécier.

      J’espère que tes petites-filles continueront. La musique est toujours un plus dans nos vies.

      Bises et belle journée, JB.

  13. Combien ont gratté une guitare à un moment ou à un autre.
    Un livre doit répondre à une certaine « logique » et il est sage de savoir faire des coupes judicieuses.
    Ton texte me renvoie à une réflexion tristounette que je me suis faite dimanche, à la foire à tout devant deux violons sans cordes mais surtout devant une guitare avec cordes celle-là. Une guitare, on ne devrait jamais s’en séparer.
    et sourires aussi sous le balcon en pensant à l’un de nos chants à la chorale où le refrain à capella est supposé imiter un air de mandoline d’ailleurs plutôt que guitare
    bises et belle journée

    • Je suis d’accord avec toi… on ne devrait jamais se séparer d’un instrument de musique… mais ne vaut-il pas mieux le faire que de le voir rester dans un coin, tristement inutile ?

      Je crois que si je devais un jour me séparer de mon piano, je l’offrirai à quelqu’un qui l’aime et sait en jouer. Juste pour qu’il continue à faire rêver…

      Merci infiniment pour ce partage.

      Bises et belle journée à toi.

  14. Un instant pour flâner dans la bibliothèque et je découvre cette page et cette nouvelle d’un manuscrit en cours, quel bonheur ! Je te souhaite beaucoup de plaisir, si tu as besoin d’un oeil extérieur, n’hésite pas, cela m’arrive de faire ce genre de choses. Et j’espère surtout que tu enverras ce petit bijou à un éditeur. J’en connais un dont tu es voisine ! Comme j’ai hâte de découvrir ton univers magique.
    Je t’embrasse bien fort
    Anne

    • Merci… je ne manquerais pas d’avoir recours à toi.

      A quel éditeur pensais-tu ? J’en ai choisi un, pour le sérieux de ses publications, mais s’il refuse, je pourrai toujours proposer le manuscrit à un autre…

      Je t’embrasse bien fort.

      Merci pour tout.

  15. Bonjour Quichottine,

    Tout comme ceux qui me précèdent, j’aime cet extrait que tu as supprimé de ton histoire. De toute façon j’aime te lire , ce n’est pas nouveau. 🙂 Peut-être qu’un jour, en le remaniant, tu t’en serviras pour autre chose. C’est vivant, tendre et bien peint.
    Merci pour ce partage
    Bonne chance à ta muse pour terminer ce roman. Ce n’est pas une mince affaire. J’admire ce travail de longue haleine

    Gros bisous .
    Martine

    • Il se peut… oui, bien sûr.

      Lorsque je publierai une anthologie de mes textes préférés de ce blog. 🙂

      Je suis heureuse que cela te plaise. C’est très encourageant pour la suite…

      Je t’embrasse. Passe une belle journée, Martine. Encore merci pour ta présence et tes mots.

  16. Bonjour Quichottine,
    Ce passage que tu as ôté et que tu nous offres, c’est comme un autre récit à côté de celui que tu publieras.
    Merci pour ce partage !
    Bisous

    • Bonjour, Midolu.

      Ce sera pour vous faire patienter encore.

      Mais le projet prend forme. Bientôt la relecture.

      Bisous et douce journée.

  17. Je m’inquiétais de tes silence et absence. Désormais, je me soulage de cette inquiétude puisque sais, par expérience, que l’écriture du temps en plus d’une présence à la fois physique, intellectuelle et mentale, morale.
    On a tendance à oublier le travail effectué par les illustrateurs. Evidemment, une nouvelle fois, Quichottine se distingue en pensant et faisant autrement 🙂

    MERCI d’avoir pris temps de nous répondre et rendre visite en plus de nous tenir informée de la rédaction et publication d’un article… spontané ! 🙂

    Bon mardi, Quichottine !

    • Merci à toi, pour ta présence et tes mots chaleureux.

      Passe une belle journée, toi aussi, AneverBeen.

  18. Merci pour cette petite fenêtre sur tes écrits chère Tisseuse de rêves, t’embrasse tout plein

    • De rien… Merci à toi d’être si présente.

