Écrire

Alors que je lisais bien tranquillement dans la pièce à côté…

 

 

101227 Adamante Quichottine liseuse

 

– Dans la pièce à côté ? Ce n’est pas le moment ! Tu imagines, Quichottine ! La bibliothèque est pleine de visiteurs qui attendent que tu veuilles bien leur répondre, leur rendre visite…

 

J’ai commencé.

 

– Oui, tu as déposé des vœux chez les Doux Rêveurs… Ils sont maintenant cinquante (clic pour voir la liste complète), mais que vas-tu en faire ? Certains voudraient que tu leur proposes des jeux…

 

Je sais… Mais il y en a ailleurs, plein, et si l’on fait tous ceux que l’on rencontre ici ou là, entre tags et consignes en tout genre, il y a de quoi emplir des pages et des pages.

 

– Ce serait bien, non ? Toi, tu commences à rester des jours sans écrire…

 

Non, pas des jours sans écrire, des jours sans écrire « ici », parce qu’il faut vous laisser du temps pour lire autre chose, pour voir d’autres blogs, et même trouver des endroits bien plus beaux que la Quichottinie, des lieux plus divertissants, des auteurs qui savent dire bien mieux que moi la même chose.

 

Tout a déjà été écrit…

 

Il y a dans ma bibliothèque des milliers de livres, mais ces auteurs que je fréquente au quotidien ont lu, eux aussi, des milliers de livres, et, finalement, ce sont des millions et des millions de textes qu’il faudrait connaître.

 

Nous lisons tous, de façon plus ou moins attentive, des mots que nous aimerions parfois avoir écrits, qui nous emportent dans de merveilleux voyages, ou qui nous interrogent et font surgir en nous d’autres questions en réponse.

 

– Attention, tes lecteurs vont décrocher, là… Tu deviens un peu trop philosophe !

 

Non, pas vraiment. J’espère qu’ils liront jusqu’au bout…

 

La lecture, c’est un échange de pensées, d’images, entre un auteur et son lecteur, mais aussi entre ceux que chacun d’entre eux a lus auparavant.

 

Nous nous inscrivons dans un monde où la Langue, avec un L majuscule, celle qui nous permet de communiquer, est encore à inventer. Elle n’est pas figée, ou du moins pas autant que nous aimerions le croire.

 

Petit à petit, elle évolue, et Montaigne aurait sans doute bien du mal aujourd’hui à tout comprendre, à tout expliquer. Il lui faudrait rapprendre notre français, comme nous apprenons le sien lorsque nous nous penchons sur ses écrits en version originale.

 

C’est facile de se tromper, de prendre un mot pour un autre, d’interpréter une pensée selon sa sensibilité, son humeur du moment.

 

Alors, je ne sais pas, je m’interroge, je me demande jusqu’à quel point les mots que je dépose ici ou là ont vraiment le sens que je voulais leur donner au moment où vous les lisez.

 

– Est-ce si important ? Si tu commences à t’interroger ainsi, tu n’écriras plus jamais.

 

Non, j’écrirai encore. Je ne peux pas ne pas écrire.

Mais, peut-être changerai-je ma façon de vous lire.

 

– Pourquoi ?

 

Parce que lorsque j’écris, ici ou chez vous, ce n’est pas dans le but de vous nuire, ou de vous blesser, ou de prouver que je suis la plus belle, la plus grande, la plus forte, la plus… n’importe quoi que vous ne seriez pas. Je ne suis pas « plus », je suis seulement moi, rien de plus.

 

Comme chacun d’entre vous, je suis faillible.

 

Comme chacun d’entre vous, je n’ai pas « toujours » le mot qu’il faudrait quand il le faudrait.

 

Comme chacun d’entre vous, il m’arrive d’être « à côté » et pas seulement dans la pièce à côté, mais « à côté de la plaque », hors sujet, hors propos, parce qu’au moment où je suis passée j’ai été interrompue par ma réalité, un coup de téléphone, un souci, un chagrin, et qu’à ce moment-là, au lieu de ne rien dire, j’ai écrit des mots qui n’étaient pas ceux que vous attendiez.

 

Mais j’aime vous écrire, et je le fais toujours, avec plus ou moins de retard, même chez certains qui ne m’écrivent plus…

 

Je le fais parce que c’est comme ça, que j’ai du mal à oublier les chemins que j’aime parcourir avec vous. Je vous écris comme je viendrais sourire à votre fenêtre, pour vous dire que je m’intéresse à vous, que j’ai besoin de prendre des nouvelles, de rêver avec vous, encore une fois, même longtemps après.

 

Je pourrais vous écrire en copiant-collant des mots que chacun pourrait trouver chez d’autres avec un pincement au cœur : « Je croyais qu’elle (ou qu’il) ne l’avait dit qu’à moi… »

 

C’est vrai que si je vous dis que c’est beau, ou que j’aime, je n’ai pas cinquante mille façons de vous le dire… Mais j’essaie, pourtant. Parce que lorsque j’écris à l’un d’entre vous, c’est à lui que je m’adresse et pas à un autre. Sinon, autant envoyer une lettre commune…  un envoi groupé prendrait bien moins de temps.

 

Je pourrais… Je le fais parfois pour la communauté, mais jamais à titre personnel.

 

J’écris, parce que j’aime écrire.

 

Mais, plus encore, j’écris, parce que ça m’est aussi nécessaire que de respirer.

 

 

 

 

(Merci à Adamante pour ce portrait de Quichottine. Un « clic » sur l’image vous permettra de la voir en plus grand chez son auteur.)

195 commentaires à propos de “Écrire”

  1. Un petit vague à l’ame Quichottine ? Moi j’aime ce que tu écris et cela ne m’empèche pas de me rendre ailleurs, chez d’autres blogueurs. Continue de nous enchanter … A très bientôt.

    • Non, pas vraiment de vague à l’âme… Comme souvent à cette période de l’année, je m’interroge.

      Je crois que c’est normal. Il y a a tant à faire par ailleurs que ce n’est pas tout simple de bloguer de façon sereine.

       

      Merci pour tes mots, Naniloup.

      Passe un bon dimanche.

  2. Bonjour Quichottine!

    Serais-tu surprise si je te disais que je comprends parfaitement ce que tu exprimes ?

    • Je ne le suis pas… Tu voyages beaucoup, tu as l’expérience des mots échangés.

       

      Merci et bon dimanche.

  3. Une belle lettre.. d’amour, oui,  pour tes lecteurs, j’aimerai qu’ils le sente vraiment. Chacun  sa façon et son temps, sa manière de dire et de se dire. PAs de pression surtout.. Une belle et douce nuit. Bises

    • Merci, Dame de Neige.

      Je crois que beaucoup le savent… Aucune pression. Je vais m’absenter, tu sais, une semaine entière sans le Net.

      Je vais retrouver un ailleurs plein de voix d’enfant et de chants.

      Douce journée et prends bien soin de toi.

  4. Bonjour, je ne sais si tu vas recevoir comme je souhaite l’envoyer mais étant le seul responsable de ma communication, je prends le risque : tu fais là état entre et en pleine ligne d’une sacrée négociation dans ta tête. Dis moi Quichottine : c’est quoi ton problème au juste ? écrire, écrire à propos de quoi, écrire à qui, écrire quand……..?

    Je viens de prendre le risque de te déplaire. A moins que….

    Si j’ajoute : douceur du jour, ce n’est pas botter en touche, promis.

    • Je n’ai pas de problème.

      Je m’adressais à ceux qui voudraient que je sois infaillible, que je n’aie pas d’états d’âme, que je sois la super-nana capable d’être partout à la fois chaque jour… etc.

      Mais bon, pas de soucis.

      Pour ce qui est d’écrire, je continuerai, parce que j’aime le faire.

