Kerfon Le Celte, Coup de vent

Poésie du dimanche, poème à savourer de nouveau, tranquillement.

S’allonger d’abord, là-haut, sur la colline, dans un champ, au milieu des coquelicots et des bleuets de mon amie Anne.

Fermer les yeux, et se transporter dans le temps… très loin, ou un peu moins. Au moment où tout était ainsi, beau et simple.

À ce moment où l’on était encore enfant, tout en haut d’une colline à vent

Une colline à vent…

C’était une colline balayée par le vent,
J’y ai usé mes jeans lorsque j’étais enfant,
Poussaient des capucines et des bouquets des champs :
C’était une colline amoureuse du vent.

Puis est venue l’usine à l’appétit gourmand
Offrant sa grise mine à l’environnement ;
Les milliards de centimes ont eu, finalement,
Raison de cette cime où s’amusait le vent.

C’était une colline où je courais souvent,
Peu avant que l’usine ne tue les fleurs des champs ;
Est devin qui devine tant le vent est absent,
Qu’œuvrait sur la colline un vieux moulin… avant…

À Quichottine et ses moulins…


KERFON LE CELTE

Et puis… ouvrir les yeux, et grâce aux mots de Kerfon, l’apercevoir et entendre ses ailes tourner dans le vent.

Le regarder frémir et l’entendre gémir, ce vieux moulin à vent…

Juste avant que les ailes ne se mettent à tourner trop vite, avant que ne viennent les usines qui tuent les fleurs des champs et broient dans notre cœur nos amours d’enfants.

Merci, Kerfon.

115 commentaires à propos de “Kerfon Le Celte, Coup de vent”

  1. Vous êtes merveilleux, tous les deux. Je vous bois par les yeux et vos mots coulent en mille petites rigoles dans ma tête, enchantement à l’heure du rêve…

    • J’adore ce que fait Kerfon. Ce poème, qui, comme toujours, n’est pas si léger, m’a beaucoup émue.

      Je suis touchée qu’il me l’ait dédié.

      Merci d’être là, Galet.

  2. quel joli poème !quels beaux coquelicots qui nous transportent en une autre saison et quel beau moulin!

  3. Très sympa ton billet du jour ……. On a envie de s’allonger dans ce champ de coquelicots et rêver de moulins …. avant sur les vers de Kerfon. Bon dimanche

    • Tu as bien relevé, Martine. J’étais sûre que ce « moulin… avant » de Kerfon ne t’échapperait pas.

      Merci pour ta présence.

      Bonne soirée à toi.

  4. un très joli poème. Bien dans l’air du temps. (Plus chez nous, elles ont plutôt tendance à disparaître les usines !!

    Bon dimanche avec tes titouns, Quichottines, et bises à tous !!!

    • C’est vrai que les usines ferment là où elles apportaient la vie.
      Je crois que ce n’est pas facile de tout concilier.

      J’ai passé un beau dimanche avec mes petits, Patriarch.
      Maintenant, ce sera une semaine entière en mode « Mamie »… donc, un peu moins de blog… soirée un peu plus longues pour moi pour pouvoir continuer de vous lire. Un vrai bonheur !

      Bisous à vous partager. Merci d’être passé si tôt.

  5. Bravo à Kerfon pour ses mots et à toi pour la mise en forme, sur ton blog
    Amitiés, Gros bisous, Flo

    • Ses mots sont magnifiques… Les avoir aussi ici est un grand honneur pour moi.

      Amicalement à toi. Je t’embrasse.

  6. C’est un très beau texte, émouvant et tellement réaliste malheureusement. C’est une semaine animée alors qui s’ouvre à toi 😉 Profites-en bien Quichottine ! Je t’embrasse

    • Il y a toujours un peu de réel chez Kerfon. Mais il ne faut pas le gommer.

      Ici, j’ai préféré mettre en valeur le rêve partagé. « L’avant » de mon moulin breton.

      Je t’embrasse, Bandolera. Passe une belle semaine.
      Moi, je vais profiter des journées de ma petite-fille… et j’en suis ravie.