      T’embrasse tout plein aussi. Passe une belle journée.

  19. c’est une jolie histoire..heureusement que ton blog est là pour la recueillir et pour que nous puissions la lire…Bon courage pour la suite de ton livre

    • Merci pour tes encouragements… Je suis heureuse que tu aies aimé cette histoire.

      Passe une belle journée, Gazou.

  20. J’avais oublié …
    L’illustration de Davy est très harmonieuse, ce qui n’est apparemment pas le cas de l’interprétation musicale … 😉
    Bisous bis !

    • Sourire… J’avais adoré ce dessin. Je crois que l’imaginaire de Davy me convient bien.

      Bisous et douce journée à toi.

  21. La musique transmise par cette guitare est arrivée jusqu’à mon coeur.

    Ecrivaine, musicienne, magicienne et qui d’autre es-tu ?

    Je t’embrasse

    • Juste moi, LmVie.

      Même s’il est sans doute très présomptueux de le penser, je ne crois pas être une autre.

      Ceci étant, j’espère renouveler le plus souvent possible ces moments où j’arrive à vous communiquer ce que je ressens.

      Merci d’être là.

  22. Un beau morceau de guitare que tu nous donnes à écouter et que j’ai lu avec grand plaisir .
    Tu as bien fait de nous prêter cette partition avant de la ranger dans ta bibliothèque .
    Bon courage pour la suite ; j’ai hâte de lire ton futur livre !
    Bisous

    • Comme c’est joliment dit !

      Merci à toi pour ta lecture… Bisous tout plein et douce journée, Fanfan.

  23. Papilio c’était fait une amie à qui va-t-il se confier maintenant? C’est gentil de nous faire partager ces bons moments.Bises.

    • Sans doute à quelqu’un d’autre… Mais chut, je ne dis rien pour l’instant, c’est un secret.

      Merci à toi pour ta présence et tes mots.

      Je t’embrasse, passe une douce journée.

  24. De toutes les définitions du palimpseste, c’est celle de Hugo que je préfère…Dans tes brouillons, rien à jeter. Et pourquoi pas, un jour, un patchwork de « non-édités », avec de petits passages comme celui-ci qui est une historiette à lui tout seul ? Mais je cause, je prends de ton précieux temps, je retarde le moment de te lire dans la forme définitive…J’arrête ! Juste une bise avant de refermer la porte de la bibliothèque.

    • Un jour, sans doute… d’autres moments, un recueil de mes textes préférés.

      Mais, pour l’instant, je suis contente de voir que tout avance selon mon désir… C’est un vrai défi pour moi, mais, si je réussis, ce sera un vrai bonheur. Plus que quelques pages avant la relecture.

      Merci pour ta présence amie.

      Je t’embrase très fort. Passe une douce journée.

  25. La pensée fertile, la mémoire débordante d’idées et de petits personnages qui sortent je ne sais où…c’est génial, juste ce que j’aime
    Je te fais mille bisous, Flo

    • Merci, Flo… C’est tout gentil.

      Je suis heureuse que cela te plaise.

      Mille bisous et douce journée à toi.

  26. C’est gentil Quichottine d’être revenue dans ta bibliothèque et de nous faire découvrir des extraits de ton rtoman, même si tu les supprimes dans l’édition finale. Bonne soirée et bisous

  27. J’adore ce passage , une page de tendresse , de complicité … merci de nous la confier .
    J’ai appris beaucoup sur  » remord » et  » palimpseste » .
    C’est ce qui se passe dans les grottes rupestres , on découvre des dessins les uns sur les autres.
    Bon courage pour la suite de ton livre.
    Douce soirée, bises Quichottine

    • Merci, Andrée. Je suis heureuse qu’elle t’ait plu.

      Il ne reste plus que quelques pages à écrire, et, ensuite à relire le tout encore une fois.

      Tes encouragements me touchent.

      Douce et belle journée. Bises à toi.

  28. elle est très belle cette histoire, et même si tu ne la mets pas dans ton livre, tu en mettras certainement d’autres très belles aussi comme tu sais bien les faire
    bisous et bonne nuit

    • C’est un aperçu de ce que sera le livre, même si cette page n’y est pas.