      Je pense, pour répondre à ta question, que l’on peut sans aucun doute écrire à propos de tout, n’importe quand, mais surtout quand on en a envie… à qui ?

       

      Disons que pour l’instant j’écris à ceux qui lisent.

       

      Merci pour cette douceur du jour que j’accueille bien volontiers… Nous avons une journée printanière ici en ce dimanche.

       

      Passe une bonne journée.

  5. on écrit

    on est lu

    parfois pas compris

    ou mal compris

    mais je crois que la démarche des deux est importante

    une fois que les mots sont lachés

    ils ne nous appartiennent plus vraiment

    essayer d’être au plus près de nos mots

    pas simple ni evident

    parfois le peur et le doute

    Quichottine je te re nouvelle mes voeux

    • Les mots s’envolent, mais, sur leurs pages, ils sont importants pour ceux qui les écrivent et ceux qui les lisent, je le crois.

       

      Sur le papier, l’auteur sait très rarement ce qu’a pensé son lecteur… à moins qu’on lui écrive, ou qu’il le rencontre lors de salons ou de dédicaces.

      Sur le blog, il me semble que c’est différent.

      J’ai du mal à ne pas penser que la façon dont nous sommes lus transforme ce que nous proposons ensuite.

       

      Merci pour ces vœux renouvelés. Reçois de nouveau les miens.

  6. Bonjour Quichottine, il nous arrive de nous questionner sur le pourquoi des choses… J’aime tes états d’âme et je m’y retrouve…  Je te souhaite  bon net du vendredi, je t’embrasse, jill

  7. il n’y a rien à ajouter, tu sais faire de jolis plats en écriture. Es tu aussi bonne devant le fourneau??? Rires. Bises de nous deux  et belle journée…d’écriture….

  8. Je me plaisais à l’écrire sur mon blog lors de l’évènement « Lire en fête » hélas disparu :

    Ecrire, c’est être libre.

    Alors, écrivons ! 😉

  9. La lecture, la création ce sont des moments qui permettent de s’évader de ne plus penser à la vie de chaque jour ; je ne sais si je suis passée te souhaiter une bonne année, dans le cas contraire, je répars mon oubli et te souhaite une bonne année 2011 et surtout une bonne santé – bises Mamy ANNICK

    • Je ne sais plus si je suis passée … mais, de toute façon, reçois mes voeux en retour.

       

      Créer ou lire, rêver, ce sont de bons moments d’évasion, je suis d’accord avec toi… Surtout lorsqu’on peut le faire sans contrainte.

       

      Passe une très belle soirée. Bises.

  10. Un beau texte dont on sent qu’il vient des « tripes » j’ai sous la main comme par hasard « L’écriture ou le vie  » de Jorge Semprun comme tu vois les gens n’attendent pas toujours que les bulles pétillantes du nouvel an ni les paillettes de fêtes.

    Alors ne change rien Quichottine continue à écrire selon ton coeur où tu veux quand tu veux!

    Cordiales Bises

    • J’ai vu ton article chez toi…

      Quand j’ai découvert Jorge Semprun, j’ai été captivée par ce roman… il m’a profondément touchée.

       

      Alors, merci de le rappeler ici. L’écriture peut sauver.

       

  11. tu as raison d’écrire pour toi et pour nous. il me semble que dans la vie de tous les jours nous n’avons pas toujours la possibilité de partager nos coups de coeur et réflexions sur les lectures en cours ou autres.

    ici je suis heureuse, je lis, j’écoute, j’apprends beaucoup aussi car le temps et la concentration me font trop défaut pour redevenir une lectrice assidue.

    « aussi nécessaire que de respirer  » oui c’est bien cela !!!!

  12. Ecrire, c’est aussi engager, s’engager dans un possible échange. C’est une des grandes richesses de cette possibilité qui nous est donnée, à tous, bien sûr dans la limite de notre possible …

    Parfois, il y a des incompréhensions, des  » malentendus « , mais en retour une évolution de notre pensée, de notre lecture de l’autre, et de notre écriture personnelle.

     

    Bon vendredi. Bisous, Quichottine.

    • Certains malentendus pèsent plus que d’autres, mais nous n’y pouvons pas grand chose.

       

      L’écriture comme un engagement, oui, j’aime bien aussi cette définition.

       

      Passe une belle soirée, Midolu. Bisous.

  13. Surtout ,continue à écrire, ànous écrire ainsi. ne change rien .Ce ne serait plus toi.

    Ce n’est pas toujours facile  de laisser un com  pour s’exprimer; parfois il m’arrive de rester 5 minutes à réfléchir, à relire  avant de mettre un com et je suis souvent déçue de ce que j’écris car je n’arrive pas à exprimer enièrement ce que je ressens.

    Je t’embrasse

    • Cela m’arrive aussi.

      Nous sommes tous humains, seule une machine ne douterait pas.

      L’important, pour moi, c’est la sincérité que je sens dans tes messages, la complicité qui nous lie et qui est sans doute due aux échanges que nous avons eus au fil des ans.

       

      Merci, Fanfan.

  14. Nous écrivons oui, parce que nous aimons écrire et que cela fait partie de notre vie Quichottine, et tu aurais tort d’arrêter en si bon chemin, mon amie.

    Quand tu passes chez moi je sais que tu es sincère, on les sent ces choses là, et c’est pourquoi même si parfois je n’en ai pas l’air, qui sait, oui, tant de choses nous happent, ton passage est toujours un joli caillou blanc sur ma route , de ceux que je met dans un joli verre ancien, pour le garder comme un trésor…

    • Merci, Marine… J’aime bien l’idée de ces cailloux blancs… comme le cairn qui se bâtit et grandit au fil du temps, au fur et à mesure des passages.

       

      C’est un très beau compliment, qui me touche énormément.

  15. Si une lectrice est attentionnée et délicate,c’est bien Quichottine!

    il y a toujours le désir de comprendre ce qu’ l’autre a écrit,ce qu’il y a mis vraiment!mais lorsqu’on est un peu a coté quelques fois,on donne involontairement un nouvel éclairage à un texte,on l’enrichit aussi..Et l’apport du lecteur est aussi important que celui de « l’écrivain »..

    • Il m’arrive de ne pas savoir qu’écrire… je suis comme tous ici. Chez toi, je reste volontiers sur un vers ou deux qui m’ont frappés davantage, et il m’arrive d’oublier le reste du poème…

      Lorsque je relis, je me dis que j’aurais dû souligner autre chose… mais les mots sont là, et ils correspondent le plus souvent à ma première impression.

      Merci pour ce partage, Calliope.

  16. Ton plaisir d’écrire se fait ressentir à chacune de tes empreintes chère Quichottine alors ne change rien puisque l’on aime te lire, bises 🙂

  17. Belle imagination Quichottine merci de l’avoir fait partagée

    Amitiés, Bruno

    • L’imagination n’était pas vraiment au rendez-vous, Bruno… si ce n’est dans l’intervention de mon interlocuteur.

       

      Mais merci pour tes mots et ta présence.

  18. Si tu nous écris , c’est que tu nous lis et c’est le plus important de sentir la perception de l’autre qui ne correspond pas toujours à ce que l’on veut exprimer mais si celà a été compris ainsi, c’est que notre écrit a peut-être dépassé notre pensée.

    Continue à écrire ce que tu penses et à lire ce que tu penses que les autres pensent avoir voulu écrire.

    Gros bisous

    • Sourire, Brunô… Je ferai mon possible.

      J’espère que nos pensées sauront se retrouver sur la même page, et pas à côté.

      Bisous.

  19. Ecrire…

    Lorsque je viens chez toi, Quichottine, je ne passe pas; je m’assieds, je m’installe, et je lis.

    Je te lis, et chacun de tes commentaires aussi.

    Cet échange peut parfois être teinté d’incompréhension. Mais il est. Et il est riche ici.

     

    Ecrire, c’est un peu parler pour échanger. Mais les mots restent.