    • C’est vrai, il chante…

      Tu sais que Kerfon est aussi parolier ? Cela se sent dans le rythme de ses poèmes.

    • Ah… c’est vrai qu’il n’a pas fait très beau.

      J’espère pourtant que tu n’es pas trop triste en cette période de vacances… Si tu savais comme je pense à toi souvent

      Bisous pour toi.

  7. Magnifiques !
    le champ et le poème !

    le chant du vent
    au moulin du temps
    donne des ailes
    aux fleurs des champs
    aux amours d’antan

    Bises

    • Je suis heureuse qu’il te plaise.

      Le garder en son coeur, longtemps. Comme ses souvenirs d’enfant.

  8. J’ai bien aimé relire ce poème qui est très beau ton moulin est joli aussi. Bonne journée.

    • Merci, Solange. Je sais que tu l’avais lu chez Kerfon.

      Bonne journée à toi aussi, même si ce n’est pas la même.

  9. Avec le départ de ma mère pour une autre  » maison « , je viens de perdre mes liens avec mon pays d’origine … qui a bien changé aussi … Et mes repères d’enfance.
    Bisous, Quichottine, passe un bel après-midi en famille.

    • Perdre ses repères… J’espère que tu en garderas un peu. C’est ce qui m’a le plus manqué.

      Bisous à toi aussi, Midolu.

      Passe un beau lundi.

  10. Un beau poème à relire en regardant le champ de coquelicots et de bleuets.
    Merci.

    • C’est ainsi que j’ai voulu le montrer… mais je ne suis pas sûre de ne pas avoir trahi un peu la pensée de Kerfon.

      Merci à toi.

  11. Au pays de la mélancolie vivent les fleurs et les poètes !
    bonjour Quichottine, je découvre que les fleurs ont illuminé nos dimanches ; je te souhaite une belle soirée

    • Tes fleurs, découvertes ce soir, sont superbes. J’ai adoré tes petits bonheurs.

      Merci, Balaline. Je te souhaite une très belle semaine.

  12. Heureusement, nous avons de nouveaux moulins à vent maintenant, moins beaux que les anciens, certes, mais qui redonnent espoir face à la pollution des grosses usines. Bonne soirée !

    • Ils sont différents…

      Ce que je déplore, concernant les éoliennes, c’est la propension que nous avons à les installer à tort et à travers. Je pense qu’il n’est pas toujours facile de transporter l’énergie. On ne devrait pas les installer n’importe où.

      Pourtant, je crois qu’il est possible de tirer partie de ces énergies « propres » et le vent en est une.

  13. Très beau poème de Kerfon.
    Qui n’a pas un petit morceau de campagne (qui résiste encore et toujours à l’envahisseur) au fond de son coeur?
    Bonne semaine Quichottine.

    • Je ne sais pas… Je crois que nous en avons tous un… mais il se peut que je me trompe.

      Bonne semaine à toi aussi, Val’r. Merci.

  14. Un joli poème… Mais je vais être franche : comment veux-tu que je sois réceptive à des vers, aussi beaux soient-ils, après avoir trébuché sur la superbe photo du champs de coquelicots ? Je ne rêve plus que de sieste au soleil, les yeux noyés de pourpre, vert tendre et violet… 

    • Tu as tout à fait raison…

      Je n’y avais pas pensé. Mon ami Kerfon en sera chagriné…

      Sourire… je sais que tu as lu aussi son poème !

      Merci, Marie.

  15. Et il y a tant de ces collines où le vent d’avant n’est même plus qu’un souvenir.
    Très beau texte… sûrement une inspiration d’un petit lutin. 
    Bonne soirée et bonne semaine

    Au fait… sous la coulemelle il m’a semblé voir deux petits éclairs bleu et vert

  16. Waouh, quel billet !
    J’ai pris le temps d’aller m’allonger en haut de la coline comme conseillé et j’ai écouté les mots, la poésie…
    Bravo au poète doué et à toi pour ce billet qui tu avais raison, vient de me faire voyager.
    Gros bisous à toi, Syl

    • Merci, Sylviane.