      Bisous et douce journée à toi, Lilwenna. Heureuse que cela te plaise.

  29. Cet « échange » entre Papilio et sa guitare est vraiment très beau et il méritait sa place dans une histoire… mais c’est toi l’auteur, et seule toi peut savoir s’il faut la retirer, la transformer ou la refaire tout à fait. En tout cas, j’aime ton écriture si vivante que même les objets ont une âme et que l’on y croit…
    Bisous Quichottine et bon courage pour tout ce travail que tu as encore à faire.
    J’ai vraiment hâte de te lire car les premières farandoles lues me séduisent déjà…

    • Je sais que j’ai aimé l’écrire, et il n’est pas perdu puisqu’il est ici…

      Merci, Oxygène, pour tes encouragements.

      Il faudra encore un peu de temps entre l’achèvement du manuscrit et sa parution en librairie, mais je croise les doigts en espérant terminer bientôt et que l’ensemble plaise à un éditeur.

      Bisous tout plein. Passe une douce journée.

  30. Je te fais tellement confiance, chère Quichottine, que le fait de supprimer ce passage ne me surprends pas. Non qu’il ne mérite d’être publié! mais si tu « sens » en cours d’écriture, qu’il est superflu, eh bien…c’est qu’il l’est!L’écriture mène parfois dans des sentiers de traverse; à nous de redresser l’allure! Je te souhaite un très bon travail, sans trop de fatigue et je t’embrasse fort.

    • Merci infiniment, ma belle et douce amie.

      J’espère être digne de ta confiance.

      Je t’embrasse très fort. Passe une bonne soirée.

  31. Un pied ds les nuages permet d’oublier un peu la dureté du monde, un brin d’idéalisme met du baume au coeur..Le besoin irrésistible d’être aimé, la tristesse de pressentir que tt cela est bien difficile à atteindre. Bises et bonne rédaction. A bientôt de lire le roman. Bises VITA

    • Merci pour ces mots, Vita.

      Je crois que c’est important de pouvoir rêver encore…

      J’espère qu’il verra le jour en librairie.

  32. Moi non, finalement mais mes fils ont fait de la musique, guitare, bombarde, harmonica, et jumbé , du rock et de la chanson à l’époque ! Et l’aîné a même fait un disque en anglais…

  33. Et te voilà revenue un petit peu. Mais quel petit peu.
    Tu es seule face à ces pages pour décider ce qui doit rester ou disparaître, ce qui doit être changé ou pas.
    J’ai l’avantage, peut-être, de donner la première oralité à des oreilles attentives qui font réfléchir et remachouiller les mots.
    Gros bisous Quichottine.
    Que le vent emporte les notes de musique de la guitare de Papilio dans un autre roman, peut-être un jour.

    • Qui sait ?

      En tout cas, tes mots me touchent beaucoup. Merci pour ce très beau compliment.

      Gros bisous et douce soirée.

  34. c’est magnifique et que dire du dessin !!!! je me met en liste pour la souscription du livre 🙂 et je t’envie de cette magique envie et ce talent d’écrire
    bisous

    • Je souris… J’ignore s’il y aura une souscription, normalement non.
      Mais en tout cas, je te dirai lorsque le livre sera disponible.

      Merci pour ce très beau compliment.

      Bisous et douce soirée.

    • Le premier jet est terminé… mais il y a encore du travail.

      J’espère que tu pourras te reposer un peu…

      isous et douce soirée. Merci d’être là.

  35. bonsoir, j’ai lu et entendu la musique s’élevait de ton texte…
    merci de ce partage
    bises babeth

  36. ET non, nous ne sommes pas obligés de te croire, coquinette va ! Etre le /la compagnon de quelqu’un qui joue n’est pas de tout repos pour les oreilles. Que de gammes, que de morceaux hésitants, que de notes ratées (toujours la /les mêmes dans la partition) ou heurtées! Il faut une patience d’ange aux « écoutants » volontaires ou non des exercices vraiment pas discrets d’un musicien. Accompagner un écrivain est plus reposant dans une vie de couple.
    Bon voyage dans ton imaginaire, chère Quichottine, merci de m’avoir signalé l’éveil de la librairie.