    Est-ce pour cette raison que nous craignons que nos mots à dire, que l’on peut, (mais difficilement) taire, garder en soi, se transforment en mots à lire?

    Les mots écrits ne nous appartienent plus. Il faut leur faire, (se faire?) confiance.

     

    Un jour que je chatais avec une femme très cultivée et remarquablement intelligente, j’en suis venue à critiquer certains écrivains d’aujourd’hui.

    Et elle m’a dit une phrase qui m’est rentrée dedans, plus profondément qu’une plume, ou un stylet:

    « Eux, au moins, ont le courage d’écrire. »

    Alors je suis partie.

    • Il est. Tu as tout à fait raison, et il est bien rare que les mots ne rebondissent pas.

      Se faire confiance, je pense… C’est le plus important et c’est parfois ce qui manque.

       

       

      Toi et moi, Hélène, pensons beaucoup, échangeons souvent… maintenant, nous devons aussi passer à l’étape suivante et faire confiance aux mots que nous écrivons.

       

      Je t’embrasse très fort.

       

  20. C’est un très beau cadeau que tu me fais quiochottine de publier ce billet dans ma communauté tout juste sortie des limbes.

    Je reviendrai commenter sans distraction car de ce côté-ci de l’ordinateur, il y a deux grands chiens qui me réclament avec insistance quelque chose que je ne comprend pas.

    Même si les mots ont leur vie propre, au moins le langage est un bon début pour rencontrer les autres et en faire quelque chose.

    • Il y avait sa place…

      C’est un honneur pour moi d’y publier pour la première fois.

      Je souhaite de tout coeur qu’il soit suivi d’autres articles.

       

      Passe une belle soirée… Bisous.

  21. Ça adonne bien moi j’aime te lire, en cliquant sur Quichottine ce matin, je me disais j’espère qu’elle a écrit. Voilà c’est mon bonjour de la journée.

    • Je vais m’absenter un peu, parce que je me rends chez mes enfants… et que je n’aurai aucune connexion là-bas.

       

      … Mais prends bien soin de toi en attendant. J’aime te lire et trouver chez toi tes tableaux.

  22. Des fois on écrit , on écrit, et on a pas de réponse, alors… triste, confus on arrête d’écrire… porque uno no entiende, lo que pasa y la tinta se seca y con las lagrimas es dificil  escribir sobre una hoja de tristeza… « Feliz año Quichottine », quizás me leas aquí.

    • C’est vrai que ça arrive aussi…

      La tinta se seca y espero que las hojas de tristeza recobrarán colores de alegría.

       

      Te leí también allí.

      Feliz año nuevo, V.

      un abrazo muy fuerte para ti.

      Te escribiré cuando vuelva… Me voy mañana.

       

       

    • J’en ai pris énormément… et ça ne va pas s’arranger puisque je dois m’absenter…

       

      Merci pour ta présence.

  23. Tu écris ce qui est là sur l’instant. Même si ça n’a pas toujours de rapport direct avec l’article en question, tes mots viennent résonner. Ils viennent à un moment précis, parfois même on les attendait.  Alors écris, écris, ne te bafoue pas, ça sera toujours un plaisir de te lire, même si je ne prends pas toujours le temps d’écrire chez toi et même si je trouve moi-même que mes réponses sont peu originales.

    Finalement. Est-ce qu’à force de nous connaitre nous-même on finit par oublier la valeur de nos mots ? On finit par oublier sa propre valeur ? Parfois, je fais des choses qui me paraissent banales et sans importance, et qui apparaissent extraordinaires aux yeux de ceux qui me côtoient. On oublie parfois, notre valeur.

    Ecris, écris, tu seras toujours la bienvenue ! Questionne-toi, découvre,émerveille-toi, partage, les mots sont faits pour ça 🙂

    • Je réagis aussi sur le vif, le plus souvent, et il m’arrive d’être « hors sujet », je pense, comme tout un chacun.

       

      Je sais que tu fais ce que tu peux et ta présence me fait plaisir.

       

      Oui, les mots sont faits pour être partagés. Merci pour les tiens.

      Merci, Mélanie.

  24. Bonsoir Quichottine,

    et sois tranquille, tes mots, même si chacune ou chacun les lit de façon différentes ne peuvent qu’être appréciés.
    Pas une journée sans écrire, ou sans créér quelque chose … Comme je te comprends
    Je ne te l’ai pas encore dit, très bonne année 2011, joie, santé … et inspiration.

    Bisous à toi

    • Merci pour tes voeux, Hauteclaire.

      Il me faudra penser à toi lors de ma prochaine commande chez Lulu. Je ne sais comment j’avais fait pour ne pas voir que tu avais publié autant.

       

      Très bonne année à toi aussi, et beaucoup de succès dans tes projets présents et à venir.

      Bisous.

  25. Je ne suis pas revenue sur les blogs après mon interruption. Une soirée télé nostalgie bien calée dans un fauteuil … Je voulias me concentrer sur le sens des mots. Des questionnements, pas un problème. Encore moins du vague à l’âme, le décentrement quand on écrit ou quand on lit. et les mots, une fois émis, ont leur vie propre qui ne se rattrappe plus.

    Mais mon esprit est perturbé par le fond noir en dessous de la fenêtre de saisie du commentaire, que je n’avais pas tout à l’heure puisque j’avais en transparence atténuée lla page du blog. Un nouveau bug ? un essai pour tester la capacité de concentration ? Ce qui est sûr, c’est que ma vue est gênée et c’est même inconfortable et je ne suis plus en mesure de penser à autre chose que cet inconvénient !

    Pas de souci de toutes façons, il est largement temps que j’aille me reposer

    Ne change rien en effet à ta façon d’écrire et de nourrir nos lectures.

    Je t’embrasse

    • Je suis navrée…

      Tu vois, en ce qui concerne la fenêtre de commentaires, j’ai cherché à contenter ceux qui ne pouvaient pas commenter correctement, le texte étant en partie caché… Mais ce n’est pas la panacée, d’autant que lorsque OB buggue, ce sont les changements qui sont en premier affectés.

       

      J’espère pouvoir continuer à ne rien changer dans ma façon d’écrire… Seul l’avenir dira.

       

      Prends bien soin de toi, Jeanne. Merci d’être passée en mon absence.

      Je t’embrasse.

  26. chacun perçoit les mots un peu à sa façon, ça peut dépendre de beaucoup de critères, de l’ ambiance, l’humeur dans laquelle on se trouve

    Est-on réellement à côté de la plaque ??? il suffit d’un mot, d’une expression et tes textes nous rappellent, des anecdotes, du vécu, cela m’arrive souvent de te raconter tels ou tels souvenirs suite à ma lecture

    Bon, vite je retourne à mes cartons, pffffff encore du boulot, beaucoup de boulot

    Je vais bientôt être coupée d’Internet

    Je te fais de gros bisous

    • Je ne sais pas… Peut-être pas vraiment. Je crois que nul n’est à l’abri de cet impair parfois commis en s’arrêtant au titre ou aux premiers mots de la page.

       

      J’espère que tu vas bien, et que toutes les bonnes nouvelles que tu nous as données en début d’année seront suivies de beaucoup d’autres.

       

      Gros bisous à toi, Corinne. Prends bien soin de vous.

  27. Chacun trouve dans ce qu’il lit une signification qui lui est propre le principal c’est que tu aies pris plaisir à l’écrire et que tu aies donné du plaisir au lecteur ce qui est mon cas. Les commentaires copier / Coller, c’est très rare que j’en fasse. J’en ai fait un pour les voeux mais je ne le fais jamais sans avoir lu. J’ai vu le 1er janvier une blogueuse annonce qu’elle venait de perdre son papa et en commentaire un copier coller lui souhaitant bonne année.