      Je suis heureuse que tu aies pris le temps de me tenir compagnie tout là-haut.

      Gros bisous à toi aussi.

  17. heu… est ce grave si je lis la poésie du Dimanche un lundi ?… J’aio une excuse.. Dimanche… heu… je…. tuais 3 dragons et sauvais 17 princesses ? (suis je crédible ?)
    J’apprécie les poésies libres et courtes… Là, je me suis régalé !

    • Non, ce n’est pas grave du tout, et cela me fait plaisir.

      Tu as tué trois dragons… … mais sauvé 17 princesses ?
      Je te pardonne très volontiers, à cause des princesses.

      Pourquoi ne pas te croire ? Tout est possible en Quichottinie !

      Merci pour ta lecture.

  18. Je l’avais lu chez lui je crois, c’est un très beau poème Quichottine, cadeau d’amitié.
    Je t’embrasse fort.
    Sophie

  19. Que dire d’autre devant de si jolis mots pour toi ?…fort mérités

    baisers

  20. je suis retournée lire Le celte et son poème sur le canard est aussi super amusant et maintenant comment manger du canard sans penser à son écrit. Bonne soirée avec des bigs bises réchauffées au du soleil du jour

    • Je vais aussi avoir du mal à manger du canard…

      Passe une bonne soirée, Lili… un peu plus fraîche aujourd’hui, il me semble.

      Merci d’être là. Bigs bisous à toi aussi.

  21. ah non ça c’est sûr j’ai pas pu tout lire… je picore ça et là mais je vais avoir du mal à rattraper le retard, j’ai pris le train en marche!!!
    belle soirée à toi
    bisous doux

    • C’est vrai qu’il écrit bien…

      Gros bisous de la nuit, mon Amielle. Même si ce n’est pas la même…

  22. Au petit matin des usines, le jour se lève, sournois, têtu et m’enveloppe dans son suaire, combien je regrette le temps, le doux temps des moulins à vent.

    Votre blog est délicieux merci

    • J’ai été surprise par le vôtre… Il me faudra mieux le découvrir.

      Mais j’ai aimé, beaucoup, le poème que j’ai lu avant de vous répondre.

      Merci, Gérard.

  23. J’ai lu ce joli poème de Kerfon sur les méfaits du modernisme. Je confirme à quel point c’est triste de voir que d’immenses champs où j’avais l’habitude de me rendre pour ramasser des petits élèments pour ma crèche: du thym, du romarin, du lichen… disparaissent petit à petit pour laisser la place à des constructions.
    Nous allons de plus en plus loin maintenant…

    • C’est vrai… Ce ne sont pas forcément des usines, mais la ville gagne du terrain.

      Merci pour ce partage, Santounette.

  24. Ravie de trouver ici les mots de Kelfon, j’aime beaucoup son style …Bien à lui.
    Bonne soirée Quichotine.
    Chris

  25. je comprends pourquoi tu étais contente de voir le moulin dans l’article sur mon blog….et la tortue je suppose que c,est parce qu’il faut la protéger?
    merci de tes belles visites Quichottine.
    À bientôt.

    • Parce qu’elle était jolie, et que j’aime les tortues, tout simplement.

      Merci à toi, Nadia.

      À très bientôt.

  26. Avec le départ de ma mère pour une autre  » maison « , je viens de perdre mes liens avec mon pays d’origine … qui a bien changé aussi … Et mes repères d’enfance.
    Bisous, Quichottine, passe un bel après-midi en famille.

  27. je suis retournée lire Le celte et son poème sur le canard est aussi super amusant et maintenant comment manger du canard sans penser à son écrit. Bonne soirée avec des bigs bises réchauffées au du soleil du jour

  28. Avec le départ de ma mère pour une autre  » maison « , je viens de perdre mes liens avec mon pays d’origine … qui a bien changé aussi … Et mes repères d’enfance.
    Bisous, Quichottine, passe un bel après-midi en famille.