    • Un sourire… merci à toi pour ce partage, et ta visite.

      Être la compagne d’un écrivain ne doit pas être de tout repos non plus, même si c’est sans doute moins agressif pour les oreilles.

      Douce et belle soirée, Aude.

  37. ce dialogue avec la guitare m’enchante
    et les rondeurs de cet instrument… me font rêver !!!!!!!

    • La guitare, comme le violoncelle, me plaisent infiniment. J’aime la tendresse du mouvement du musicien qui la prend dans ses bras.

      Merci, Kasimir.

      Passe une douce soirée.

  38. Un éditeur a qui j’avais envoyé un manuscrit m’avait dit que la gomme est le meilleur outil de l’écrivain( du moins en poésie) alors il faut savoir parfois éliminer des passages certes bien écrits, où on s’est fait plaisir pour garder une cohérence à l’histoire, ne pas la surcharger inutilement de choses qui n’apporte rien, c’est pas toujours facile, il faut avoir des lecteurs critiques autour de soi et puis il faut aussi laisser reposer pour prendre du recul. mais ceci dit quand on arrive au bout c’est le bonheur !
    bravo de lancer dans cette aventure et bon courage !

    • Merci pour ces mots, Salvatore.

      Je crois effectivement qu’il faut à un moment se détacher de son manuscrit… et, sans doute, le lire comme s’il était à un autre.

      J’essaie.

      Nous verrons bien.

      Tes encouragements me touchent.

      Passe une douce soirée.

  39. Puisse un jour ton répertoire, à la lettre « R » y voir figurer : ROCHE Jean-Michel « Affaires étranges au quoi des Orfèvres » ou « Sans tête »
    Amicalement
    Jeanmi

    • Alors, il faudra que je t’aide à les manger… je suis effroyablement gourmande.

      J’espère que tu as passé un bon week-end, Martine. Bonne semaine à toi.

      Bises.

  40. Un petit bonjour et je repars sans bruit, pour ne pas te déranger dans ton travail.Bises.

    • Merci… Encore un peu de temps, et ensuite, il faudra sans doute un peu plus que de la chance.

      Bises et douce soirée.

  41. Je ne connaissais pas la raison de ton silence. Sans doute ne suis-je pas assez assidu à ton blog.
    C’est un beau passage, c’est sans doute dommage de le supprimer.
    Il m’arrive d’effacer un poème complet si je n’en suis pas content, un passage entier d’une histoire, ça ne m’est jamais arrivé, je pense.
    Bonne chance pour la suite.

    • Je crois qu’il faut tenir compte de tout l’environnement du personnage principal… et, là, vraiment, ça n’allait pas.

      Ceci étant, je suis contente d’avoir écrit ces pages, et contente aussi d’avoir pu les montrer.

      Merci, Philippe. Je crois que je vais en avoir besoin.
      Mais après tout, pourquoi ne pas essayer d’aller, pour une fois, jusqu’au bout d’une histoire à raconter ?

      Passe une douce soirée.

  42. merci de nous avoir offert ces mots rien qu’à nous et ce joli petit dessin que je trouve ravissant…
    J’espère que tu vas bien et que tu reviendras bientôt enchanter nos yeux de tes mots uniques.

  43. Au bout de leurs rêves, non, pour le second qui a arrêté car il n’en a pas vécu, et quand à l’artiste, dire qu’il en vit…Il lui faut aussi un travail alimentaire ! Et il s’y ruine la santé de peindre la nuit !

  44. Les remords sont les vitamines du timide.
    Philippe Bosser

    Le remords est le meilleur stimulant pour la paresse.
    Tristan Bernard

    très bonne journée….mais où est le soleil et sa chaleur…rien à faire….27° au Canada..à peine 10° par ici

    • Merci pour ces citations… et pour ce partage.

      Profitons de cet avril hivernal malgré tout…

      Bises et douce journée.

  45. Un silence laborieux alors. Il existe des palimpestes « virtuels » et sans doute des machines du futur viendront lire entre les lignes des blogs et des mémoires afin de connaître nos regrets et nos « non-dits ». Merci pour cet article je confonds toujours Roxane et juliette. Bonne continuation.