    Bisous

    • Le copier/coller est parfois utile, mais il ne faut pas en abuser. Je sais que chez toi ils sont rares, et j’aime te trouver dans mes allées.

      J’ai vu aussi le commentaire dont tu parles… C’est le genre de chose qui me fait mal… Mais je crois qu’il est impossible de les éviter.

       

      Merci pour la sincérité de tes messages.

      Bisous.

  28. Oui bien sûr écrire pour vivre, vivre autrement, plus haut, plus vrai et parfois pour survivre…n’est-ce pas ?

  29. oui écrire comme on respire écrire comme si c’était un besoin physiologique…

    besos muy fuertes

    tilk

    • Creo que lo sabes desde lejos… Eres un poeta. Y los poetas, los verdaderos, escriben con sangre en la arena de la vida.

      Besos, Tilk. Merci d’être passé en mon absence.

  30. « je vous écris comme je viendrai sourire à votre fenêtre »

    comme j’aime cette phrase..Je vais y penser chaque fois que je vais te lire…

    des maladresses , comme tu le dis, nous en faisons tous…mais ne t’inquiète pas,  tu as généralement beaucoup de délicatesse et j’apprécie énormément ton attention à chacun..Merci pour tout ce que tu nous apportes !

  31. Bonjour chère Quichottine,

    Je dis chère et pourtant je ne t’ai jamais vue. Et peut-être que cela n’arrivera jamais. Chère parce que tu te livres beaucoup. Tes questions sont souvent l’écho des miennes comme sur ce sens de l’écrit livré sur le blog… Merveilles de tes mots que j’adore découvrir, qui me font rêver, voyager. Si mon blog a ce nom ce n’est pas pour faire joli. Et ça, je le trouve chez toi et , sans être une addiction, c’est un joie que j’attends  en ouvrant ta porte.

    merci Quichottine pour tout ce soleil que tu nous offres… tant.. tant de choses

    Pas de soucis. je te comprends fort bien ( tu sais, il m’arrive d’être à côté de la plaque certains jours.. Pas grave. le langage du coeur se comprend toujours. Et le tien est si grand)

    Je t’embrasse

    A bientôt

    Martine

    • Merci pour ces mots, Martine, et pour ta présence qui ne dépend pas de la façon dont je te rends visite… ce dont je te sais gré.

       

      J’avais aimé le titre de ton blog, quand tu es venue me rendre visite la première fois, sur l’article que j’ai intitulé de la même manière.

       

      Ces « voyages immobiles » que nous faisons toi et moi sont importants je crois.

      Merci de tant m’offrir toi aussi.

       

      Je t’embrasse.

      Passe une belle soirée.

  32. Tu es dans ma liste d’amis depuis longtemps mais je t’avais un peu oubliée parce que je n’ai pas souvent le plaisir de te trouver dans les commentaires de mon blog. Aussi, aujourd’hui, je vais te laisser ce petit mot. C’est très vrai que l’on ne se comprend pas toujours très bien. Je le constate aussi quand je mets des notes. Mes visiteurs ont pris une phrase, rien qu’une, et ils n’ont pas vu ou lu toute la note. Ce qui ressort à dire qu’ils n’ont pas saisi le sens de ma note. Mais là aussi, il s’agit bien d’un manque de temps. Les blogueurs sont soumis à un stress de visites, à fournir des notes souvent (voire tous les jours pour certaines ou certains) et ainsi la quantité use la qualité. Je suis pour la lenteur et la vraie présence. Pas pour la rapidité, le nombre.

     

    Gros bisous,

    Aliette-Lydia

    • C’est vrai que tu étais passée en 2009… au mois de mars, deux fois. Ici, et là.

      A la suite de ta première visite, je suis allée parcourir ton blog et je me souviens avoir aimé tes broderies, la gentillesse dont tu avais fait preuve en venant me remercier des commentaires que j’avais déposés au fil de mes lectures sur ton blog débutant.

       

      Je suppose que c’est pour cela que tu m’as mise à ce moment dans tes liens.

      Mais tu étais partie en pause, et ensuite, je n’ai plus eu de nouvelles.

       

      Ici, je ne publie pas de façon régulière, et, aujourd’hui, ma réponse est bien tardive, je te prie de m’en excuser.

      Je crois qu’il est important de dire, d’échanger le mieux possible, en écoutant ce que d’autres ont à nous dire.

      Je refuse le stress, la course aux commentaires, les obligations de toutes sortes.

      Mais il est vrai que j’aurais pu te rendre visite depuis ce mois de mars 2009… mais ton adresse s’était égarée dans les profondeurs de mon blog. J’en suis navrée.

       

      Merci, Lydia, pour ce retour dans la bibliothèque.

      J’espère que nous aurons d’autres occasions de nous rendre visite.

      Douce soirée à toi.

  33. ce texte-là est celui d’un écrivain …et les commentaires que tu reçois le confirment …nous aimons te lire, j’aime te lire  , tu aimes écrire …que de plaisirs partagés!!!

    quelle belle année en perspective!

  34. A mon tour de venir te présenter tous mes meilleurs voeux de bonne année.

    Que ces bon voeux t’apprtent joie, bonheur et santé, à toi, aisni qu’à tes proches.

    Laé

  35. Le livre est un voyage qui ne s’arrête jamais , une part de rêve qui nous entraîne à écrire …Mais le tigre blanc sur la photo, je voudrais le suivre lui aussi, va-t-il m’en perduader ..Bises du soir et bonne fin de weed-end

    • Je ne sais pas… nous sommes imprévisibles.

      Tu as fait pour le mieux, au mieux, malgré mon absence et en mon absence.

      Bises d’un autre soir… Pardon d’avoir tant de retard pour te répondre.

  36. salut

    bravo pour ce texte qui montre la difficulté de répondre tout en écrivant autre chose, enfin essayer d’écrire ce qui ‘a pas été écrit

    bonne soirée

    • Merci pour ces mots, Tiot.

      Tes compliments me font plaisir… Je voudrais être capable comme toi de tout traduire en images.

       

      Bonne soirée à toi aussi.

  37. eh bien j’aime venir lire sur ton blog, je suis les liens aussi, je découvre,j’adore et je te suis reconnaissante en effet de voir que tu prends le temps de répondre, même si c’est loin loin, tu ne peux être partout à la fois, merci mais j’aime me

    balader dans ta bibliothèque ou ailleurs chez toi, ronrons de plaisir ! MIAOUUUUUUU!!!!!!!!!!!

  38. bah oui c’est important d’écrire, tout à coup on livre des émotions, du sens … sans le langage non verbal… qui dans la communication orale représente quelque chose comme 60% de la comm…et ça supplée aux imprécisions de langage dues, le plus clair du temps, justement aux émotions suscitées par le contact… à la dispersion aussi parce que dans le même temps que l’on parle, on fait autre chose aussi, plein d’autres choses d’ailleurs…

    et puis à la longue l’écrit sul clavier c’est pareil, on se disperse, on surveille qui de l’enfant, du repas, de la télé, ou du chien, on s’arrête pour un sms ou quelqu’un (client, patient, parent…) qui débarque…et… on perd le fil, ou du sens ou de l’émotion…

    du coup ben sans le langage non verbal, parfois, c’est plus tout à fait ce qu’on voulait communiquer…

    de l’autre côté, à la réception c’est tout pareil, lire tout en écoutant un tel, en surveillant ceci, on pensant à cela, en raccrochant le téléphone… et avec l’humeur du jour,… la réception de ce qui se veut souvent un dialogue possible différé… n’est pas toujours idéale…

    on voudrait pourtant, que les commentaires soient du dialogue, mais ils ne le peuvent pas toujours..

    on voudrait parfois que les billets soient entendus pour ce qu’ils sont en sens et/ou en émotions, mais ce n’est pas toujours le cas non plus…

    alors oui, on écrit parce qu’on en a besoin, on communique parce qu’on veut que ce soit entendu… et on laisse le temps pour la réelle compréhension, pour la lecture disponible, on espère que, parce que c’est écrit, « l’autre » pourra y revenir à tête reposée…

    ce qui, après tout, n’est jamais vraiment possible à l’oral… on ne retient qu’une part de ce qu’on a mal reçu, et quand on a mal reçu, les émotions subjectivent la mémoire de ce qui fut transmis…et là… on perd les repères et le contact à l’autre

    voilà pourquoi l’écrit est souvent une forme de compensation aux frustrations de la comm…

    quand ça ne passe pas non plus, du moins espère-t-on qu’on puisse prendre le temps… après tout, combien de livres réouvre-t-on avec plaisir? plus tard… mieux disposé, plus mûr…

    alors pardon d’avance et pardon a posteriori, si la compréhension n’a pas été ou ne doit pas être totale… parfois…

    gros bisous à toi, follow on, straight ahead… there’s no need to worry, as far as the generous enjoyment of words enlightens your heart

    huge kisses

    • Ben dis donc…

      Que dire si ce n’est que ton commentaire complète à merveille mon propre message ?