  29. je suis retournée lire Le celte et son poème sur le canard est aussi super amusant et maintenant comment manger du canard sans penser à son écrit. Bonne soirée avec des bigs bises réchauffées au du soleil du jour

  30. Avec le départ de ma mère pour une autre  » maison « , je viens de perdre mes liens avec mon pays d’origine … qui a bien changé aussi … Et mes repères d’enfance.
    Bisous, Quichottine, passe un bel après-midi en famille.

  31. je suis retournée lire Le celte et son poème sur le canard est aussi super amusant et maintenant comment manger du canard sans penser à son écrit. Bonne soirée avec des bigs bises réchauffées au du soleil du jour

  32. je me souviens d’un temps ou avant que la ville nouvelle d’Evry ne pousse…. il y avait un moulin …. des fermes d’où je revenais en faisant tourner mon pot à lait…. je rentrais de l’école à la vitesse des billes dans le caniveau et le jeudi j’allais pêcher des tritons dans le « coule s’il pleut »……. et ça pousse vite une ville dortoir

    • Le pot à lait… Quel magnifique souvenir !
      Merci, Annie.

      Merci infiniment pour ce partage d’enfance.
      C’est vrai… pour habiter aussi une ville nouvelle, je comprends tout à fait ce que tu as pu ressentir.

  33. Il est magnifique ce poème de Kerfon… oui, magnifique..

    Plus rien là où je vis ne ressemble à mon enfance… je préfère ne pas trop y penser…

    Bon dimanche à toi douce amie 

    • Je l’ai trouvé merveilleux…

      Dans la rue de mon enfance, plus rien ne ressemble non plus à ce que je connaissais. L’impasse a été ouverte, les vieux immeubles détruits…

      Ville ou campagne, tout évolue, pas forcément en bien, mais c’est ainsi.

      Je te souhaite une belle soirée, Renard, et un très bon lundi.
      Bisous tout plein pour toi, mon aminaute.

  34. et bientôt les usines des collines disparaîtront à leur tour dévorées par les éoliennes ces hyènes que l’homme sème à tous vents

  35. Tant de poésie me met en joie ce matin merci à Kerfon, et au loin j’entends la roue qui tourne dans de grands crissements, poussée par le vent et j’ai fermé les yeux pour m’imaginer au milieu de champs de coquelicots et de bleuts.. un pur moment de bonheur!
    Pour mon omelette, rassures-toi je n’en ferai pas  car ce sont des champignons d’arbres morts et une Amanite… mais j’adore les photographier.
    beau dimanche douce Quichottine et je t’envoie des bisous ensoleillés
    le matelot de la terre ferme

    • Je suis contente que tu aies pu ressentir aussi bien ce que je désirais te montrer.

      Ouf ! J’ai eu peur pour l’omelette !

      Merci pour ta réponse, Chantal. Passe une belle soirée. Bisous tout plein.

  36. je me suis allongée et j’ai écouté la simplicité , un moment de lâcher-prise…Bises   VITA

  37. C’est avec plaisir que je m’allonge sur la colline d’anne…
    Et j’écoute le vent…

  38. Superbe texte. Un style… waouh: « Est devin qui devine tant le vent est absent ».
    Je n’ai pas de mots… ce vers je l’adore, tellement il… « balance »… je ne sais si c’est le mot juste mais c’est celui-là qui est venu en tout cas sous mes doigts…

    J’avais fait ma curieuse et j’étais allée le lire… et je savais que tu l’aurais mis ici.

    Bon dimanche.

    • Tu as souligné mon vers préféré… l’art de Kerfon, c’est ce rythme qu’il donne à ses mots.

      Nous sommes très proches, toi et moi. Plus je te lis, plus je me dis qu’il n’y a pas de hasard. Il n’y a que des rendez-vous, comme dirait Kri.

      Rendez-vous, toi et moi, un jour, dans notre réalité.

      Bonne semaine à toi. Merci pour ta présence.

  39. Coucou Quichottine, merci à Kerfon pour ce très jolie poème emprunt de nostalgie.
    Gros bisous et très bon dimanche,

    • Nostalgie, un peu de colère rentrée… et une certaine fatalité…

      Mais il y a encore de belles choses à voir, comme chez toi.

      Gros bisous et belle semaine, Muad.