    • J’ai appris Cyrano de Bergerac par coeur… et même si je ne saurais peut-être plus le réciter du premier au dernier acte, il y a des scènes que je pourrais encore souffler aux acteurs.

      J’ai bien peur que nos écrits résistent moins au temps…

      Merci pour ces mots offerts, Pierre.

      Passe une douce journée.

  46. J’aime beaucoup ce texte. Merci de nous le donner à lire. dommage qu’il ne puisse entrer dans ton bouquin.Mais cela fait partie du jeu, il faut savoir éliminer.
    Bises Quichottine
    Belle journée

    • Il sera peut-être un jour dans un autre, sous une autre forme, qui sait ?

      Merci, Jackie. Je suis heureuse que cela t’ait plu.

      Bises et douce journée.

  47. merci pour cette confiance et ce partage…
    bonne journée à toi, Quichottine.
    Bisous

  48. bonjour, ma chère Quichottine,
    bien sûr tu as d’excellentes raisons de ne pas utiliser cette page mais elle est très belle…
    elle évoque bizarrement en moi tant de velléités d’apprentissages qui n’ont jamais abouti et ont à jamais disparu…
    bon courage pour la suite
    bonne journée à toi
    gros bisous d’amitié
    jean-marie

    • Merci tout plein à toi aussi, Jean-Marie.

      Nous avons tous en mémoire des rêves jamais réalisés. L’important et d’en garder d’autres plus heureux.

      Douce et belle journée à toi.

      Gros bisous amicaux.

  49. Si tout ton livre est du même acabit cela va être bien agréable de tourner les pages ..
    J’aime bien ce texte ..mais il faut sans doute écrire , écrire , et sélectionner ..
    Bises Quichottine

  50. bonjour Quichottine,
    c’est vraiment très beau, j’ai bien compris, tu le retires, tu es le juge, cependant je trouve que c’est dommage
    belle journée et quel plaisir de te lire
    bises Quichottine

    • Un passage n’est pas tout un livre… et s’il est retiré, c’est pour préserver le fil du récit.

      Merci d’avoir aimé… tu devrais donc aimer l’ensemble, ensuite.

      Passe une douce journée. Bises.

  51. je connais une guitare ici, qui se désole.. elle a subit aussi le fausses notes, aimé participé à ces veillées de jeunes, a chanté cordes frémissantes, et se retrouve isolée, désolée, mais pas abandonnée…mais peut-être est-ce tout comme? Papilio, joue encore!!!

    • Elle attend les mains qui la feront revivre…

      L’important c’est qu’elle ne soit pas abandonnée. Pour l’instant, elle se contente de ces souvenirs… plus tard, qui sait ?

      Merci pour ta présence et tes mots. Je t’embrasse très fort.

  52. C’est bien de laisser des traces de très écrits, de tes travaux et de la progression de ta pensée… avec l’apparition et la généralisation du traitement texte, on voit la disparition progressive des manuscrits, et avec elle la fin de la critique génétique qui analysait une oeuvre d’après justement tout ce travail en amont, fait de tentatives plus ou moins réussies…

    • Je ne suis pas certaine que la critique génétique disparaisse vraiment…

      Je pense que des spécialistes en viendront à fouiller les mémoires des ordinateurs… il faudra vraiment bien les détruire si tu ne veux pas laisser de traces. 🙂

      Par contre, il est vrai qu’il n’y aura sans doute plus de traces manuelles de l’écriture d’un écrivain. Je ne sais pas si c’est dommage.

       

      Merci pour ta lecture, Marc.

  53. en tous cas, moi, je ne savais pas que tu savais jouer de la guitare…du tricot oui, de la guitare ! mais pourquoi pas!

    • Je ne sais pas en jouer… Même si j’aime cet instrument et que j’aurais adoré savoir en jouer !

      Mais j’ai près de moi des personnes qui savent en tirer de très belles mélodies.

      Passe une belle journée, Pat. Bisous.