      Je n’ai rien à te pardonner, au contraire.

      Merci pour ta présence et tes mots !

      Même en anglais, je pense avoir compris ! Thank’s, Mamalilou. Kisses for you too.

       

  39. J’ai lu jusqu’au bout et heureusement car j’aime beaucoup ta dernière phrase. J’aime aussi la manière avec laquelle tu t’adresses à nous, indirectement.

    Passe une bonne semaine. Pour moi, c’est la reprise demain!

    • Tu as donc repris depuis longtemps… et moi, je ne te réponds que maintenant et j’en suis désolée. Je n’aime pas avoir tant de retard.

       

      Merci pour ta présence en mon absence, merci pour ta gentillesse à mon égard.

      Passe une douce soirée.

  40. Ce que tu exprimes Quichottine , je l’ai ressenti au travers de tes coms : un message personnel d’amitié, d’intéret , de gentillesse . Cela fait réellement plaisir . Merci pour ce que tu es , ne change pas.Je t’embrasse Andrée

    • Merci pour ces mots-là, Andrée.

      Je ne recherchais pas les compliments, mais je te sais sincère et cela me touche.

       

      Je crois que j’aurais du mal à changer.

      Je t’embrasse. Passe une belle soirée.

  41. Wouuuaahouuu ! Quelle déclaration d’amour pour l’écriture !

    Je t’envie pour ce don et en même temps je compatis car cela dois parfois représenter un poids et même une souffrance. Le lecteur est tellement superficiel à côté de l’écrivain ! Nous nous contentons de papillonner et de butiner les jolis mots que des artistes apprivoisent pour nous. Merci Quichottine ! Bisous…

     

    • Euh… Tu sais, je ne suis pas sûre de mériter tout cela.

       

      Je suis lectrice avant tout… même si j’écris parce que ça m’est vital.

      J’aime les mots. Qu’ils soient des autres ou de moi, ils sont importants.

       

      Merci à toi d’être passée en mon absence.

  42. Non, amie, tu n’est pas « la plus ceci, ou cela ». Tu es « un plus », tout simplement. Et les mots sont des choses fuyantes, ils se transforment entre qui les dit et qui les entend, entre qui les écrit et qui les lit. Mais il est important de continuer à s’en servir.

    • Merci pour ces mots-là.

      J’aime la façon dont tu écris, tu le sais… et ces mots déposés ici me touchent infiniment.

  43. alors continue à respirer quichottine pour notre plus grand plaisir, j’avoue que j’ai toujours un grand plaisir à trouver dans ma petite boîte, tes mots gentils rassurants et tu resteras toujours celle qui m’a pris à regarder le bleu du ciel alors que tout est gris et ça, ce n’est pas rien !!!!

    Merci à toi quichottine je t’embrasse bien fort

    • Merci à toi aussi, Isabelle. Une amitié de plus de trois années, ça compte aussi pour moi, même si nous ne nous connaissons qu’à travers ces petits mots déposés.

       

      Prends bien soin de toi. Je t’embrasse très fort.

  44. Des doutes, un questionnement, cela doit être la période, je suis en plein aussi.

    L’essentiel, reste le plaisir du partage et j’aime venir te lire tant que tu y prend du plaisir.

    Je sens un peu plus que des doutes dans ton article, un brin de colère aussi, que je n’ai pas compris. Peut petre ai je fait une mauvaise interprétation.

     

    Bonne nuit Quichottine.

    Gros bisous

     

    • Des doutes… ils sont toujours là lorsqu’on dépose des mots dont on sait qu’ils ne s’envoleront pas.

       

      Je prends plaisir à écrire, mais il m’arrive d’être triste, comme tout le monde,  je crois, lorsque ce que j’ai écrit est déformé par une lecture trop rapide.

       

      Ceci étant, ce n’est pas grave…

      Passe une belle journée, Harmonie. Gros bisous.

  45. ce billet là … quelle déclaration d’amour pour chacun! j’aurais aimé à mon tour l’écrire!!! et quelle belle ferveur pour donner envie de lire et écrire ! Tu sais je n’ai découvert mon gout pour l’écriture qu’en créant mon blog, jamais avant je n’avais aligné autant de lignes sur des sujets aussi variés.. il n’y pas d’âge finalement pour se lancer, j’aime les doux rêveurs comme ils sont, tu nous laisses la bride sur le cou, on s’envôle sans entrave !! gros bizzzoux sur cette étagère ci de la bibliothèque, je suis  en retard de lecture chez toi et chez bien d’autres que j’aime … bonne nuit douce Quichottine

    • Je crois que le temps file à une allure vertigineuse et personne n’arrive plus à suivre au quotidien.

      Mais merci d’être là, Tricôtine, et merci de nous faire rêver aussi sur ton blog.

      Ne t’en fais pas pour le retard, j’en ai beaucoup aussi !

       

      Passe une belle journée. Bisous.

  46. Bonjour Quichottine!

    Serais-tu surprise si je te disais que je comprends parfaitement ce que tu exprimes ?

  47. Ecrire, c’est aussi engager, s’engager dans un possible échange. C’est une des grandes richesses de cette possibilité qui nous est donnée, à tous, bien sûr dans la limite de notre possible …

    Parfois, il y a des incompréhensions, des  » malentendus « , mais en retour une évolution de notre pensée, de notre lecture de l’autre, et de notre écriture personnelle.

     

    Bon vendredi. Bisous, Quichottine.

  48. A mon tour de venir te présenter tous mes meilleurs voeux de bonne année.

    Que ces bon voeux t’apprtent joie, bonheur et santé, à toi, aisni qu’à tes proches.

    Laé

  49. eh bien j’aime venir lire sur ton blog, je suis les liens aussi, je découvre,j’adore et je te suis reconnaissante en effet de voir que tu prends le temps de répondre, même si c’est loin loin, tu ne peux être partout à la fois, merci mais j’aime me

    balader dans ta bibliothèque ou ailleurs chez toi, ronrons de plaisir ! MIAOUUUUUUU!!!!!!!!!!!

  50. Tu as abordé là quelque chose de très important; j’allais dire « un problème« , mais ce n’est pas problématique. Dans une « communication écrite » il y a toujours au moins 3 acteurs : l’auteur, le support et le lecteur. Ce que veut dire l’auteur, à travers le média, est rarement ce que comprend le lecteur, qui s’approprie le texte, lequel échappe dès lors à l’auteur !  Nous en avons tous fait l’expérience étrange, de comprendre à la lecture d’un commentaire que notre lecteur n’avait pas compris réellement ce que nous avions voulu dire … et peut-être nous même ne comprenons pas, à cet instant, ce que le commentaire signifie vraiment … mais qu’importe, ce n’est pas un problème : l’auteur écrit parce qu’il aime ça, le lecteur lit par goût, chez les 2 c’est même parfois de la passion ! Et le support ne sert qu’à rejoindre les 2 passionnés …. Et le média blog est dans la sphère des média rapides, trop peut être ? Chacun n’attache qu’une importance modérée à la compréhension du message, par manque de temps …. D’ailleurs, je commente ton présent billet auquel je n’ai peut-être rien compris !!!! Je retiens toutefois que tu aimes écrire … et comme j’aime te lire, tout est pour le mieux dans la meilleure Quichottinie possible ! 