  40. On a tous quelques part une colline ou on a usé nos jeans ;))
    Beau poème de Kerfon

    Bonne soirée Quichottine
    Bisous

    • Je le crois…

      Merci pour ta présence, Urban. Je suis contente que le poème de Kerfon t’ait plu.

      Bonne semaine à toi. Bisous.

  41. merci picasso pour ce don quichotte!

    bo poème, m’alors, hein, ça valait le détour!
    belle soirée à toi
    bisou doux

    • Merci, Mamalilou.

      C’est très gentil. Je suis touchée, d’autant que tu ne pouvais pas vraiment savoir qu’il est dans la Bibliothèque depuis longtemps. Tu n’as pas pu tout lire… mais il est là, entre autres articles consacrés au roman de Cervantès.

      Merci tout plein d’y avoir pensé, c’est l’un de mes préférés.

      Passe un beau lundi. Bisous doux.

  42. Dans mon p’tit paradis, le sais-tu Quichottine, il en reste encore des vieux moulins à vent de ceux qui broyaient le blé et il faudrait que j’aille en immortaliser un tout particulier car un couple un peu fou et amoureux de ces engins en ont fait un nid douillet pour leur week-end. Un moulin devenu maison et je trouve cela pluss que pastoral! Promis, je ferai un détour le temps d’un WE pour le retrouver et te l’envoyer telle une carte postale.
    Bise et belle nuit belle Quichottine

    • Je m’en doutais un peu…

      Un couple qui s’installe dans l’un de ces géants ? Cela me plaît tout à fait.

      Bises à toi, ma belle amie de tout là-bas. Passe une bonne journée.

  43. Un très joli poème sur un thème finalement plutôt inquiétant, quand à la photo, un régal.

    • C’est vrai que chez Kerfon, le thème est toujours un peu plus sérieux et inquiétant qu’il n’en a l’air.

      Merci, Jakline.

  44. Dans notre réalité… pourquoi pas… un jour…

  45. Avec un peu de retard, je viens également m’allonger dans le chanp de coquelicots…

    J’aime le pavot pas vous ???

    Je veux sutout remercier Quichottine pour sa délicate attention et vous remercier pour vos trop élogieux com-pliments…

    Merci à tous et bonne journée.

    KERFON LE CELTE

    • Tu n’es jamais en retard.

      J’aime les coquelicots… les pavots sont porteurs d’autres nuances. Pourtant, ils sont beaux dans les parterres de ma ville.

      Trop élogieux… je ne crois pas.
      Je crois que ce poème est une réussite, je le maintiens.

      Merci infiniment, Kerfon.

  46. C’est toujours avec un plaisir renouuvelé que je viens visiter ton blog, une mine à trésor! J’ai vu que tu avais changé ta bannière, celle-ci est bien aussi! A bientôt, Quchottine et merci pour ce moment d’évasion!

    • Merci,Thaliesen.

      C’est vrai que ma bannière a changé. Je suis contente qu’elle te plaise.

      À très bientôt, ici ou là.

  47. Je reviens ici de temps en temps pour prendre un peu de vent…!

    Bises Quichottine

    KLC

  48. Histoire de dire que l’amitié  ce n’est pas que du vent…

    Bises Quichottine

    KLC

    • Merci d’être là, Kerfon.

      C’est loin d’être du vent… Même si j’aime celui que tu laissas ici.

      Bises amicales à toi aussi.

  49. Ce matin, loin du coup de vent, c’est un coup de pêche que je te propose…

    Bises QUICHOTTINE

    KLC

    • Il vient à point nommé pour ces périodes festives… Ne pas oublier qu’on peut encore mourir d’amour…

      Bises, Kerfon. Passe une belle soirée. Merci.

  50. J’en étais resté à la certitude qu’on ne meurt pas d’amour…

    Je crois trop aux paroles des chansons

     

    Anne me le dit souvent et elle a raison…

     

    KLC

     

    • Elle a raison… d’autres aussi.

       

      Mais Roméo et Juliette aujourd’hui n’auraient pas le même sort.

      Merci d’être là, Kerfon.