  54. Va savoir pourquoi des écrivains retirent des extraits de leurs bouquins.
    En tout cas celui que tu nous proposes est plein de poésie, une jolie musique de mots…
    bonne journée

    • Pour préserver la cohérence de l’ensemble…

      Merci. Je suis heureuse que cela te plaise.

      Passe une belle journée, Ava.

  55. Tes amis apprécient tous, comme moi, ce beau passage, ou pas ? de ton livre.
    Une guitare qui brille, qui accentue ses rondeurs, aux cordes vibrantes, toute à l’écoute de ce qu’on lui dit ….
    Un personnage bien en vie donc …
    Gros bisous 🙂

    • Eh oui… j’ai toujours aimé les instruments de musique et la guitare est très féminine, comme le violoncelle je crois. Même si je ne sais jouer ni de l’un ni de l’autre, j’admire ceux qui savent…

       

      Gros bisous et douce journée, Mamychachat. Merci encore pour ta présence et tes lectures attentives.

  56. Coucou Quichottine,
    Merci beaucoup pour ce partage privilégié. J’ai aimé ce passage, et suis « rentrée » dans l’histoire en te lisant 🙂
    Bon courage pour la suite de ton livre
    Douce journée & gros bisous

  57. un petit coucou de la part de la fée
    Sache que tu nous manques a toutes et à tous
    bisous tout plein

  58. Kikou douce bibliothécaire, je me languis de pouvoir te lire..
    Tu as remarqué les photos signés Fancri dans mon blog et dans « les escaliers » tu as sans doute compris pourquoi..
    je te souhaite une douce soirée et je t’embrasse
    le matelot de la terre ferme bien mouillée ces jours ci..

  59. merci de penser à nous, merci de penser à toi en prenant le temps nécessaire pour écrire
    une jolie page qui elle seule est une histoire.
    bises

  60. il me manque le lutin bleu, il n’est pas partit loin j’espère, Alors travailles bien, pour nous ??? Bisous, MIAOUU !!!!!!!!!!!!!!!

  61. Je ne savais pas pour Arnaga! Quelle tristesse… une maison d’écrivain sans bibliothèque, sans ses livres, ce n’est plus qu’une coquille vide…

    • Il y avait autrefois 15000 volumes dans la bibliothèque… la plupart ont été dispersés, vendus aux enchères.

      Il n’en reste près que plus rien… et c’est vraiment triste de voir la grande mezzanine de la bibliothèque complètement vide.

      Mais que veux-tu, je suppose qu’il fallait vendre pour conserver le reste de la maison.

  62. manier et remanier ses ébauches ; objectif satisfaire le lecteur. Ce travail est basé sur l’échange et le plaisir de partager. Un sacré boulot !!

    passe une bonne journée
    arielle

    • Tu es plus expérimentée que moi en la matière… Merci pour tes encouragements.

      Douce et belle soirée, Arielle.

  63. J’aime beaucoup ce texte, le garder surtout car il s’intégrera peut-être à un autre roman qui sait ????? bisous ma belle heureuse de te relire ici

    • Qui sait ?

      Contente de vous retrouver, même si peu pour l’instant.

      Passe une douce soirée. Bisous.

  64. Quelques lignes supprimées mais qui ont eu une existence, une vie sur la page blanche , peut être un jour ,tu les utiliseras comme une petite nouvelle illustrée ? mais suis-je bête 😉 tu viens de le faire .
    Bonne soirée Quichottine Bisous :*

    • Sourire… un grand merci à toi, Urban.

      Je crois que ce passage aura un jour une autre vie, mais il est bien ici aussi.

      Bisous et douce soirée.

  65. alors boilà le projet qui sommeille sous ton silence ? c’est un beau projet.
    eh oui la plume est parfois plus bavarde qu’on ne voudrait mais on lui pardonne toujours car quand ses écrits sont déplacés ou hors sujet ils fon le bonheur de notre petit carton des oubliés qui auront peut être un jour leur place dans le grenier de nos mots

  66. Le petit Garçon et la Guitare… combien de fois nous pensions la tenir et c’est elle qui nous tenait . Combien de fois la mélodie que nous avions dans la tête, c’était les anges qui l’entendaient et les fausses notes que les cordes jouaient c’était nos doigts qui les pinçaient. Quelle patience ont eue nos proches pour supporter notre obsession mais,la musique adoucit tout et édulcore notre quotidien . Papilio est touchant et vous écrivez très bien. Dés la parution de votre livre, j’irai le commander chez mon libraire préféré.
    Amicalement
    Nino

    • Merci, Nino…. je suis vraiment très contente que vous ayez pu lire ce passage, même s’il n’est pas dans le livre, je suis heureuse qu’il plaise.