    • Voilà une magnifique synthèse de tout ce qui est relation à travers l’écriture quelqu’en soit le support !

       

      Bravo !

       

      … et je suis contente parce que si tu aimes me lire, la réciproque est vraie.

      Merci, Glorfindel.

  51. Bonsoir, ou plutôt bonne nuit, ou… je ne sais plus, peu importe, que ce soit bon comme de te lire ici ou là, ailleurs. 

    Et puis les doux rêveurs, j’aime bien justement parce qu’il n’y a rien que le rêve sans défi d’aucune sorte, ainsi peut-on poser un mot en toute liberté et prendre le temps parfois de visiter les autres nids et leurs couvées. 

    J’ai du mal à suivre sur des communautés qui pourtant m’intéressent beaucoup, ça va trop vite ou c’est moi qui vais trop lentement, et puis il faut lire les autres et pas qu’en diagonale, pour pouvoir apprécier, laisser des mots vrais, bref, prendre du plaisir.

    En ce sens, je suis totalement d’accord avec toi.

    Alors le temps, il faut bien le prendre quelque part et chercher le juste équilibre entre participation et visites et le reste de la vie… Amitiés.

    • Merci pour ces mots-là.

      Je sais que je n’arrive pas non plus à participer à tous les jeux et c’est pourquoi je ne me suis pas inscrite dans la communauté de l’arbre à mots.

      Les croqueurs sont gentils avec moi… J’avais prévenu Bruno, puis Tricôtine, que j’étais assez rebelle aux consignes. Ils m’ont accepté quand même.

       

      J’essaie de suivre pourtant quelques blogs dans chaque communauté, ou, lorsqu’un jeu m’intéresse, je passe voir ce qu’il a donné chez les uns ou les autres. Lorsque la communauté est très grande, il est impossible de voir tout le monde.

       

      Le plus important étant de garder le plaisir d’être là… sinon, je n’y serais plus.

       

      Amicalement à toi.

  52. bonjour quichottine, moi je t’admire d’écrire, mais malheureusement le bloggeur passe souvent trop vite, et ne ce donne pas le temps de lire…de comprendre, je le voie bien aux questions qu’on me pose…alors que la réponse étais dans le petit texte que je mets.

    bonne fin de semaine bise

    • Tout dépend des blogueurs…

      Certains lisent vraiment et s’attardent. C’est vrai que c’est pour ceux-là que j’écris. Mais je reconnais qu’il faut du temps.

       

      Bonne journée à toi.

  53. Ecrire c’est aussi prendre des risques.

    La langue n’est qu’un moyen, le plus rapide, il semblerait le plus sûr, mais elle a ses limites qui sont nos propres limites.

    Alors, surtout ne te prends pas les neurones dans les noeuds de communication, et trace tes mots au gré de tes balades.

     

    Je t’embrasse ma Quichott’.

    • Oui, prendre des risques… c’est vrai.

       

      Mais il y en a que je n’ai plus vraiment envie de prendre.

       

      Je t’embrasse fort, Polly. Merci.

  54. je te vois trés bien en train de lire avec ces grosses chaussettes.

  55. Etres soi… c’est bien cela le plus important……… avec ses joies, se petits bonheurs mais aussi, ses failles, ses pleurs, ses chagrins…

    Etre soi et …….

    • Tout cela, parce que c’est humain… mais parfois, certains ne le comprennent pas.

      Le monde virtuel est bien plus exigeant que le monde réel.

  56. Etres soi… c’est bien cela le plus important……… avec ses joies, se petits bonheurs mais aussi, ses failles, ses pleurs, ses chagrins…

    Etre soi et …….

  57. Je t’ai lue jusqu’au bout

    C’est vrai qu’il n’est pas toujours facile de déposer un commentaire qui corresponde vraiment à l’état d’esprit de celui ou celle qui a publié le billet. Même si des liens étroits existent nous sommes quand même dans le « virtuel » et certains sens ( parfum, …) ne passent pas ou d’autres difficilement. Nous ne pouvons donc pas toujours llire, regarder et répondre avec toutes nos émotions.

    Je visite beaucoup de blogs photos et je ne sens parfois démunie de mots devant les superbes photos…je les trouve si extraordinaires et pourtant je ne peux écrire chaque jour « que la photo est belle » …

    Et pourtant même si certains billets n’appellent pas de commentaires, si certains écrits ne peuvent se lire qu’intérieurement, que certains photos ne peuvent se déguster que dans le silence…je dépose un petit mot mais qui est loin, minime et insignifiant par rapport à la profondeur de ce qu’ils m’évoquent

    Bonne journée et ziboux ma belle

    • Merci, Kri, pour ce long message, qui exprime aussi ce que je peux ressentir lorsque je viens chez toi.

      Je regrette de ne pas savoir toujours « dire » ce que je ressens, parce qu’il arrive aussi que ce soit trop intime, beaucoup trop pour être confié en commentaire.

      Tu vois, jamais tu ne m’as laissé de copier coller sur un billet qui attendait une réponse…

      Et, cela, c’est irremplaçable.

       

      Merci pour cela aussi. Bonne journée à toi.

       

       

  58. Bonjour belle écrivaine

    Moi j’aime tes mots et ton écriture…. je te sens tellement sincère

    Je voudrais bien écrire comme toi, on sent tellement ces mots qui glissent faciles.

    Et je m’y entraine!

    Merci pour tout

    Bises et belle journée

    Dany

  59. tu écris là bien des choses qui posent question: pourquoi écrit-on, pour qui, c’est tellement difficile de se confronter au regard des autres mais peut-être plus encore à son propre regard

    L’autre jour dans un café poésie que je fréquente de moins en moins parce que cela ne m’apporte pas grand chose, il y avait là un monsieur qui venait pour la première fois et comme le font souvent les messieurs (désolée mais c’est pourtant la stricte vérité, ) il s’est longuement présenté (moi je ne l’ai jamais fait et personne ne sait m^me comment je m’appelle, ni que je me suis auto publiée, j’emmène mes textes sur des feuilles volantes, alors que eux passent leurs temps à agiter des revues, des livres autos édités, à lire des textes très longs, empêchant ainsi les autres de lire, à fouiller dans leur sac pendant que les autres lisent, si, si, c’est vrai!!! ) en disant qu’il venait d’écrire un roman de science fiction etc… etc…

    et il nous a lu un passage très érotique de son livre avec des airs gourmands comme s’il lisait la merveille des merveilles. Moi j’étais intérieurement pliée de rire et les autres auditeurs baissaient  la tête sans doute pour ne pas faire la même chose. Nous avons applaudi mollement et poliment mais cela m’a quand même posé question: si ce monsieur est aussi fier de ce qu’il a écrit au point de s’auto publier qui me dit que ce que j’ose montrer n’est pas aussi très très mauvais et pourtant il y a en moi ce besoin d’écrire même si je suis complètement anéantie lorsque je lis des textes fabuleusement beaux sur d’autres blogs, tellement beaux que je ne laisse aucun commentaire.

