Il est encore temps…

Ceux qui sont abonnés à mon blog, ceux qui savent que je suis abonnée chez eux, se demandent ce que je deviens depuis les vœux que je vous ai adressés le premier janvier…

Une seule publication depuis, pour vous parler du livre d’Azalaïs, dont le texte et les images magnifiques demandaient une révision de la mise en page, ce qu’Azalaïs avait d’ailleurs prévu de faire… Mais, comme d’habitude, je suis allée un peu vite pour parler de son livre, avec pour excuse que j’adore ce qu’elle fait et que dès que j’ai vu qu’elle avait publié un nouveau conte, je me suis empressée de l’acheter, sans lui en parler auparavant. Ce qui fait que j’ai reçu son livre en même temps qu’elle, et que bien sûr, nous avons toutes deux réagi aux mêmes problèmes.

Donc, tout va bien, et dès qu’elle en parlera sur son blog, nous pourrons – ceux qui le désirent – nous le procurer enfin chez TheBookEdition.

Mais… cela ne justifie pas mon silence sur vos blogs, depuis plus de trois jours… Je sais bien.

(Je sais que vous pardonnerez cette absence, parce que vous savez que cela m’arrive et qu’ensuite, généralement, je lis ce que j’ai manqué chez mes abonnés, mais je ne voudrais pas que vous vous inquiétiez.)

Ne vous en faites pas, tout va bien… J’avais seulement quelques soucis personnels à régler, et un peu trop de retard aussi dans les occupations obligatoires de ma vie réelle.

Ne voulant pas que monsieur Mari continue à s’arracher les cheveux et surtout à me regarder d’un air désolé quand il me voit devant mon ordinateur, j’ai choisi de commencer par là… Par tout ce que j’ai un peu trop délaissé cette année, en m’occupant à la fois de la Bibliothèque et des Anthologies éphémères.

Je vous en parlerai bientôt, mais, en attendant, je voulais vous remercier encore pour votre présence, vous dire combien vous me manquez lorsque je ne peux pas venir vous voir… et vous rassurer aussi.

Je reviens tout bientôt… ce soir si je peux.

(N’en profitez pas pour prendre la poudre d’escampette alors que je suis en chemin vers vous !)

Et puis, avant de vous laisser pour une heure ou deux, je vous souhaite à tous une bonne et heureuse année 

(Je sais que certains abonnés à ma newsletter ne sont pas abonnés aux articles de mon blog, donc n’ont peut-être pas lu mes voeux là-bas… et je sais aussi que je n’ai pas encore rendu visite à chacun d’entre vous…)

Je vous embrasse bien fort.

(Newsletter envoyée à 164 abonnés)