      Un grand merci pour vos mots.

      Amicalement à vous.

  67. Bonjour Quichottine
    Ah ah tu es dans le romanesque… évidemment je ne connais pas le fil de l’histoire mais pour autant je trouve que ce que tu vas mettre de côté était bien agréable à lire! La jalousie de la guitare! pourquoi pas! ne dit- on pas le bois vivant… j’avais fait un petit clip sur garbanza, le nom d’une guitare qu’un jeune de chez nous avait fabriquée! toutes sortes de bois habitaient cette guitare.
    J’ai moi aussi en tête d’écrire une nouvelle pour participer à un concours de nouvelles dans le journal du pays. Le thème en est ‘La note’ et j’ai tout de suite pensé à une idée , souvenir d’une lettre de ma mère qui m’écrivait quand j’étais à l’internat de la ville voisine. dans cette lettre il y avait une note pour le laitier, laitier qui ne lui avait pas réglée le lait qu’il lui achetait, je devais aller réclamer l’argent… enfin ça a fait toute une histoire! Faut dire que c’était à l’époque le seul revenu que ma mère avait!…. et je n’arrive pas à retrouver cette lettre!
    Excuse moi… te lire m’a donné envie d’écrire!
    Je t’embrasse très fort et je suis toujours si touchée de lire tes messages chez moi… merci
    Dany

    • C’est tout gentil, et je n’ai rien à excuser.

      Un grand merci pour ces mots offerts, Dany.

      J’espère que tu la retrouveras.

      Passe une douce soirée. Je t’embrasse très fort aussi.

  68. Comment aurais-je pu deviner que tu était « à moitié revenue » ?
    quel plaisir ma Quichottine. Je reviendrai lire ton article un peu plus tard, là je viens seulement de le voir sur mon administration
    Bisous mon amie

  69. Lorsque j’ai écris mon histoire de la valise ou contes de folies ordinaires j’ai du y passer trois ans je crois avant de décider de la mouture finale.. et elle est toujours en archive à part sur mon autre blog lol. bises

    • En feras-tu autre chose un jour ?

      Je ne sais pas… mais j’espère que tu as été heureuse de l’écrire.

      Bises et douce soirée, Katara. Merci pour ce partage.

       

      PS : Il faudra que tu m’en dises davantage…

  70. Bonne fin de semaine ma Quichottine, et dit-on les remords viennent d’une chose que l’on a faite et les regrets de celles que l’on a pas faites ! Que choisir ?
    Bisous

  71. Merci beaucoup pour ce partage, bon courage pour la suite – bisous et bon weekend Mamy Annick

  72. Belle journée douce Quichottine, penchée sur ton cahier doré ou d’argent au côté du lutin bleu bises

    • Merci, Katara…

      J’ai fait tout mon possible… maintenant, je croise les doigts.

      Bises et douce soirée.

  73. C’est un bien beau passage… merci de l’avoir partagé même s’il ne fait plus partie du manuscrit ! ^^
    Bon courage, je sais que tout cela représente beaucoup de travail.
    Bises

    • Je suis contente qu’il t’ait plu.

      Je vois que de ton côté tu n’as pas chômé… Vivement de te lire à nouveau. Il faut que je réponde à ton message… je prendrai bien deux « Séverine Dalla », moi. 🙂

      Mais, comme d’habitude, je vais sans doute faire une commande groupée…

      Bises et bonne journée.

  74. Nous ne sommes pas obligés de te croire, c’est vrai, mais vois-tu on te crois, du moins moi, et cette page, tu as eu raison de nous la faire partager, elle est belle. Merci Quichottine.