    Il m’arrive aussi de lire des critiques très très élogieuses d’un livre que j’ai vraiment trouvé archi nul, alors ou est la vérité dans l’hypocricrisie, le mensonge, dans le mal que l’on se fait en ne trouvant pas les mots que l’on voudrait ou dans le bien que l’on se fait en vivant dans l’illusion et en écoutant béatement les éloges des autres??

    bises Quichottine

    • Il y a des gens qui aiment s’écouter parler et qui n’écoutent jamais les autres, sauf quand ils disent des compliments… C’est malheureux.

       

      Plusieurs réponses pour toi…

      D’abord, je suis d’accord, il y a des personnes qui pensent être les meilleures et qui ne le sont pas.

      Ensuite… je sais qu’il est facile, très facile, de se croire archi nul quand on lit des merveilles, ou quand on les voit, quand on les entend. Je sais… mais je sais aussi que généralement on est plus dur et exigeant avec soi qu’avec les autres, surtout quand on n’a pas confiance en soi, que la vie n’a pas voulu créer les occasions qui auraient permis d’avoir un peu plus de tendresse envers ses propres créations.

       

      Enfin, il est exact que le blog est aussi un lieu où les éloges factices sont présents. Il ne faut pas le nier. Mais il y a pourtant des mots qu’il faut prendre au sérieux, qui correspondent à ce que ton lecteur ressent profondément, même si tu penses qu’il exagère les louanges.

       

      Tout le monde peut regarder une image, lire un texte, écouter de la musique, sans pour autant être expert. Et ce n’est pas pour cela qu’il faut déprécier ses émotions.

       

      Celui qui vient te lire et te met une note comme à l’école en te disant « ça ne va pas » parce que tu n’as pas respecté telle ou telle règle académique, telle convention d’écriture, n’est pas forcément celui qui aura « lu » le texte, « vu » l’œuvre.

      Je sais qu’il est important, pourtant, parce qu’il est souvent de ceux qui te mettent des bâtons dans les roues et qui te font te sentir « à côté » du monde où tu voudrais entrer.

       

      Alors, tu vois, c’est comme si mon opinion comptait davantage parce que je suis docteur es lettres… elle ne compte que parce que j’ai beaucoup lu, beaucoup vu, beaucoup « senti » et « ressenti » dans les œuvres que je croisais…

       

      Il y a de grands auteurs que je n’aime pas, et des auteurs inconnus qui me touchent profondément. Tout est donc relatif.

      Si j’aime une page, une image, je le dis… et ça ne veut jamais dire que j’aime « tout », parce que je suis sûre d’une chose, et d’une seule, depuis que je sais lire et parler. Nul n’est assez « parfaitement régulier » pour que « tout » soit capable d’engendrer le même degré d’émotion.

       

      Je t’embrasse Azalaïs. Passe une belle soirée.

  60. Il y a plusieurs façons d’aborder l’art du blogging. Je n’aime pas celle édictée par OB qui favorise surtout « le chiffre », et la course…

    Un blog est pour moi surtout une occasion d’échange et de partage. Certains pratiquent l’art du copier/coller systématique, et ils sont repérables. Mais parfois, cette « technique » peut s’appliquer avec des intentions sincères, quand le sujet s’y prête (« voeux de bonne année »)

     

    • Je suis contre les chiffres et contre la course. J’aime prendre mon temps. Il me semble que même sur OB, on peut. Il suffit de le vouloir.

       

      Cependant, tu as raison… Au moment des vœux ou d’un anniversaire, un copié/collé facilite la vie.

  61. Ce n’est pas toujours facile de déposer des commentaires ici et là. Et on ne dépose pas un commentaire uniquement pour faire plaisir. Et je sais que chez moi, ce n’est pas facile d’en déposer… Par contre, Ici il y a toujours de la matière. Tes articles sont tellement bien pensés.

    Ecrire fait vivre, ça je le sais… parce que je m’aperçois que quand je n’ai pas écrit pendant un certain temps, je suis devant une page blanche… Alors je me rends compte qu’il a manqué quelque chose à ma vie…

    Prends soin surtout et ne torture pas trop. Tout le monde t’aime.

    • Je suis d’accord, un commentaire ne devrait pas être déposé « pour faire plaisir », même s’il fait plaisir.

       

      Et je sais que certains messages n’attendent pas de réponse, que sur certains blogs, ce n’est pas facile d’écrire…

       

      Je suis contente que tu sois sortie de ton silence… parce que même si tu as appelé ton dernier billet « Essai », ce n’en est pas vraiment un, parce que je ne vois pas comment tu aurais pu le transformer.

       

      Continue à écrire, Marie.

       

      Passe une belle soirée.

      (Je n’ai pas l’intention de me torturer… et je sais bien que personne ne peut être aimé par « tout le monde »… à moins de n’avoir aucune personnalité.)

       

  62. Un petit coup de mou ma Quichottine…. L’écriture est avant tout la liberté de s’exprimer. Tant mieux pour ceux qui comprennent, tant pis pour ceux qui survolent et n’approfondissent pas. Nous t’aimons comme tu es ma Quichottine, ne change surtout pas. Bises et bon vendredi

  63. Dona, tu fais comme tu le sens, tu n’as aucune obligation, seul le sens de l’amitié et la générosité peut-être, il faut éviter tt de même d’être dévoré par le web…..J’apprécie , je dirai même j’aime tes articles , tes réponses t tes coms…merci pour tt cela. Bises  VITA

    • Je n’ai pas d’obligations, c’est vrai… et lorsque je vais chez toi, c’est parce que je sais que si j’y vais ce que j’y trouverai saura m’émouvoir.

       

      Merci à toi… et merci surtout d’être patiente quand je m’absente.

      J’aime nos échanges.

      Bises et bonne soirée.

       

  64. superbe ce portrait « Quichottinien » il est super !!!

    quant à ce que l’on écrit sur le moment .. suivant notre humeur .. c’est certain on écrirait peut-être pas la même chose la fois suivante..

    l’être humain est fort complexe ..

    cela se sait qu’il y a « des humeurs » depuis des siècles ! 😉

    et ne dit-on pas  » il est d’humeur noire » ..

    « il a des troubles de l’humeur »

    et la santé/l’humeur étaient assez amalgamés avant..

    quoi qu’il en soit

    il est important d’écrire je te comprends :

    un défouloir, un partage, une envie de dire ..

    tout simplement ..

    bises

    bonne journée

    christelle

    • Pas deux fois la même chose… ça, c’est certain.

       

      Merci pour ce partage, Christelle.

      Je retiens aussi cette « envie de dire… tout simplement ».

      Passe une bonne soirée. Bises.

  65. Pourquoi écrire ?

    pour respirer et sourire,

    Je suis passée chez Adamante hier, avant de passer ici, aujourd’hui, j’ai découvert ta poupée et celle de Pénéloop, je vous aies tout de suite reconnues et à vous trois aies laissé, chez Adamante, quelques sourires à vous partager…

    Oui Quichottine, tu as raison, nous aimons lire, nous aimons écrire, mais nous avons aussi notre vie ses joies et ses soucis et quand nous ne pouvons frapper à la porte des autres, nous attendons des moments plus favorables… pourquoi pourrais-tu faire autrement que nous ? Je ne t’en veux pas si tu ne passes pas, je sais bien que tu le feras dès que tu le pourras…

    Merci, grâce à toi j’ai découvert de merveilleux blogs, mais en contre partie, plus j’en découvre plus le temps me manque pour les visiter tous… (choisir c’est mourir un peu, juste un peu pour vivre mieux !)

    Bises

    • Merci pour ces mots et ces sourires laissés chez Adamante.

      Je crois que nous devons tous faire des choix. J’espère que nos chemins continueront à se croiser.

      J’emporte avec moi Des mots en farandole… que je mettrai un peu plus tard sur mes étagères.

       

      Bises à toi et bonne semaine.

       

  66. bonjour Quichottine, j’ai tout lu et je partage pleinement ton opinion, moi quand je ne veux pas écrire je mets des photos mais je suis comme toi je ne pourrai pas vivre sans écrire car l’écriture fait partie de ma vie et comme Obelix et la potion, c’est ma potion magique, celle qui me guérit de tous les mots et aussi mon amour et ma passion, je repense souvent souvent à ce texte que j’ai écrit et que surement tu connais « a toi ma plume »

    http://www.latelierdefransua.com/article-23863414.html

    bisous

    • J’aime l’idée de cette potion magique…

       

      Merci pour le lien vers ton poème. Je le connais, mais j’ai eu plaisir à le relire.

       

      Bisous et bonne semaine à toi.

  67. Bonjour Quichottine

    2crire c’est aussi exutoire, une facon de vider ses peurs, ses hésitations, son stress, ses rancunes peut-être ! Ecrire c’est y penser à chaque seconde de sa vie !

    Ah! Que jaime tes doux réveurs, et toi ma chère lutteuse contre des moulins à vents !

    Bises à toi

  68. L’écriture ce n’est rien d’autre que de se parler  dans le  silence

    • Se parler dans le silence… C’est vrai. On se parle à soi, mais aussi aux autres à partir du moment où l’on a décidé d’appuyer sur le bouton : « publier ».

       

      Merci, Liza, pour ta présence et nos échanges.

       

       

  69. Je reviendrai j’ai trop à t’écrire.

    Merci Quichottine

  70. Moi aussi je prends mon temps pour écrire , il faut que je sois inspiré , je vais souvent trois ou quatre fois sur un billet avant d’y mettre mon com. 😉

    Bonne fin de soirée Quichottine Bisous

  71. j’écris aussi parce que j’en ai besoin, et que je pense écrire mieux que je parle. Mais par contre ne dis pas que la Quuichottinie est un lieu beaucoup moins beau que les endroits dans lesquels tu te ballades, parce que ces pages sont très poétiques et qu’à titre personnel je pense que c’est l’endroit qui littérairement (thématique écrits/poésie/livres), me convient le mieux de tous les blogs sur lesquels je me rends…

    bien à toi ! 🙂 très bonne soirée, et une nuit pleine de rêves….

    • Euh… Je ne suis pas certaine de mériter ces compliments, mais je dois dire que tes mots me touchent énormément.

      Merci, Florian.

      Pardon de te répondre avec tant de retard, mais j’ai un peu de mal à émerger après ma longue absence.

      Tu écris vraiment bien et tu devrais mettre davantage de textes personnels sur ton blog.

      Douce journée à toi.

  72. Je sais que tu écris avec ta sensibilité et toujours en fonction des articles ou photos lus et en connaissant la personne en face. Tu écris dans ta bibliothèque et là, on sent ta respiration. C’est un besoin vital alors continue ainsi ! Fais ce que tu aimes !

    Gros bisous ma chère Quichottine !

    • Merci, Alrisha.

      Tes mots me touchent, d’autant que je sais que tu as peu de temps pour « voyager ».

       

      Gros bisous à toi… et pardon de te répondre avec tant de retard.

  73. tu aimes écrire, chère Quichottine
    on le ressent bien
    et nous, nous aimons beaucoup ce que tu écris
    et tu sais donner à chacun l’envie d’écrire… ou de continuer à écrire même quand l’inspiration s’essouffle…
    un grand merci
    et un gros bisous d’amitié
    jean-marie

     

  74. bonjour quichottine, la délocalisation, là tu touche un point sensible et mondial.

    ici aussi on commence a fermer les usines, pour aller au vietnam, ou les salaires sont plus bas….tu voie rien de nouveau sous le soleil.

    passe un bon samedi bise

  75. J’ai apprécié ton blog et je reviendrai souvent te lire

    Amicalement

    timilo

    • Merci, Timilo. C’est vraiment gentil.

      Navrée de te répondre si tardivement, je m’étais absentée et j’ai pris un énorme retard !

    • Merci, Papa…

      J’ignore qui tu es, mais je te remercie de cette première visite.

      Bonne année à toi aussi.

  76. Je viens de m’inscrire à ta newsletter, je sais que je vais passer d’agréables moments ici 🙂 Très belle soirée ! Pleine de rêves fantasques, et une nuit calme et fraîche

    • C’était tout gentil… Même si tu l’as fait à un moment où mon absence prévue mais pas encore annoncée m’obligeait à te délaisser.

       

      Merci pour cet abonnement.

      Douce soirée à toi… beaucoup plus tard.

  77. Continue ma petite Quichottine d’ecrire , personnellement moi j’aime te lire ,

    Je te remercie pour tes gentils petits mots

    Gros bisous

    • Merci, Canelle…

      J’aime me promener avec toi, te suivre sur ces pages si riches en images que tu nous offres.

      Gros bisous à toi aussi…

  78. Merci de ton passage Quichotinne (drôle de nom 🙂  Pour la photo pas de problème tu peux la prendre. Belle soirée, bises.

    • Merci… et pardon pour mon retard à te répondre ici.

       

      Je me suis absentée longtemps.

      Belle soirée et bises à toi.

  79. Certains se posent la question de savoir s’ils savent écrire… et d’autres s’ils savent lire ! D’un côté comme de l’autre on met tellement de soi dans l’acte qu’on peut toujours se demander a posteriori si on a « bien » fait ou fait « juste ». Mais à trop se poser de questions, on se paralyse !
    Sachons lâcher un peu prise, bon sang, et si l’écriture ou la lecture nous sont essentielles, eh bien, allons-y, sans trop de stress…
    Bisous, Quichottine, bonne fin de soirée

    • Eh bien… pour un peu tu allais me gronder.

       

      Tu as raison, il ne faut pas que je me pose trop de questions.

      Bisous et bonne soirée d’un autre jour, Séverine. Merci pour tes mots.

  80. Merci, chère Quichottine de rentrer dans la farandole de mes mots destinés à faire sourire les enfants… Et tous les adultes qui ont su garder une âme d’enfant et beaucoup d’émerveillement !

  81. Quelle invention merveilleuse que l’écriture. A partir de petits signes laissés sur de l’argile, un roseau, une peau de chèvre, un tissus ou un papier, la parole voyage accrochée à ces graffitis, elle est mise en conserve, elle attend que des yeux se pose sur elle.  La parole s’étale dans le temps et défie la mort. Aussi quand on écrit soi même à l’autre, il est important de s’adresser à lui comme s’il était là, en face de soi, comme si ses propres oreilles allaient entendre votre texte.  Alors, tout va bien, le sens devient clair, les mots trouvent leur poids, le malentendu involontaire est rectifié, pardonné. 

    La seule écriture qui ne puisse pas se transmettre au loin est celle que l’on fait avec les yeux. Mais celle -là, elle ne se lit que dans l’intimité du couple.

     

    Bises du grillon

    • Lui parler, comme je le fais lorsque je suis ici… Mais il m’arrive de me tromper pourtant, de ne pas savoir dire.

       

      Alors, bien sûr, s’il ne comprend pas, c’est que je dois recommencer, encore et encore… autrement.

       

      Les mots des yeux et des mains se disent et s’écoutent quand la porte est fermée.

       

      Merci pour ces mots laissés en mon absence, Christian.

      Bises tardives, mais sincères.

  82. Les titres sont importants « Jardins des mots » que beaucoup croit pou enfants est lui pour les adultes….

  83. Très bien dit et très sensible, quichottine, Tu te rappelles :  j’écris, parce que la vie ne suffit pas.( F Pessoa ) Emma

  84. Mais c’est très bien, moi aussi j’aime autant écrire pour les uns que pour les autres et j’ai horreur de mettre un âge sur un livre… Tu verrais ma bibliothèque personnelle elle est pleine de littérature jeunesse

    • Rire… Je suis assez d’accord avec ceux qui disent qu’il y a des chefs d’oeuvre en littérature de jeunesse.

       

      Merci pour ce partage, ABC.